let's take a precious path together, the future i pinky promised (enzion)

tw: cauchemar.
Lundi 7 octobre. 00h17. Le brouillard dans ton cerveau alors qu’Enzo était venu te chercher à la Park House et qu’il vous conduisait maintenant direction sa colocation à lui afin que tu y dormes pendant quelques jours. T’as flippé, alors que Neal t’avais envoyé un message depuis la dernière fois où les choses s’étaient mal passées. Le cauchemar qui était pourtant bien réel, et depuis, t’avais du mal à dormir, à ne plus y penser, à redevenir joyeux. Petit à petit tu t’aidais de tes amis et de l'amour que tu avais pour eux, même si eux n’étaient pas au courant de tes soucis, mais voilà qu’un simple message avait ruiné ton progrès. Alors tu avais remplis la bonbonnière pour Hyeon avant que tu quittes la maison, espérant pouvoir lui donner une maigre dose de confort avec ça maintenant que Minjae était parti, t’avais jeté un oeil à vos citrouilles décoratives que vous aviez faites il y a quelques jours pour décorer le jardin, activité qui t’avait aidé à penser à tout autre choses pendant quelques heures. Et t’étais monté dans la voiture d’Enzo, le regard reconnaissant. Vous finissiez par arriver chez lui, et vous montiez les étages après qu’il s’était garé, avant de rentrer dans l’appartement vidé de tous colocataires. Tes doigts qui glissaient un instant sur la fougère encore vivante de leur hall d’entré, tu venais déposer ton grand sac qui te servait de valise aujourd’hui, où tu avais mis toutes tes affaires pour quelques jours. « J’suis désolé qu’tu doives toujours venir à ma rescousse. Mais merci. J’te suis reconnaissant. » Tu lui disais en posant tes yeux vers lui - fallait dire que t’étais de toutes manières toujours heureux de le voir et de traîner ici, c’était juste moins joyeux quand c’était à cause de frayeurs externes.
@Enzo Angermann

Tu t'étais empressé d'aller le chercher, tu ne voulais pas qu'il reste seul ce soir, encore moins après ce qu'il venait de te dire. Le fameux inconnu qui avait repris contact avec lui, t'étais rempli de colère, t'avais besoin de sa présence pour t'apaiser. Tu finissais par arriver devant chez lui, message envoyé pour lui dire que tu étais là, t'attendais impatiemment qu'il sorte de chez lui. Une fois embarqué dans le véhicule, tu démarrais, ne sachant pas trop quoi dire le long du trajet. Une fois stationné devant chez toi, tu sortais de la voiture, grimpe les marches de l'appartement, ouvre la porte de ce dernier. Tu te tournes alors vers lui, petit sourire aux lèvres. j'suis là pour les bons comme pour les mauvais moments Lion.. Parce qu'il compte pour toi et que t'as pas envie de le laisser seul pour traverser ce par quoi il passe en ce moment. Tu t'approches de lui, finis par venir le prendre dans tes bras, besoin de ce contact, pour lui faire comprendre que t'es là malgré tout. personne d'autre pour nous déranger ces prochains jours, ça va nous faire du bien. Tu te mets à sourire, relève la tête pour plonger ton regard dans le sien. j'aime pas te savoir mal tu sais..
@Lion Whitaker

tw : cauchemars.
T’aimais pas te sentir comme ça. T’aimais encore moins te sentir impuissant face à la situation. Avoir espéré bêtement pouvoir tourner la page - un peu du moins. Assez pour apaiser les battements de ton cœur, l’anxiété dans ton estomac, réduire les cauchemars. L’envie de te concentrer sur les faux monstres d’octobre, les fantômes, les grosses araignées, les jumpscares - pas sur l’affreuse réalité que les monstres n’étaient pas que dans les films et que certains étaient bels et biens humains. La langue qui passait sur tes lèvres, puis la moue qui dominait ton visage. « Je sais. C’est juste que ça fait beaucoup de mauvais moments... » L’impression que tu ne lui faisais part que de ça - et en même temps, il était le seul qui savait, le seul vers qui tu pouvais te confier. Il s’approchait de toi, et tu le laissais te prendre les bras, passant tes bras autour de sa taille alors que baissais ton visage afin de venir enfouir celui-ci contre son cou. Le soupir d’aise, les yeux qui se fermaient - la sensation de pouvoir rester comme ça des heures et d’y être heureux et pleinement satisfait. Tu relevais finalement ta tête vers lui, le petit sourire à ses mots. « Tu vis la vie d’roi maintenant qu’ils découchent tous, hm ? T’as tout l’appart pour toi tout seul. » Mais tu ne pouvais qu’être heureux que ça tombe pile poil les jours où tu ne te sentais pas d’être entouré par trop de monde. Tes doigts qui se refermaient doucement autour du tissu de son t-shirt, tu baissais le regard. « J’veux aller mieux. J’ai déjà prévu d’aller voir un psy si jamais les cauchemars ne disparaissent pas. Je… J’pensais juste pas qu’il allait me recontacter. » A pas comprendre pourquoi il ne voulait pas te laisser tout simplement tranquille.
@Enzo Angermann

