Rehm Everwood
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remington everwoodCharles Melton
caractère
MALLÉABLE ∙ Le caractère de Rehm a grandement évolué depuis son plus jeune âge. Enfant, il était plutôt du genre à rentrer dans le moule, il obéissait à ses parents et suivait tous leurs conseils. Il faut dire que le petit Rehm était facilement influençable, comme les autres enfants de son âge, extrêmement naïf et solitaire. Un garçon plutôt obéissant qui avait de tout, il ne ressentait pas le besoin de se rebeller, de renier quoi que ce soit. Trop obéissant d'ailleurs. — AFFIRMÉ ∙ En grandissant, Rehm devient plus impulsif. Le jeune homme a évolué vers un caractère plus spontané, essayant de soutenir ses opinions, parfois avec violence. Déterminé, Rehm s'était opposé à son père pour pouvoir reprendre en main sa vie. Mais moins intransigeant que lui, il avait fini par s'incliner face à son autorité. — CONFIANT ∙ Au premier abord on pourrait croire qu'il est prétentieux ou imbu de lui-même alors que si l'on creuse un peu plus, on découvre une autre facette de sa personnalité. Il se montre vraiment attentionné et loyal envers ses proches, qui se comptent sur les doigts de la main. — ACRIMONIEUX ∙ Assez fermé, il se méfie constamment des personnes qui s'intéressent trop à lui, pouvant devenir malgré son côté raffiné à tout instant, vulgaire et irrévérencieux. Bien souvent distant d’autrui car profondément attaché à son cercle familial, méprisant facilement celleux qui y débarquent sans y avoir été invité. — DÉROUTANT ∙ Dans certaines situations, il est étonnamment calme voire dérangeant. Mais il en tire profit, attendant simplement le moyen de décharger la pesanteur de son esprit. Une raison de faire sortir le côté indiscret et curieux, d'autant plus qu'il n'a plus de paternel sur le dos. Cette liberté comportait cependant un coût, une visibilité accrue aux yeux des autres, même des filles. — ÉLÉGANT ∙ Légèrement maniaque, il ne sort jamais sans un visage parfait, des dents et sourcils bien entretenus. Il aime souvent plaire et aller chez le coiffeur pour se démarquer lors d'événements mondains. D'ailleurs, il n'hésite pas à se fatiguer sur les appareils dernier cri de sa salle de sport. — WORKAHOLIC ∙ Rehm rêve de briller dans les tribunaux et ne perd pas de vue son objectif de devenir le digne successeur de son père, le bâtard en moins.
groupe
Dans cette toile harvardienne, Rehm avait sa place, parmi les jeunes ambitieux prêts à tout pour réussir. S’il charmait en quelques mots des gens de la haute, il pourrait leur ouvrir les portes d’un autre monde, celui aristocratique, il est l’un de ces fiers héritiers dont l’Angleterre se targuait d’avoir. Un ancien monde dont la renommée n’était plus à défaire attirant des convoitises, comme des opportunités professionnelles. Mais toujours faut-il avoir les épaules solides pour naviguer dans ce monde impitoyable, nul doute qu’il perdrait vite pied sans le soutien de sa jumelle, la froide Elvira Everwood. Comme son père, elle aimait l’attention du public et briller à la lumière, n’hésitant pas à se forger une réputation difficile et cela arrangeait bien son frère. Personne n’irait chercher à le nuire, car sous les eaux calmes dort un volcan dont la colère n’attend qu’à éclater au grand jour. Il ne cherche absolument pas à façonner les gens à son image, ils ne l’intéressent pas voire très peu, rêvant d’indépendance et rendre le monde moins fou qu’il ne l’est déjà, et pourquoi pas viser la mairie d'une grande ville comme New York une fois lancé dans la politique.
admission à harvard
Après un cursus de plusieurs années à Cambridge, bastion de tout Everwood qui a fait ses affaires sur les illustres bancs de l'université, un diplôme de droit en poche pour suivre les pas du paternel, une vie toute tracée jusqu'à son décès soudain, qui bouleverse tous les repères déjà construits. Mais une année passée loin de sa jumelle, loin de ses proches, n'est plus une priorité, choisissant d'écrire une nouvelle page au milieu de ton doctorat en droit, en Amérique plutôt qu'en Angleterre. Sitôt la demande envoyée et des entretiens avec Harvard, le dossier excellent aux yeux des recruteurs, en plus du prestige du nom, les ont suffisamment convaincu d'admettre un autre héritier dans leurs rangs, de t'intégrer dans un nouveau master, complétant tes compétences déjà acquises en droit.
anecdotes
1 ∙ Comment voir son monde s’écrouler en un claquement de doigts ? C’est simple, il suffit d’aller chez le notaire l’air de rien et de découvrir l’effroyable. Je croyais qu’il n’y avait pas plus terrible comme choc que d’apprendre le décès de mon père bien-aimé. Décès très soudain et inattendu alors que la famille baignait dans la richesse et le bonheur, du moins en apparence. Après un grand mariage et trois beaux enfants, une carrière à la Silicon Valley puis à Wall Street, tout semblait sourire à l’homme qui a été mon seul modèle. Voilà que je n’entendrai plus son rire percutant, ne verrai plus son air sévère lorsqu’un rien le froissait, ou qu’il considérait mes efforts comme insuffisants. Ce père intransigeant et dur qui cherchait à créer l’illusion d’une famille parfaite, conservatrice.
