Cocktail di specialità italiane

pas forcément adepte des boissons lactées, tu comprennais néanmoins l'attrait d'certaines personnes pour ce cocktail. ce soir t'avais envie d't'amuser et tu savais qu'l'alcool suffirait à t'détendre un peu plus. ce genre de soirée ne t'était pas arrivées depuis vraiment longtemps. la première passée à boston, premier vrai date depuis des années. - puis c'est ça aussi les vacances non ? boire l'soir et décuver sur un transat l'lendemain. léger rire pour accompagner tes dires. reposant ton attention sur lui, alors qu'les nouveaux verres arrivaient. - ça fait six ans, enfin, j'les ai quitté deux fois, pour mieux revenir. finalement, c'était c'que tu aimais le plus. -- @Esteban Morales

penchant la tête un peu sur l'côté, réfléchissant à peine, - ça t'dis qu'on fasse ça ? relevant les yeux vers lui, peut-être qu'ça faisait trop, d'le voir le soir, puis le lendemain, mais la demande avait été faite, aussi spontanément qu'tu pourrais l'être. - la première fois, j'voulais voir c'que ça faisait d'avoir un peu d'calme, mais j'me suis bien vite ennuyée, la deuxième fois j'voulais quitter l'pays., n'en rajoutant pas plus, gardant une part d'mystère. tu n'craignais pas pour ta place, la disposition avait été acceptée, les deux fois, ils savaient qu'tu reviendrais, c'était ça l'deal. -- @Esteban Morales

t'avais osé proposer, pensant qu'après cette soirée, il n'aurait peut-être pas envie de remettre ça si vite. surprise, l'sourire s'étirait un peu plus à sa réponse. - alors t'auras qu'à m'faire signe quand t'auras émergé. l'tendre rire lézardait tout autour de vous. portant ton verre à tes lèvres, une gorgée d'ce cocktail goûté dans l'verre d'ton rendez-vous quelques minutes avant, tu haussais les épaules, affichant un léger rictus. - j'me sens utile dans c'que j'fais, ça aide.., c'était tout ce dont t'avais besoin en réalité. - qu'est-ce qui t'plairais ?, aucun doute à c'qu'il puisse se reconvertir dans un autre domaine.  -- @Esteban Morales

fin sourire s'étirant à sa réponse, contente d'voir qu'celui là, tu n'le faisais pas fuir. bien au contraire. penchant un peu la tête sur le côté, rictus à droite, - ouais, c'est peut-être ça, mais pas que, parfois c'calme, ça fait du bien quand on a un peu plus d'temps pour prendre soin d'eux, eux, tout les blessés, tous les malades, qui pouvaient s'entasser entre les murs blancs des urgences. - y a rien qui t'plaît d'autre ? ... après c'pratique, j'imagine que t'as des reducs pour la bouffe non ?, et ça c'était vraiment intéressant. - la prochaine fois c'moi qui irait chercher la commande, plutôt qu'envoyer les autres. comme ça j'pourrais te voir. l'peu d'alcool qu't'avais ingurgitait commençait déjà à t'faire un peu trop parler. -- @"pseudo"

évidemment qu'parfois, c'était « calme », même si ça n'l'était jamais vraiment. toujours du monde, pourtant c'pas tout les jours qu'y a des accidents terribles, des cas cataclysmique, où tout l'monde court, tout l'temps, sans prendre la peine d'trop s'arrêter lorsque les soins sont pas nécessaires. - ouais ça bouge, mais des fois c'est vraiment l'apocalypse, d'autre fois ça va un peu mieux. léger sourire, avant d'boire encore le negroni. l'écoutant t'répondre t'écarquillais les yeux – sérieux ? j'pensais..., au moins ça, on entendait trop souvent qu'les conditions des livreurs étaient déplorables. - ça veut dire qu'tu peux m'emmener dans des endroits qu'j'aurais jamais pu trouver seule ? large sourire s'étirant sur tes lippes. - promis.. qu'tu lâchais avant d'réagir à la nouvelle proposition, - tu veux m'rendre saoule toi ?, pointe de malice dans l'regard, t'étais loin d'être contre. -- @Esteban Morales