admission à harvard
Je ne suis pas entré à Harvard dès la fin du lycée (2019). c'est en 2021 que je postule pour l'unversité. En effet, j'avais besoin de me reposer et de me remettre psychologiquement du décès de maman. Je devais surtout subvenir à mes besoins et ceux de ma soeur, étant donné que je l'élevais. J'ai travaillé et travaille toujours en tant que Sapeur Pompier, ce qui m'a permis de trouver ma voie que je voulais être médecin. être admis à Harvard est un des plus grands rêves que je voulais réaliser avant de partir et dans ma to-do list de la vie. (oui j’adore faire des listes pour être toujours plus organisé) j’ai plusieurs fois failli renoncer à ce rêve, mais heureusement, j’ai toujours su retrouver la motivation et la force auprès de mes ami(e)s lorsque les coups durs étaient là en ne lâchant pas cet objectif. Tout a commencé quand j’étais âgé de dix ans quand je suis tombé sur un reportage qui traitait de la vie aux États-Unis et des meilleures universités. Autant dire que j’ai longtemps été attirer par ce pays et établissement. Avec des parents qui veillaient à être toujours moi concernant les études, j’avais intérêt à filer droit et ramener des bonnes notes. Pendant mon adolescence, j’ai multiplié les activités extra-scolaires tels que la musique, le football américain, la vie associative auprès des animaux, mais également en devenant jeune sapeur pompier, de très bons bulletins, bref une vie à cent à l’heure. Étant une personne relativement bien organisée, j’ai rassemblé les papiers au fur et à mesure des années, concernant les bulletins scolaires, les lettres de recommandations de divers endroits tels que des associations, emplois auxquels j’ai pu contribué pour le dossier d'admission sans oublier la rédaction où j'ai parlé d'avoir une bonne santé physique et mentale, mais surtout de psychologique, traumas. Ceci a dû plaire au chef d'établissement puisque j'ai réussi à passer l'entretien où j'ai pu parler de ma détermination, de mon avenir. Plus tard, après mon doctorat en chirurgie pédiatrique et quelques années d'expérience dans un service ou aux urgences. Je veux ouvrir un petit centre d'urgence pour personnes défavorisées en spécialisation gynécologique et pédiatrique. J'ai alors obtenu une bourse et été admis à Harvard en septembre 2022.
anecdotes
un Mes parents se sont rencontrés lors d’un bal au 14 juillet en France. Ils étaient en vacances avec chacun un groupe d’amis. Ça a été tout de suite, le coup de foudre. Connor (mon père) militaire, Clémentine (ma maman) étudiante en médecine pour devenir Infirmière. Vivant dans deux pays différents France pour l’une et Angleterre pour l’Autre, leur relation se passe en premier temps à distance, se voyant pendant les vacances jusqu’à ce Connor fasse une mission de quelques années en France. Pendant tout ce temps, ils sont vus en dehors des missions sur la base, profitant le plus de temps ensemble en ayant la crainte qu’elle ne revoit plus jamais son militaire de peur qu’il se fasse tuer pendant les missions. Une fois que Clémentine avait terminé ses études d’infirmière, elle décide de se rapprocher de son petit ami pour devenir infirmière à l’armée. De ce nouveau statut de travail se fêtera par une nouvelle mutation en Afrique au Camp Lemonnier et un bébé pour couronner le tout.
