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(+ alekseï) 'cause i don't wanna lose you now

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with Alekseï ϟ 'cause i don't wanna lose you now
Je m'étais dépêchée de rentrer de ma séance shopping histoire d'être à l'heure au Roosevelt boulevard. Faire les magasins m'avait un peu fait oublier Alekseï, la discussion que nous avions eu, la gifle, et les larmes. Du moins, pendant quelques heures seulement, avant que je ne reçoive ce fameux message où il m'ordonnait presque de me pointer à telle heure et tel endroit, habillée de telle manière. Et tout ça pour des excuses. Comme si il n'y avait que ça. Je ne comprenais pas ce qu'il mijotait mais enfin, s'il voulait tant me présenter des excuses - et c'était quelque chose à ne pas louper venant de lui - j'allais venir. J'avais donc enfilé une robe blanc cassé, cintrée, simple et élégante ainsi que des escarpins qui me faisaient prendre une dizaine de centimètres. J'avais à peine touché à mes cheveux, parfaitement lissés, et avais juste arrangé mon maquillage. Et après une petite quinzaine de minutes de route, j'étais arrivée dans le boulevard, encore bondé à cette heure-ci. Et dire que j'allais devoir trouver Alekseï avec ce monde. Super. Je sortis mon portable et lui envoyais un message : où est-ce que t'es ? Histoire de ne pas paraître gourde, je continuais à marcher le long du boulevard en espérant le croiser du regard. J'étais stressée à l'idée de le revoir, c'était une horreur. Je ne pouvais qu'appréhender cette soirée après celle que nous avions passé à discuter et où tout avait basculé.
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Aleksgia

'cause i don't wanna lose you now.

Tout était prêt, deux jours à faire en sorte que tout soit parfait. J'avais vraiment mérité cette gifle, je m'en rend compte, j'aurais pas du dire de telles choses, pas en ce moment, je devais être trop mal intérieurement pour avoir prit conscience que Georgia était là pour moi, pour m'aider et non me faire culpabiliser mais je l'avais pris dans le mauvais sens et ce soir où on devaient parlés, ça s'est mal finit, deux jours qu'on ne s'est ni vu, ni parler, rien du tout, j'aime vraiment pas ça, c'est rare. Ce matin je lui ai envoyé un sms, qu'elle vienne au Roosevelt Boulevard à 19h30, je veux me faire pardonner, j'ai tout prévu, j'espère juste qu'elle tiendra sa promesse de venir, et la connaissant, elle la tiendra. Je sors de ma chambre, j'ai acheté ce costard cravate aujourd'hui, hors de prix mais pour elle, rien n'a un prix, j'ai pas oublier cette petite boite, cette rose, je sais que j'ai tellement joué le gars romantique à des centaines de filles pour m'attirer leurs faveurs mais là il ne s'agit pas de manipulation, il s'agit de sincérité, rien d'autre. Je reçois son sms, je ne lui répond pas, je la vois quelques secondes après, le quartier est encore rempli de monde mais j'arrive à me frayer un chemin jusqu'à elle, par derrière Retourne toi je suis là. j'attends que ses yeux arrivent à croiser les miens et je souris faiblement lui tendant cette rose Désolé Mlle Petry-Vessel. J'ai été con de dire de telles choses. pitié prend la rose, me laisse pas la main tendue avec la rose dedans comme un con, la suite promet de te plaire, je te connais princesse.

