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Les origines⛧*̥₊˚ sud-coréennes ୨୧
les origines de miya demeurent enveloppées dans un voile de mystère, révélées uniquement à travers les récits empreints de nostalgie de ses parents, tous deux issus de la terre coréenne. c’est surtout par les paroles délicates et profondes de sa mère, avec laquelle il entretient un lien indéfectible, que miya a entrevu les contours de ce pays lointain, qu’il n’a jamais eu l’occasion de fouler de ses propres pas. la corée vit en lui tel un songe, un écho distant, nourri par les souvenirs maternels, sans qu’il ait pu découvrir de ses propres yeux l’étendue de cet héritage ancestral qui demeure pour lui une source inépuisable de fascination.
les origines de miya demeurent enveloppées dans un voile de mystère, révélées uniquement à travers les récits empreints de nostalgie de ses parents, tous deux issus de la terre coréenne. c’est surtout par les paroles délicates et profondes de sa mère, avec laquelle il entretient un lien indéfectible, que miya a entrevu les contours de ce pays lointain, qu’il n’a jamais eu l’occasion de fouler de ses propres pas. la corée vit en lui tel un songe, un écho distant, nourri par les souvenirs maternels, sans qu’il ait pu découvrir de ses propres yeux l’étendue de cet héritage ancestral qui demeure pour lui une source inépuisable de fascination.
feat. donghyun kim
⛧*̥₊˚ 28 octobre 2004 ୨୧
from honolulu --
miya se laisse porter par le souvenir de ces jours qui s’étirent comme une lune de miel infinie. son père, grand voyageur, semble avoir trouvé dans ces îles un refuge, une échappatoire à une réalité qu’il préfère oublier. le rêve paradisiaque qui l’entoure lui permet de vivre dans une douce tranquillité, jusqu’à ce que les premières fissures apparaissent, se dévoilant peu à peu, comme des cicatrices sur un ciel trop longtemps ignoré.
from honolulu --
miya se laisse porter par le souvenir de ces jours qui s’étirent comme une lune de miel infinie. son père, grand voyageur, semble avoir trouvé dans ces îles un refuge, une échappatoire à une réalité qu’il préfère oublier. le rêve paradisiaque qui l’entoure lui permet de vivre dans une douce tranquillité, jusqu’à ce que les premières fissures apparaissent, se dévoilant peu à peu, comme des cicatrices sur un ciel trop longtemps ignoré.
⛧*̥₊˚ américaine ୨୧
miya est né à honolulu, où son enfance s'est déroulée au rythme des vagues et des brises marines. sa nationalité est américaine, un héritage du sol qui l’a vu naître. pourtant, le destin l’a conduit vers les terres brumeuses de boston, prétextant une promotion offerte à son père. mais cette migration cachait un secret plus sombre, une vérité que les murmures de la raison tentaient de dissimuler : son père, en vérité, suivait les échos d'une passion interdite, une maîtresse rencontrée lors d’un séminaire à boston.
miya est né à honolulu, où son enfance s'est déroulée au rythme des vagues et des brises marines. sa nationalité est américaine, un héritage du sol qui l’a vu naître. pourtant, le destin l’a conduit vers les terres brumeuses de boston, prétextant une promotion offerte à son père. mais cette migration cachait un secret plus sombre, une vérité que les murmures de la raison tentaient de dissimuler : son père, en vérité, suivait les échos d'une passion interdite, une maîtresse rencontrée lors d’un séminaire à boston.