› deux D’un père militaire, et d’une maman infirmière, j’ai eu des valeurs de l’armée avec un cadre organisé où je devais amener de bonnes notes à la maison, débarrasser la table, faire mon lit au carré, pratiquer une activité extra-scolaire comme un sport ou/estune activité artistique. Concernant les émotions, mes parents étaient totalement l’opposé. Mon père était contre d’exprimer ses émotions, ressentis tandis que du côté de ma mère, il fallait tout lâcher prise. Autant dire que je préférais me confier à ma mère que mon père où j’avais toujours peur de me sentir jugé ou prendre une gifle dans la gueule. De plus avec une maman française, et un père anglais, je vaguais d’une langue à une autre en connaissant les deux langues sur le bout des lèvres à force de les pratiquer chaque jour. Si les notes étaient mauvaises, j’étais puni de télévisions, jeux-vidéos et surtout de sortie. › trois Six ans plus tard, une petite tête blonde voit le jour. Une petite fille au prénom de Clover. Cette dernière n’était pas prévue au programme et étant contre l’avortement, ils ont décidé de garder ce bébé surprise. Ayant été fils unique pendant six ans, cela a été un très grand changement pour moi que je n’acceptais pas. Je ne voulais pas de cette petite sœur, je faisais des colères, des comédies, j’essayais juste de leur faire comprendre que je n’étais pas d’accord avec ce choix pendant toute la deuxième grossesse de ma maternelle. Autant dire, que je m’en suis pris des fessée et des punitions jusqu’à ce que je pose mes yeux marron sur elle, la première fois. Cela a été un coup de foudre. Depuis, j’ai une relation très fusionnelle et protectrice avec Clover. Nous avons eu été très proches, encore plus depuis la mort de notre maman et au fil des déménagements tout au long de notre enfance dû aux travails de nos parents dans l’armée. › quatre J’ai passé les dix premières années en Afrique avant d’emménager au Japon pendant deux ans (de 10 à 12 ans) puis aux États-Unis.(12 ans jusqu’à présent) Autant dire que j’étais tombé sur le reportage sur les États-Unis quelques années plus tôt. Un déménagement ne m’avait jamais autant réjoui. Moi qui n’aime pas la routine, j’étais servi de découvrir de nouvelles cultures, établissements, bâtiments, j’adorais ça. Et c’est aux États-Unis, que j’ai rencontré ma meilleure amie. Entre nous, c’était un coup de foudre amical. J’étais le pauvre nouveau qui arrivait fraîchement du Japon. Étant donné que j’étais dans la même classe que Meredith, j’étais tout seul pour réaliser des TD, elle s’est mise à côté de moi et c’est comme ça que notre jolie et forte amitié à débuter. Nous avons grandi ensemble. Plusieurs de nos ami(e)s et membres de la famille disaient toujours qu’on allait terminer ensemble. Ça serait mentir de dire qu’on n’a pas essayé plusieurs fois de coucher ensemble, mais on a toujours stoppé avant de passer à l’acte de peur de briser notre amitié. A l'heure actuelle, je la vois surtout pendant les vacances, mais on se fait des conversations vidéos, s'envoyant des textos chaque jour. › cinq J’ai vécu une enfance en étant bien entouré de ma meilleure amie, les membres de ma famille, en continuant de grandir, de voir ma petite sœur poussait, me coller toujours et un peu plus chaque année. Je faisais ma petite vie en pratiquant plusieurs sports comme le basket, le rugby, les arts martiaux, la boxe mais aussi artistique comme le piano, la guitare et la batterie. En parallèle, j’avais développé un certain don pour le dessin. Mangas, portrait, paysage, bref tout peut se dessiner. Pour toi, c’est un exutoire comme lorsque je joue des instruments de musique. Puis tout bascula lorsque j’étais âgé de seize ans. › six C’est à cet âge-là, que nous apprenions que maman avait un cancer du sein. Elle avait une grosseur au niveau du sein droit. Je n’avais pas pu le remarquer, car elle était pudique et ne déshabillait jamais devant nous (ce qui est normal) pendant de longues années, avec toute la famille, on l’a soutenue, aider pendant ce combat si difficile. Entre les chimios, une chirurgie mammaire pour retirer la tumeur, les examens, les allers-retours à l’hôpital notre vie a été très fortement chamboulée à mon père, ma sœur et moi. À ce moment-là, je commençais très sérieusement à voir mon père décliner au fil de la maladie de sa femme avancé. Il s’absentait de plus en plus de la maison pour rester au boulot et lorsqu’il était là, il n’arrêtait pas de se bourrer la gueule pour tout casser dans la