T'essaye de te montrer rassurant, de trouver les mots justes pour l'aider du mieux que tu peux. Tu n'as jamais été très doué pour ça, trop maladroit pour te montrer réellement convaincant lorsque tu essayes de remonter le moral de quelqu'un. c'est pas une raison pour t'excuser pour tout ça, c'est vraiment pas ta faute.. Et tu le comprends, il ne peut pas mettre de côté ses sentiments, t'en as pas envie non plus. Tu ne pouvais résister plus longtemps à l'envie de le prendre dans tes bras, lui faire comprendre que t'étais là, pas besoin de mettre des mots sur ça finalement, juste ta présence et ce câlin qui t'fais autant de bien qu'à lui.  clairement, j'crois que ça va m'faire bizarre quand y'aura vraiment quelqu'un d'autre que moi ici. Parce que tu t'habitues à ce calme, c'est pas quelque chose qui te dérange, peut-être un signe qu'il est temps pour toi de prendre ton envol, de te trouver ton propre appartement ? T'en sais trop rien. tu devrais essayer de bloquer son numéro, non ? Bon, tu ne sais pas à quel point il le connait, s'il connait son adresse ou quoi, ça pourrait même être encore plus dangereux de l'ignorer au final. on va essayer de penser à autre chose ce soir, d'accord ? Après tout, t'es là pour lui changer les idées, même si t'as énormément de questions qui te viennent en tête, faut que tu prennes  sur toi en ce moment. j'veux juste qu'on profite ensemble, t'as faim ? Tu viens embrasser le sommet de son crâne, comme ce besoin d'être tactile avec lui.
@Lion Whitaker

tw : ràs.
La tête que tu hochais doucement à ses mots - il avait raison, ce n'était pas de ta faute, et si tu avais ne serait-ce qu'un pouvoir infime sur la situation tu l’aurais utilisé pour ne pas que ça se passe comme ça, pour ne pas que ça se passe du tout. Alors se retrouver dans ses bras, c'était comme une évidence, le geste qui te faisait sentir protégé, le cœur qui battait un peu plus rapidement dans la poitrine ces derniers temps, quand t'étais si proche de lui. « Tu commences à apprécier un peu trop de faire l’ermite ? » Que tu lui disais en plaisantant - la vision d’Enzo à ne plus sortir de chez lui, à seulement profiter de ses livres si la vie lui permettait. Puis la lèvre que tu mordillais, anxieuse, le haussement d'épaule. « J'sais pas, je… J'ai envie mais… J'sais pas si c'est une bonne idée. » Le genre de phrase menaçante quand tu l'avais laissé en vu, préférer pouvoir lire ce qu'il avait à dire, le fol espoir de le raisonner. Tes yeux qui s’ancraient dans les siens, comme le besoin de lui pour pas divaguer, pour pas devenir fou. Alors t’acquiesçais, le mince sourire qui s’étirait, la reconnaissance qu'il soit à tes côtés. « D'accord. » Tu répondais dans un murmure, venant poser tes lèvres contre les siennes quelques secondes - juste parce que t'avais envie. Tu secouais ensuite ta tête négativement - l’appétit évaporé depuis le message de Neal, attendre un peu de te sentir mieux pour que ça revienne. Les paupières qui se fermaient un instant quand tu sentais son baiser sur ton crâne, tes mains qui resserraient ta prise sur son t-shirt. Puis tu laissais ton regard dériver, autour de vous, notant le silence. Et pourtant. « Alors. Tu l’as caché où ta conquête ? » Que tu demandais, comme si tu cherchais réellement la planque de tes yeux, la référence à la discussion eu plus tôt avec Naim sur les habitudes d’Enzo de ce mois-ci. Sujet qui pouvait habituellement tenir à l’engueulade dans les couples, mais vous n'étiez pas ensemble, et au moins ça te ferait te concentrer sur autre chose.
@Enzo Angermann

