Les originesGoudjérates, anglaises, écossaises, allemandes, irlandaises et franco-canadiennes
feat. avan jogia
30 Mars 1998 à Reno, Nevada
Américain, Indien
gay homoromantique, célibataire
Études de réalisation cinématographique
Aisé
Le caractère
ESPRIT OUVERT ∙ Pas froid au yeux, il n’a pas peur de choquer pour marquer l'esprit des gens. Il aime déranger les gens dans leur codes pré-établis et il se repaît de la confusion et du chaos qu’il sème chez les “bien-pensant” — INNOVATEUR ∙ Il est un créateur assez imprévisible. Il est à l’aise dans beaucoup de domaines de l’art, mais surtout il adore être au devant de la scène, devant la caméra — TÊTU ∙ Rakan a beau pouvoir être persévérant, ceci peut parfois ne pas tourner à son avantage. Il n’aime pas faire de compromis et fait les choses à sa manière seulement. Il est bon pour donner des conseils, mais visiblement pas pour les recevoir... — HÉDONISTE ∙ Quels soucis ne seraient pas réglés par une grosse soirée bien arrosée, avec de beaux garçons et des substances illicites ? Aucun vous dirait Rakan, mais visiblement il préfère les solutions à ses problèmes courtes et faciles plutôt que longues et complexes — CHARISMATIQUE ∙ Rakan semble avoir une confiance en lui-même naturelle. Cette confiance peut être contagieuse et attirer les autres vers lui. — AUTHENTIQUE ∙ Les gens sont souvent attirés par ceux qui sont vrais et sincères. Et c'est totalement le cas de Rakan. Il reste tout le temps soi-même dans ses interactions et parle juste comme il le sent, peu importe à qui — ESPIÈGLE ∙ Il est toujours près à sortir une bêtise inattendue pour faire rire la galerie, parfois même inconsciemment — DIVERGENT ∙Il trouve toujours des moyens de faire taire les milles pensées qui lui passent dans l'esprit en créant quelque chose. Cela lui permet de ranger et comprendre ses émotions, alors naturellement c'est devenu un passion pour lui — INSOUCIANT ∙ Il se fiche des conséquence que peux avoir les actions qu'il entreprends, pour les autres et surtout pour lui même — IMPULSIF ∙ Il ne fait pas la différences entre ses désirs et ses besoins, ce qui peut le mener à être assez direct ou encore à éprouver un grand intérêt pour quelque chose et l'abandonner la seconde d'après
Les anecdotes
- ( 01 )Rakan est né à Reno, au Nevada. Son père est un homme politique influent dans sa ville natale. C'est un homme strict avec qui Rakan ne s'est jamais vraiment bien entendu. Il a souvent été violent avec lui lorsqu'il n'était alors qu'un enfant. Et sa mère est une femme calme et discrète, qui ne s'est donc jamais opposée à son mari, en tentant de faire comprendre à Rakan que tout cela était pour son bien. Rakan a également un grand frère. Lui est avocat. Il est le fils parfait que son père a toujours voulu avoir. Ce qui aurait pu rendre Rakan jaloux, mais au final pas vraiment, car même si son frère se pliait aux ordres de leur père, il a tout de même toujours été présent pour protéger Rakan. Alors il l'aimait bien, même s'ils ne pouvaient continuer à vivre dans le même monde.
- ( 02 )Un jour, alors qu'il était encore petit, il y avait une grande réunion à la maison pour Thanksgiving. De nombreux membres de la famille étaient là, tout le monde mangeait, discutait et riait ensemble. Rakan avait un don pour amuser la galerie, alors pour faire l'intéressant il décida de monter dans la chambre de ses parents et de fouiner l'armoire de sa mère pour enfiler des talons bien trop grands, un boa et des lunettes de soleil glamour. Il redescendit ensuite pour faire son petit défilé devant les tantines qui elles trouvaient toutes ça amusant. Mais quand son père arriva dans la pièce, l'ambiance changea automatiquement. Il se rua sur Rakan et le souleva pour l'emmener jusqu'à la porte de la maison. La mère de Rakan faisait tout pour tenter de le calmer, mais il n'écoutait rien et jeta Rakan dehors dans le froid et la neige. Le jeune garçon était en état de choc total, si bien qu'il ne pleurait même pas. Après quelques minutes, son frère sortit par l'arrière de la maison avec une couverture. Il l'emmena à l'abri dans le garage. D'en bas il pouvait encore entendre son père en colère proliférer toutes sortes d'insultes homophobes et misogynes. Depuis ce jour, sa relation avec son père fut fracturée à jamais.
- ( 03 )En grandissant, Rakan a eu une relation un peu houleuse avec l'école. Avec les autres il s'entendait relativement bien, c'était le genre à faire des choses débiles pour impressionner ses potes, mais il n'arrivait vraiment pas à se concentrer en cours. Sa tête ne s'arrêtait jamais. Il bougeait tout le temps sur une chaise, avait du mal à écouter pendant une heure. Clairement il avait les symptômes d'un enfant neuro divergent, mais bien que les différents professeurs ont tenté d'évoquer cette possibilité à son père, celui-ci ne voulait rien entendre. À la fin de la primaire, son père décida donc de l'envoyer dans un internat de garçons.