maison pendant que maman était l’hôpital. Il faisait tout pour faire ses conneries quand Clem n'était pas présente dans la maisonnée. Pour me protéger, j’allais avec ma petite sœur chez ma meilleure amie dont je connaissais les parents et vice-versa. C’est deux ans plus tard après un combat acharné contre sa foutue maladie que maman pousse son dernier souffle. J’étais alors âgé de dix-huit ans. › sept Pendant ces deux ans, et même après je suis devenu l’homme de la famille. C’est moi qui me suis occupé de ma sœur pour l’école, sa vie en général, payer les factures avec plusieurs petits boulots. J’ai été le pet Sitter, caissier dans un magasin alimentaire, le tout en gérant mes études et mes activités extra-scolaires, associatives, en plus des stages. J’étais épuisé mentalement, physiquement, mais ça en valait le coup pour partir loin de mon père qui n’était plus ce qu’il était et devenir dépendant de l’alcool en devenant violent envers Clover & moi. Mais j'ai eu beaucoup de chance, car ma petite sœur était une jeune fille sage, qui était restée proche de moi malgré la merde qui était débrouillarde et autonome, et je la remercierai jamais assez d'avoir été là pour m'épauler et ne pas être partie en couille malgré la situation familiale. J'étais sur le point de postuler pour Harvard quand mon corps a dit stop. Stop à ses conneries et pense à toi surtout !› huit Un matin où je devais me lever très tôt pour aller acheter des fournitures pour la rentrée à Harvard à dix-neuf ans, je n’arrivais plus à me lever du lit. Dès que je mettais les pieds par terre, j’avais des vertiges, des nausées, vomissements et en plus de faire pipi. J’avais tout le temps soif. Ce n’était pas un état de santé normal. Puis, je n’avais plus goût à rien si ce n’était rester dans mon lit, à jouer aux jeux vidéos et dessiner. Surtout que plus rien passer dans mon corps & estomac. Je maigrissais à coup d’œil. Après des négociations et bourrage de crâne, c’est ma sœur qui m’a convaincu d’aller faire des examens. Résultat des courses diabète, type 1. J’ai dû aller à l’hôpital quelques jours pour apprendre à vivre avec le diabète grâce à une éducation thérapeutique. Surveiller le diabète de type 1 grâce à un capteur que j’ai tout le temps sur le bras que je dois changer chaque 14 jours et à me auto évaluer grâce à une application. C'est pour ses raisons, que j’ai toujours sur moi plusieurs piqûres d’insulines prête à l’emploi au cas où s’il m’arriverait un pépin. Il faut que je fasse attention à tout à ce que je mange sous peine d’avoir des blessures qui s’aggravent voir un coma diabétique. Cette maladie s’est déclenchée dû à un choc émotionnel suite au décès de maman, toutes les responsabilités endossées pendant mon adolescence et au manque de repos. Ce n’est pas tout, elle est également héréditaire que j’ai eu à cause de mon grand-père côté paternel. › neuf Côté amour, j’étais à ce moment (découverte du diabète) dans une relation amoureuse avec une fille. Autant vous dire, qu’elle est partie lorsqu’elle a su ma maladie soit disant qu’elle n’avait pas les épaules pour m’aider dans ces moments où j’aurais besoin d’elle dans cette nouvelle vie. Oui, je l’admets, j’ai eu le cœur brisé et une certaine rancune pour les relations amoureuses. Concernant les relations d’un soir, ce n’est pas du tout mon truc, car il faut que j’ai une relation assez forte pour pouvoir faire l’amour avec une fille. J’aime draguer en soirée, mais sans faire le lourd, respectant dans tous les sens du terme les femmes, leur envie et surtout quand elles disent non. Je veux qu’elles se sentent bien avec moi. C’est vrai que parfois, je peux sans filtre et avoir aucune impatience, mais je travaille longuement sur moi pour m’améliorer, être une meilleure personne de moi-même. › dix J’adore les sensations fortes, je dois même dire que j’en suis accro dans la mesure de légalité bien sûr. Ce que je préfère, c’est aller dans les parcs d’attractions. Mais j’adorerais faire un saut à l’élastique, en parachute toutes ses choses qu’on ne peut faire qu’une seule fois dans sa vie et surtout qu’il sort de mon quotidien. onze je porte des lunettes de vue quand je suis fatigué. douze je n'ai plus de contact avec mon père. Du coup, c'est moi qui ai la garde ma petite soeur. Je ne sais si elle a toujours contact avec lui, mais je ne lui empêche pas d'avoir une relation avec notre père, mais elle termine toujours pas être déçue. Plus elle grandie, puis j'ai l'impression de voir notre maman.