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Sans déconner, à chaque fois que l'on se donnait rendez-vous, j'avais une montée de stress. C'était la première fois que je me mettais dans des états pareils pour Alekseï. Et alors que je me promenais lentement, à l'affût de sa silhouette, j'flippais vraiment. J'avais peur du moindre de ses mots ou de ses gestes depuis le baiser. J'avais peur de rentrer chez moi en pleurs de cette soirée, encore. De souffrir, encore. Et c'était quelque chose de vraiment difficile à supporter. Après lui avoir envoyé un message, je gardais mon téléphone dans ma main au cas où il me répondrait. Au fil de mes pas, je le cherchais encore un peu plus et d'un coup, sa voix parvint à mes oreilles. Oh merde. C'était pas le moment de paniquer. Je me retournais et il était là, habillé d'un costume qui lui allait à merveille. Bon sang, il était parfait. Il s'était habillé comme ça pour l'occasion ou ... ? Enfin bref. Nos regards se croisèrent et je ne fis même plus attention aux quelques passants qui marchaient à côté de nous. Un petit sourire étira mes lèvres lorsqu'il me tendit une rose, magnifique par ailleurs. J'avais l'impression que c'était pas réel ... vraiment pas. Lorsqu'il me présenta ses excuses, je ne pu m'empêcher de sourire, encore un peu plus. J'étais terriblement intimidée mais très touchée. Je m'avançais d'un léger pas avant de prendre la rose, les joues empourprées et le sourire aux lèvres. Waw ... c'est trop mignon ... commençais-je en fixant quelques secondes la rose que je tenais entre mes doigts à présent, c'est pas souvent que tu m'offres des roses en plus. Je relevais les yeux vers lui en souriant toujours autant. Comment tu peux résister à ça bordel ? Comment ? C'était impossible pour moi. Moi aussi, j'suis désolée. De tout. Du baiser, de la gifle. De tout. Sur ces mots, je m'approchais et lui fit un câlin, me serrant tout contre lui, histoire qu'il comprenne que ma vie sans lui, même pendant deux jours, était insupportable.
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Aleksgia

'cause i don't wanna lose you now.

Je savais qu'elle appréhendais, c'était normal, tout avait changé depuis le baiser au bal, je la comprenais, elle avait des sentiments pour moi, elle ne savait pas trop comment se comporter avec moi surtout qu'elle sait que je pense toujours à Solweig, enfin c'est compliqué. Il y a deux jours qu'on s'ignorent, pas une parole, pas un sms, rien du tout entre nous mais je m'en veux, nous avons parlés, ça s'est mal terminé, j'ai reçu une gifle et elle m'a virée de sa chambre, j'ai dis des paroles connes, je me rabaissais sans arrêt, elle était là pour m'aider, pour me comprendre, et je considérais la chose dans le sens inverse, elle s'en prenait plein la gueule, comme si je la prenais en coupable de toutes mes merdes mais c'était pas du tout le cas pourtant c'est ce que j'avais montré. Et je voulais me faire pardonner, je lui avais envoyé un sms ce matin, lui disant de me rejoindre dans le Roosevelt Boulevard, je lui devais des excuses, elle m'avait promit qu'elle y serait vers 19h30 comme convenu, je savais qu'elle allait tenir sa promesse, c'était une femme de parole et d'honneur. J'avais revêtis un costard hors de prix, acheté ce matin, j'avais dans une poche une petite boite achetée la veille et dans une de mes mains une rose acheté il y a 30 minutes avant de revenir à l'hôtel me préparé, j'avais tout prévu, tout était prêt, il fallait juste qu'elle soit là-bas et elle y était lorsque j'arrivais dans le quartier, elle était si magnifique dans sa robe, si belle naturellement mais là, rien à dire, elle était parfaite. Je me tenais derrière elle un petit sourire aux lèvres et lorsque ma voix se fit entendre, elle se retournait et je lui tendais cette rose, un petit sourire se dessinait sur ses lèvres pulpeuses que j'avais gouter au bal, un très bon gout, enfin bref, elle prenait la rose entre ses doigts. C'est vrai. dans sa vie, elle a du recevoir deux ou trois roses de ma part, celle-ci c'était pour m'excuser, et je voulais qu'elle l'entende, j'étais désolé de ce que j'avais pu dire, je m'étais comporté comme un véritable con. Elle aussi s'excusait T'as juste à t'excuser d'être aussi belle ce soir, le reste tout est de ma faute. lui disais-je alors qu'elle venait se rapprocher pour passer ses bras autour de moi, je la serrais aussi contre moi avant de sortir discrètement de ma poche cette petite boite, de l'ouvrir et de prendre dans ma main son contenu, j'en profitais qu'elle est son cou si prêt de moi pour le lui attacher Et ça c'est parce que j'ai été con il y a deux jours. ce collier m'avait coûté un prix fou, mais comme je l'ai dis, pour elle, rien n'a de prix.