2 ∙ Comme vous pouvez en douter, je suis né avec une cuillère en argent dans la bouche, persuadé que toute sa fortune me reviendrait automatiquement. En entrant dans la salle de lecture, accompagné de mes deux soeurs et de ma mère, j’ai eu la surprise de faire face à un autre jeune homme et rapidement je me suis assis, sans lui accorder la moindre attention. Sa présence a attisé ma curiosité mais j’ai tenu bon, du moins jusqu’à ce que le notaire nous déclare que père lègue en parts égales sa fortune à deux membres de sa famille. J’ai exulté à ce moment-là, enfin il met une fois pour toutes Elvira ma jumelle au même niveau que moi, mais j’ai vite déchanté en apercevant que même mort, il continuait de créer des problèmes, qu’il nous avait caché une façade jusque-là jamais insoupçonnée de son existence.
3 ∙ Mon père était un homme très astucieux, extrêmement malin et habile en affaires, ce qui faisait de lui quelqu’un de redoutable et estimé. Difficile d’imaginer qu’il menait de nombreuses aventures extra-conjugales sans que personne ne le sache. S’il a autant tiré son épingle du jeu, c’est sans doute pour se protéger lui-même et sa réputation. J’ignore si la famille a réellement compté pour lui mais ce que je sais, c’est qu’il accordait beaucoup d’importance à son image. Il n’hésitait pas à envoyer à des revues spécialisées des photos de famille, le genre à évoquer aux lecteurs les moments joyeux en famille - s’inspirant des Kennedy, ni de me mettre en avant. Il m’envoyait dans les meilleurs écoles, me préparait à la vie qui m’attendait, j’étais son fils, le seul et l’unique. Cela ne lui a pas empêché d’en avoir un deuxième car l’autre bénéficiaire de la fortune de mon père n’est autre que le jeune homme avec nous. Un bâtard.
4 ∙ Bien que sous le choc, incapable de réagir et ne comprenant pas comment l’homme qui a été mon père durant toutes ces années ait pu me cacher une chose pareille, doutant pendant quelques secondes de ta véritable place, d'avoir été possiblement un fardeau pour lui. J’ai pu observer rapidement le jeune homme et constater chez lui quelques similitudes avec une photo de mon père à notre âge. Comment est-ce possible ? Ma jumelle Vera est sortie précipitamment de l’étude et ma mère l’a suivie peu de temps après, avec ma soeur. Mon père ne lui avait laissé finalement… que dalle, même pas une infime partie de sa fortune. Je me suis retenu de réagir alors que je trouvais la situation totalement inacceptable, figé dans mon fauteuil.
5 ∙ Immédiatement je m’en étais voulu de n’avoir rien vu, d’avoir laissé mon père dicter ma vie et celle de Vera. Il l’a toujours mise à l’écart, ne considérant pas les femmes bonnes en affaires comme en voiture. Maintenant qu’il est parti, il abandonnait ses enfants ainsi que ma mère, me léguait la moitié de sa fortune, me jugeant apte de prendre sa suite et de m’occuper d’elles. S’il avait décidé de léguer l’autre partie à son autre fils, c’était sans doute pour les mêmes raisons évoquées. Sauf que, lui, n’avait pas été préparé à cette bombe, ni à recevoir autant d’argent. Il n’avait pas grandi dans l’opulence contrairement à nous. Un parfait étranger.
6 ∙ Je l’ai détesté dès la seconde où nos regards se sont croisés. Un intrus, un parasite, voilà ce qu’il était. Et il possédait la moitié de la fortune des Everwood. De quoi se tirer une balle dans la tête mais le recours au suicide, aucunement pour moi. Je ne tiens désormais plus en place et me relève, de manière brusque, le fusillant du regard avant de sortir en trombe. La sensation que tout m’échappe me prend rapidement et un râle se fait entendre, pour la première fois je me sens partir, le contrôle m’échapper. Affalé contre un mur, je parviens difficilement à me calmer, à deux doigts de vider ma rage sur quelqu’un mais je suis tout seul. Seul au monde. Et différent car je n'avais jamais ressenti autant de haine et de dégoût pour quelqu'un auparavant.
