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I love Harvard Sidney Nomauchoix | 19 ans ● date de naissance au choix études au choix ● 2ème année (à la rentrée de septembre) célibataire ● winthrop • mather Ta vie n'a sans doute jamais été des meilleures.Tu n'as connu ni ta mère, ni ton père, et c'est ta grand-mère qui t'a élevé jusqu'à tes 16 ans, jusqu'à sa mort. Tu n'as jamais vraiment été le petit-fils modèle, tu en as voulu à la vie de t'avoir pris ta mère dès ta naissance. Et tu as toujours détesté ton père, cet homme qui n'a jamais voulu te reconnaître. Ta vie, tu l'as passé dans les rues de Détroit au grand damne de ta seule famille. Mais elle ne pouvait absolument rien dire, elle n'arrivait pas à te contrôler. Tu as toujours été un garçon violent, colérique, mais tellement doux et sensible dans le fond. Tu t'en fous de tout, c'est ce que tu cherches à montrer et pourtant... La mort de ta grand-mère t'a totalement chamboulé. Tu allais t'enfuir, tu ne voulais pas te retrouver dans le système des services sociaux. Cette nuit-là, tu avais tout préparé. Mais on t'en empêcha. Cet homme que tu pensais être ton père est venu frappé à ta porte. Tu l'as totalement rejeté. Mais rapidement, les services sociaux sont venus. Tu n'as pas eu le choix, tu es parti avec lui. Tu as appris qu'il était un Rockefeller. Tu as détesté sa famille, sa fille encore plus. Tu ne l'as jamais considérée comme ta demi-soeur, mais juste une de ces princesses pourries gâtées qui te tapaient sur le système. Tu as déménagé à New York, t'es entré dans un lycée privé et toute ta vie semblait avoir changé en apparence. Sauf que tu t'obstinais à tout détruire sur ton passage, à te faire renvoyer des écoles. Ta soeur, elle, ne supportait pas ta présence non plus et n'a pas hésité à pourrir ta vie, à l'école comme à la maison. Tu ne supportais pas, tu passais tes nuits à l'extérieur, chez des filles, ou des femmes, peu importe. Tu as joué les gigolos pendant tout un temps. Et finalement, tu as appris la vérité après des recherches. Cet homme, ce Rockefeller, il n'est pas ton père. Tu y as cru pendant 2 ans que c'était le cas. Une nouvelle fois, tu perdais ta famille. Mais tu t'en fichais maintenant. Tu étais même plutôt content. Tu n'avais plus à rester avec ces étrangers. Tout ce que tu savais, c'était que ta mère a été l'amour de la vie du père Rockefeller. Mais ça ne te touchait pas. Tu t'en fichais, encore une fois. Tu es ensuite entré à Harvard grâce à ton "père". Tu ne voulais pas mais finalement, cette histoire t'a quand même muri. Tu commences à songer à ton futur. Mais juste un peu. Tu continues toujours de t'amuser avec la vie, avec les filles. |
Juliana Rockefeller ft. Alexis Ren Cette fille, la première minute où tu l'as rencontré, tu t'es mis à la détester. Elle était l'image même de la petite fille pourrie gâtée, garce à plein temps. Elle n'a pas supporté ton arrivée chez elle et elle n'a pas hésité à te le montrer. Elle faisait tout pour que tu vives un enfer, partout, que ce soit à l'école ou même chez vous. Elle a réussi à te faire virer de 2 lycées. Tu montrais que tu t'en fichais pas mal mais ce n'était pas le cas. Tu t'étais quand même fait une petite place, des amis, et elle avait réussi à les retourner contre toi. Si tu le pouvais, tu la tuerais de tes propres mains. Mais tu n'as jamais été aussi loin. Non, tout ce que tu avais fait, c'était la gifler. Oui, tu as levé la main sur elle, la première fois. Jamais encore tu n'avais osé lever la main sur une fille. Mais elle, elle était un cas particulier. Elle n'a d'ailleurs pas hésité à rendre ce geste au centuple. Tu la détestais tellement mais il y avait ce petit quelque chose. Tu t'es retrouvé totalement dégoûtant à fantasmer sur elle, à rêver d'elle. Qu'elle mourrait à petit feu entre tes doigts tandis que tu la prenais comme jamais un homme n'avait pu la prendre. Tu étais totalement frustré par ton imagination et tu la détestais encore plus. Et enfin, tu as appris qu'elle n'était pas ta soeur, que vous n'étiez pas relié par le sang. Le soir même, tu avais assouvi tes désirs, qui semblaient être réciproque. Tu n'as jamais ressenti un tel plaisir à coucher avec une fille, ou même une femme. Et après, tu l'a jetée comme une malpropre. Tu lui as pris sa première fois, tu en étais terriblement fier. Même si elle avait eu plein de petits amis, qu'elle se comportait comme une vraie allumeuse avec certains, elle n'avait jamais passé le cap. Et sur le coup, tu as su que tu avais enfin réussi à la taire. Elle ne te regardait plus, elle ne te parlait plus. Elle n'osait plus rien te faire. Pourtant, ça te manquait. Après cette première soirée, tu pensais que tout désir pour elle se serait envolé. Mais ce ne fut pas le cas. Tu as continué à visiter sa chambre, qu'elle soit consentante ou non. Puis, l'heure de partir arriva. Tu l'as quittée, elle n'est pas venue te dire au revoir. Ça t'a blessé, tu étais totalement en colère qu'elle ne vienne pas. Mais tu t'en fichais, parce que tu savais que l'année suivante, elle débarquera elle aussi à Harvard. Et tu pourras à nouveau l'avoir rien que pour toi. |
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