j'adoooore ça, côtoyer les autres humains c'est pas pour moi. Nez qui se retrousse dans une grimace, avant de te mettre à rire. Bon, t'en est quand même pas au point de ne plus pouvoir supporter les autres, et heureusement. Ce serait critique si c'était le cas. prend le temps de peser le pour et le contre. Plus facile à dire qu'à faire, mais tu n'as jamais été dans ce genre de situation alors il est difficile pour toi de savoir vraiment quoi dire. Tu finis par lui proposer de manger quelque chose, il refuse et tu ne peux même pas lui en vouloir pour ça, ça semble normal qu'il n'ai pas vraiment d'appétit en ce moment. Tu l'entends parler de ta conquête et et met à exploser de rire. dans le placard de la salle de bain. Tu ne peux t'arrêter de rire, bien trop amusé par la situation ridicule. non mais y'a personne d'autre à part toi Lion, tu prends trop de place dans ma vie et dans mon coeur pour ça. Mini décla que tu viens de lui faire et c'est pourtant la vérité, tu ne te vois pas avec quelqu'un d'autre que lui en ce moment, il est devenu au fur et à mesure du temps très important pour toi. mais j'aime bien le fait que tu sois jaloux, ça prouve que tu tiens à moi, j'me trompe ? Petit sourire que tu lui lances, c'est le temps des belle déclarations d'amour, espérons que Lion le comprenne.
@Lion Whitaker

tw : ràs.
T’éclatais de rire devant sa grimace, en profitant pour enfoncer doucement ton doigt dans ses côtes comme pour le punir de ses mots. « T'es en train d'dire que tu préfèrerai que j'sois pas là, hm ? » Facilité pour tourner sa remarque à ton avantage, te sentir déjà un peu mieux alors que l'image et les messages de Neal se rangeaient dans un coin de ta caboche pour faire place à ton activité préférée d'embêter Enzo. Tu hochais doucement ta tête, t'allais prendre le temps de voir ce qui serait le moins dangereux pour toi. En attendant, pas l'envie de manger, le besoin de se retourner vers autre chose, l'humour pour combler la peur - mais était-ce vraiment de l'humour, quand Naim était son colocataire et il t'avait fait part de ce détail sur Enzo ? Dans tous les cas, ça faisait marrer ce dernier, douce mélodie qui aurait pu être irritante vu la manière dont il se moquait au final un peu de toi - mais fallait croire que tu l’appréciais bien trop pour ça. La moue appuyée, le « Enzooooo. » boudeur, tu venais pincer la peau sur son ventre. Puis il continuait de parler, et tu reposais tes yeux sur lui, à pas savoir comment répondre ou te comporter face à ses mots, le cœur qui tambourinait dans ta cage thoracique, plein d’émotions. Dans son cœur  ? C'était fou, ce satané besoin d'être toujours rassuré, la difficulté de prendre les devants quand ça devenait un peu plus sérieux. Tes joues qui se coloraient alors que c'était ta jalousie qui venait sur le tapis, et son petit sourire - y avait la tendresse, et puis ce mince espoir, comme une attente de ta part, que tu pouvais y lire. La langue qui humidifiait tes lèvres, tu glissais tes mains de sa taille à son torse, les posants là, le temps que la réflexion se fasse. « T’es bête. » Tu commençais à dire, avant de soupirer. « Évidemment que j’tiens à toi. » L'anxiété qui se nouait à la gorge - mais c’était peut-être le temps de parler et d'être honnête avec toi-même, même si fallait pousser les mots hors de ta gorge, même si c’était pas facile. « Je sais que… J’ai pas l'droit d’être jaloux. Que j’suis hypocrite. Et qu'on s'était dit pas de prises de tête... » Tu recommençais à dire, les yeux rivés sur le haut de son t-shirt, comme pour prendre un peu de courage loin de ses yeux qui te faisaient chavirer. « Et être… en couple, ça amènera sûrement des prises de têtes et des conflits et de la jalousie irraisonnée… » Inspiration, expiration, et le regard qui enfin revenait se poser là où il préférait le plus être, devant sa plus belle vue. « Mais plus j’y pense et plus j’me dis que même ça, j'le veux avec toi. » Les mots qui étaient lâchés, à tenter de contenir ta voix - ne pas trembler - alors que t'avais l'impression que ton cœur allait exploser dans pas longtemps. « Enzo… Je… J'veux tout avec toi. » Que tu finissais dans un murmure.
@Enzo Angermann

