Les originesles origines coréennes sur l'visage, et dans l'sang qui vibre dans l'fond des veines.
feat. hwang hyunjin
Le caractère l'gamin à la dérive ,,, l'visage qui pue l'sympathique autant que l'égoïsme. acerbe le goût du négatif, qu'il tue à coup d'positif. puise dans l'mal histoire d'en faire ressortir le bien.. il a la bouche bien jolie, les mots bien maniés histoire d'faire croire que tout peut être ok. l'mensonge au bord des lèvres. découle sur la réalité, façonne les jolies images, c'presque décadent d'avoir une gueule aussi béante pour pas donner la vérité. use ses veines jusqu'au bout, neurones abruties par l'humeur fêtarde. c'est l'besoin d'attention qui pourri les fantasmes, veut être l'image centrale du monde de n'importe qui, celui qui veut bien s'laisser porter par l'idée chaotique. l'est révoltant, s'niquera la voix pour gueuler un peu fort sa révolution. festin du mal ,,, ça nique l'moral, ça tire les larmes à sortir. dans l'fond l'amas brouillon, il en veut plus. sait plus être à l'écoute, impatience que l'malheur se taise, besoin de combler l'vide que ça comble, histoire d'sourire encore un peu. juste bon à s'niquer les joues. essaie d'être présent, mais ça fuit quand ça devient trop. l'problème de colère qui hurle à la tronche des autres. coups aisés, d'mots ou d'physique. terrifie quand ça use, la haine. juste un gamin qui a oublié de grandir. dans ses crises existentielles s'punit. dans la vie, s'bâtit petit roi qui rit. l'sympa à la gueule, la langue charmeuse, et l'besoin affreux d'exister aux yeux d'l'inconnu et de l'adoré. l'expressif, les émotions, ça déborde du vase, liquide noirâtre qui pullule, s'accroche aux autres sans chance de rédemption. il est la première victime. facilité pourtant, l'môme, à s'voir trop bien. image bien façonnée, d'sa beauté, il en joue, l'sait, comme c'est joli, les traits d'son visage. l'corps grand, reste coincé dans l'esprit, pour quelques heures au moins. s'sait brillant, l'avenir, il l'voit au loin, y'a aucune crainte, l'chemin déjà tout tracé. juste un gosse qui continue d'vivre sa jeunesse jusqu'au jour prochain. puis l'dira saez, qu'on est jeunes et cons.
Les anecdotes
- ( 01 )l'premier né. on l'aura voulu, le p'tit héritier, une couronne sur le haut du crâne, cuillère dorée dans le gosier. juste d'quoi faire rêver, la carrière qui s'est envolée quelques années après. l'exemple d'richesse, mais c'est l'pouvoir entre les mains. l'bambin, l'a vu l'monde changer. une place à new-york, pour s'échouer dans l'boston bien peuplé. six ans, l'bambin, pour voir que l'monde était plus animé ici. y'a eu l'attente du deuxième enfant, l'peu de jalousie foutu en l'air quand l'nez nouveau s'est plissé face à l'odeur du nouveau monde.
- ( 02 )la réussite à s'faire péter l'bide de rires. parce qu'à la naissance d'la première gamine, l'patriarche se fait une place dans le domaine des requins. les étoiles dans les yeux pour le héros qui fait presque flipper la justice. c'est ça qui fait naître l'ambition, l'royaume promis, les terres sur un bout de papier. juste un simple avocat dans l'environnement qu'il fera sien, un d'ces jours. c'est scellé, d'un regard complice, d'un poignet d'main ferme. un jour, ça leur appartiendra. cabinet d'avocats aux pieds des moon dorés. c'est l'besoin d'une main d'fer, l'charisme qui fout les autres à bout de souffle. c'est certain, qu'un jour, il s'le jure, san, il deviendra comme son père.
- ( 03 )la fête, juste à trois. il avait neuf ans quand la troisième gamine s'est pointée, lueur féminine, la p'tite nouvelle dans les quartiers d'la grande baraque. à l'étroit, le seul garçon, autorité féminine qui s'fout bien de lui dans son dos. y'a eu les airs boudeurs, avant d'finir par être le chevalier servant de ces demoiselles qui perdent encore leurs dents. faut s'y faire, à la place en hauteur, l'sourire sur les lèvres, et les regards assassins pour les bouffons qui s'aventurent sur l'territoire. l'gosse protecteur des deux cadettes qui râleront après lui des années après.. à grandir dans l'milieu typique, des enfants bien droits, y'a aucune dérive.
