it's a tasty meal - Khaël (TW : à venir)

tw possible : langage cru/vulgaire, blessure, réhabilitation, insultes probables, blessure sentimentales, autres possibles.

le vendredi, 11 oct. 2024, au soir

Si tu l'avais vue plus tôt, tu l'aurais aidée... Bien que tu connaisses Khol comme étant quelqu'un avec de l'orgueil... Peut-être pire que la tienne. D'un côté, tu tentes quand même de ne pas trop être sur son dos... Tu finirais par lui faire péter un câble sinon.
Tu t'es servi et on pourrait presque voir la salive sur le coin de tes lèvres couler... Lorsqu'il te dit oui pour le vin, tu en vides dans son verre. Il te dit un peu, alors tu en vides une bonne quantité que tu sais qui est assez pour lui. Tu t'en vides dans ton verre aussi avant de déposer la bouteille. Tu prends ensuite ta fourchette en regardant ton plat et tu dis "Bonne appétit !" Pour ensuite piquer dedans pour tourner ta fourchette sur elle-même. Tu prends une première bouchée. Tu la mastiques en prenant le temps de bien savourer. "Bordel que c'est délicieux !" Que tu dis avec le sourire. Tu es aussi content de voir qu'il mange... Tu sais que c'est bon signe et que ça veut dire qu'il ne va pas trop mal.

• @Khol Canova

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le vendredi, 11 oct. 2024, au soir

Tu as levé les yeux vers lui quand il commence à manger avant de sourire avec sincérité quand il s'exprime que c'est bon. Même qu'il s'exprime avec une force. Tu portes le verre de vin à tes lèvres pour en boire une bonne gorgée. T'as pas peur d'être saoul non plus, puisque c'est sans alcool. Tu poses le verre. Tu bois. Tu sais que c'est mauvais avec tes médicaments... Mais bordel, par moments t'en peux plus. Autant physiquement que mentalement et c'est un moyen pour tout faire taire. "- Je suis content que tu aimes." Finalement, quand vous avez fini, tu reprends tes couverts et tu te redresses. Tu grimaces. C'est là que c'est souvent difficile pour toi. Te plier requiert moins d'effort et moins de douleur que te lever. Tu t'appuies sur la table et tu attrapes ta canne, même si elle tombe et tu dois t'accrocher à la table. Un juron en italien s'échappe et tu poses l'assiette, prêt à te pencher pour aller la ramasser.

• @Jaël J. Oxford

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le vendredi, 11 oct. 2024, au soir

Tu as toujours aimé ce que Khol faisait... Tu aurais été surpris de ne pas aimer ce repas aussi... Alors, tu manges sans retenue et tu bois ton verre, même si tu ne peux pas cacher que tu aurais pris un verre d'alcool. Mais tu ne dis rien. Tu combats seulement cette envie en la faisant taire. Tu sais que tu n'as pas besoin de ça.
Lorsque vous avez fini, tu le regardes prendre les assiettes "Je peux nettoyer la table... Tu sais..." Mais il échappe sa canne. Tu peux lire la douleur sur son visage et ça vient te pincer dans la poitrine. Si seulement, c'était toi qui avais pris le plus gros du coup... Il ne serait pas comme ça aujourd'hui... Bien que tu aies toi-même des blessures. Il ne sait pas, mais tu as été à l'hôpital pendant plusieurs jours sous observation. Les médecins en eu peur que tu avais empirée la lésion légère de la moelle épinière que tu avais déjà subie lors de tes combats... Cette blessure t'avait presque paralysé... Mais tu as tellement travaillé que tu as retrouvé ta mobilité. Tu n'avais jamais vraiment parlé de tes blessures avec Khol parce que tu ne croyais pas que c'était important... Après tout, avant l'accident, ton dos allait bien et ton genou aussi.
Tu te lèves pour te pencher et attraper sa canne. Tu lui tends. "Je vais m'occuper de la vaisselle... D'accord ? C'est le moindre que je peux faire pour te remercier pour ce bon repas." Tu prends les assiettes pour les emporter et les déposer au côté de l'évier... Et commence à faire couler l'eau.

• @Khol Canova

"- Non, je vais nettoyer" que tu dis d'une voix un peu trop ferme au départ... Mais tu pinces les lèvres avant de te raviser. Puis, la canne tombe et tu sens la douleur s'intensifier parce que tu t'es levé, puis tu dois te repencher pour aller la chercher jusqu'à ce que tu vois Jaël le faire à ta place. Tu le remercie, même si l'orgueil en prend quand même un coup. Tu baisses les yeux quand il parle de la vaisselle et cette fois c'est un peu trop. Tu te détournes et va avec la canne qui s'appuie vers la salle de bain où tu fermes la porte et tu te laisse échapper en larmes sur la cuvette de la toilette. La douleur, l'orgueil, le passé... Tu veux seulement évacuer un peu de tension, sinon tu vas éclater. Ça va, ça vient comme ça. T'en a oublié de nettoyer la table, avec tout ça.

