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Les originestunisien par le père, franco-américain par la mère
feat. anis ben choug
boston, 30/03/98
américain
célibataire, hétérosexuel, trop généreux pour refuser les avances
sixième année, business, gouvernement et économie international, harvard business school, membre de l'équipe de football américain d'harvard
aisé, l'père a travaillé dur pour assurer bon avenir et réussite
Le caractère
t'aimes ta tranquillité, pas les prises de tête, ni les embrouilles d'nanas qui n'rime à rien, casse la tête.
l'genre protecteur pour les proches, ceux qu't'apprécient un minimum, ils l'savent et peuvent venir te chercher au moindre problème. aussi un léger côté possessif avec certaines nana, pas toutes, celles qui sont précieuses. faut pas trop s'en approcher, t'pourrais t'montrer méchant.
sentiment d'toute puissance, t'es beau et tu l'sais, t'en joues, tu t'en caches pas. pas ta faute, c'est les gènes, c'est tout.
du genre à perdre difficilement ton calme, la violence des mots acerbes, mêlées à la perte de contrôle. parle avec les poings quand la bouche ne suffit plus. fume pour se canaliser.
aime profiter, claquer l'oseille, faire la mala. parfois à s'retrouver dans des galères, obligé d'magouiller pour s'en sortir.
t'aimes ta tranquillité, pas les prises de tête, ni les embrouilles d'nanas qui n'rime à rien, casse la tête.
l'genre protecteur pour les proches, ceux qu't'apprécient un minimum, ils l'savent et peuvent venir te chercher au moindre problème. aussi un léger côté possessif avec certaines nana, pas toutes, celles qui sont précieuses. faut pas trop s'en approcher, t'pourrais t'montrer méchant.
sentiment d'toute puissance, t'es beau et tu l'sais, t'en joues, tu t'en caches pas. pas ta faute, c'est les gènes, c'est tout.
du genre à perdre difficilement ton calme, la violence des mots acerbes, mêlées à la perte de contrôle. parle avec les poings quand la bouche ne suffit plus. fume pour se canaliser.
aime profiter, claquer l'oseille, faire la mala. parfois à s'retrouver dans des galères, obligé d'magouiller pour s'en sortir.
Les anecdotes
- ( 01 )née à boston, d'un père tunisien, d'une mère franco-américaine le 30/03/1998. l'enfant du milieu, un grand frère et une petite sœur, l'grand frère est parti vivre à new york, la petite sœur est encore au lycée.
- ( 02 )papa parti de rien, bossait dans l'garage de son propre père à tunis, mais rêvant de grandeur il croit dur comme fer que l'amérique l'attends, qu'elle lui offrira ce qu'il espère. l'intégration est compliqué quand on baragouine rapidement l'anglais. une traductrice franco-américaine qu'il rencontrera, facilité d'échanger, en tunisie aussi on parle l'français depuis qu'elle a été colonisée.
- ( 03 )la belle franco-américaine charme rapidement l'tunisien venu faire fortune, elle l'aide, l'encourage. derrière chaque grand homme, se cache une grande femme. un premier garage est ouvert, puis une petite concession. jusqu'à agrandir le business, ça fonctionne bien. faut dire que papa à le sens des affaires.
- ( 04 )à la maison, papa tient à vous inculquer les valeurs qu'on lui a transmise, autant qu'sa culture et son héritage. l'arabe est parlé à la maison, au même titre que le français et l'anglais. suffisamment pour que les enfants sachent s'exprimer dans les trois langues.
- ( 05 )à l'adolescence, t'es un beau jeune homme, et rapidement les filles s’agglutinent autour d'toi, la confiance monte en flèche. faut dire qu'il en faut pas plus pour t'faire gonfler les chevilles, créer en toi ce sentiment de toute puissance. seize ans t'as déjà ta petite amie, l'genre de fille qu'on veut tous avoir près de soit. elle et toi, c'est fort, électrique et pourtant si beau.
- ( 06 )faut toujours être près à retomber quand t'es au sommet, t'pensais pas que la chute puisse être si brutale. à l'été de tes dix-huit ans, t'apprends qu'celle que t'aimes ne reviendra jamais d'ses vacances. l'crash d'un avion dans l'océan pacifique, brise ton cœur. le chagrin, la tristesse, tu t'enfermes dans un monde où les sentiments n'doivent plus exister tant ils peuvent faire mal. te promettant qu'plus rien ne te brisera.
