the weight of the rift
Ford regarde son travail de façon critique, satisfait de ce qu'il a accomplit. Mademoiselle Witter était absente pour la journée, lui laissant règne complet sur ses quartiers. Ford a fait l'inventaire de tout ce qu'elle trimballe durant ce périple au japon, a attaché des tags avec un code QR sur chacune de ses valises. Il ne restera qu'à attitrer un objet à sa destination pour un empaquetage et dépaquetage efficace. Ford n'a aucun doute que Mademoiselle Witter lui demandera un jour la tâche impossible de localiser un bien dont elle aura besoin au moment même et Ford compte être prêt à toute éventualité. Malgré un départ chaotique, il ne peut nier qu'il aime son travail. Sa patronne, c'est un cas à part. Ayant profité de son double de clé pour effectué les tâches quotidiennes requises, repasser les vêtements qui ont été lavés par le service de l'hôtel, prendre connaissance de la quantité exponentielle d'articles de mode que semble collecter la jeune femme, regretter son pacte avec le diable; un jour comme les autre.
On cogne à la porte de la suite. Ford a inspecté le travail de la femme de ménage qui a remis la chambre à son état d'origine plus tôt dans la journée. Il n'a rien commandé à faire livrer à la chambre. Mademoiselle Witter aurait fait sauter son téléphone si elle avait égaré sa carte magnétique. Ne sachant pas si sa patronne a donné rendez-vous à un contact d'affaires, Ford s'assure que son veston soit bien attaché, que ses cheveux soient en place, que son expression soit détachée, avant d'ouvrir la porte. Un jeune homme se tient devant la porte. Ford hausse un sourcil. « Oui ? Je peux vous aider ? » demande l'anglais, de sa voix professionnelle, son accent londonien ne l'ayant jamais quitté malgré presque deux décennies aux États-Unis.
On cogne à la porte de la suite. Ford a inspecté le travail de la femme de ménage qui a remis la chambre à son état d'origine plus tôt dans la journée. Il n'a rien commandé à faire livrer à la chambre. Mademoiselle Witter aurait fait sauter son téléphone si elle avait égaré sa carte magnétique. Ne sachant pas si sa patronne a donné rendez-vous à un contact d'affaires, Ford s'assure que son veston soit bien attaché, que ses cheveux soient en place, que son expression soit détachée, avant d'ouvrir la porte. Un jeune homme se tient devant la porte. Ford hausse un sourcil. « Oui ? Je peux vous aider ? » demande l'anglais, de sa voix professionnelle, son accent londonien ne l'ayant jamais quitté malgré presque deux décennies aux États-Unis.
(Ford Fletcher)
Find me alone at midnight Inside my mind, trying to get things right.