Problème à régler (ft. Amore)

Le message était arrivé. Esteban le relut plusieurs fois, pensait évidemment à un guet-apends. Pour autant, il n'en avait parlé que à Bisha. Pas à Ace, pas à Lena, pas à Rose. Personne n'était au courant à part les trois. Bref, le latino s'était habillé le plus à l'aise possible pour être totalement libre de ses mouvements, néanmoins il n'avait pas pu trouver d'armes de poings dans un temps aussi limité. L'occasion étiat trop belle, son objectif était simple : faire la peau à Amore. Le garçon arriva dans la ruelle sombre, lieu du rende-vous, centre ville de Boston. Il attendit que l'italien ramène son nez.

tw : violences physique, sang, vulgarité

Après quelques verres d'alcool engloutis, tu as décidé d'offrir sa revanche à Esteban sur un plateau d'argent. Loin d'être généreux avec ton adversaire, le chaos a juste pris le dessus sur ta personne. Plus déterminé que jamais à laisser la douleur te rendre vivant ce soir, tu te rends sur le lieu de rendez - vous que tu as donné à Esteban. Sourire malsain sur les lèvres quand tes yeux se posent sur le gorille :  — Déjà là, bichette. Un peu déçu d'pas voir ta pute blonde. Rire amère, tu t'approches dangereusement, ramasse une bouteille de verre avant de la lui balancer. Elle le heurte de justesse, s'éclate sur le mur et tu en profites pour te jeter sur lui pour lui asséner la première droite avec un coup de tête puissant au visage, frappant directement son nez avec une telle force que l'impact est instantané — Montre c'que t'as dans l'bide, petite salope. Te délecte de voir l'sang couler de son nez.

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Son coup de poing te prend de court, douleur vibre dans ton œil, brouille ta vision d'un côté. A peine le temps de reculer qu'un deuxième coup de poing s'enfonce dan tes côtes, te coupant net. Le souffle court, ton corps se plie légèrement sous l'impact. Tu te redresses, les le regard noir de rage : — Tu crois que ça va m'arrêter, enculé ? Crache le sang sur le bitume. Ton corps s'élance, lui enfonce un coup de coude dans la mâchoire avant d'enfoncer tes jointures dans ses côtes. —Tu cognes vraiment comme une meuf putain. Sans lui laisser l'temps de récupérer, tu l'tires violemment  par le t-shirt, monte le genou avec force, frappe le thorax pour lui couper l'souffle.

Pas besoin de parler, Esteban préférait garder son souffle pour mieux combattre. Il savait se gérer. Les coups donnés firent mouches facilement, pour autant, il savait que Amore savait se battre, il le lui avait déjà démontré. Foncait droit sur lui, le coup dans la machoire qui lui fait reculer la tête. Violence, du sang qui s'extirpait de sa bouche et se répercutait sur le mur derrière. Esteban fut tiré, recevant le genou en plein thorax. Souffle coupé, il se recula. Rapidement, le latino tenta de reprendre connaissance. Courut vers Amore à plein de vitesse et l'attrapa par la taille pour le renverser. Tombé, Esteban se retrouvait au-dessus de lui et enchaînait les coups un peu partout sur le haut de son corps. Le sang. Il ne voulait voir que le sang.

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Tu tombes à la renverse sous le poids de ton adversaire, ses coups de poings martèlent sur ton torse, tes bras, ton visage, douleur explose chaque nerfs de ton corps, te rend vivant. Goût du sang envahit ta bouche, savoures l'échec comme jamais ce soir. Trop joueur pour te laisser mourir maintenant, tu agrippes le bras d' Esteban au moment où il s'apprête à frapper de nouveau, utilisant son poids et son élan contre lui pour inverser la situation. D'un mouvement vif, tu encercles son cou avec tes mains, ta mâchoire se serre lorsque tu tes doigts se referment contre sa gorge, l'étrangle plus fort. Billes noires pointés dans les siennes. L'sourire malsain, titille sa rage, l'attends avec impatience pour t'en nourrir.

La rage l’avait déjà envahi alors que les premières paroles de l’italien avaient été dites. Désormais au sol, les coups pleuvaient sans chercher à réellement viser. Tête, torse, bras, il y mettait seulement toute sa force sans précision des coups. Jusqu’à ce qu’il arrive à contrer, ses mains encerclant la gorge du latino et le serrant. Pu…tain… Impossible de se dégager, le souffle qui commençait à manquer. Au final, le souvenir d’il y avait trois ans. Ou il avait été pris à parti et avait du tuer pour se sauver. Même chose que maintenant. Force insoupçonnée. De ses bras, il réussissait à choper l’un des deux bras d’Amore et le tordre pour se dégager. Se relevant, Esteban choppa le premier objet qu’il trouva. Tapant de toutes ses forces à plusieurs reprises sur sa jambe gauche.

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Conscient qu'Esteban ne se laisserait pas mourir sous ta poigne, tu le savais d'avance qu'il riposterait à la hauteur de tes coups. Satisfaction malsaine de le voir prendre le dessus, de te donner ce que tu recherches depuis le début ; ressentir. Le choc de l'impact sur ta jambe te tranche le souffle. La douleur raisonne dans tout ton corps. Tu sens ton genou céder sous le coup, craquement raisonne dans tes os. Cri de douleur étouffé que tu pousses, tu ne cherches même pas à te reculer et puis est-ce que tu le pourrais face à sa fureur ? Muscles liquéfiés par l'agonie, incapable de lever t'es bras pour riposter. Tu laisses la douleur te dévorer, en te rappelant à chacun de ses coups à quel point tu es vivant.

La haine se lisait dans ses yeux, dans chaque mouvement qu’il effectuait. Réussissant à sortir de l’étreinte des main d’Amore, Esteban avait saisi la barre de fer et il frappa. Le genou prit cher, malgré la force des coups, le latino entendit le craquement des os signifiant rien de bon pour la jambe de l’Italien. Alors que les coups pleuvaient encore, Esteban n’était plus le même, la rage l’avait envahi et il ne répondait plus de rien. Levant sa barre, il la dirigeait vers son visage mais…

(tw ; violence physique)

de longues minutes à le suivre, certaine qu'il t'en voudrait en te découvrant, mais au vu des menaces, impossible de le laisser y aller seul. au volant de ta voiture, t'avais fini par le perdre, il avait disparu de ton champ de vision. alors t'garant dans un endroit que tu reconnaîtrais, tu arpentais les rues du quartier à pied, à la recherche, d'un bruit, d'une image. quand soudain, des cris, la douleur tu l'entends, prie le ciel pour que ce ne soit pas lui. t'approches doucement, n'pas te faire voir trop vite. l'but n'étant pas d'te mettre en danger, puis tu t'doutes, qu'william n'est pas loin non plus, il risquerait t'sermoner comme il faut d'être ici. cachée derrière un coin de mur, passe ta tête, alors qu'tu l'apperçois, droit sur ses jambes, un sacré soulagement. pourtant la barre de métal entre ses mains et l'élan qu'il semble prendre ne signifie rien de bon. cherche à en voir plus, cherche à comprendre, l'autre type semble bien amoché. tant mieux. pourtant l'idée c'est pas d'lui apporter des oranges en prison. alors tu t'élances, cours vers lui - arrête, arrête... s'il te plaît arrête..., qu'tu lâches en te cramponnant au mieux à l'objet qu'il tient entre ses mains. - regarde moi, regarde moi s'te plaît, calme toi, il mérite pas..., cherchant à attraper le regard bien vide, mérite pas d'gâcher sa vie pour lui. -- @Esteban Morales & @Amore Morelli