come back home. (levy)

Tu rejoins Levy, proximité retrouvée alors que tu fais défiler les photos japonaises. Les paysages et l'architecture... je crois que j'y retournerai bien un jour. Tu essaies de partager un maximum avec lui. Il revient sur la photo précédente, te complimentant alors qu'un sourire se dessine à nouveau sur tes lèvres quand il embrasse le coin de ces dernières. Merci. Ça te touche parce que son silence t'a blessé. T'as fini par te dire qu'il était en train de t'oublier, de passer à autre chose avec Brinley ou une autre fille d'ailleurs. Le fait qu'il te trouve encore jolie, ça fait plaisir. Tu tournes la tête vers lui et réfléchis un court instant avant de répondre : Mh non ?! Je ne pensais pas que ça me plairait. Et puis, vendre ma tête ou mon corps... je trouvais ça assez dégradant. Je pensais pas que ça serait si technique. Finalement, tu t'es bien amusée. On t'a laissé faire un peu ce que tu voulais. T'as eu des directives mais pas assez pour te faire péter les plombs. Après, c'est pas le boulot le plus attrayant du monde. Quand on y réfléchit toi, t'as toujours voulu faire quelque chose d'utile. Si j'en ai l'occasion, peut-être que j'en referais quelques unes ici. Pour te faire un peu d'argent supplémentaire. @Levy Fowler

@Andréa Davenport — corps collés. la proximité retrouvée qui vient apaiser l'âme ravagé, faire taire le manque. concentré tout de même sur chaque parcelle de photos, toi qui aimait tant manier cet outil. tu ne lui a jamais parlé de ça, à andréa, ta passion pour la photographie. envolée avec bien d'autres choses de ta personne, avant le tennis, après le décès de ta mère. tu hoches la tête, compréhensif à son explication. t'imagines bien ce qu'elle peut ressentir. — disons alors que ça t'fait une expérience. après ses mots, tu prends une grande bouffée d'air et te tourne un peu vers elle avant de te lancer. — j'crois qu'il y a un truc que je t'ai jamais dis sur moi.. dis-tu en plissant les yeux pour essayer de te remémorer une telle conversation. — j'aime bien faire de la photo. sourire gêné affiché, étire tes lèvres. — j'veux bien être ton occasion.. à l'occasion.. tu te râcle la gorge, au moins c'est dit, elle en fait ce qu'elle veut.

Tu ne peux pas lui dire que tu as détesté parce que tu t'es prêtée au jeu. Tu as trouvé ça beaucoup plus difficile que ce que tu pensais. Pour autant, tu ne te vois pas faire ça toute ta vie, ce n'est pas assez intellectuel. Si tu es arrivée à Harvard malgré tes soucis de comportement, ce n'est pas pour rien. Tu as longtemps eu de bonnes notes. Tu seras la tête en esquivant un sourire parce qu'en fait, c'est une belle expérience malgré tout, surtout au Japon. Tu pivotes vers lui quand il se confie à toi, souriant de plus bel face à cet aveux. Non, tu ne m'en as jamais parlé. Il y a beaucoup de choses que tu ignores au sujet de Levy, c'est ce qui t'a toujours frustré d'ailleurs. T'es contente qu'il se confie à toi. Je serais super honorée. Ça te ferait peut-être bizarre mais, t'es toujours heureuse de pouvoir partager des choses en sa compagnie. Tu me montreras ? Ce que tu as déjà fait. J'aimerais beaucoup voir. Tu ne le forces pas mais, c'est vrai que ça te ferait plaisir. @Levy Fowler

@Andréa Davenport — passion partagée, une autre que tu as laissé de côté. le tennis te manque et tu n'es pas sûr de pouvoir recommencer vraiment un jour. cependant la photo, tu as arrêté aussi à cause d'un manque de temps et peut être d'envie. lorsque tu regardes les photos d'andy défiler, t'as soudain une idée. pourquoi ne pas s'essayer a être son photographe? ça pourrait être un bon moyen de t'y remettre. son minois souriant se tourne vers toi. impossible de ne pas craquer, tu lui rend son sourire et attrape son visage entre tes mains dégageant ses cheveux vers l'arrière. — j'pourrai te montrer mais elles datent pas mal.. plusieurs mois maintenant que tu n'avais pas mis la main sur ton appareil professionnel que tu t'étais offert. — elles sont sur mon ordi, j'te montrerai la prochaine fois que tu viendras. t'es pas sûr qu'elles valent la peine d'être vu mais tu t'en fou un peu, c'est un plaisir plutôt qu'autre chose. les yeux fixés sur elle, tu détailles son visage. — même malade t'es belle, tu m'as manqué chuchotes-tu alors que tes pouces caressent sa peau.