7 ∙ Quelques mètres me séparent de la sortie, mètres que j’ai dû parcourir au prix d’un effort surhumain pour rejoindre ma famille qui m’attendait dans la voiture. Aussitôt assis près de ma jumelle, je saisis sa main car elle avait besoin de mon réconfort et moi du sien. Puis nous nous sommes murés dans le silence durant tout le trajet. Les gens qui nous croient frigides, ils n’ont pas entièrement tort. Bien que humains avec des sentiments, on nous a appris ce que c’est d’agir comme un vrai Everwood. Il ne pleure pas, ne jure pas, ne se laisse pas déborder par ses émotions. Surtout dans ce genre d'épreuve.
8 ∙ Enfin, j’ai essentiellement été formé à cela, pas Vera en raison de sa nature sexuelle. Mais elle ne s’est jamais laissée démonter, chaque obstacle qui se dressait au cours de sa route, elle le piétinait sans vergogne. Un moment dévastée par l’annonce, elle a su se relever et est partie pour Harvard tandis que je suis resté à Cambridge, là où notre père avait brillé. Ce n’est que lors des vacances que nous nous retrouvons dans la demeure familiale située en Angleterre et passons les soirées à nous raconter nos journées à l’université. On n’a plus jamais abordé le délicat sujet de Trent. L’avocat de la famille s’est emparé de son cas, intentant des procès à son encontre, classés sans suite. L’héritage de mon père lui revenait de plein droit, c’était stipulé dans son testament. Il a tout tenté, en vain.
9 ∙ Après un an passé à Harvard, Elvira m’apprend de sa voix furieuse et teintée de mépris que notre demi-frère y est aussi. Je me suis retenu d’exploser, ce mec est entré dans nos vies et nous nous sommes pas près de s’en débarrasser de sitôt. J’ai postulé pour Harvard l’année suivante, le savoir près de ma jumelle me contractait le cœur et la gorge, comme la longue distance entre elle et moi pendant plus d’un an m’était insupportable.
10 ∙ J’appris également qu’elle s’était fiancée entre-temps, m’empressant de monter dans l’avion pour la rejoindre et la féliciter de vive voix, mais également pour découvrir que notre mère avait décidé de lui voler la vedette en se remariant avec un américain à mon arrivée, accueillant une nouvelle belle-soeur dans la famille. Seigneur… De plus, ayant obtenu une place là-bas pour être au plus proche de Vera, je risque fortement d’y retrouver la personne que je désire revoir le moins au monde, notre demi-frère, Trent.
2 ∙ Comme vous pouvez en douter, je suis né avec une cuillère en argent dans la bouche, persuadé que toute sa fortune me reviendrait automatiquement. En entrant dans la salle de lecture, accompagné de mes deux soeurs et de ma mère, j’ai eu la surprise de faire face à un autre jeune homme et rapidement je me suis assis, sans lui accorder la moindre attention. Sa présence a attisé ma curiosité mais j’ai tenu bon, du moins jusqu’à ce que le notaire nous déclare que père lègue en parts égales sa fortune à deux membres de sa famille. J’ai exulté à ce moment-là, enfin il met une fois pour toutes Elvira ma jumelle au même niveau que moi, mais j’ai vite déchanté en apercevant que même mort, il continuait de créer des problèmes, qu’il nous avait caché une façade jusque-là jamais insoupçonnée de son existence.
3 ∙ Mon père était un homme très astucieux, extrêmement malin et habile en affaires, ce qui faisait de lui quelqu’un de redoutable et estimé. Difficile d’imaginer qu’il menait de nombreuses aventures extra-conjugales sans que personne ne le sache. S’il a autant tiré son épingle du jeu, c’est sans doute pour se protéger lui-même et sa réputation. J’ignore si la famille a réellement compté pour lui mais ce que je sais, c’est qu’il accordait beaucoup d’importance à son image. Il n’hésitait pas à envoyer à des revues spécialisées des photos de famille, le genre à évoquer aux lecteurs les moments joyeux en famille - s’inspirant des Kennedy, ni de me mettre en avant. Il m’envoyait dans les meilleurs écoles, me préparait à la vie qui m’attendait, j’étais son fils, le seul et l’unique. Cela ne lui a pas empêché d’en avoir un deuxième car l’autre bénéficiaire de la fortune de mon père n’est autre que le jeune homme avec nous. Un bâtard.
