(orphée) cours de défense contre les forces du mal.

( tw ; paranormal)
@Orphée Sarehenes — la lizzie borden house était bien connue dans la ville. baer n'avait jamais vraiment voulu y foutre un pied encore moins si proche d'halloween. cependant on lui avait dit qu'il n'était pas cap d'y passer une nuit et quand ça touchait à son égo le gamin répondait présent même si il y avait un risque (minime) qu'il se pisse dessus. heureusement il pouvait compter sur son amie orphée pour prendre sa défense. un peu comme une garde du corps des fantômes virulents. puis pour les sympas il avait pris des caramels au cas où qu'il laisserai en don dans sa chambre. mioche qui avait pensé à tout.  le vieux corbeau empaillé vers son lit lui foutait déjà des frissons. atmosphère sordide avec des toiles d'araignées un peu partout dans la chambre louée. la nuit avait volé la place du soleil et seulement des lanternes au faible éclairage illuminaient la chambre. gamin qui avait balancé ses affaires dans un coin avant de s'empresser de rejoindre orphée. heureusement ils n'étaient pas les seuls clients, sursautant lorsque son pied tapait dans un potiron déposé sur les marches d'escaliers. putain qu'il articulait entre ses dents.

( tw ; paranormal, maison hantée )
sourire discret qui étire tes lèvres alors que tu vois baer sursauter en tapant dans le potiron, l'air un peu perdu dans cette maison, de laquelle émanait une atmosphère lugubre. à toi, ça t'faisait ni chaud, ni froid, tu t'rends pourtant bien compte d'l'effet qu'elle a sur lui, ses frissons presques visibles. – moi qui croyait qu't'étais venu affronter les fantômes, tu t'fais avoir par une courge, pointe moqueuse dans la voix, ton regard qui balaye les yeux avec douce familiarité, comme si tout n'avait pas d'impact sur toi, pas du genre à flipper, ou tout du moins l'admettre. – t'inquiète, si un fantôme veut t'bouffer, y aura qu'à lui donner un d'tes caramels, ça l'calmera, après tout, t'étais là, et rien n'risquait de vraiment mal tourner tant qu'tu restais dans les parages, pouvait t'faire confiance pour ça. -- @Baer Sadler

( tw ; paranormal)
@Orphée Sarehenes — courge qui avait bien failli avoir sa peau. il aurait pu clamser en glissant dans les escaliers et devenir la prochaine histoire d'horreur qu'on raconte à halloween. à ça de passer d'un destin glorieux à tragique. c'est parce qu'on sait jamais d'où l'danger peut venir, imagine c'était une courge hantée ?? qu'il clamait pour sauver le peu de dignité qui lui restait. de toute façon orphée le connaissait suffisamment pour savoir qu'il détestait tout simplement cette période de l'année. avoir peur trop peu pour lui. ouai j'ai lu ça sur wikipedia de l'oculte. que l'sucre ça les calmait. donc si ça marche c'est tout benef pour nous qu'il opinait en sortant fièrement son sac de bonbons. après ça va on n'est pas complètement tout seul. qu'il rajoutait pour se rassurer.

( tw ; maison hantée, paranormal )
sourire en coin, amusée par l'exagération dramatique de celui qui t'accompagne, ses histoires qui t'font marrer, rendant la situation plutôt amusante finalement. – une courge hantée vraiment tu crois ? franchement, j'aurais pas pu t'laisser crever comme ça, c'bien trop ridicule, clin d'oeil envoyé à ton coéquipier pour la soirée. piquant dans l'sachet un caramel, tu haussais les épaules – j'ai pas su résister, t'crois pas qu'ils m'en voudront pour ça ? après tout tu leur avait volé une friandise, ils pourraient t'le faire payer. – peut-être que tu seras le nouveau ghost suga buster, pouffant doucement de rire en regardant autour de vous. ouais par chance, y avait quand même un petit peu de monde dans cette maison hantée.-- @Baer Sadler

( tw ; paranormal)
@Orphée Sarehenes — il avait entendu trop d'histoires sur ce manoir. du genre flippantes. du genre cheloues. du genre raison de pas y foutre les pieds. maintenant qu'il était là l'gamin n'avait pas le choix que d'assumer. c'est vrai mais au moins j'me serai battu fièrement qu'il rajoutait avec un sourire avant de jeter un coup de pied dans la courge qui avait rien demandé et qui roulait sous un fauteuil. c'était une question de principe. il venait de se venger et d'éviter que ça arrive à quelqu'un d'autre. une bonne et mauvaise action à la fois. peut-être que j'aurai l'droit à un film et de changer ghost buster qu'il ricanait dans un vague haussement d'épaules. au pire des cas je leur mettrai une pub twix pour leur montrer l'importance de partage parce que c'est toujours meilleur à deux. gamin qui se cachait derrière l'humour et les blagues douteuses plutôt que d'affronter ses peurs. déjà que l'endroit était à peine éclairé ça ne lui donnait pas l'envie de vadrouiller. j'ai promis de tout filmer on pourra faire les voix off derrière allez viens qu'il s'exclamait allumant le mode vidéo de son portail et décidant de se diriger vers un couloir un peu étroit en direction du sous sol.

