révélations nocturnes (bishan)

Il se mit à sourire. Tu l'restes pour moi, lui répondit-il au tac au tac. Elle était exceptionnelle, elle était parfaite et Esteban ne voyait d'yeux que pour elle. Le garçon pouvait que comprendre ce qu'elle disait néanmoins. Ouais, j'suis d'accord avec ta vision des choses, genre... si tout le monde était parfait, on s'ferait bien chier évidemment. Mais, c'était pas le cas, et il pouvait se découvrir réellement. Hm, j'sais pas trop... Je suis impulsif, jaloux surtout... Je peux être têtu aussi, j'aime bien avoir toujours raison, pour la grosse partie de ce qu'il était. Esteban souriait. Pas trop déçue ?

( tw ; ràs)
les yeux qui cherchent à s'enfuir, l'rouge qui monte aux joues, essaye d'l'effacer, mais ignore réellement comment est-ce qu'on peut faire ça. souriant finalement quand il annonçait être d'accord, jusqu'à qu'il finisse par énoncer les siens. t'écoutais, alors qu'le coin de tes lèvres s'étiraient un peu plus. pas pour rien qu't'étais attirée par lui, il avait le genre de caractère qui t'faisait facilement tomber. – pas du tout.. qu'tu lâchais finalement, t'approchant un peu plus, – j'crois qu'tu m'plais même encore plus comme ça... -- @Esteban Morales

Pire de ces défauts était probablement son impulsivité, Esteban pouvait carrément partir au quart de tour. Probablement que Bisha l'avait déjà remarqué, d'comment il l'était. Le garçon lui avait donné quelques un de ses défauts, mais il en manquait encore d'autres. Les plus importants étaient dits. C'vrai... ? L'sourire aux lèvres, comme toujours depuis qu'il la connaissait, elle faisait de lui un autre homme. Ca m'pait d'te plaire, tu sais ? Il approcha sa tête de la sienne, ferma les yeux et attendit le baiser avec impatience.

( tw ; ràs)
évidemment, qu'c'était des choses que t'avais déjà pu remarquer chez lui. te rappellant de la conversation que vous aviez eu lorsque tu lui avais parlé d'samuel et de la relation que vous aviez entretenue. puis l'reste, tu l'avais vu aussi. – t'en as pas beaucoup toi.. qu'tu lâchais avant d'hôcher la tête. – j'espère bien... t'approchant à nouveau de lui, tes mains entouraient son visage pour venir déposer tes lèvres sur les siennes, une nouvelle fois.-- @Esteban Morales

La jalousie, la possessivité, c'était clairement tout ce qui était caractéristique du latino de Colombie. Pour autant, il ne pouvait pas vraiment trop parler sur ça, pas vraiment le bon exemple sur certaines choses. Esteban n'était pas un mec bien, il le savait fort bien déjà. C'déjà bien, non ? lâcha-t-il. Mais, il en oubliait à coup sûr. Yeux fermés, profitant du contact des mains douces de Bisha avec sa peau, il profita également du baiser donné. Baiser qu'il prolongea avec passion. P'tain, pourquoi j'peux pas me passer de toi ? D'tes lèvres ? D'tout ? Et, ils avaient même pas sauté le pas encore, il allait devenir accroc avant tout ça.

( tw ; ràs)
– ça suffit oui, parce qu'il valait mieux qu'il équilibre la balance avec tout ceux qui te constituaient. encore une fois attiré l'un contre l'autre, comme s'il était presque impossible de vous décoller trop longtemps finalement. l'attirance ressentie s'exprimait par le baiser, l'serrant un peu plus contre toi, tes bras ayant repris leurs place autour de son cou. – hm j'sais pas..., qu'tu lâchais mordillant ta lèvre inférieure. – mais si tu trouves, dis moi, j'serais curieuse d'comprendre pourquoi ça m'fait ça aussi..., l'sourire au bout des lèvres. -- @Esteban Morales

Difficile de se passer d'elle, Bisha était un aimant pour lui carrément. Elle l'avait carrément attrapé, scellé même. Au final, les deux ressentaient la même chose l'un pour l'autre, c'était fort et ça semblait déjà bien solide. J'vais devoir étudier le sujet plus intensément alors, lâcha-t-il entre deux baisers. Mais, ouais, ça s'était fait assez vite Bisha et lui, il ne regrettait pour autant pas. Cette alchimie, il l'avait tant recherché sans jamais vraiment la trouver. Faudrait peut-être qu'on finisse de manger, non, avant que ça refroidisse ? Elle avait ramené un plat, et le ventre du latino se mit à gargouiller instantanément à sa phrase.