Banks d'Ambrosio
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banks d'ambrosiodavid gimeno
caractère
idiot aux allures d’un achilles prêt à combattre sur le champs de bataille pour celui qu’il aime. sauf que d’achilles, il n’a que le beau sourire et les muscles saillants. il n’a pas son courage, et a encore moins le cœur à la bataille. se battre pour qui, si ce n’est lui-même ? il n’aime pas les siens, n’aime personne si ce n’est son reflet dans le miroir. physique qui attire, d’une beauté divine, mais l’intérieur est noir, sale, pourri. il n’a d’yeux que pour son intérêt. on dit de lui qu’il aime amuser la galerie et faire rire les siens, il aime animer les grands dîners et attirer l’attention. en réalité, c’est ça ou rien, il déteste qu’on l’ignore, déteste ne pas être le centre de l’attention, déteste ne pas exister, ou hait le fait qu’on l’outshine. golden child à qui on a tout donné, pas de regrets, parents trop occupés que pour lui taper sur les doigts — et il ne fait rien de mal, quand on met les tares du fils en avant ; il s’amuse, ce sont des enfants, ils ne font rien de mal. excuses sur excuses pour masquer la cruauté dans le regard du môme qui aime faire mal mine de rien, qui aime être le tortionnaire, qui aime être craint — d’abord dans la cour de récréation, ensuite dans ses relations, plus tard sur le plan social en général.
groupe
s’il réussit bien quelque chose, ce sont ses projets. ambitions qui sonnent comme des promesses. ainsi, sa promesse d’être le prochain homme politique qui fera du bruit, et qui sera connu pour ses idées, il le sera. conscient que ça prendra du temps, les ambitions vont et viennent en fonction de ses envies. ses parents l’ont éduqué de sorte à en faire une terreur. un crois en tes rêves un peu trop féroce, si bien que le jeune homme pense que tout lui est dû avec un peu d’effort de sa part. il excelle dans son domaine, c’est par cette façon qu’il se donne de la consistance et de la valeur, par la réussite.
admission à harvard
il a brillé par son implication auprès de sa communauté. présent pour les américains lors de l’ouragan harvey, il a connu d’autres catastrophes naturelles et a été un des premiers sur place pour offrir son aide sous l’ordre de son père, qui a fait beaucoup de son bénévolat pour s’offrir une belle image politique (et banks rêve de faire la même). son essai abordait une de ces dites catastrophes, puisqu’il en a lui-même vécu une. thaïlande 2004, alors qu’il est en compagnie de sa tante, oncle et cousins. depuis, avec une énorme peur des eaux profondes, d’être submergé par l’eau et par les courants violents, banks reste un gamin traumatisé mais n’en parle jamais car les larmes c’est pas pour les hommes. il n’en parle pas, et s’est même vanté par la suite de les avoir amadouer avec une histoire digne d’un film hollywoodien.
gamin se fait une place de choix. pas de soucis à sociabiliser. devenu fierté de ses parents, ô grâce de voir son unique enfant intégrer les bancs scolaires prestigieux. ô grand miracle ! il ne fallait pas douter, banks a de l'ambition, banks a étudié et s'est tué à la tâche pour pouvoir prétendre au titre d'étudiant d'harvard toute sa vie. à dix ans, il savait déjà qu'il pourrirait entre les livres des bibliothèques de renom. il intègre l'école après son parcours exemplaire, sans obstacles - le parcours si parfait qu'il éveille les soupçons sur sa véracité, incapable de se dire que le gamin existe vraiment. peut-être un souci avec l'empathie de temps en temps, remarqué par les professeurs, remarqué par l'équipe de recrutement. mais gamin sait convaincre. gamin se fond dans la masse, a du mal avec le fait de ne plus être le quaterback connu de tous dans son lycée. ici, c'est un fourmis dans une masse de talent, mais avec les années, banks s'est fait une raison. il existera auprès de ceux qu'il marquera comme au fer rouge.
gamin se fait une place de choix. pas de soucis à sociabiliser. devenu fierté de ses parents, ô grâce de voir son unique enfant intégrer les bancs scolaires prestigieux. ô grand miracle ! il ne fallait pas douter, banks a de l'ambition, banks a étudié et s'est tué à la tâche pour pouvoir prétendre au titre d'étudiant d'harvard toute sa vie. à dix ans, il savait déjà qu'il pourrirait entre les livres des bibliothèques de renom. il intègre l'école après son parcours exemplaire, sans obstacles - le parcours si parfait qu'il éveille les soupçons sur sa véracité, incapable de se dire que le gamin existe vraiment. peut-être un souci avec l'empathie de temps en temps, remarqué par les professeurs, remarqué par l'équipe de recrutement. mais gamin sait convaincre. gamin se fond dans la masse, a du mal avec le fait de ne plus être le quaterback connu de tous dans son lycée. ici, c'est un fourmis dans une masse de talent, mais avec les années, banks s'est fait une raison. il existera auprès de ceux qu'il marquera comme au fer rouge.
anecdotes
yeux sur les idées de son père (de droite principalement) pour utiliser la belle carcasse du fils. il ne se plaint pas, aime qu’on l’observe, qu’on l’admire, qu’on le vénère. ›
- Code:
<pris><i class="bi bi-check"></i><b>david gimeno</b> <span>@"banks d'ambrosio"</span></pris>
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(Banks d'Ambrosio)