Les originesAustralien & Anglais
feat. Luke Mitchell
15 mai 1989 à Londres
Anglais
Divorcé
Ancien Hockeyeur professionnel renommé, Ancien Lieutenant de Vol réserviste dans la Royale Air Force, mais Doc Vétérinaire à l'université de Tufts (près de Boston), bénévole dans des OGN animales.
Haute Société Anglaise
Le caractère
Il était fou amoureux de sa femme. C'est pour ça qu'il l'a épousé. Pourtant moins de 3 ans plus tard, ils étaient différent et l'amour avait disparu. Peut être que son père avait raison : l'amour c'est pour les enfants. En tout cas il n'est pas en recherche sentimentale et il ne croit pas ou plus, en l'amour, et encore moins au Grand Amour.
Le Hockey c'était sa passion. Sa bouée de sauvetage, son objectif, ce qui lui permettait d'exister, et de vivre en opposition à son père. C'était son côté rebelle. Et il a aimé ce sport avec toutes les fibres de son âme. Mais au bout d'un moment il s'est rendu compte qu'il ne voulait pas vivre toute sa vie en tant que hockeyeur professionnel. C'est un milieu un peu malaisant, le sport de haut niveau. Il a grandit, à un peu guérit de ses traumas et à décidé de remettre sa vie sur d'autres rails. Les animaux sauvages sont son autre passion. Et les animaux sont plus faciles, et plus agréables à gérer que des humains. S'ils veulent vous bouffer ils ne s'en cacheront pas. Il a toujours voulu voler, et la Royale Air Force lui a permis de réaliser ce rêve, ça et de servir son pays. Il en est fier, sûrement que son père abuse de ça, parce que ça doit être la seule chose "bien" qu'il ai faite dans sa vie. Mais bon, Aren tente de ne plus vivre selon le prisme des désirs de Sir Georges Reid. Pas facile tout les jours de se déprogrammer.
Il est travailleur. Bourreau de travail. Il passe des heures dans la nature, ça le ressource. Il va voler de temps en temps dans un aérodrome pas loin de Boston. Il essaie de donner de son temps dans des refuges animales pour donner des soins gratuits pour certaines animaux domestiques. Parfois, il en prend chez lui, pour garder un oeil plus attentif sur eux.
Il est loyale, fidèle en amour comme en amitié. Il aime que les choses soient simples. Il défend toujours les plus faibles, et n'aime pas les brutes. Il est charmant, il peut paraître déconnecté de son côté humain. Il aime pas trop les soirées mondaines, mais il y fait actes de présence quand même, s'il arrive à tirer de l'argent pour des ONG, c'est tout bénef. Il fait du sport, beaucoup, c'est le reste du Hockey, l'entraînement. Cela fait un moment qu'il n'a pas jouer, mais il aime bien aller patiner sur la glace quand même. Parfois on le reconnait encore dans la rue, et ça le gêne pas, il donne son temps, parce qu'il est foncièrement bon et tant qu'on est hypocrites, on voit son bon côté. Mais il peut devenir sombre si besoin, il préfère juste éviter de devoir devenir mauvais.
Il était fou amoureux de sa femme. C'est pour ça qu'il l'a épousé. Pourtant moins de 3 ans plus tard, ils étaient différent et l'amour avait disparu. Peut être que son père avait raison : l'amour c'est pour les enfants. En tout cas il n'est pas en recherche sentimentale et il ne croit pas ou plus, en l'amour, et encore moins au Grand Amour.
Le Hockey c'était sa passion. Sa bouée de sauvetage, son objectif, ce qui lui permettait d'exister, et de vivre en opposition à son père. C'était son côté rebelle. Et il a aimé ce sport avec toutes les fibres de son âme. Mais au bout d'un moment il s'est rendu compte qu'il ne voulait pas vivre toute sa vie en tant que hockeyeur professionnel. C'est un milieu un peu malaisant, le sport de haut niveau. Il a grandit, à un peu guérit de ses traumas et à décidé de remettre sa vie sur d'autres rails. Les animaux sauvages sont son autre passion. Et les animaux sont plus faciles, et plus agréables à gérer que des humains. S'ils veulent vous bouffer ils ne s'en cacheront pas. Il a toujours voulu voler, et la Royale Air Force lui a permis de réaliser ce rêve, ça et de servir son pays. Il en est fier, sûrement que son père abuse de ça, parce que ça doit être la seule chose "bien" qu'il ai faite dans sa vie. Mais bon, Aren tente de ne plus vivre selon le prisme des désirs de Sir Georges Reid. Pas facile tout les jours de se déprogrammer.