ah non pas du tout, toi t'as un traitement bien spécial, t'en fais pas. Tu te mets à sourire comme un débile pour accompagner tes mots, mais c'est vrai, il est vraiment spécial à tes yeux, c'est une manière plutôt comique de lui faire comprendre les choses pour le coup. Tu te mettais à rire quand il te parlait de tes possibles conquêtes, faisant une blague qu'il ne semblait pas du tout apprécié vu qu'il venait te pincer la peau de ton ventre. HEY. Que tu lâchais, petite moue boudeuse sur le visage avant d'enchaîner par des paroles beaucoup plus mignonnes, tu laissais parler ton coeur, c'que t'avais envie de lui dire depuis un moment déjà. j'tiens beaucoup à toi aussi Lion, t'as pas idée. À quel point il a prit tellement de place dans ta vie en si peu de temps, tu ne t'étais pas préparé à tout ça lorsqu'il t'avait rejoint au summer camp, mais il fallait que tu te fasses à l'idée de ce qui était en train de se produire entre vous, les sentiments qui naissent, l'attachement de plus en plus présent. Tu l'écoutais, ton coeur qui se mettait à battre tellement vite, l'impression qu'il allait sortir de ton corps. Un large sourire qui se dessinait, tu le laissais terminer, pas envie de le couper dans son élan. Lion.. tu sais que j'pense la même chose, hm ? Tu viens soutenir son regard, main que tu glisses sur sa nuque. j'sais pas du tout où ça peut nous mener tout ça mais j'veux être avec toi, juste toi. j'veux plus qu'on se pose des questions sur nous, j'veux que tout soit clair. Tu venais caresser sa nuque à l'aide de ton pouce. j'veux que ce nous commence à exister, j'ferais tout pour te rendre heureux comme toi tu m'rends heureux en ce moment.
@Lion Whitaker

tw : ràs.
« Me voilà rassuré. » Que tu lui répondais, un sourire aussi grand et débile que le sien placardé sur la face - vous faisiez bien la paire, vous deux. Et ça faisait mousser, du bien au cœur autant qu’à l’égo, d'être spécial à ses yeux, comme l’exception à toutes ses règles. Il finissait par apporter de la réciprocité à tes mots et tu sentais le point de non retour, la page de votre histoire qui se tournait en direct - pour le meilleur ou pour le pire, tout dépendra de son état d’esprit. Alors tu laissais ton cœur parler, dégueulis de sentiments qui avait été trop longtemps contenu dans ton petit corps, l’envie de tout vivre, le bon comme le moins bon, à ses côtés. Plus l'envie de ne pas savoir sur quel pied danser, de ne pas savoir comment vous appeler ou comment qualifier votre relation - le besoin que tout devienne clair, ce soir. Ton regard ne quittait plus le sien alors qu'il t’éblouissait de son grand sourire, que sa main se glissait sur ta nuque - et tu buvais ses paroles, la bouche légèrement entrouverte, le cœur qui battait la chamade. Le frisson qui parcourait ton corps à sa caresse, et tu hochais vivement ta tête - plus le temps de faire semblant - alors que tu remontais tes bras afin d’encercler son cou. « Tu m'rends heureux Enzo. Et moi aussi j’veux ça. J'veux plus avoir de doutes. Pouvoir dire à tout le monde que t’es mon mec. Je… J'veux qu'on soit exclusifs. » Finalité dans le propos, à le fixer comme s'il y avait une once de possibilité qu'il ne veuille pas - mais tu le connaissais, ton Enzo, et sa possessivité non dissimulée.
@Enzo Angermann

Vous étiez enfin en train d'ouvrir votre coeur, chose que tu attendais depuis tellement longtemps, que tu avais repoussé tellement de fois pour t'assurer que ce ne soit pas trop tôt, peur qu'il t'avoue qu'il ne ressentait pas du tout la même chose que toi. Finalement, il semblerait que vous êtes sur la même longueur d'onde, un poids en moins sur ta poitrine, tu te sens soudainement beaucoup plus léger, comme si t'avais attendu ce moment bien trop longtemps. Tu t'ouvrais à lui, enfin. Plus besoin de peser tes mots avant de les sortir, tu pouvais enfin dire ce que tu pensais réellement de lui et de votre relation. c'est toi que j'veux Lion, et personne d'autre. Ces quelques mots qui sonnent comme une évidence, tu ne pouvais plus te voiler la face désormais comme  tu l'avais bien trop souvent fait. Sa présence te rassure, tu ne jure que par lui en ce moment et tu n'as pas envie que ça s'arrête, jamais. alors ça veut dire qu'on est ensemble, hm ? Petit grain de malice dans ta voix, tu souris toujours bêtement, bien trop heureux de la tournure que prend cette conversation. j'peux dire que t'es MON petit ami maintenant,la classe. Que tu ajoutes en te mettant à rire doucement. T'es trop heureux en c'moment.
@Lion Whitaker