4 ∙ Bien que sous le choc, incapable de réagir et ne comprenant pas comment l’homme qui a été mon père durant toutes ces années ait pu me cacher une chose pareille, doutant pendant quelques secondes de ta véritable place, d'avoir été possiblement un fardeau pour lui. J’ai pu observer rapidement le jeune homme et constater chez lui quelques similitudes avec une photo de mon père à notre âge. Comment est-ce possible ? Ma jumelle Vera est sortie précipitamment de l’étude et ma mère l’a suivie peu de temps après, avec ma soeur. Mon père ne lui avait laissé finalement… que dalle, même pas une infime partie de sa fortune. Je me suis retenu de réagir alors que je trouvais la situation totalement inacceptable, figé dans mon fauteuil.
5 ∙ Immédiatement je m’en étais voulu de n’avoir rien vu, d’avoir laissé mon père dicter ma vie et celle de Vera. Il l’a toujours mise à l’écart, ne considérant pas les femmes bonnes en affaires comme en voiture. Maintenant qu’il est parti, il abandonnait ses enfants ainsi que ma mère, me léguait la moitié de sa fortune, me jugeant apte de prendre sa suite et de m’occuper d’elles. S’il avait décidé de léguer l’autre partie à son autre fils, c’était sans doute pour les mêmes raisons évoquées. Sauf que, lui, n’avait pas été préparé à cette bombe, ni à recevoir autant d’argent. Il n’avait pas grandi dans l’opulence contrairement à nous. Un parfait étranger.
6 ∙ Je l’ai détesté dès la seconde où nos regards se sont croisés. Un intrus, un parasite, voilà ce qu’il était. Et il possédait la moitié de la fortune des Everwood. De quoi se tirer une balle dans la tête mais le recours au suicide, aucunement pour moi. Je ne tiens désormais plus en place et me relève, de manière brusque, le fusillant du regard avant de sortir en trombe. La sensation que tout m’échappe me prend rapidement et un râle se fait entendre, pour la première fois je me sens partir, le contrôle m’échapper. Affalé contre un mur, je parviens difficilement à me calmer, à deux doigts de vider ma rage sur quelqu’un mais je suis tout seul. Seul au monde. Et différent car je n'avais jamais ressenti autant de haine et de dégoût pour quelqu'un auparavant.
7 ∙ Quelques mètres me séparent de la sortie, mètres que j’ai dû parcourir au prix d’un effort surhumain pour rejoindre ma famille qui m’attendait dans la voiture. Aussitôt assis près de ma jumelle, je saisis sa main car elle avait besoin de mon réconfort et moi du sien. Puis nous nous sommes murés dans le silence durant tout le trajet. Les gens qui nous croient frigides, ils n’ont pas entièrement tort. Bien que humains avec des sentiments, on nous a appris ce que c’est d’agir comme un vrai Everwood. Il ne pleure pas, ne jure pas, ne se laisse pas déborder par ses émotions. Surtout dans ce genre d'épreuve.
8 ∙ Enfin, j’ai essentiellement été formé à cela, pas Vera en raison de sa nature sexuelle. Mais elle ne s’est jamais laissée démonter, chaque obstacle qui se dressait au cours de sa route, elle le piétinait sans vergogne. Un moment dévastée par l’annonce, elle a su se relever et est partie pour Harvard tandis que je suis resté à Cambridge, là où notre père avait brillé. Ce n’est que lors des vacances que nous nous retrouvons dans la demeure familiale située en Angleterre et passons les soirées à nous raconter nos journées à l’université. On n’a plus jamais abordé le délicat sujet de Trent. L’avocat de la famille s’est emparé de son cas, intentant des procès à son encontre, classés sans suite. L’héritage de mon père lui revenait de plein droit, c’était stipulé dans son testament. Il a tout tenté, en vain.
9 ∙ Après un an passé à Harvard, Elvira m’apprend de sa voix furieuse et teintée de mépris que notre demi-frère y est aussi. Je me suis retenu d’exploser, ce mec est entré dans nos vies et nous nous sommes pas près de s’en débarrasser de sitôt. J’ai postulé pour Harvard l’année suivante, le savoir près de ma jumelle me contractait le cœur et la gorge, comme la longue distance entre elle et moi pendant plus d’un an m’était insupportable.
10 ∙ J’appris également qu’elle s’était fiancée entre-temps, m’empressant de monter dans l’avion pour la rejoindre et la féliciter de vive voix, mais également pour découvrir que notre mère avait décidé de lui voler la vedette en se remariant avec un américain à mon arrivée, accueillant une nouvelle belle-soeur dans la famille. Seigneur… De plus, ayant obtenu une place là-bas pour être au plus proche de Vera, je risque fortement d’y retrouver la personne que je désire revoir le moins au monde, notre demi-frère, Trent.
- Code:
<pris><i class="bi bi-check"></i><b>CHARLES MELTON</b> <span>@"Rehm Everwood"</span></pris>
(Rehm Everwood)
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✧ there’s a thousand girls in every room, that act as desperate as you do, you did roll in like tumbling weeds. i'm stand by him, he gon' stand by me.