Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility# Voilà ce qui arrive à l'herbe que vous vous faites saisir par le lieutenant ...


# Voilà ce qui arrive à l'herbe que vous vous faites saisir par le lieutenant ...

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Depuis 10h ce matin j'avais le sourire. Une fois encore j'avais les poches pleines, faisant tranquillement le tour du campus ce matin j'avais trouvé un élève en train de se rouler un bon joint. Ni une ni deux, en me voyant arriver il savait très bien ce qui allait se passer. Il me donna ce qu'il venait tout juste de finir de rouler, et en lui demandant de vider les poches j'ai alors pu en récupérer un autre. Par la suite je m'étais alors demandée avec qui j'allais bien pouvoir partager ce maigre butin, j'avais fait plusieurs fois le tour de mon répertoire essayant de voir qui j'avais envie de voir. Solveig .. Mouais, pourquoi pas ! C'était même une assez bonne idée. Je lui avait alors envoyé un sms Ça te dit de venir fumer avec moi ? Rendez vous sous les gradins du Harvard Stadium vers 16h .. Je n'avais pas vraiment de souci à ma faire, il était certain qu'elle me rejoigne ..
Il était peu avant 16h, j'étais déjà sous les gradins du stade, je n'avais pas attendu Solveig pour commencer, mon joint était déjà bien consumé, disons jusqu'à la moitié. Je ne comptais pas non plus relancer celle que j'attendais, libre à elle de se pointer ou non. Elle avait peut-être cours .. A la rigueur c'était certainement le cadet de mes soucis. Tout en continuant doucement à fumer je me suis assise par terre, j'ai sortit mon arme de mon pantalon et l'ai posée au sol. J'ai alors commencer à la faire tournoyer sur le sol, j'ai ensuite vérifier qu'elle était chargée et une fois rassurée sur son contenu je l'ai déposée à coté de moi, je ne pouvais être assise contre le mur avec mon arme dans le dos, c'était tout sauf agréable.
Spoiler:
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Le matin, réveil, douche et séminaire d’informatique fondamentale. Rien de pire pour commencer une journée épuisante. Cela devait faire probablement trois bonnes heures que j’étais enfermée dans cet amphithéâtre plongé dans la pénombre du vidéoprojecteur quand j’ai senti mon téléphone vibrer dans ma poche. Je me suis précipitée sur son écran, espérant qu’il me sorte de cet ennuie violent, et sa lumière a brûlé mes yeux fatigués. Le numéro de Katarina s’afficha, suivit d’un message. Kat, lieutenant atypique que j’ai eu l’occasion de croiser à plusieurs reprises au poste de sécurité de l’université. Elle avait ces airs de garçon-manqué, de bad boys qui attirent tous les regards mais cette femme était aussi froide que l’Antarctique. Mais l’idée même qu’elle me propose de la rejoindre égayait mon monotone quotidien. Je n’ai pas pu empêcher un furtif rire sur mon visage, avant de replonger quelques heures dans ma leçon.

J’ai quitté la salle de cours dix minutes avant l’heure du rendez-vous, et j’ai traversé à grands pas le campus vers le Harvard Stadium. En quelques minutes, je me trouvais face aux gradins qu’elle avait cités et je m’y faufilais discrètement. La structure abritait de tous les rayons du soleil et le vent s’y engouffrait pour mieux vous faire frissonner. La jeune femme s’était paisiblement installée contre le muret, son arme de service déposée non loin de là. Enfin arrivée à son niveau, je pointais du doigt son artillerie avant de prononcer quelques mots plaisantins.
« Toujours aussi accueillante. »
Je déposais négligemment mon sac au sol sans attendre une réponse de sa part, et puis je m’installais à mon tour. Je me calais dans la même position qu’elle, en lui décrochant un sourire chaleureux en guise de bonjour. Alors qu’elle portait un de ses fameux joints, déjà bien consumé, à ses lèvres, j’interceptais le dit-objet sans lui demander la permission. Après tout, c’était la raison pour laquelle elle m’avait invitée. J’inspirais alors une première bouffée. Toujours la meilleure, si vous voulez mon avis. Celle qui vous brûle les poumons, mais qui vous libère l’esprit. J’en respirais une deuxième, et fermais mes yeux pour mieux en profiter. D’une voix brisée, j’ai repris la parole, en sentant le courant d’air frissonner sur ma peau.
« J’ai attendu ce moment toute la journée. »
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