Il est travailleur. Bourreau de travail. Il passe des heures dans la nature, ça le ressource. Il va voler de temps en temps dans un aérodrome pas loin de Boston. Il essaie de donner de son temps dans des refuges animales pour donner des soins gratuits pour certaines animaux domestiques. Parfois, il en prend chez lui, pour garder un oeil plus attentif sur eux.
Il est loyale, fidèle en amour comme en amitié. Il aime que les choses soient simples. Il défend toujours les plus faibles, et n'aime pas les brutes. Il est charmant, il peut paraître déconnecté de son côté humain. Il aime pas trop les soirées mondaines, mais il y fait actes de présence quand même, s'il arrive à tirer de l'argent pour des ONG, c'est tout bénef. Il fait du sport, beaucoup, c'est le reste du Hockey, l'entraînement. Cela fait un moment qu'il n'a pas jouer, mais il aime bien aller patiner sur la glace quand même. Parfois on le reconnait encore dans la rue, et ça le gêne pas, il donne son temps, parce qu'il est foncièrement bon et tant qu'on est hypocrites, on voit son bon côté. Mais il peut devenir sombre si besoin, il préfère juste éviter de devoir devenir mauvais.
Les anecdotes
- ( 01 )Il n'a jamais apprécié le milieu dans lequel il est né, et a grandit, et son père n'a jamais apprécié les aspirations ou les inclinations naturelles de Aren.
- ( 02 )Fils unique, et unique déception parentale.
- ( 03 )Son père lui a dit qu'il allait ruiner son avenir et gâcher sa vie. Alors il l'a fait avec le sourire.
- ( 04 )Il n'a plus vraiment de contact avec son ex-femme. Ils sont tellement mieux l'un sans l'autre. Aren n'a jamais vraiment cru en l'amour, et ces mésaventures l'ont toujours refroidit un peu plus.
- ( 05 )"Tu es trop ...." "Tu n'es pas assez ..." "Tu dois ..." "Tu ne feras pas...." Ce sont les mots préférés de son père. Alors dès que quelqu'un commence une phrase de cette façon, Aren a les nerfs, c'est plus fort que lui.
- ( 06 )Hockeyeur dans son pensionnat en Suisse pendant 9 ans, quelques apparition dans l'équipe d'aviron (histoire de suivre et donner le change si son père lui en causait)
- ( 07 )Le pensionnat c'était son havre de paix et de liberté. Coqueluche des demoiselles, il n'a jamais vraiment eu de coup de coeur. Il a toujours voulu devenir Joueur de Hockey professionnel
- ( 08 )A 18 ans, il réussi à se débarrassé de la jeune femme qu'il était forcé d'épouser, et quitte la maison familiale après sa première confrontation avec son père : direction l'université aux USA, avec une bourse sportive en Hockey. Il utilisera le nom de sa mère : Riley, et ce même une fois passé professionnel
- ( 09 )A 19 ans il passe Hockeyeur professionnel en NHL après une année d'étude en kiné (qu'il validera acharné de travail comme il l'est)
- ( 10 )Il se fera une réputation horrible en dehors de la glace, littéralement il en est à l'origine, rien que pour énervé son vieux. Mais dans l'équipe il est un joueur fiable, travailleur, tout pour l'équipe, fonceur, un vrai atout.
- ( 11 )A 23 ans il épouse sa copine du moment parce qu'il se sent super bien avec elle. Parce qu'il a besoin d'une famille malgré lui. Parce qu'ils partagent le hockey.
- ( 12 )A 24 ans il subira une blessure pas trop grave qui le tiendra éloigné de la glace quelques temps... A la fin de sa rééducation, il décida de lâcher le Hockey, et de divorcé de sa femme avec qui ils ne partagent plus vraiment de choses.
- ( 13 )A 25 ans il revient en Angleterre, s'engage en tant que réserviste dans la Royal Air Force et reprend des études (planifié) en Médecine Vétérinaire à Londres. Littéralement à quelques rues de la maison familiale, où il ne reviendra pas.