pendant l'enfance. - ( 04 )c'est l'populaire qui coule des les veines. les p'tits marques sur les vêtements, cachées dans un coin du tissu. la belle tronche qui s'épanouit bien, les p'tits détails qui font craquer l'monde, histoire d'faire causer de son nom dans les couloirs. l'avait le charme sur le bout des lèvres, l'tendre dans le regard. l'amoureux imaginaire des gamins dans la cour de récréation, l'sourire à charmer les professeurs quand la note décollait un peu mal. parce que ça a commencé là, de désirer être l'centre des choses. putain de fierté collée au visage, la bonté donnée à ceux qui voulaient de la charité.
c'est là que naît le besoin d'être aimé.c'est là qu'la petite bande se forme, juste des gamins en fin de collège, à sortir à la fin des cours, avec leur allure de p'tits malins. c'est là que le groupe d'amis se forment, ça se lie si facilement. y'a qui prévoit de ruiner la partie. - ( 05 )ben aura l'rôle de meilleur ami. parce que c'est lui, l'meilleur parti de la bande. parce que ça rimait à quelque chose, de grandir juste à côté, de faire les pires sottises que les adultes osaient hurler comme calomnies. parce qu'ils étaient trop purs pour foutre en l'air le monde. ont eu l'rôle des grands princes, dans ce groupe de six. à mener le petit groupe à l'apogée de la liberté, on dira, qu'ils étaient jeunes et cons. l'sens de la fête battant déjà dans les veines, illégal dans l'crâne.
ça faisait rêver, à l'époque.révoltés, qu'ils étaient, ces gamins en quête de leur vie. un coup de liberté, pour des adolescents qui supportent mal l'monde qui tourne pas rond. le lycée comme berceau de leurs délires. les gars populaires, équipe de football pour petite réussite. vie d'san bien remplie, d'leurs illusions. tout allait bien, personne aurait pu prévoir le scénario minable. - ( 06 )l'année 2016, l'scénario d'l'horreur. parce qu'à s'brûler, c'est l'corps entier qui s'est consumé. l'illégal dilate les pupilles, et le sourire est perché, les danses crèvent les pores d'la peau. c'est l'euphorie générale, les gamins qui s'éclatent sur un son qui bourdonnent encore dans les tympans l'lendemain. ils ont hurlés, sur ce toit, qu'ils étaient les rois du monde. l'peuple en-dessous d'eux qui a hurlé à la gloire, pouvoir malsain sur les autres.
les parents dans la confiance se sont aveuglés. les gamins, dans l'inconscience, ont chuté.y'a eu le souvenir trouble, les dernières vestiges d'une soirée à bousiller l'éco-système. c'était le début du printemps, l'retour des températures agréables. y'a eu les paupières lourdes, l'soleil à venir cracher sa dernière injure à lui. sanho au réveil, le râle niqué d'une voix épuisée. a posé ses yeux sur l'inévitable. marbre rougeâtre, sur la surface froide, le corps s'est permis le sommeil à jamais. y'a eu la brisure, l'temps en arrêt, s'est échoué pour récupérer l'corps de l'enfant parti. c'était ben, là, dans ses bras tachés. l'goût immonde dans l'fond de la gorge. ils ont hurlés, pourvu que l'aide puisse venir, affolée, apportée au bout d'trop de temps à imprimer l'corps inanimé dans son crâne. y'a eu des larmes mélangées à l'odeur métallique de l'instant. y'a eu les sirènes, les corps qu'on a séparé, ses hurlements qui ont duré.rendez-moi mon meilleur ami. je peux pas le laisser seul.y'a eu les interrogatoires, l'retour à la maison.c'est pas lui, c'était pas lui, mais si c'était moi ? - ( 07 )l'choc s'avale mal, la culpabilité comme démoniaque réalité. les mois complexes, l'goût amer dans le gosier. l'impression immonde que le coupable est gravé sur son front. y'a eu l'corps disparu, sous la terre s'est enfoui. les larmes qui ont déchirés son visage, la beauté s'est barré, pour laisser place au désespoir. l'deuil en travers de la gorge, le cerveau en répétition sur l'coupable qu'il s'inflige. c'était pas lui, ce sera jamais lui. y'a eu le casier vidé, le sourire de la photo à graver dans l'crâne. mais y'aura toujours les poumons épuisés, d'hurler la terreur, tard, la nuit. y'a le besoin d'éteindre les émotions, débordent, s'plaignent à qui veut bien l'entendre.