⛧*̥₊˚ anti-romantic ୨୧
( se pose des questions sur sa sexualité ) -- l'amour est un mystère fragile, un rêve trop beau pour survivre. il vivait dans une illusion dorée, jusqu'à ce que des mots intimes d'une autre femme viennent briser l'enchantement, révélant la double vie de son père. miya, bouleversé, jure de ne jamais aimer, par peur de la trahison. pourtant, son cœur murmure encore, attiré par l'amour qu'il redoute. (( amour qui se trouve sous son nez. ))
( se pose des questions sur sa sexualité ) -- l'amour est un mystère fragile, un rêve trop beau pour survivre. il vivait dans une illusion dorée, jusqu'à ce que des mots intimes d'une autre femme viennent briser l'enchantement, révélant la double vie de son père. miya, bouleversé, jure de ne jamais aimer, par peur de la trahison. pourtant, son cœur murmure encore, attiré par l'amour qu'il redoute. (( amour qui se trouve sous son nez. ))
⛧*̥₊˚ so let's go see the stars ୨୧
première année d'astrophysique --
parce que les étoiles lui montent à la tête, et qu'il passe ses nuits à rêver de vénus et des constellations, il finit par résumer sa vie à jouer avec l'espace. l'industrie du cinéma, trop complexe, trop étroite, lui semble un labyrinthe sans issue. malgré sa passion dévorante pour le cinéma, il abandonne cette idée pour se consacrer à ce qui fait réellement vibrer son âme.
première année d'astrophysique --
parce que les étoiles lui montent à la tête, et qu'il passe ses nuits à rêver de vénus et des constellations, il finit par résumer sa vie à jouer avec l'espace. l'industrie du cinéma, trop complexe, trop étroite, lui semble un labyrinthe sans issue. malgré sa passion dévorante pour le cinéma, il abandonne cette idée pour se consacrer à ce qui fait réellement vibrer son âme.
⛧*̥₊˚ from prada to nada ୨୧
papa et miya partagent un secret lourd et grotesque : depuis le divorce, leur mère, incapable de poursuivre sa carrière d’avocate, s’effondre peu à peu. la pension alimentaire, bien qu’indispensable, ne fait qu’aggraver sa situation. miya, conscient des moyens de son père, exerce une pression pour financer ses études coûteuses, menaçant de révéler la vérité si ses attentes ne sont pas satisfaites. dans le même temps, il endure la nouvelle addiction de sa mère aux jeux d'argent, tandis que les dettes et crédits s’accumulent, plongeant la famille dans une spirale de difficultés toujours plus grandes.
papa et miya partagent un secret lourd et grotesque : depuis le divorce, leur mère, incapable de poursuivre sa carrière d’avocate, s’effondre peu à peu. la pension alimentaire, bien qu’indispensable, ne fait qu’aggraver sa situation. miya, conscient des moyens de son père, exerce une pression pour financer ses études coûteuses, menaçant de révéler la vérité si ses attentes ne sont pas satisfaites. dans le même temps, il endure la nouvelle addiction de sa mère aux jeux d'argent, tandis que les dettes et crédits s’accumulent, plongeant la famille dans une spirale de difficultés toujours plus grandes.
Le caractère
꒷꒦ ⋆˚✿˖° miya est animé par une soif de vengeance et un goût acerbe pour mettre en lumière les imperfections autour de lui. s'il ne se place pas au centre de l'univers, il ressent souvent une absence de soi, comme s'il n'existait pas vraiment. dans un monde où il s'est toujours effacé, l'égoïsme s'impose et la soif d'être désiré prend le pas. il se retrouve alors à jouer et manipuler malgré lui. son cœur, en proie à la souffrance, se sent à la fois seul et paradoxalement entouré. les relations sociales deviennent pour lui une énigme insondable.
son esprit, toujours joueur, plonge souvent dans une régression nostalgique, cherchant refuge dans les mémoires d'une vie ensoleillée qu'il chérit. le dédain pour boston, un lieu qu’il trouve minable, alimente un mal du pays lancinant. il ne peut retourner à honolulu, trop attaché à celle qui l'a éduqué entre deux plaidoiries. la découverte de sa demi-sœur ne fait qu'ajouter à son tourment, éveillant en lui un besoin obsessionnel de dévoiler les mystères qu’elle semble tordre dans son dos.
perdu dans les méandres de son identité, miya se demande s'il est réellement coréen. tout ce qu'il se rappelle, ce sont ses traits asiatiques, mais la vie qu'il mène, l’endroit où il se trouve, semblent étrangers à ses origines profondes.
