Les originesSes origines sont écossaises, irlandaises et anglaises.
feat. Daisy Edgar Jones
07 février 1996 à Boston, Massachusetts.
Américaine.
Célibataire. Bisexuelle et biromantique.
Caissière dans un convenient store. Artiste peintre. Journaliste spécialisée en art.
Entre pauvre et moyen.
Le caractère
Oiseau rare dont le nid est constamment en désordre. À un point où tout le monde s'accorde à dire qu'elle est une cause perdue. Ses journées s'inscrivent pourtant dans une routine conçue pour apaiser ses anxiétés. Animal bavard incapable de la mettre en veilleuse, principalement dans les pires moments. C'est sa curiosité qui l'anime, l'attire et la pousse à vouloir en savoir davantage. Elle irait même jusqu'à se montrer audacieuse par moments, toujours avec une certaine pudeur.
La fidèle est dépendante de ce que les autres ont à lui apporter. Ethel le rend bien avec sa personnalité solaire qui rayonne dans toutes les situations. C'est sa force. Capable de toujours voir le bon côté des choses, même quand sa situation laisse à désirer. Elle réagit trop souvent sous le coup des émotions, avec enthousiasme ou avec frustration. Toujours avec sincérité.
Artiste passionnée et créative. Attentive aux détails. Réaliste impatiente. Courageusement maladroite. Romantique pour deux.
La nuit, elle fête. Boire à outrance ne lui fait pas peur. Elle fume. Ose repousser des limites qu'elle ne toucherait pas en temps normal.
Elle a faim. Tout le temps faim. Elle mange sans cesse et ne fait jamais de sport. Plutôt mourir que de devoir courir.
Toujours de la musique dans les oreilles et un pinceau à la main. Aquaphobe qui passe des heures dans sa baignoire.
Trouillarde de la vie qui s'endort devant les films d'horreur et défend les araignées.
Les jeux vidéo l'occupent quand elle a du temps à tuer.
La fidèle est dépendante de ce que les autres ont à lui apporter. Ethel le rend bien avec sa personnalité solaire qui rayonne dans toutes les situations. C'est sa force. Capable de toujours voir le bon côté des choses, même quand sa situation laisse à désirer. Elle réagit trop souvent sous le coup des émotions, avec enthousiasme ou avec frustration. Toujours avec sincérité.
Artiste passionnée et créative. Attentive aux détails. Réaliste impatiente. Courageusement maladroite. Romantique pour deux.
La nuit, elle fête. Boire à outrance ne lui fait pas peur. Elle fume. Ose repousser des limites qu'elle ne toucherait pas en temps normal.
Elle a faim. Tout le temps faim. Elle mange sans cesse et ne fait jamais de sport. Plutôt mourir que de devoir courir.
Toujours de la musique dans les oreilles et un pinceau à la main. Aquaphobe qui passe des heures dans sa baignoire.
Trouillarde de la vie qui s'endort devant les films d'horreur et défend les araignées.
Les jeux vidéo l'occupent quand elle a du temps à tuer.
Les anecdotes
Chapitre 01.
07 février 1996 » Naissance d'Ethel Foley, fille de Lucia Foley travaillant à la Bibliothèque publique de Boston. Histoire classique d'une mère qui élève sa gamine seule et dont le paternel ne fait plus partie du décorum. « Un con ! » qu'elle entendra dire crûment à multiples reprises. En contrepartie, Trésor verra défiler des hommes restant de quelques mois à quelques années au sein du cocon familial. Aucun ne retiendra l'attention de la fille – comme de la mère.Chapitre 02.
Quand bien même elle n'a aucune idée de ce qui est jugé être la « normalité », Foley aime à penser qu'elle a eu une enfance tout à fait banale. Chaque questionnement de la part des autres enfants de son âge trouvait une réponse autant farfelue que spontanée ; Weirdo avait un père dompteur de baleines en Antarctique trop occupé là où il se trouvait. Dans le fond, elle s'en fichait, puisqu'elle ne manquait de rien. Sa mère l'aimait pour deux et, bien que distraite, s'occupait d'elle la plupart du temps.
Quelques années plus tard, Ethel a tout de même conclu que ses anxiétés venaient tout droit de cette période de sa vie.Chapitre 03.
Aquaphobie » Tétanisée par l'eau quand elle n'a plus le contrôle de la situation. Impossible de plonger tête la première ou de profiter d'une piscine lors d'une soirée si la tranquillité n'est pas de mise.
Sa peur fait suite à un début de noyade lorsqu'elle était enfant. Remontée à la surface par les maîtres nageurs, sa mère était occupée à charmer un homme cet après-midi d'été.