- ( 14 )Pendant tout ce temps, il gardera contact avec sa mère. Il prendra des nouvelles du père par son biais, mais sans plus.
- ( 15 )Pendant les 6 années d'études Vétérinaires, il arrive à monter quelques échelons jusqu'au grade de Flying Lieutenant (OF-2) qu'il gardera jusqu'à qu'il quitte la Royale Air Force
- ( 16 )Il prend du temps après son diplôme de Docteur Vétérinaire pour se concentrer sur le partage de son temps entre sa spécialisation des animaux sauvage et ses missions en tant que réserviste. Il fera quelques apparition publique aux côtés de sa mère,ignorant son père qui l'ignorera lui aussi pendant ses soirées.
- ( 17 )Il viendra s'installer à Boston il y a deux/trois ans en prenant son poste à l’université de Tufts (près de Boston) en quittant la Royale Air Force.
Attention : en intégrant le Summer Camp Sicile, vous serez inscrit·e en tant que Touriste puisque les inscriptions pour la compétition Sicile sont terminées. Plus d'infos : https://www.i-love-harvard.com/t173147-summer-camp-la-sicile#8491047
- Code:
<pris><b>Luke Mitchell</b> <span>@"Aren Nell Reid"</span></pris>
« » Aren
« » Sa famille
« » Ses proches
« » Les autres
...
« Papa! Papa! » criait le jeune Aren à travers la maison, surexcité voulant partager sa grande révélation avec son père. Le trouvant comme toujours derrière son bureau à la maison « Je sais ce que je veux faire! » Son père lui jeta un oeil vaguement intéressé par ce qu'il lui disait quand il annonça simplement « Je veux faire du Hockey! » Son père posa son regard sur lui et pénétra son âme le laissant sur place quand il conclu simplement « Non. » « Mais papa! » « Non! » Son père semblait plus ennuyé par l'attitude d'Aren et sa présence qu'il ne l'avait été jusqu'à maintenant. Aren opta pour la supplique « S'il te plais.. » « J'ai dit non. C'est non. Tu feras de l'aviron, du tennis ou de l'escrime comme les autres. » Supplique sans effet. Le coeur d'Aren se brisa, des larmes silencieuses menaçaient de rouler sur ses joues, mais il arrêta d'argumenter. Il se mura dans son silence, hochant simplement la tête. Son père ne changeait jamais d'avis. Mais Aren était aussi têtu que son père.
...
Premier jour au pensionnat. Premier jour du reste de sa vie, sans ses parents. Aren passa comme prévu dans le bureau administratif pour parfaire son inscription, sauf qu'apparemment sa requête de dernière minute semblait poser un soucis, aussi il se retrouva dans le bureau du doyen. Imaginez un peu, ce petit gaillard de même pas 10 ans face à un adulte qui avait le pouvoir de réduire sa vie en cendre. Pourtant il ne s'était pas laissé démonter le petit Aren. « Comme je l'ai dit, ma mère voulait rectifier une erreur inattention. » Le doyen le regarda des pieds à la tête, sûrement qu'il essayait de savoir si Aren mentait éhontément ou non. Ce n'était qu'une demi-vérité. Lors de la pré-inscription son père avait obligé Aren à cocher l'aviron, mais le hockey faisait battre son petit coeur depuis si longtemps, il était hors de question de passer à côté. Heureusement sa mère n'était pas du même avis, et avec elle il essayait de remettre sa vie sur les bons rails. Le doyen soupira, regardant les planning, avant d'ajouter au bout d'une bonne dizaine de minutes de silence. « Si tard dans le processus, c'est compliqué de t'enlever des effectifs d'aviron... Pour cette année tu feras les deux. Et hors de question que ta moyenne en pâtisse évidement. » Il lui adressa un sourire entendu, et tout ce que le coeur de Aren retint fut... Qu'il avait obtenu gain de cause et qu'il allait pouvoir passer des heures sur la patinoire, à faire du hockey!
...
