(sana) guilty pleasure.

Après un entraînement intense en fin d’après - midi, les muscles encore tendus, tu quittes le terrain en direction des vestiaires. La sueur perle encore sur ton front et le souffle est encore lourd. Tandis que tu traverses le couloir menant au vestiaire, ton regard capte celui de Sana. Tu avais pu l’apercevoir dans les gradins alors tu espères bien que ton jeu l’a impressionné et peut être que tu n’avais pas réellement besoin de ça pour l’impressionner. Sourire joueur qui se dessine sur tes lèvres, tu ralentis le pas et t’arrêtes face à elle :  — Si l’entraîneur te croise ici, tu risques d’avoir d’sérieux problèmes. Lances -tu d'un air faussement sérieux.  — Mais j'peux t'éviter les embrouilles, s'tu m'suis dans les vestiaires. Les orbes qui la dévore de haut en bas. Sublime créature. Tu lui tends la main, une lueur d'amusement dans les prunelles.

(@Sana Vaughan)

évidemment que je suis venue. j'ai repéré rapidement son numéro sur le stade et je l'observais. Dire que j'avais été très assidue dans mon observation serait un mensonge. Mais l'excitation grandissait au fur et à mesure que la fin de l'entrainement approchait. Je me glissais dans les couloirs, observant les visages à présent libres de leur casque. Quand son regard capta le mien, un grand sourire naquit sur mes lèvres. Bon sang, c'est encore mieux en vrai. -- Je suis presque sûre qu'il me pardonnerait en un battement de cil. je me sens face à un lion qui a faim. autant que je l'étais. Ma main se glisse sans hésitation dans la sienne, me faisant sentir la moiteur de sa peau. -- Je te suis. ma poigne se resserre. j'aime beaucoup trop jouer...

(@Sana Vaughan)

(@Sana Vaughan)

(@Sana Vaughan)