en proie à une hypersexualité dense, le charnel emporte souvent sur les émotions, devenant un exutoire pour sa colère refoulée. les relations physiques deviennent une évasion viscérale, un moyen de transcender la douleur et les frustrations accumulées. cette quête de gratification charnelle, bien que fervente, masque les blessures qu'il peine à exprimer autrement.
miya a plus de facilité à détester qu'à aimer, une tendance exacerbée par sa prudence excessive et son insatisfaction chronique envers les relations passées. il trouve l'humain exécrable, et sa haine est teintée de commitment issues et de daddy issues violents qu'il refuse de reconnaître. sa capacité à aimer est obstruée par une colère persistante et un manque de confiance en les autres, résultant en une difficulté à établir des liens authentiques et durables. son aversion pour les relations profondes et son cynisme face aux émotions humaines révèlent un adulescent pris dans une lutte intérieure, où la haine et le doute règnent en maîtres sur ses aspirations et ses désirs.
malgré toutes ses contradictions et ses tempêtes intérieures, miya reste, au fond, un grand enfant. ses rêves sont souvent loufoques, peuplés de centres d'intérêt que l’on pourrait qualifier d’enfantins. les films de ghibli occupent une place immense dans son cœur, animant les souvenirs de son enfance grâce à celle qui a choisi son prénom. en hommage à miyazaki, le créateur de mondes merveilleux, miya porte son nom avec fierté, un raccourci qui reflète sa propre créativité débordante.
il se promène toujours avec une caméra, prêt à capturer le monde comme s'il s’apprêtait à réaliser son plus grand film, ou bien il est penché sur un carnet, esquissant des personnages singuliers qui rappellent l’univers envoûtant des ghibli. pour miya, l’art est une échappatoire, un moyen de se reconnecter à cette part d’innocence et de magie qui lui permet de rester ancré dans ses rêves. c’est dans ces moments de création que miya se libère, retrouvant la pureté d’un regard d’enfant sur un monde qu’il peine à comprendre, mais qu’il ne cesse d’embellir à travers son art.
son esprit, toujours joueur, plonge souvent dans une régression nostalgique, cherchant refuge dans les mémoires d'une vie ensoleillée qu'il chérit. le dédain pour boston, un lieu qu’il trouve minable, alimente un mal du pays lancinant. il ne peut retourner à honolulu, trop attaché à celle qui l'a éduqué entre deux plaidoiries. la découverte de sa demi-sœur ne fait qu'ajouter à son tourment, éveillant en lui un besoin obsessionnel de dévoiler les mystères qu’elle semble tordre dans son dos.
perdu dans les méandres de son identité, miya se demande s'il est réellement coréen. tout ce qu'il se rappelle, ce sont ses traits asiatiques, mais la vie qu'il mène, l’endroit où il se trouve, semblent étrangers à ses origines profondes.
en proie à une hypersexualité dense, le charnel emporte souvent sur les émotions, devenant un exutoire pour sa colère refoulée. les relations physiques deviennent une évasion viscérale, un moyen de transcender la douleur et les frustrations accumulées. cette quête de gratification charnelle, bien que fervente, masque les blessures qu'il peine à exprimer autrement.
miya a plus de facilité à détester qu'à aimer, une tendance exacerbée par sa prudence excessive et son insatisfaction chronique envers les relations passées. il trouve l'humain exécrable, et sa haine est teintée de commitment issues et de daddy issues violents qu'il refuse de reconnaître. sa capacité à aimer est obstruée par une colère persistante et un manque de confiance en les autres, résultant en une difficulté à établir des liens authentiques et durables. son aversion pour les relations profondes et son cynisme face aux émotions humaines révèlent un adulescent pris dans une lutte intérieure, où la haine et le doute règnent en maîtres sur ses aspirations et ses désirs.
malgré toutes ses contradictions et ses tempêtes intérieures, miya reste, au fond, un grand enfant. ses rêves sont souvent loufoques, peuplés de centres d'intérêt que l’on pourrait qualifier d’enfantins. les films de ghibli occupent une place immense dans son cœur, animant les souvenirs de son enfance grâce à celle qui a choisi son prénom. en hommage à miyazaki, le créateur de mondes merveilleux, miya porte son nom avec fierté, un raccourci qui reflète sa propre créativité débordante.