- ( 07 )l'idée de base, c'est de reprendre les rennes de l'entreprise, pourtant les derniers événements t'poussent à quitter l'endroit. voir ailleurs. tu reviendras c'est certain, quand ? tu sais pas. promesse faite au père, les études, le travail, mais quand tu t'sentiras prêt. pas avant, tu l'sais, sinon c'est perdu d'avance. l'besoin de découvrir les pays de tes ancêtres alors, tu t'envoles, à ton tour vers les terres méditerrannéennes. passage obligé par la côte d'azur, l'endroit où tes grands parents maternels se sont rencontrés dans les années 40. alors qu'la destination finale s'établie comme étant la tunisie. là-bas tu prends conscience des raisons qui ont poussé ton père à quitter l'pays.
- ( 08 )l'voyage permet d'voir autre chose, se ressourcer, comprendre l'essentiel. au bout d'deux ans, c'est l'retour à boston. t'as changé, t'es devenu un homme, ça s'voit, tout l'monde le voit. encore plus beau qu'avant, t'joues de ton charme et ça marche. alors t'en profite, trop généreux pour t'offrir qu'à une seule fille. tu les aimes toutes, sous toutes leurs formes, t'es pas difficile, suffit juste qu'le visage soit beau. pourtant tu l'sais, t'es pas capable de donner plus. pas capable de ne t'arrêter à qu'une. les sentiments c'est mort pour toi, pas l'temps pour ça.
- ( 09 )l'retour sur boston s'apparente à la prise en main de tes études, promesse tenue au paternel. il sait à quel point c'voyage t'as été bénéfique pour comprendre les raisons d'un tel investissement. reprendre les rennes de l'entreprise, tel est l'objectif, alors l'dossier est envoyé pour t'inscrire à l'université d'ta ville. faut dire qu't'es prêt à intégrer l'équipe d'football américain d'harvard, ça aide pour pousser l'dossier. la business school t'ouvre les portes.
- ( 10 )à côté d'tout ça y a la mala, les soirées, claquer l'oseille c'est c'qui te rend vivant. drogue, alcool, musique à fond, t'as pas peur de c'qui peut t'arriver. habitué des quartiers mal famés d'boston, c'est là-bas qu'il t'arrive d'magouiller parfois. quand t'as besoin d'argent, qu't'as tout dépensé entre poudre et résine. des tombés du camion, d'la drogue parfois, qu'il t'es déjà arrivé d'refourger aux gens d'la fac. reste discret. pas envie d'tout foutre en l'air. t'prends toutes les missions qui pourraient t'faire un peu plus d'oseille.
- ( 11 ) mordu d'voiture, c'est la passion qui s'transmet de père en fils chez les amar. ta caisse comme bijoux d'famille, t'en prends plus soin qu'tout l'reste. faut dire qu'elle est belle, qu'elle claque, qu't'en es fier. berline coupée, noir métalisée, elle brille au soleil, à aveugler les envieux. dans l'garage à ton père, y a toute une collection qu'tu empruntes parfois, sans rien dire, sinon ça passerait pas. la nuit t'fais même partie d'ceux qui font vrombir l'moteur de leur bolides, courses illégales dans les rues d'la ville.
t'as voyagé, t'as découvert, qu'quelque part dans l'monde, t'pouvais être racisé. les voyages forment la jeunesse, et t'as fait du racisme un d'tes principaux combats. capable d'sortir tes poings pour défendre une victime d'cette intolérance. du genre à informer les autres sur c'qui se passe ailleurs. toujours les yeux rivés vers l'monde à travers les réseaux, t'en parles pour sensibiliser les autres. t'aimes les femmes, pas que pour leurs courbes, t'as une mère, t'as une soeur, des amies, des filles que t'apprécies, et juste pour ça, t'monteras toujours au front pour les défendre face à ces hommes qui s'pensent supérieurs. supérieurs, jusqu'à qu'ils s'écrasent devant ta sale gueule.
- Code:
<pris><b>ANIS BEN CHOUG</b> <span>@"INÊS AMAR"</span></pris>
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