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Comment ne pas accepter ses excuses ? Comment résister à ça ? & à lui, surtout. Il n'y avait pas beaucoup d'hommes capables de présenter leurs excuses en pleine rue, habillé dans un costume hors de prix et avec une rose parfaitement fleurie dans la main. Et pourtant, Alekseï se présentait ainsi devant moi, un petit sourire sur les lèvres. Je ne mis pas de temps à prendre la rose entre mes doigts. J'étais vraiment touchée et je me rendais compte que me passer de ses petites attentions comme celles-là n'était pas possible. J'avais besoin d'Alekseï dans ma vie, c'était comme ça. S'il n'était pas là, concrètement, j'ignorais ce que je deviendrais. Il tenait véritablement à moi, et ça se voyait. Je savais quand il était sincère et quand il ne l'était pas. Et là, il l'était réellement. J'étais heureuse de le retrouver, bien que ce soit pas dans les circonstances que j'espérais. Il m'avait beaucoup manqué mine de rien. Et comme on dit, quand un être vous manque, tout est dépeuplé. Oh hum ... merci, mais c'est qu'une robe et des escarpins tu sais ... dis-je timidement en réponse à son compliment, ne dis pas n'importe quoi, on est tous les feux fautifs. Je me serrais ensuite tout contre lui dans une rapide étreinte. Son parfum m'enivra et un nouveau sourire étira mes lèvres. C'était bon de le retrouver. Et alors que je profitais de cette étreinte, je sentis les bras d'Alekseï bouger et doucement, un métal froid vint caresser mon cou. Tout de suite, je me reculais légèrement et il eu juste eu le temps de retirer ses mains que je portais un magnifique collier entièrement certit de diamants. Bordel ! J'en revenais pas. Il avait dû lui coûter une fortune et il me l'offrait à moi ... j'étais comblée mais gênée. Oh ... bon sang, il est magnifique ... Il m'offrait un bijou d'une valeur inestimable et je ne savais pas quoi lui dire d'autre que ça. Bravo. T'as pas été con Alekseï, arrête de dire ça. Mais il fallait pas ... et c'est des vrais diamants en plus ... t'es dingue ... J'en riais tellement j'étais gênée. Avec son cadeau, je me sentais bien. Je me sentais compter pour lui. J'étais simplement heureuse.
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Aleksgia

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Je voulais pas faire des tours de pass pass à une valeur inestimables ou montrer toute ma richesse, je voulais que tout soit fait au naturel, je lui avais juste demandé de venir ici, elle était venu et habillée dans une splendide robe de soirée, c'était tout ce que j'avais attendu d'elle, le reste c'était à moi de gérer. Je me tenais devant elle, dans un costard hors de prix et une rose qu'elle prenait maintenant entre ses doigts, c'était en quelque sorte pour m'excuser de mon comportement d'il y a deux jours, j'ai été con, et qu'elle dise le contraire ou non, je sais que j'ai parler et agit comme un con. Elle aussi venait s'excuser quand je finissais de faire les miennes, c'était inutile Je sais. elle n'avait rien fait d'extraordinaire, une robe, des escarpins, du maquillage, elle s'était juste fait belle pour la soirée et c'est tout ce que je lui avais demandé rien de plus. Surement mais je le suis plus que toi et dis pas le contraire. ok elle pouvait dire qu'elle était fautive, mais entre elle et moi, c'est moi qui avait le plus joué au con, elle venait m'entourer de ses bras, et je la serrais également contre moi, une étreinte, douce et tendre, c'était simple mais en ce moment là, ça me comblais, quoique non pas encore, une fois que mes doigts avaient réussis à lui passer ce collier autour du cou, là j'étais comblé. Elle se retirait légèrement surprise de ce que j'avais pu faire et elle remarquait le collier, entièrement sertit de diamants, une valeur inestimable, un prix de dingue mais je le dis et le redirais encore, rien n'a de prix pour elle. Elle riait parce qu'elle était à la fois heureuse, surprise et gênée, je souriais la voyant ainsi, c'était tout ce que je voulais, l'observer ainsi Je fais ce que je veux non ? je venais caresser sa joue en disant cela d'un faible petit rire Peut-être dingue mais je sais que ça en valait la peine..

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