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Evan Nirvana-Primaelle Cobain
C'est le 21 décembre 1992 à Manchester, que les membres de la famille Cobain m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Evan Nirvana-Primaelle . Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de sport et de graphisme depuis trois ans ans et finance mes études en travaillant en tant que dealeuse (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les mather
PART 1.0 ⊱ WE WERE BORN TO DIE
Deux bébés. Nous étions deux bébés. Foutue naissance. Foutue naissance. Foutue naissance. Et elle pouvais pas garder les deux. Au fait, moi je suis la très (mal)heureuse Evan. Evan Nirvana-Primaelle. Mais la version complète longue et chiante a retenir c'est John Lorenza Evan Nirvana-Primaelle Andrea. Je suis née le jour de l'hiver sous une neige tombante. Moi et ma soeur jumelle. Deux bébés. Mais qu'une seule qui méritait de porter le nom de Cobain. Qu'une seule qui a été élevée par nos monstres de géniteurs. Et ce ne fut pas Romy. J'ai grandit avec eux. J'aurais aimé dire a quel point ça a été génial d'être fille unique, et que j'ai vécu en enfance parfaite, mais a quoi bon mentir? Je hait mes parents. Je hais cette bande de menteurs. Je les hais. Tout simplement. Je suis donc née en 1992 à Manchester, mais nous somme retournés au USA juste après, je n'ai donc jamais vu Manchester, j'ai grandi avec mes parents. Jusqu'à l'âge de 12 ans, tout allait bien. J'ai jamais été la gamine sage intelligente et travailleuse que mes parents auraient aimé avoir. J'étais du genre a jouer au football et à me battre avec des garçons plutôt que de faire de la danse, je réviser ou de faire l'enfant sage. J'étais pas une bosseuse. J'étais une loseuse. Mais j'avais mes potes, et j'emmerdais ces petites garces en tutu rose qui me critiquaient. A douze ans j'ai rencontré ce mec. Bryan. Un petit frenchie comme je les aime. Mon premier copain. On a voulu fouiner dans ma maison ensemble et on s'est retrouvés dans le grenier. Et il a trouvé cet album photo.PART 2.0 ⊱ ONE DAY BABY WE'LL BE OLD
J'ai une soeur. J'ai une soeur, j'ai une soeur, j'ai une soeur. Voilà la seule chose a laquelle j'ai pensé. Bryan n'a pas compris, mignon mais idiot. Bon, dans l'histoire, ce mec n'est qu'un détail. Il est reparti en France sept semaines plus tard. Mais apprendre l'existence de cette soeur m'a bouleversée. Je ne suis plus seule... Mais comment retrouver une soeur dont je ne connais même pas le nom? Je l'avais juste vue sur cette photo. J'ai fermé ma gueule jusqu'au jours ou j'en ai eu assez. J'avais quinze ans. «Maman... Pourquoi tu m'a jamais dit que j'avais une soeur?» elle se crispe. «C'est compliqué ma puce.» elle m'évite. Elle m'esquive. Elle me fuit. Elle me craint. Et elle se dit être ma mère, une force de la nature? «Donc j'ai une soeur et toi et papa vous ne me dites rien? "Mais oui, c'est normal, on a une fille caché mais on va pas le dire a la notre, c'est inutile" FOUTAISES! Qui est elle? Qui est ma soeur?» je m'emporte. Elle pleure. Mon père rentre du boulot. Elle fond en larmes. Mon père ne sait pas ce qu'il se passe. Il voit que je suis énervée. Il me renvoie dans ma chambre. Je part en pleurant aussi. Je prends mon portable, un peu de thune et mes clopes, et je sort par la fenêtre. je veut essayer d'autres choses... Des choses différentes. Je sais qu'il y a une fête chez une amie a moi. J'y vais. Je bois, encore et encore. Je tient bien l'alcool. Ce mec me drague. Il est beau, avec un superbe sourire. Il me prends la main. On entre dans une chambre. On se déshabille. Il me vole ma virginité sans aucun scrupule. Je la perds sans aucun regrets. Il se rhabille. Il m'embrasse sur la joue et il part. J'allume une cigarette. Je me rhabille. Un mec me vent de la drogue. J'essaie pour la première fois. Je ramollis. Une pétasse viens me chercher des emmerdes. Elle crie que j'ai baisé son mec. Je lui me marre, je marche vers les bouteilles et me fait un shot de tequila. Elle me suit. Elle me pousse. Je lui ris au nez. Elle me re-pousse. Je prends une bouteille et je lui vide sur la tête avant de l'écraser louredment sur son crane. Elle à l'arcade sourcillière qui saigne. Je pars défoncée. Je me perds dans le quartier ou avait lieu la fête et une fille de ma classe me reconnais. Elle subit tout les jours les insultes et les menaces de la pétasse dont j'ai couché avec son mec. On dirait bien que je vais recevoir des menaces aussi. Elle vient me dire bonjour. Je m'évanouis. Alcool + émotions + drogues + sexe = coktail molotov psychologique. Je me réveille a l'hosto. J'ai des cicatrices aux poignets, visiblement, j'ai fait une tentative de suicide. Papa et maman sont là. Visiblement ils regrettent et m'avouent que ma soeur s'appelle romy. PART 2.2 ⊱ OH NA NA, WHAT'S MY NAME
Me voilà âgée de18 ans en train d'essayer de reprendre contact avec une soeur disparue. La magie de facebook fait bien les choses car je la retrouve. Romy Cobain. Je commence a lui parler. Je lui dit tout. Je lui apprends que voilà. C'est ma soeur. Et par chance on va se retrouver ensemble à Harvard l'an prochain. Et on étudie toutes les deux le sport.PART 3.0 ⊱ I DON'T CARE, I LOVE IT
Je consomme, je revends, je baise je bois. Je suis une râtée. Une grosse râtée. Quand j'ai ramené Romy a la maison ça a gueulé sévère. Maman a dit qu'elle ne voulait plus jamais me voir. Papa m'a fouttue dehors. Et romy ne ressentait rien. Elle est sociopathe. J'vous jure, devoir la gérer est vraiment invivable. Mais elle ressends de la compassion envers moi. Je rentre dans ma chambre par la fenêtre, je récupère des teucs et on fille. Moi à le Mather house, elle à la Eliot House. Deux maisons ennemies, mais deux soeurs amies. Maman m'a rappelé en pleurant le lendemain. J'ai récupéré ce qui restait et j'ai déménagé mes fringues a Harvard. Et je suis devenue dealeuse. Et consommatrice pur souche 100%. j'ime ce que je fait. Détruire ma vie. A longueur de journées. J'aime ça. J'adore ça. Me détruire me rend heureuse. On meurs tous un jour, pitié, faites que celà vienne vite. (Invité)