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In those cold walls - Bastien

Andy Skovsgaard

Âge : 40
Lieu de naissance : Boston
Quartier d'habitation / Colocation : City Center
Situation sentimentale : En couple avec Leslie Wayne depuis le 28/09/24
Études / Métier : Médecin légiste
Date d'inscription : 14/09/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : Elle
Icon : In those cold walls - Bastien C6906c56a7c5b255db397d738e7748d262b099e2
Faceclaim : Hayden Christensen
Crédits : Myself / Dreamsparkle
Multicomptes :
Description (1) : Père d'une adolescente, Harley
Habitué des frasques amoureuses
Joue du piano
A le mal des transports
Fervent nageur

Description (2) : In those cold walls - Bastien Keldor-01
Warnings : La nature de son métier ( morts et blessures )
RPS : 165
Messages : 986
Préférences de jeu
veritas
Andy Skovsgaard
est en ligne
LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t174873-andy-skovsgaard-hayden-christensenRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t175061-andy-skovsgaard-repertoire-rps#8663281Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t174961-andy-skovsgaard-fiche-de-liens#8654972


In those cold walls
@Bastien Dassault  & Andy Skovsgaard


TW : morts et blessures

Si l'on pensait que le métier d'Andy était de disséquer des morts toute la journée, seul dans la morgue, et bien c'était une erreur. Certes, il s'agissait la de la majeure partie de son travail, cela va sans dire. Mais il n'y avait pas que ça. Et surtout, il était amené à parler avec plein de personnes au fil de la journée. Qu'elles soient des forces de l'ordre ou non d'ailleurs. D'autant plus que, s'il était aussi seul à travailler, il lui arrivait d'avoir de la compagnie. Des stagiaires pour faire simple. Que ce soit des médecins en devenir, des criminologues, des personnes en école de police, des étudiants en médecine, les gamins de collègue pour leur stage d'été, en bref, il y avait du monde qui était passé aux cotés d'Andy ces dernières années.

Et, dans tout ça, il lui arrivait aussi d'avoir ses propres élèves. Ceux à qui il enseignait à l'université. D'ailleurs c'était quelque chose qu'il aimait bien. Sans qu'il y ait non plus la moitié d'Harvard à ses cours, qui étaient assez pointus il faut le dire, il y avait trop d'élèves pour qu'il puisse les connaître, ne serait-ce que leur nom. Pour sûr, il y avait quelques têtes qui lui revenait, mais dans l'ensemble, c'était flou. De toute façon, tant que les étudiants avaient leur examen à la fin de l'année, c'est tout ce qu'il espérait pour eux. Si on vous dit tout ceci, c'est, vous l'aurez compris, qu'aujourd'hui commençait le stage d'un des étudiants qui suivait les cours d'Andy. Bastien Dassault. En lisant le nom l'autre jour, Andy s'était demandé s'il s'agissait bien de ce à quoi il pensait. Non pas que ça changera quoi que ce soit pour lui, ni au stage, mais tout de même.

A l'entrée de la morgue, lieu ou il travaillait bien souvent, il avait tourné la tête pour voir un jeune homme arriver. Dont le visage ne lui était pas tout à fait inconnu, sans pour autant qu'il ne lui dise quelque chose de précis. Déjà vêtu de sa blouse, il accueillit son stagiaire pour les quelques jours à venir.

- Monsieur Dassault je présume ? Bienvenue à la morgue, ou nous allons passer un peu de temps ensemble, vous, la personne qui nous attends à coté, et moi.


Andy était allé tendre la main pour saluer le jeune homme en bonne et due forme. Ils se laveront de toute façon après les mains, avant d'enfiler des gants et un masque pour aller travailler. Enfin, pour qu'Andy travaille et Bastien observe, à sans doute devoir prendre des notes, puisqu'il n'allait certainement pas manier le scalpel.

- Vous avez un casier ici ou vous pouvez mettre vos effets personnels. Vous y trouverez aussi une blouse de disponible.


A enfiler bien entendu, mais ça, il devait bien sûr s'en douter.

- Et que je sache : est-ce la première fois que vous verrez un cadavre ? Autre qu'en photo je veux dire par la.


Puisque dans ses cours, forcément, il y avait des photos pour appuyer ses dires, leur faire comprendre des choses et les leur expliquer. Avec des petits dessins, ils n'iraient pas loin, et ça serait ridicule. Autant les former de suite à ce qui les attendait. Mais entre des photos et la réalité, ça n'était pas la même chose. Des fois, les stagiaires qu'il recevait avaient de par leur vie ou expérience, déjà vu un mort. Mais il n'était pas certain qu'ils l'ait vu se faire découper …
(Andy Skovsgaard)



         
The mystery of love is greater than the mystery of death
The further I fall, the more I feel alive