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« Aren? Aren! Tu m'écoutes?! » La voix de son ami le sortit de sa contemplation. « Bien sûr! » Il lui adressa un sourire, mais son ami cherchait du regard ce qui avait pu absorber Aren de la sorte... « C'est Thomas que tu regardais comme ça? » Aren lui adressa un faux sourire en secouant la tête. Demi-vérité « Non. Je me disais juste que ses biceps étaient énormes. Les miens deviendront jamais comme ça! » En réalité, ce n'était pas exactement ce qui se passait dans la tête de Aren. Depuis quelques temps il se surprenait à laisser son regard traîner sur certaines personnes, autant sur les filles ça ne choquaient personnes, autant sur les garçons, ça pouvait devenir problématique. « Même avec tes petits bras tu resteras le chouchou de Cath. » Il roula des yeux en soupirant. « Je te l'ai déjà dit, c'est pas mon genre. » Une belle jeune fille, blonde aux yeux gris émeraude avec de sacré arguments entiché de lui depuis le premier jour de leur rencontre. La fille que tous les mecs voudraient et qu'Aren ne veut pas. Pourquoi ? Parce qu'elle est aussi hypocrite que toutes celles de son espèce, et rien que ça, ça donne des frissons d'effrois au jeune homme et coupe tout envie de bander qui pourrait être difficilement atteint avec cette fille en particulier, même en pensant très fort aux biceps prometteurs de Thomas ou à la belle escrimeuse Agathe.
...
« Tu épouseras cette fille Aren. C'est décidé. » La simplicité avec laquelle son père lui lâchait des vérités dérangeantes, des décisions déjà tranchés comme si Aren n'avait jamais mot à dire sur sa vie l’hérissait au plus haut point. « Hors de question! Comment je pourrais épouser quelqu'un que je n'aime pas? Je la connais même pas! » Son père posa son regard lourd de gravité sur Aren, et il comprit très vite que cette conversation, comme toutes les autres avant, ne mènerait nulle part. Son père ne cédait rien. Jamais. Aren devait toujours se plier et obéir, et il ne le supportait plus vraiment. « L'amour? C'est pour les enfants. Tu devrais grandir un peu, tu seras bientôt un homme. Conduis-toi comme tel. Cette union a été décidé il y a des années, et il est hors de question que tu me fasse faillir à ma parole. » Son ton était peut être toujours aussi calme, mais Aren savait très bien que tous ce qui était sortit de sa bouche était des menaces à peine voilé. Comment on pouvait faire un enfant, et ne pas réussir à l'aimer? Qu'est-ce qu'il avait fait de travers depuis qu'il était né? « Je ne consentirais jamais. » Son père se rapprocha, le fixant droit aux fonds de ses pupilles. « Tu apprendras à l'aimer. Tout comme je l'ai fais avec ta mère. Tu ne me décevras pas. » Aren eut un rictus. Il hocha la tête, se soumettant encore une fois, en lui répondant quand même. « Bien. Mais je ne suis pas vous, père. » Et c'était peu de le dire. Aren n'avait rien en commun avec cet homme et il ne comprenait pas comment s'était possible. En tout cas, cela faisait des années que Aren avait laissé tomber les "papa" et était passé au "père" et au vouvoiement. De toute façon ils n'étaient que deux hommes habitant la même maison quelques mois par an. Rien de plus. « Et c'en est bien dommage. » La remarque de son père finit d'achever le peu d'estime qu'Aren pouvait encore avoir en cet homme. Mais il avait un plan. Et il devait s'y tenir. Il devait tenir encore quelques temps. Il devait tenir.
...
« Aren, voici ta promise. » Et Aren lutta très fort pour garder sa poker-face sur son visage et ne rien transparaître de son irritation. Sourire de façade. « Voici Aren, mon fils. Capitaine de son équipe d'Aviron à son pensionnat. » Même sa façon de le présenter lui collait de l'urticaire. C'était bien la seule fois où Aren voyait son père sourire en parlant de lui. Il mit de côté, autant qu'il pu, tout ça pour se concentrer sur la jeune femme face à lui. Il n'y avait pas à dire, elle était sublime. Il espérait naïvement qu'elle le trouverait au moyen autant à son avantage qu'elle l'était dans cette magnifique robe. Ils se regardèrent sans un mot, souriant l'un et l'autre, et à la seconde où le père d'Aren n'était plus à leur côté, elle cessa de sourire. « Je vais être directe, ça ne m'enchante pas plus que toi cette histoire de mariage. » Et un vrai sourire naquit sur les lèvres de l'Anglais. « Bien, ça nous fait au moins un point en commun. Alors, devenons-nous tenter de nous entendre, ou simplement prétendre filer le parfait pacte pré-nuptiale? » Elle lui adressa un sourire tout aussi charmant qu'elle l'était. Elle avança sa coupe de champagne vers lui, et il trinqua avec la sienne. « On peut toujours essayer. » Aren se souvient à cet instant s'est dit que peut être... peut être, ce n'était pas une mauvaise chose, ce mariage arrangé. Peut être.
