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cece valentina anzilutti
i am happy because i don't have any reason not to be Valentina a vu le jour le dix sept novembre mille neuf cent quatre vingt dix dans la belle ville de Naples en Italie. Cette naissance en Europe est le fruit du hasard : ses parents se sont rendus sur les terres des ancêtres de son père pour un voyage d'affaire. A cette époque ils travaillent dans la mise en place de leur entreprise de textile, une société qui fera fortunes quelques années seulement après le lancement. L'absence de ces parents a été sa routine. Elle considère sa nourrice d’antan comme sa véritable mère, n'ayant jamais réussi à tisser de réel lien avec sa mère de sang. Valentina a toujours eu ce qu'elle voulait étant petite, ses parents compassant le manque d'affection par des cadeaux d'une fortune inavouable. Elle a toujours été très bonne à l'école, enfait elle adore ça ! Elle n'est pas surdouée mais s'investit depuis toute petite dans son travail. Elle a enchaîné les professeurs particuliers, comme le souhaitait ses parents, car oui seul ça les intéressait : ses résultats scolaires. Depuis qu'elle a vu le jour ils voient en elle la seule héritière de leur marché fleurissant. La surprise a donc été grande quand à la sortie du lycée elle leur a annoncé qu'elle ne poursuivrait pas ses études. Cette annonce a fait effet boule de neige, et a finit de fissurer le fossé qu'ils s'étaient installé entre les parents et leur fille. Depuis ce temps ils ne se parlent plus, Mme Anzuletti continue cependant de remplir le compte en banque de sa fille, sans le dire à son mari. Deux ans, c'est ce que s'est octroyé Valentina pour faire le tour du monde, voir autre chose que son amérique. Elle a vu pas mla de pays, de population, les plus marquants restent : l'australie, l'inde, le pérou, la pologne ... Et l'Italie où elle a remis les pieds pour la première fois 18 ans après sa naissance. Elle est restée 6 mois dans le pays du soleil, et a réussi à retracer l'arbre généalogique de son père. C'est comme cela qu'elle a retrouvé sa grand mère et ses cousins, les seuls avec qui elle s'est vraiment sentie "en famille". Au fil de ses différentes destinations elle a eu l'honneur de participer à des actions humanitaires, ce qui est devenue son activité principale durant deux ans. Aider les autres est devenu son moteur, son fil conducteur.
be yourself; everyone else is already taken. Le retour aux États Unis a été assez difficile dans un premier temps. Il a fallut se remettre dans le bain, se réadapter au train train quotidien. C'est avec un but qu'elle est revenue vivre à Cambridge, à présent elle sait ce qu'elle veut faire dans la vie. Au culot elle est allée à toutes les universités de la région, et c'est la plus réputée d'entre elles qui lui a ouvert ses portes : Harvard. Il y a deux ans elle n'aurait jamais imaginer pouvoir mettre dans ce campus mythique, mais voilà aujourd'hui elle y est, et est encore plus motivée pour réussir. C'est en biologie qu'elle est scolarisée depuis deux ans, un domaine qui l’intéresse qui est stimulant et jamais à bout de ressource. A la fin de la première année elle s'est spécialisée en cosmétologie. Ses études lui ressemblent bien : superficielles, difficiles, mais soucieuses du futur. Plupart elle compte bien être l'heureuse fondatrice d'une marque de cosmétique totalement respectueuse de l'environnement.
some words for describe her. En apparence c'est la fille superficielle par excellence : féminine jusqu'au bout des ongles, séductrice, fêtarde. Mais il ne faut pas se laisser avoir, il s'agit là de la carapace qu'elle s'est forgée. Elle ne croit pas en l'amour, n'a pas confiance en les hommes, la relation sans amour que partageait ses parents lui sert de théorie sur la chose. Elle joue de son physique avantageux pour séduire les hommes, mais ne va que très rarement au delà de la séduction. Certain la prenne pour une fille facile ce qu'elle n'est pas finalement. Elle joue avec le feu et ne s'est jamais brûlée pour le moment ... Mais jusqu'à quand ?
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