Dans toute sa complexité, Ethel sait nager, presque miraculeusement. Cela fait partie de ses dons inutiles.Chapitre 04.
Loin d'être un génie, elle a survécu à son périple scolaire tout en rêvassant. Ce qui se passait au-delà des murs lui semblait toujours plus intéressant que ce que son professeur avait à lui raconter. Élève moyenne, son engouement pour les études est né quand elle a découvert les Arts Plastiques. Ethel aimait autant créer que s'imaginer au travers de la myriade de peintures qu'elle a étudiées. Elle a souvent réclamé à sa mère une sortie au Musée des Beaux-Arts de la ville – qu'elle connait désormais par cœur.Chapitre 05.
Adolescente, elle passe inaperçue. Elle se fond dans la masse quand elle arpente les couloirs de l'établissement scolaire. Elle n'a jamais appartenu à une case. Clown de la bande, c'est la seule étiquette qui lui a toujours été collée dans le dos. Au-delà de ça, Foley n'a connu que les petits groupes d'ami⸱e⸱s et n'a jamais envié ce qu'elle n'avait pas.
Adulte, cela n'a pas tellement changé. Elle affirme ne s'entourer que des meilleur⸱e⸱s, ce qui clôt tout débat sur ses relations.Chapitre 06.
UMass Boston » Loin d'être ambitieuse, la brune ne rêve pas des bancs de la prestigieuse université d'Harvard. C'est dans celle du Massachusetts qu'elle décide de faire ses études supérieures. Choix facile qui lui permet de ne pas bousculer son quotidien ; elle est acceptée sur le campus de Boston, le UMass Boston. Ville l'ayant vu grandir, elle vit toujours dans le cocon familial à l'aurore de ses premières années à l'université. Aide considérable qu'elle accompagne de petits boulots pour vivre convenablement. Elle prendra son envol quelques années plus tard en se trouvant une colocation.Chapitre 07.
Depuis son enfance, Foley vit avec la familiarité de ses anxiétés. Boule nerveuse qui ronronne dans sa poitrine et au creux de son estomac. Elle vit certaines périodes avec une intensité décuplée qui l'empêche de voir ses habitudes radicalement changées. Elle ne s'imagine pas assez « malade » pour accorder un regard médical, mais elle est suffisamment bloquée pour n'avoir jamais mis un pied en dehors de sa ville de naissance. D'ailleurs, elle a beau vivre dans un chaos permanent, son quotidien est rythmé par une routine inébranlable. Plutôt que d'y voir un problème, elle s'attarde davantage sur le réconfort que cela lui procure.Chapitre 08.
De ses moments d'angoisse découlent des incertitudes et des événements chaotiques qu'elle a souvent assimilés au tiroir de la honte dans un coin de son cerveau. Des relations dont la flamme s'éteint aussi vite qu'elle ne s'est allumée à cause d'une remise en question de dernière minute. Les changements de colocataires imprévus ont toujours été une véritable punition à ses yeux, l'obligeant à se faire violence pour ne pas faire fuir l'immeuble entier avec une crise du type « alerte maximale ». En d'autres termes, elle déteste les surprises.Chapitre 09.
La dernière surprise qu'Ethel essaie d'assimiler est arrivée il y a sept mois auparavant. Au détour d'une recherche – qu'elle a abandonnée depuis –, la brune s'est retrouvée en possession du livret de famille où figurent à la place de son paternel un prénom et un nom de famille. Ancré dans sa mémoire depuis cet instant, Ethel ne sait que faire de cette pièce de puzzle qui s'est ajoutée dans son cerveau.
Elle a un père. Père qui, d'après Facebook, vit aux États-Unis avec sa famille. Un garçon et une fille.
Aucun message et invitation n'ont été envoyés. Muette devant la situation, mais avec des pensées qui cogitent bruyamment et sans relâche.Chapitre 10.
Juin 2024, Boston » Diplôme validé depuis quelques années, Ethel réside éternellement à Boston. Sans réellement savoir ce que les prochaines années lui réservent, elle a décidé de prendre du temps à la réflexion. Ses journées sont rythmées par son petit travail, la peinture, des articles qu'elle rédige pour des revues et un compte Meetsachussets sur lequel elle partage des posts artistiques à sa communauté grandissante. Rien de flamboyant et pourtant, le champ des possibles d'offre à elle.
- Code:
<pris><b>DAISY EDGAR JONES</b> <span>@"Ethel Foley"</span></pris>
(Ethel Foley)
pretty isn't pretty •• sometimes i feel like i don't wanna be where i am, push away all the people who know me the best