...
Dernier jour au pensionnat. remise de diplôme, c'était un peu kitch, mais Aren vivait pour le Kitch en ce moment. C'était la fin d'une époque, d'une tranche de vie de liberté loin de son père. Avec ses amis. Avec le hockey. Avec qui il voulait pour partager son lit. C'était malgré lui, émotionnel comme moment. Il était en pleine discussion très terre-à-terre si vous voyez ce que je veux dire, avec ses amis, quand une douce voix le coupa dans son élan. « Aren. » De la surprise apparut sur son visage, laissant vite fait place à un grand sourire. Il avait beau avoir 18 ans, voir sa mère lui faisait toujours plaisir. « C'est ta mère Aren? » « Wow, c'est une bombe » Aren lui jeta un regard noir, on touche pas à sa mère. « Pas un mot de plus. » Et il avait autant de prestance que son père, alors ses menaces étaient toutes aussi efficace. « Je comprends mieux d'où tu tires ta belle gueule » Il roula des yeux,se plongeant dans les bras de sa mère. Sa mère qui trouvait ça simplement adorable. Aren, avec des amis, qui semblaient sincères. « Tu es venue? » Il était un peu surpris, il lui avait semblé qu'ils avaient un truc important à faire. « Je n'aurais raté ça pour rien au monde. » Sa mère le serra dans ses bras, et en cet instant, Aren était simplement heureux. Avec ses amis du pensionnat, dans les bras de sa mère, comme si rien de mal ne pourrait lui arriver. Aren était en paix un bref instant suspendu dans le temps. Quand Aren s'en détacha, il ne put s'empêcher de regarder autour d'elle, comme l'éternel gamin qu'il était. « Il n'est pas là mon chéri. » Et elle lui caressa le visage attristée mais cette déception Aren avait apprit à vivre avec, malheureusement. Il n'était jamais suffisamment ceci, ou trop cela pour son père. « Je suis fière de toi mon chéri » Il baissa la tête et soupira avant d'ajouter « As-tu réussis à lui faire changer d'avis? » Parce que c'était la seule chose qui hantait l'esprit d'Aren. Son mariage imminent. Un mariage qui se rapprochait à grand pas, et il n'avait encore aucune réponse des universités américaines où il avait postuler... Et être coincé à la merci de Sir Georges Reid, ça n'avait rien d'enviable. « Non. J'ai essayé. Depuis le jour où il à décidé de cette ... transaction, j'essaie de lui faire entendre raison... Mais tu sais comment il est. » Intransigeant. Implacable. Immuable. Une putain force de la nature qu'Aren allait devoir contourner. Il apprécia que sa mère utilise ce mot de transaction, parce que ce n'était que ça. Il avait bien essayé d'apprécier la jeune femme, mais même s'ils s'étaient lancé dans une relation, et qu'Aren avait mit tout le sien qu'il pouvait dedans... Elle n'avait pour elle finalement que le fait d'être sublime. Une autre Cath au finale.
...