À son simple ton, tu sais que tu as touché une corde sensible. Tu connais son orgueil. Elle est pire que la tienne. Tu sais que tu te serais senti de la même façon si tu étais à sa place alors... Tu ne fais que sourire tristement. "Laisse-moi t'aider au moins..." que tu lui dis doucement. Tu restes sur un ton normal, même si ça fait mal de le voir comme ça... Lorsque sa canne tombe, tu te penches pour la prendre et lui donner. Tu t'étais tourné vers la table pour prendre les assiettes alors que beaucoup tournent dans ta tête. Tous les sentiments que tu ressens doivent sûrement se voir dans ton regard... Parce que dès que tu te tournes pour te rendre vers le lavabo pour commencer à le remplir d'eau savonneuse, Khol c'est éclipsé. "Tu veux peut-être essuyer la vaisselle et donc la faire avec m—" que tu dis en te tournant, mais lorsque tu vois qu'il n'est plus là, tu as arrêté de parler. Ça serre dans ta poitrine... Et tu commences à penser que tu as fait quelque chose qui ne fallait pas. "Khol... ?" Demandes-tu en fermant le courant de l'eau. Tu te pinces les lèvres. Tu ne sais pas si tu dois le retrouver... Ou si tu dois lui laisser le temps qu'il a besoin. Tu inspires et souffles l'air par le nez, comme pour te donner un peu de courage. Tu remarques la porte de la salle de bain fermé alors tu t'approches de la porte et cognes quelques coups... "est-ce que ça va, petit prince... ?"

Tu n'as pas répondu à ses questions que tu te retrouve dans la salle de bain. Les larmes coulent parce que tu ne peux pas les retenir. Quand tu entends cogner, tu sursautes en grimaçant et tu te lèves péniblement, traînant plus la patte qu'autre chose maintenant même avec la canne jusqu'à arriver à la porte et tu l'ouvres. Il serait prêt à la défoncer si tu n'ouvres pas tu le connais. "- Je suis désolé... Ça devait sortir..." que tu murmures en baissant le menton. "- C'est... C'est pas avec ce que t'as dit, ok?" Tu l'connais aussi pour qu'il rejette la faute sur lui.

Oh oui, tu serais prêt à la défoncer pour t'assurer qu'il va bien, s'il ne répond pas... Mais peut être pas aussi intensément que son cousin Vincent. Lorsqu'il ouvre la porte, ton petit sourire disparu pour laisser place à l'inquiétude. "Oh... Bébé..." Dis-tu alors que tu ne réfléchis pas au surnom que tu lui as donné. Tu lui coinces le menton entre tes doigts et lui lèves le visage vers le tien. Tu souris doucement lordqu'il te dis que ce n'est pas a cause de ce que tu as dit... En vrai, tu avais penser que tu avais dit quelques chose de mal. "D'accord... Mais... Tu peux me parler, tu sais..." Que tu lui dis doucement avant de lâcher son menton et de t'approcher enfin de lui. Tu l'entoures de tes bras, même si c'est un peu incertain, et tu le serres enfin contre toi après tout ce temps sans le faire. "Je serais toujours là pour toi."

Tu ne relèves pas le surnom, mais quand il t'attrape le menton, tu redresses la tête et tu ne bouges plus. Ça a toujours eu ce don de te mettre dans un état de soumission presque complet... Il le sait. Le sait-il à cet instant? Tu ne sais pas... "- J'avais besoin d'évacuer, pas de parler..." que tu murmures. Tu te laisses, étrangement, serré. Tu fermes les yeux avant de te blottir un peu contre lui. "- J'ai peur, Jay... L'avenir me fait peur..." que tu parviens enfin à avouer. "- L'incertitude, le néant... La brume..."

Oui, tu le sais que ça le rend soumis... Voir, docile. Alors, oui, tu as utilisé cette technique pour le... Calmer, mais aussi pour qu'il te regarde. "Dans ce cas... Tu peux pleurer sur mon épaule" que tu lui réponds, a ton tour, dans un murmure. Tu le sens se blottir dans tes bras et tu serres un peu plus, sans lui faire mal. Tu viens poser l'une de tes mains sur sa tête pour lui caresser les cheveux, en sachant bien que ça a un effet apaisant sur lui. "Moi aussi, j'ai peur..." Que tu avoues pour lui montrer qu'il n'est pas seul. "Mais... Malgré mon erreur... Malgré que j'ai brisé ta confiance et que je t'ai blessé... Je veux avancer avec toi et je vais attendre le temps qu'il faudra... Je... Je suis là pour te tendre la main, même si j'ai peur moi aussi."

Tu le laisse te serrer. Il te dit que tu peux pleurer sur son épaule, mais tes larmes ont majoritairement coulées ce qu'elles devaient couler, maintenant. Tu fermes les yeux quand il te serre un peu plus, surtout quand il commence à caresser tes cheveux. Ça a toujours ce dont de te calmer, c'est bien vrai ! "- Moi aussi...M... Mais j'ai peur... Est-ce que c'est le bon moment...? J...J'ai peur de tout faire foirer, de tout brusquer... Je... Jay... Je sais pas quoi faire..." Tu ne sais même pas quel geste faire, quand est-ce le bon moment non plus !