( tw ; ràs)
sourire amusé qui étire tes livres en l'écoutant parler, l'endroit est parfait pour un film, l'intrigue méritant peut-être d'un peu plus d'horreur. comme la courge qui fini par prendre vie, vous attaquer, vous poursuivre dans la baraque, tu vas un peu trop loin, sûrement. – j'espère qu'ils t'accorderont l'titre de ghost buster et pas juste celui d'courge killer, te moquant doucement en désignant le légume qui s'est échoué sous le fauteuil, symbole absurde de sa victoire. ricanement qui résonne comme mélodie ironique – ça c'est une bonne idée, imagine manger du chocolat, c'est bien, partager à deux, c'est mieux, parfait pour apaiser les esprits. ton regard qui suit le geste alors qu'il allume le mode vidéo, capturant le moment insolite. te redressant, brin d'excitation dans les yeux. – allez, on y va, à l'aventure, qu'tu lâches sourire accroché à tes lippes, bien trop confiante de la suite. adrénaline qui enfle à chaque pas qui vous enfonce dans ce couloir étroit.-- @Baer Sadler

( tw ; paranormal)
@Orphée Sarehenes — gamin qui ricanait. putain j'ai pas pensé à courage killer c'est une bonne accroche qu'il s'exclamait une pointe de malice pétillant dans ses yeux alors que ses chaussures descendaient petit à petit les marches pour aller au sous sol. il se souvenait même plus pourquoi cet endroit été hanté de base. surement une histoire horrible. baer était trop inculte pour vérifier. prenant une voix grave et mystérieuse tel un journaliste de documentaire d'action l'gamin commençait à raconter. selon les rumeurs locales, ce lieu serait hanté… des bruits étranges, des ombres fugaces… pour ces deux jeunes, la frontière entre le réel et l’imaginaire s’apprête à s’effondrer. content d'avoir des voix off pour raconter sa vie pas ouf. filmant le moindre détail avec son téléphone qui était tombé trop souvent sur le béton. ils savent qu'ils ne sont pas seuls. au détour d’un couloir sombre, des chuchotements. est-ce l’œuvre du vent ? ou bien celle des esprits tourmentés qui hanteraient encore les lieux ? qu'il finissait par énoncer. préférant en rire qu'avouer ses peurs.

( tw ; paranormal)
descends les marches derrières lui, un sourire accroché aux coins des lèvres amusée par son imitation de journaliste en quête de mystères surnaturels. – eh j'ai l'impression qu'on a trouvé l'nouveau hitchcock des sous-sols, souffles-tu, éclats de rire, ou de malice dans la voix. – des esprits tourmentés t'es sûr ? c'pas juste une canalisation qui grince, ou un rat qui s'amuse ?, laissant planer un peu l'silence avant d'te rapprocher de lui, soufflant par dessus son épaule – fais gaffe, paraît qu'les fantômes aiment pas trop qu'on fabule sur leur compte..., avant d'te repositionner derrière lui, l'air tout à fait sérieuse, comme si tu pouvais t'amuser de son imagination déjà bien présente.-- @Baer Sadler

( tw ; paranormal)
@Orphée Sarehenes — gamin qui se prenait déjà pour une star de cinéma. voix sérieuse, mélange d'intonation pour laisser la place au suspens. bien qu'il y en avait surement aucun parce que les fantômes ça n'existe pas. mais c'était drôle d'y croire pendant quelques instants. sentant le souffle de son amie sur sa nuque. lançant un regard accusateur. il avait failli flipper. tu fais trop la meuf qui à peur de rien mais j'attends juste le moment où tu vas te mettre à crier. qu'il répondait d'un ton malicieux. bien qu'il devait avoir des rats par ici. gamin qui avançait dans la pénombre du vieux couloir en essayant de masquer son malaise derrière des ricanements à moitié convaincus. mais maintenant qu'ils étaient là, dans le froid glacial de ce manoir abandonné, il sentait chaque poil de son bras se hérisser… et pas uniquement à cause de l’humidité. arrivant tout en bas baer pouvait voir un tas de vieux meubles qui semblait les observer, silencieux et inquiétants. j'suis certain de voir ce fauteuil bouger qu'il articulait d'un ton solennel.