- ( 04 )À l'internat, c'était pas vraiment la rigolade: uniformes obligatoires, pas de cheveux longs, réveil à 6h du matin, bref la bonne panoplie du militaire en herbe. Sauf que Rakan n'avait rien d'un militaire. Il finissait souvent en heures de colles à cause de ses résultats médiocres, n'avait plus aucun adulte à qui parler car il était maintenant loin de son frère et sa puberté venait s'ajouter à tout ça, en sentant clairement grandir en lui une attirance pour les garçons de son école. Au moins avec eux, il s'entendait plutôt bien. L'avantage d'être dans un internat, c'est que la plupart de ces gosses étaient comme lui: délaissés par leur parents pour une raison x ou y, et jugés par les éducateurs car considérés comme défaillants. Ils se serraient les coudes pour supporter leurs conditions d'éducation, et pour trouver des moyens d'y échapper, comme la drogue...
- ( 05 )Rakan a bu son premier verre à 12 ans et a fumé pour la première fois l'année d'après. Pendant ces moments-là, c'était l'éclate totale. Il riait avec ses amis et ne pensait à rien d'autre. Jusqu'à ce que la cloche sonnait et que là venait l'étape difficile: comment paraître sobre de façon crédible pendant un cours d'une à quatre heures ? Au début c'était carrément un échec, et le genre de sanctions est assez incroyable: convocation devant le directeur avec les parents, heure de colles le samedi matin, et pour couronner le tout, travail d'intérêt général dans l'enceinte de l'école. C'est une jolie manière de dire nettoyeur de chiottes mineur et non payé.
- ( 06 )Au lycée, tout le monde devenait un peu plus adulte, mais les conneries ne s'arrêtaient pas là pour autant, bien au contraire, elles avaient des conséquences plus lourdes... Rakan venait d'une famille plutôt aisée. C'était la position de son père dans l’élite du Nevada qui lui avait permit une place dans cette grande école. Les autres élèves eux aussi venaient de familles riches, parfois très riches. Et avaient donc en conséquence accès à des substances bien plus lourdes: amphétamines, LSD, ecstasy, cocaïne... C'était maintenant monnaie courante dans cette école. Rakan tenta un jour alors qu'il était seul et là, à ce moment précis, tout s'était arrêté: ses pensées qui fusaient, ses pulsions sexuelles refoulées, ses soucis de confiance en soi, tout. Juste un pur instant de vide, libéré de toute chaîne, tout soucis. C'était ça, cet instant qu'il se mettra à rechercher désespérément en essayant tant de substances différentes, jusqu'à ce que son corps ne puisse plus suivre. Il fit une overdose à ses 17 ans.
- ( 07 )En parallèle de ses cours, Rakan dut alors découvrir également la désintox. Il y était le plus jeune, naturellement et s'y sentait vraiment comme une merde. Mais une chose, une seule chose le poussait à aller de l'avant: sa liberté. Il allait sur ses 18 ans, dans un an encore il pourrait quitter le domicile familial à jamais pour ne plus revoir son père et cette vie misérable. En 6 semaines, sa cure de désintoxication était enfin finie. Il avait aucune intention de rester sobre bien évidemment, mais s'était donné pour objectif d'en finir avec cette maudite école. Il réussi à finir ses examens, avec des résultats toujours médiocres, mais suffisants. Rien ne le rendait plus heureux: c'était pour lui son billet de sortie.
- ( 08 ) Ayant finalement fini la désintox et l’école, Rakan se mit en tête de partir loin de Reno pour entamer des études de cinéma. Son père pensait que c’était une perte de temps comme cursus, mais il fut bien obligé de constater les efforts de son fils tant au niveau scolaire qu’au niveau de santé. D’autant plus que pour quelqu’un comme lui, il était impensable qu’un de ses enfants se retrouve à faire un métier minable, alors pour redorer son blason, après avoir couvert l’histoire de l’overdose, il accepta de financer les études de son fils à Harvard. Les fonds prévus à cet effet étaient de toute manière mis de côté avant même sa naissance…
- ( 09 )Si son père avait accepté de payer ses études, c’est là que s'arrêtait tout son support pour Rakan. Il n’avait pas d’appartement alors que sa famille avait largement les moyens de lui en payer un, et il n’avait aucun matériel pour débuter son cursus. Il lui fallait donc vite trouver un moyen de se faire de l’argent pour payer de l’équipement de qualité. Les petits jobs étudiant c’était pas vraiment son truc, il retenait même pas les anniversaires de ses amis alors une commande pour des clients… Il tenta alors de se lancer vers sa vielle amie: la drogue. Mais attention cette fois-ci pas pour consommer non, mais pour livrer. Il a vite trouvé un fournisseur et commença à faire son boulot, mais le jour où il finit à devoir se cacher dans les toilettes pendant un règlement de comptes et que les balles fusillaient partout, il a finit par comprendre qu’il valait mieux se contenter de la consommation
- ( 10 )Rakan cherchait alors désespérément un autre moyen de faire de l’argent, et c'est que lui vint à l’esprit une idée: un compte Onlyfans. Entre la drogue et le sexe, c’est clair que cette dernière est moins létale, et puis avec ses compétences en édition vidéo, il avait moyen de créer de vrais vidéos qui amaserait beaucoup de monde, il suffit d’avoir une bonne DA, et de ne pas avoir peur de se mettre devant la caméra, tant mieux pour lui, Rakan n’est absolument pas quelqu’un de pudique. En quelques jours, il avait déjà établi un compte sur Twitter, et une certaine mini popularité sur les différents réseaux de rencontre du coin. Au début ça rapportait pas des masses, mais avec le temps, depuis qu’il est arrivé à Boston, ça lui aura permi de bien économiser et finir par acheter tout ce dont il avait besoin.
- Code:
<pris><b>AVAN JOGIA</b> <span>@"Rakan Ithas"</span></pris>
(Rakan Ithas)