il se promène toujours avec une caméra, prêt à capturer le monde comme s'il s’apprêtait à réaliser son plus grand film, ou bien il est penché sur un carnet, esquissant des personnages singuliers qui rappellent l’univers envoûtant des ghibli. pour miya, l’art est une échappatoire, un moyen de se reconnecter à cette part d’innocence et de magie qui lui permet de rester ancré dans ses rêves. c’est dans ces moments de création que miya se libère, retrouvant la pureté d’un regard d’enfant sur un monde qu’il peine à comprendre, mais qu’il ne cesse d’embellir à travers son art.
Les anecdotes
- ᯓ★ 1. miya garde en lui les réflexes d'une vie autrefois dorée, où l'indépendance était un concept lointain. l'apprentissage des gestes simples —cuisiner, ranger, ou même ouvrir une porte— lui semble presque étranger, un fardeau pour quelqu'un qui a toujours été entouré d'attentions. habitué à un princess treatment, où chaque détail était pris en charge, il ressent aujourd’hui la pesanteur d’un quotidien plus austère. désormais, il doit apprivoiser l'indépendance, apprendre à se débrouiller seul dans un monde qui ne s’adapte plus à ses désirs, mais où il est contraint de se forger une nouvelle manière d’exister, plus humble et plus proche du réel.
- ᯓ★ 2. fils de deux avocats influents d'honolulu, a grandi dans l’ombre de parents dévoués à leur carrière. sa mère, douce et empathique, se consacrait aux affaires d'immigration, tandis que son père, froid et implacable, dominait le pénal. ensemble, ils avaient bâti un cabinet respecté sur l'île : hong & co group. malgré leur absence, ils faisaient de leur mieux pour combler leur fils. ils ont toujours été des parents aimants et attentionnés, veillant à ce que son éducation soit à la hauteur de leurs attentes. pourtant, ces récits de justice qui entouraient son enfance ont éveillé en miya une aversion profonde pour un monde qu'il trouvait trop ennuyeux, sans rêverie. refusant de suivre les traces de son père malgré l'opulence promise, il a choisi un autre chemin. alors que ses parents s’absorbaient dans leurs carrières, miya trouvait réconfort auprès de la fille au pair qui veillait sur lui. c’est à travers ce lien, plus tendre, qu’il a échappé à l’austérité du monde juridique, nourrissant son esprit rêveur et refusant la froideur des lois et des tribunaux.
- ᯓ★ 3. depuis son enfance, il a également développé une passion pour la collecte de roches colorées et dessinées. il les chérit comme des petits trésors, et en retour, il dépose aussi des pierres ornées de son propre art dans divers endroits, semant des fragments de son imagination à travers le monde.
- ᯓ★ 4. miya apparaît comme une personne assez réservée en surface, mais sous cette façade se cache un caractère flirty et intrigant. malgré une haine viscérale envers le monde, il s'adonne aux jeux de séduction avec une approche singulière et souvent étrange. il se lasse rapidement des gens, alimentant ses relations par un mélange de haine et de rejet. pour lui, l’amitié semble une notion abstraite, trop éphémère pour être prise au sérieux. pourtant, il est paradoxalement capable de développer une affection amicale sincère, malgré son scepticisme. ses liens amicaux, bien que rares, sont marqués par une profondeur inattendue, révélant une facette plus douce de sa personnalité complexe.
- ᯓ★ 5. voilà un être délicat, tissé d'une passion brûlante pour ses hyperfixations. les chats, avec leur grâce silencieuse, occupent une place de choix dans son cœur. il se perd volontiers dans les méandres mélodieux du vocaloid, où hatsune miku danse en écho à ses émotions, accompagné des notes troublantes de maretu et babymetal qui résonnent en lui comme une confession intime. les univers enchanteresses des films ghibli lui offrent refuge, des paysages qu'il peut explorer sans fin. ce qui le définit, c'est cette capacité rare et précieuse de parler sans relâche de ce qu'il aime, surtout avec ceux qui comptent pour lui. dans ces échanges passionnés, où il dévoile ses obsessions, se révèle son véritable langage de l'amour, une communion par la parole qui ne connaît pas de fin.