les excuses placardées, mais les gamins qu'on supporte plus voir.le groupe finira par se briser, manque l'petit prince quand le deuxième sait plus suivre la course. sanho et l'nom de la nausée. doit reprendre la vie comme avant. ça et les venues au tribunal. parce qu'il finiront, tous les quatre, par être clamés innocents. ils ont fini, par plus jamais s'causer. est resté juste à côté, mj, à garder sa place, à aider à reprendre la vie comme elle était avant l'drame. les fleurs disparaissent, son nom plus jamais chuchoté dans les couloirs. ben disparu, et ça a l'goût de pour toujours. dans la culpabilité et l'horreur d'e a solitude, c'est sanho qui reprend son existence, adolescence reprend le cours des choses. - ( 08 )2017,,, harvard, c'est l'berceau du bon. parce qu'à reprendre une vie bien simple, parce qu'à tenter d'étouffer le mauvais à l'intérieur, c'est le dossier qu'il a tenté d'rendre plus joli. parce que c'est la lettre reçue à la maison, qui a fait hurler d'joie. y'a eu la fierté, diplôme empoché, les pieds qui ont foulé la belle école. la vie de jeune adulte qui bat son plein, reprends ses révoltes.
tue le mauvais par un autre, qu'il dessine en bien.à continuer d'être dans l'équipe de football, s'abandonne à corps vif dans ce sport qu'il lâchera jamais.comme la culpabilité.pause dans la réalité qui blesse, dans les pensées qui étouffent. c'est encore douloureux, l'visage revu, les photos toujours accrochées au mur. quitte la chambre familiale, pour l'univers qui lui appartient. les études de droit, pour bien suivre papa, devenir un lui bien meilleur, bien plus tard. le meilleur pote finira par emménager quelques temps après. c'plus agréable, de tuer la solitude, et les cauchemars bâtards avec elle. - ( 09 )2022, les adieux de la culpabilité. la sienne l'a pas assez bouffé, quand l'un d'eux s'jette dans la gueule du loup. pèse, l'mauvais sentiment, écorche vif. parce que devant le juge, il avoue ses crimes. amitié rayée, rature sur l'cahier. présent, l’audience levée, l'regard qui jure sûrement à la haine. parce que ce jour précis, l'ami avoue les tords, n'a jamais été un accident, n'a été que l'fruit d'une simple jalousie, d'un besoin que l'monde se retourne un peu mieux sur lui. n'a récolté que le silence, le jour funèbre dans les esprits des gamins déconstruits. culpabilité se forme autrement.
et s'il avait rien consommé, ce soir-là ?innocence clamée, ça se sent dans la poitrine, si seulement le poids avait jamais pu se laisser peser autrement. faut supporter, que le crâne joue des tours, mais que la respiration s'fait un mieux depuis des années. derrière les barreaux, le démon. grands signes de mains à la bonne vie. à la suite du scénario, paraît si jolie, cette nouvelle page du récit. - ( 10 )janvier 2024, la nouvelle année, l'amour en présent. parce qu'il y rencontre la première fille sur laquelle poser ses yeux pour un temps bien long. à se tourner autour, c'est les corps qui s'approchent les premiers. la fête du nouvel an pour première rencontre. l'charnel à goûter en premier, le nom bien dans le crâne au lendemain matin. c'est les traits de son visage qui hantent, les rencontres qui s'enchaînent. l'couple qui dure quelques mois. l'amour qu'il peut supporter à grande dose. on se fout bien de lui, devant, derrière, mais y'a plus rien qui compte quand elle représente bien plus que tous ceux qui ont prétendus choper son cœur pour d'vrai. c'est en avril 2024 qu'ils se marieront, l'genou posé à terre pas plus tôt que la bague est passée au doigt. à s'adorer, le couple s'est empêtré dans l'chemin boueux du mariage. et peut-être, que tout allait bien. que le scénario avait encore rien craché d'mauvais dans les futures répliques. mais c'était trop tôt, trop beau, pour savoir durer plus longtemps que trois mois, au total.
- ( 11 )tout se termine en juillet 2024. à presque s'épuiser sur l'quatrième mois d'pur amour, c'est le cœur trahi qui se prépare à la haine.
adultère aura leur peau.à réfuter le véritable, c'est d'un accord commun qu'ils finiront par se séparer, elle et lui. parce que divorce est désiré, que les deux parties peuvent plus jamais s'entendre. parce que c'est de sa liberté qu'il finira par reprendre possession, des mois à s'en être privé. c'est dans la décadence qu'il tombe. anarchie des sentiments, d'la pitié, il en veut plus jamais. à profiter du délice du célibat, bientôt marqué divorcé sur les papiers, il s'en marre, la gerbe dans la gorge quand on cause d'infidélité. parce qu'il attend la libération, la sensation d'renouveau. parce qu'il a déjà entamé sa renaissance sans craindre de brûler cette fois. aux jours qui s'allongent, c'est bientôt l'heure de goûter aux joies qu'il s'est refusé pendant trop d'mois. la vie presque en suspend. et il compte bien reprendre en mains c'qu'il a perdu sur le chemin, condamné à sa débauche qu'il embrasse d'passion et d'plaisir.
- Code:
<pris><b>HWANG HYUNJIN</b> <span>@"Sanho Moon"</span></pris>
(Sanho Moon)