L'esprit d'Aren était un peu plus apaisé en cette soirée mondaine interminable que ses parents organisait. Son père avait sous-entendu qu'il devrait trouver sa promise et rester coller à elle. Mais Aren savait très bien où et ce qu'elle faisait. Néanmoins il s’exécuta, non pas pour plaire à son père, mais parce tout prenait forme, et que ce soir était le bon moment pour se débarrassé des poids morts. Il trouva sa promise, comme il le soupçonnait, dans un salon privé très occupé avec un gentleman qu'il ne connaissait pas et dont il se contre-fichait royalement. Il signifia sa présence en entrant dans la pièce. « Très occupé à ce que je vois. » Vous imaginez, vous marier à quelqu'un que vous n'aimez pas, et qui vous trompe ouvertement dans la maison de famille? C'était lunaire. Elle lui lança un regard perçant « Me fais pas la leçon. Je suis sûre que tu connais intimement toutes les truies de ton pensionnat. » Et voilà une autre raison pour laquelle, il avait vraiment du mal avec elle. L'attaque est la meilleure défense, sauf qu'elle ne savait pas jouer proprement. « Les truies, les porcs. A peu près tout ce qui est possible. Si t'as fini avec ton jeu de fermière, on pourrait discuter? » La différence ? C'est qu'Aren se fichait de ce qui sortirait de la bouche de cette femme sublime qui le laissait de marbre. Cela avait toujours été ainsi, les démons avaient beau être parfaits et tentant, Aren savait très bien où se trouvait les limites et il ne les quittait jamais de vue. Elle se rhabillait sommairement, sûrement qu'elle prévoyait de reprendre où ils en étaient avec son amant du moment. « Que veux-tu ? » Il roula des yeux en soupirant. « Tu vas annulé ce mariage. Tu trouveras l'excuse que tu veux. Mais tu dois le faire. Ce soir. » Ce n'était pas vraiment une requête. C'était plutôt un ordre. Aren ressemblait peut être un peu plus à son père qu'il ne le voulait. « Sinon quoi ? » Il se rapprocha d'elle, d'une manière peut être menaçante, mais Aren était un homme avec une mission ce soir. « Je connais tes vilains petits secrets... Et j'ai toujours été loyal envers toi. » Pendant toute la durée de leur essaie de relation, Aren lui n'avait jamais tremper son biscuit où que ce soit. Pas que la belle puisse en dire autant. Et les choses qu'il l'a laissé lui faire faire... oh man. « Oh pitié Aren, comme si je devais croire que tu ne m'a jamais trompé avec ta bande d'obsédé suisse. Tout ce qu'on a fait, tu étais consentant, non? » Il laissa un rire passer la barrière de ses lèvres. « Tu veux dévoiler ces choses intimes? Bien. Je me contre-fou de ma réputation darling. Je t'informes simplement que si tu ne fais pas annuler ce mariage, en ne me rejetant pas la faute dessus... Je te détruirais. Toi, personnellement. Ta réputation. Et celle de ta famille. J'essaie juste d'être... Comment on dit.. Civil. » Au jeu de pouvoir, il était plutôt bon. Le tout, c'était d'avoir des cartes en mains, une assurance à toute épreuve, et ... peut être être un peu fou sur les bords. S'il avait accepté d'être ridiculisé de la sorte, cocufié sans vergognes, et jouer les esclaves sexuelles avec elle, c'était dans une seule et unique but : se débarrasser de ce mariage. Elle lui sourit « T'as vraiment si peur de ton vieux brave petit Aren ? » Et voilà une autre raison pour laquelle ça ne marcherait jamais. Elle pensait qu'il avait peur de son père. Bon c'était un peu vrai, mais il avait un plan. Et pour que son plan fonctionne, il fallait que ça ne soit pas lui qui refuse de sa marier. Histoire de ne pas brosser son père dans le mauvais sens, et d'échapper une fois plus de à son contrôle. « Tu peux nous épargner que cette scène ridicule s'étire dans le temps? Tu ne veux pas plus de ce mariage que moi. Prends tes responsabilités. Sinon je mettrais ma menace à exécution. Sur ce soir, bonne soirée. » Il se retourna pour sortir, mais une question le fit sourire amèrement. « Tu ne m'a jamais aimé, pas vrai? » Il se retourna lui adressa un sourire de faux-cul de première avant de lui répondre « L'amour c'est pour les enfants. Grandis. » Et sur ce, il récupéra un peu de contrôle sur sa vie. Parce qu'elle avait beau aboyer, elle ne mordrait jamais. Encore une autre raison pour laquelle Aren n'avait pas de sentiments pour elle.
...