- ᯓ★ 6. une âme enchevêtrée dans les fils d’un monde virtuel, chronically online, où sa présence s’impose avec une intensité singulière. c’est dans les méandres d’internet qu’il s’épanche sur ses rêves de cinéma, partageant des critiques pointilleuses, teintées d’une passion inébranlable. là-bas, il expose son âme avec une honnêteté presque cruelle, parlant de ses désirs les plus profonds. pourtant, il arrive que, sans prévenir, il désactive ses comptes, disparaissant dans le silence numérique. mais nous savons bien, ici, qu’il s’agit d’une nouvelle crise narcissique, un élan désespéré de se sentir désiré, attendu, indispensable aux yeux des autres.
- ᯓ★ 7. s'il est une chose que miya abhorre, c'est bien le sport sous toutes ses formes. il ne comprend pas cette ferveur qui anime ceux qui s’y adonnent avec passion, ni cette étrange addiction qui les pousse à tant d’efforts. pour lui, moins il en fait, mieux il se sent. son corps, soutenu par un métabolisme rapide, semble le lui pardonner, l’exemptant de cette vigilance que la plupart exercent sur leur santé. pourtant, il sait qu'il devrait y prêter attention, mais il préfère se perdre dans la tentation de la junk food, s’abandonnant avec délice à ces plaisirs coupables.
- ᯓ★ 8.quand l'anxiété devient insupportable, miya trouve refuge dans des habitudes singulières. il passe des heures à tirer sur un élastique bleu, qu'il porte autour du poignet, une couleur douce et apaisante qui évoque l'azur d'hawai, comme une ancre jetée dans un océan de tourments. et lorsqu'il sent le besoin de s'échapper, il devient insaisissable, se cachant dans des recoins que personne n'aurait imaginés. tel un chat, il sait se glisser avec une aisance féline dans ces endroits secrets, disparaissant aux yeux du monde, trouvant la paix dans l’ombre.
- ᯓ★ 9. sous ses airs fiers et brutaux, miya cache une sensibilité à fleur de peau. c’est un émotif, prompt à laisser couler des larmes lorsque ses faiblesses, nombreuses et délicates, se dévoilent. parmi ses faiblesses, les mariages occupent une place particulière, ses péchés mignons. il conserve précieusement, dans son portefeuille kuromi, une photo de sa mère, jeune mariée, rayonnante dans sa robe blanche. une scène émouvante dans un film suffit à le faire pleurer, tout comme la vue d’un adorable animal qui jase dans les rues peut lui arracher un cri de joie. c’est sa manière de montrer qu’il n’est pas qu’une âme de pierre en colère contre le monde, mais un être tendre, capable d’éprouver des émotions vives et profondes.
- ᯓ★ 10. bien plus girlypop qu'il ne le réalise lui-même, malgré ses tenues confortables et oversized qui semblent le dissimuler. son apparence est toujours soigneusement travaillée, et le maquillage est pour lui une nécessité, non une option. plus jeune déjà, il empruntait en cachette le maquillage de sa mère pour tracer des lignes de liner audacieuses ou peindre ses ongles d’un noir profond. aujourd’hui, il n’a plus honte d’affirmer son amour pour l'esthétique. il fréquente fièrement une prothésiste ongulaire, optant parfois pour des ongles chromés ou ornés de motifs en 3d. pour lui, ces éléments, souvent considérés comme féminins, sont en réalité neutres et universels. c’est ainsi qu'il choisit d’exprimer sa véritable identité, brisant les codes avec une élégance assumée, redéfinissant ce que signifie être soi dans un monde encore trop attaché aux stéréotypes genrés.
- Code:
<pris><b>Kim Donghyun</b> <span>@"Miya Hong"</span></pris>
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