Tu aimes apprendre des choses sur Levy, qu’elles soient mauvaises ou bonnes, ça t’aide à mieux le cerner, ça te rapproche de lui d’une certaine façon. Du coup, tu l’écoutes avec attention, buvant ses paroles et plongeant tes yeux clairs dans les siens. Il ne parle pas souvent de lui Levy et tu n’aimes pas le pousser à le faire. Tu préfères quand l’initiative vient de lui. Tu tentes de ne pas te laisser distraire par ses attentions, focus sur ses lèvres. Je suis sûre qu’elles sont quand même super belles. J’ai hâte que tu me les montres. Nouveau rendez-vous silencieusement fixé. Il te complimente encore une fois et tu sais que c’est le moment idéal pour lui parler. Seulement, t’as le ventre qui se serre et le cœur qui s’emballe. Ta gorge se noue et tu sais pertinemment qu’aucun mot n’en sortira. Du coup, tu penches légèrement la tête pour presser un peu plus son pouce contre ta peau. Avec le décalage horaire, j’ai de grosses cernes… Tu rigoles mais c’est la vérité. Tu ne te trouves pas vraiment jolie aujourd’hui. Comme les jours précédents d’ailleurs. C’est toi qui es beau. C’est sûrement la raison pour laquelle tu le bouffes du regard d’ailleurs. Tu n’arrives pas à te détacher de son repas alors que ta main vient se poser sur la sienne. [color]Tu m’as beaucoup manqué.[/color] Ton front vient se coller au sien pour réduire la distance qui vous sépare. @Levy Fowler

@Andréa Davenport — de manière générale, tu n'es pas un grand bavard. du moins lorsqu'il s'agit de parler de toi, c'est délicat. tu es plutôt pudique et réservé à ton sujet, te laissant aller certaines fois. mystérieux, c'est l'adjectif avec lequel on te désigne le plus. une description que tu trouves plutôt juste et que tu ne peux nier. tu hoches la tête, validant ses propos qui marquaient officieusement une nouveau rendez-vous. les choses étaient naturelles et tu ne regrettais pas qu'elles le redeviennent. c'était comme si tu ne l'avait jamais quitté, comme si vous étiez un couple qui ne s'était jamais rompu. tes index effleuraient les cernes qui marquaient effectivement sa peau. — ouais t'as des petites cernes mais ça te rends pas affreuse.. tu souriais à son compliment, la laissant par la même occasion se rapprocher de toi. tu fermais les yeux pour profiter de sa présence, aussi rapprochée soit elle. — toi aussi tu m'as beaucoup manqué affirmais-tu en la bloquant entre tes bras. — du coup j'te capture pour rattraper ça tu serrais tes bras quelques secondes, prenant soin quand même de ne pas l'étouffer. les mains devenaient baladeuses, tu finissais par la chatouiller pour l'embêter.

Tu sais qu'il est très réservé Levy. Il a du mal à partager notamment sur les choses qui le touchent, qui le concernent directement. T'es contente de voir que malgré le fait que vous soyez séparés, il te considère assez pour échanger avec toi sur un sujet tel que la photographie. Hâte d'être à ce prochain rendez-vous, tu profites malgré tout et avant tout de ce moment, de ses compliments que tu trouves peu fondés pour le coup mais, qui te font sourire bien évidemment. Merci... que tu murmures avant de poser ton front contre le sien, réduisant davantage la maigre distance qui vous sépare. Tu partages le fait qu'il t'a beaucoup manqué à toi aussi. Ces dernières semaines ont été complexes, peu d'échanges et une prise de recul qui t'a blessé. Il vient te serrer dans ses bras, te chatouille et bien que tu rigoles, tu essaies de poser ta question. Tu me captures mh ? Tu tentes de te défendre mais difficile de prendre le dessus. @Levy Fowler

@Andréa Davenport — andréa, elle te manquait quand elle n'était pas là. elle hantait tes pensées, se baladait dans tes rêves, s'immisçait dans la moindre parcelle de ta vie. tu l'avais dans la peau et plus c'était intense, plus la peur de la perdre l'était aussi. tes bras entouraient son corps pour réduire la distance physique entre vous. tu plaisantais sur sa captivité à tes côtés et elle ne semblait pas s'en défendre grandement ce qui t'allais très bien. — ouais chuchotais-tu près de son oreille — t'es a moi. les yeux qui se ferment, profitant de la chaleur de son corps et de sa proximité pour te détendre complètement et retrouver cette sensation agréable d'être avec elle.

C'est dingue comme vous pouvez être à des années lumières l'un de l'autre et puis finalement, proche au point qu'on pourrait vous penser en couple. T'as le coeur qui bat un peu plus vite, des papillons dans le ventre et pourtant, t'as également la nausée parce que tu sais que tu dois lui parler et ça te prend aux tripes. T'as la trouille et tu prends conscience petit à petit que tu es trop lâche pour gâcher ce moment et que ce n'est pas aujourd'hui que tu feras le premier pas. Au lieu de ça, tu profites de sa bonne humeur et des votre proximité. Tu te défends pas trop quand il envahie ton espace. Au contraire, tu passes tes bras autour de sa nuque pour le rapprocher un peu plus de toi, pour pas qu'il t'échappe. T'aimes quand il te murmure ce genre de mots. Tu le serres un peu plus fort, entrainant avec toi dans ta chute. Donc tu es à moi ! Sauf que toi, tu sais que ce n'est pas le cas. T'y penses pas pour le moment mais tu sais que tu n'as pas les pleins pouvoirs comme auparavant. Tu perds la main, petit à petit, comme chaque fois que tu t'engages un peu trop dans une relation. Ça veut dire que tu restes avec moi ce soir ? Du coup, j'ai plutôt moi qui te kidnappe pour le coup ! Tu esquives un sourire, amusée de la situation. Ça te rend un peu naïve, très fleur bleue. @Levy Fowler