« Tu es fier de toi j'imagine?! » Aren n'avait rien demandé, comme toujours. Il était tranquillement rentré à la maison familiale après un moment avec des amis. Mais faut croire que peut importe qu'il soit 17h ou 2h du matin, son père n'avait que ça à faire. « Fier de? » Il prenait une attitude dégagé, même en étant légèrement en état d'ébriété, il arrivait à rester lucide, parce qu'il le fallait. C'était une nécessité. « Ta fiancé ne veut pas honorer votre mariage. Ca vient de toi, n'est-ce pas? » Exactement, comment dire, ça faisait 3 ans qu'il essayait de se défaire de ce fardeau. « Je n'ai rien d'autres qu'été investit à 100% dans cette relation que tu désirais. » Son père soupira « Tu étais trop investit. » Il roula des yeux, et soupira, l'exaspération prenant le dessus. « J'y peux rien si elle a autre chose de plus passionnant à faire que de m'épouser! » Mais son père voyait très clair en lui, malheureusement, et Arense sentait comme toujours : inférieur. Impossible de gagner contre cet homme. Rien de ce qu'il faisait ou ferait ne serait jamais assez bien à ses yeux. « Tu es trop content, je te dis de faire quelque chose, et tu trouves un moyen de ne pas obéir. Tu va aller la voir, et tu vas arranger ça. Ce soir. » Aren avait essayé de ne pas affronter son père, vraiment il avait prit des chemins de traverses pour que la faute ne lui soit pas imputable, et même comme ça, il fallait que ça soit lui, qui répare ? « Non. J'ai 18 ans, tu ne contrôles plus ma vie. Je ne ferais rien. Je ne marierais pas avec elle, je n'irais pas la voir, et je m'en fou de ton contrat avec son père. Non. » Et cette fois-ci Aren regardait son père droit dans les yeux. 18 ans et quelques jours passé à faire la carpette devant lui, pour lui plaire, pour ne pas supporter ses mauvais côtés. 2 ans de couple avec une fille qui ne lui plaisait même pas, à la laisser faire ce qu'elle voulait de lui à vouloir s'ouvrir les veines à chaque fois qu'il la voyait, dans l'unique but de préserver ses plans. C'était fini. Trop c'était trop. « Je crois que j'ai mal entendu. » Bien sûr Sir Georges Reid n'aimait pas les oppositions, surtout quand ça venait de son propre fils. « Non. Tu as très bien entendu. Demain je prend un avion pour les USA. Je vais faire une université, je vais faire du Hockey ma vie. » « Non. Tu vas aller la voir et arranger ça. Tu n'iras nul part ailleurs! Je ne te le permettrais pas! » Cette fois-ci Aren lâcha un rire franchement amusé. « J'ai 18 ans. Je suis un adulte. Je fais ce que je veux. » C'est marrant comme son père lui semblait toute de suite moins... imposant. Moins implacable. « Tu franchis cette porte pour les USA, et tu ne remettras jamais un pieds ici! » Aren haussa les épaules finissant son verre d'eau et le rangeant gentiment après l'avoir laver. « Je n'ai pas l'intention de revenir ici. Jamais. » Aren n'avait jamais tenu tête à son père, et il devait avoué, peut être c'était grâce à l'alcool, ou peut être simplement que de ne pas laisser les autres lui dicter sa conduite c'était... libérant. « Tu ferais ça à ta mère?! » Et la petite once de joie qu'Aren avait, le quitta. Il se rapprocha de son père comme un prédateur de sa proie, et le fixa bien aux fonds des yeux de son regard le plus noir. « Ne mêles pas Maman à ça ou je te démolis vieil homme. » Et Aren avait l'ascendant. Des années de muscus, de sport intensifs contre un homme qui se pensait intouchable pendant des années. Pour une fois son père resta silencieux. Un sourire naquit sur ses lèvres, et Aren reprit sa veste et l'enfila. « Tu diras à Maman que je l'embrasse » et sur ce, Aren prirent les voiles pour crasher chez un ami. Toute façon, il n'avait besoin de rien de matériel de ce qui se trouvait dans cette maison. C'était le début du reste de sa vie.
...
(Aren Nell Riley Reid)
" Changed my Outcome "
People say I used to be humble behind the scenes. Damn I work 'il I crumble. The sacrifice is real. There's nothing I fear, I find strength, find courage, find focus from within, never question my decision-making, never doubt myself. I keep my feet on the ground. I'm where I wanna be. I changed my outcome, you know... you can change yours too.
♛ by endlesslove.
Gotta make it count.
♛ by endlesslove.