chance at the beach ( Estaude)

Une pause à la plage. Son endroit préféré, elle adore flâner et ne rien faire. Oui, c'est une acharnée du boulot, de la perfection surtout. En ce moment, en venant rejoindre sa copine, elle savait que travailler ne ferait pas partie du programme et c'est tant mieux. Une manière à elle de décompresser pour tout ce qui s'était passée à Boston, en l'occurrence oublier les mecs. Certains mecs de sa vie sont partis de sa vie, elle en souffre, mais ça elle le diras jamais. Cette journée s'étirent et s'étiolent. Elle poses ses fesses sur sa serviette de plage et plaxe au bronzage ultime. Autant ramener un corps encore plus parfait pour la rentrée. Quelques heures plus tard, elle observe tout ce joli monde, jusqu'à ce qu'elle décides d'aller chercher un truc à boire. Cette gorge avait besoin d'être déshydraté. Elle attend beaucoup trop longtemps pour un verre qui n'est sans doute jamais arrivé, par malchance il a été servi à un inconnu. Il était là en premier, on connaît la règle dans ces cas là. Elle refuses de laisser passer ça. En attrapant son bras, elle espère sans doute une réaction de sa part. - C'était mon verre, la moindre des choses c'est de m'en payez un autre. en voyant son regard, elle le reconnaît de suite. Le livreur de Boston, celui qui livre avec quelques heures de retard et qui n'a même pas la manière de s'en excuser. - Qu'est-ce que vous faites là ? Vous me suivez c'est ça ? sur le coup elle pense sûrement que y a des caméras cachés quelque part. Elle fait la moue, quand l'enfant capricieuse est privée de ce qu'elle veut, aux abris. D'un coin de l'œil, elle savait pertinemment que les clients les observait, se montrer en spectacle, encore une phobie de plus aux tableaux. Prend une grande respiration, essayant de se calmer. -ce n'est pas grave, on va dire que c'est pour moi. Mon seul cadeau de la journée, ciao. Em, reste silencieuse. Cela ne dure qu'une seconde, qui semble pourtant durer des heures.

@Esteban Morales

☼ chance at the beach
feat @Emeraude Vanderbilt
04/8/24, 11heures
palerme, mondello
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Esteban profitait pleinement de ses vacances offertes par son meilleur ami et frère de cœur, c'était un sacré personnage. Il ne lui en avait pas voulu très longtemps, mais il allait surtout tout faire pour le rembourser. Ace n'arrivait que le six août, ils allaient pouvoir profiter un peu ensemble, car ce serait impoli de ne pas passer du temps avec lui alors que c'était lui qui lui avait offert les places. Commandant son verre au bar de la plage, la gorge sèche, Esteban fut rapidement servi. Alors qu'il allait boire ses premières gorgées, il fut interrompu par une voix féminine qui lui attrapait le bras. Esteban se retourna, constatant que ce visage ne lui était clairement pas inconnu. Et merde... Manquait plus qu'toi, soupira-t-il, mécontent. Ce n'était pas la première personne qu'il aurait aimé voir en cette journée. Elle semblait vouloir lui offrir ce verre. Qu'est-ce que tu racontes ? Il soupira. Prends le ton verre sinon la princesse de Boston va faire sa crise, hein ? Ouais, il provoquait un peu.

Ce n'est pas croyable, il a refuser de garder ce verre. En la traitant de princesse de Boston, bon ok c'est un peu le cas. Elle n'a jamais cacher qu'elle se prenait un peu trop pour le nombril du monde. S'offusque de cette remarque, encore plus dans la bouche d'un parfait étranger, et de surcroît mauvais livreur. Elle le regarde avec mépris, juste avant de revenir sur ses pas et de boire coup sec ce verre. Elle sourit fièrement. - en vrai, c'est dégueulasse. Mais comme c'était censé être le mien, on va dire qu'on est quitte beau gosse. elle s'assied au bar de la plage, peut-être dans le but d'avoir une conversation avec lui. L'ennui commence à lui taper le système et pourquoi pas essayé d'être sympa, l'espace d'une minute. - j'ai une question ? Tu es en Italie parce qu'il cherche un serveur ou tu es en vacances ? Cela dit, je m'en fiche, mais si c'est le cas faut que tu changes de métier. elle recommande deux verres pour justement continuer cette discussion qui a l'air de la satisfaire.

☼ chance at the beach
feat @Emeraude Vanderbilt
05/8/24, 11heures
palerme, mondello
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Elle but le verre d'un trait sous les yeux d'Esteban avant de dire que celui-ci était immonde, sans oublier un petit compliment pour le latino. Il préférait ne pas répondre, se disant qu'elle allait désormais partir et le laisser tranquille. Esteban n'avait clairement pas envie de passer plus de temps avec elle. Il avait parlé un peu trop vite... La blonde venait s'asseoir à ses côtés, visiblement elle avait envie de rester avec lui. Qu'est-ce que ça peut te foutre ? Esteban regarda la femme commander deux verres. Elle était sympa ? Bizarre. Il était surpris. Je suis en vacances déjà. Et, c'est quoi ? Tu veux traîner le temps avec les gueux ? Il poussa un énième soupir.

Elle n'aime vraiment pas le ton qu'il utilise, personne ne lui parle comme ça. Et encore moins lui. Elle ne le connaît pas plus que ça,  mais dans tous les cas elle a horreur qu'on la prenne de haut. Princesse un jour, princesse toujours. Emeraude rigole devant son ton, il ne savait pas du tout à qui il avait à faire. Elle s'approche de lui, boit son joli verre qu'elle a commander pour lui. Tout en glissant un billet de 5 dollars, histoire de bien le snober. -Rien, c'est vrai que j'en ai rien à faire, tient c'est en guise de charité. c'était méchant et gratuit. -oh, tu sais, toi ou un autre c'est pareil. T'inquiètes pas, je ne vais pas rester avec toi toute la journée, je sais que je vais sans doute m'ennuie.

☼ chance at the beach
feat @Emeraude Vanderbilt
05/8/24, 11heures
palerme, mondello
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Le garçon prit quelques gorgée du verre gentiment offert par la princesse de Boston, sans pour autant s’en délecter réellement. À dire vrai, sa gorge était sèche donc il avait ce besoin de se réhydrater. Mouais, je dois te dire merci, c’est ça ? Il soupira, mais la remercia malgré tout du verre offert. Mais sérieusement, ton problème c’est quoi ? Un complexe d’infériorité ? lui demanda-t-il alors, tournant son regard vers elle. J’pense surtout que tu n’as rien à devoir prouver. Il haussa les épaules, puis porta son verre à ses lèvres.