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Les origines(polonaises, colombiennes, et de façon éloignée, allemande et italienne) elles se comptent au nombre de trois, les langues parlées dans la maison familiale. le polonais qui glisse sur la langue de papa, l'espagnol qui sort de la bouche de maman, et l'anglais que renvoie les émissions qui font office de nounou lorsque les parents sont absents. elle n'aura vu la terre natale ni de l'un, ni de l'autre, joanna, mais rêve de ces contrées qui semblent si lointaines. si ses racines à elle sont bien ancrées dangros ce sol américain, elle a pourtant toujours porté fièrement ces héritages polonais et colombiens, les aïeuls de quelques générations précédentes établis en sol allemand et italien, mais de ces racines, elle n'a jamais réellement rien reçu.
feat. rachel zegler
(17.07.99, bronx, ny, usa) le soleil était haut dans le ciel, la chaleur accablante dans ce petit appartement du bronx, en plein coeur du mois de juillet, la climatisation ayant rendu l'âme trois jours plus tôt, pas les moyens de la réparer. entre deux cris de douleur poussés par maman, on pouvait entendre frank sinatra chanter fly me to the moon tandis que papa était en ligne avec une répartitrice qui s'afférait à l'aider au mieux. c'est dans le chaos et la confusion qu'elle aura pointé le bout de son nez, joanna.
(américaine & polonaise) les passeports sont au compte de deux. L’un affiche le bald eagle, symbole si patriotique de cette terre natale, tandis que sur l’autre, c’est l’aigle blanc qui orne la couverture de celui sur lequel on peut lire paszport dans le polonais natal de son paternel.
(bisexuelle hétéroromantique) si elle compte à son actif quelques relations charnelles avec la gente féminine, il n’y a toujours eu que les hommes qui ont fait battre son coeur. certes, jamais les bons, toujours ceux qui l’auront brisé, mais elle continue de croire, s’acharne à s’imaginer, un jour, au bras de quelqu’un qui viendra sécher ses larmes plutôt que d’en être la cause.
(double majeure en mode & commerce) passionnée depuis toujours par la mode, les défilés de mode de ses poupées barbies faisaient partis de son quotidien étant enfant. puis avec l’adolescence, l’envol de la créativité avec des vêtements qu’elles s’amusait à créer dans ses temps libres. ce n’était donc que la suite logique des choses qu’elle tente d’entrer dans un programme de design de mode. avec l'espoir d'en faire quelque chose, de peut-être partir sa propre collection, elle s'est également lancée dans des études de commerce. ce n'est pas nécessairement ce qui la passionne le plus, mais elle préfère garder autant d'options disponibles que possible. (vendeuse) les weekends, vous pourrez la trouver quelque part dans les rayons de la boutique sara campbell, ou dans l'atelier, si on lui en donne l'occasion. là, elle tente de combler les attentes des clients en dénichant pour eux des pièces qui seront en tout point ce qu'ils recherchent, mais lorsqu'on l'autorise, elle aime bien voir les dessous de la création, avec l'espoir d'elle aussi laisser sa marque dans le monde de la mode.
(classe moyenne faible) l’argent aura bien souvent été le sujet de bien des discussions entre les parents. entre maman qui divisait son temps entre l’hôtel dans lequel elle travailait comme femme de chambre, les divers ménages qu’elle prenait le weekend pour une rentrée d’argent supplémentaire, et avec papa qui connait new-york comme sa poche, lui qui aura passé plus de temps dans ces fameux taxis jaunes qu’à la maison, elle aura rapidement à se satisfaire de peu, joanna.
Le caractère
Timide et réservée, souvent assise seule à la cafétéria à l'heure du lunch, Joanna aura toujours été effacée. SI les moqueries n'auront en rien faciliter sa vie, elle aura toujours été une de ces gamines qui était bien souvent l'ombre d'autres, jamais dans le spotlight. Oh god, non. La simple idée l'a toujours horripilée. De ce fait, le cercle aura toujours été petit, mais solide. Les amitiés sincère peu nombreuses, mais plus fortes que tout, les pinky promises en guise de pacte. (Pour elle, c'est sacré un pinky promise, encore aujourd'hui.) Et encore aujourd'hui, le cercle reste relativement petit pour celle qui est vue comme la girl next door. Elle est celle qui reste en recul lors des soirées auxquelles on l'amène - elle n'y va que très rarement de son propre chef, celle qui reste près des tables ou se trouvent les boissons et la nourriture, celle qui trouvera l'animal de compagnie qui habite la maison et lui tiendra compagnie pour la soirée. Imagination sans borde depuis toujours, elle s'exprime de manière créative de toutes les façons possibles. Qu'il s'agisse du dessin, des croquis qu'elle fait de vêtements qui lui viennent en tête, des textes qu'elle rédige lors d'un après-midi passé au parc, des chansons qu'elle compose dans la quiétude de sa chambre, à travers ces quêtes artistiques, Joanna rêve d'un monde meilleur. D'un monde plus doux, plus tolérant, plus ouvert d'esprit, moins dur. On utilisera bien souvent le terme douce pour la qualifier. Sans doute ce sont ses traits fins qui lui confèrent cette aura qui la caractérise si bien. Cette douceur et bienveillance se reflètent dans toutes ses relations, au plus grand damn de ses amies qui aimeraient bien qu'on cesse d'user de cette bonté d'âme et cette indulgence pour en profiter et lui briser le coeur. Elle est du genre à croire en la bonté de chacun, au fait que tout le monde peut changer, et c'est ce qui la perd bien souvent. On lui dit que les actions devraient peser dans la balance bien plus que les mots, parce qu'il est si facile de mentir, mais elle croit un peu trop facilement aux belles paroles, aux excuses, aux promesses faites en l'air. Le problème, c'est surtout qu'elle se donne entièrement dans tout ce qu'elle fait. Que ce soit ses activités parascolaire, ses relations, ses études, son travail, elle y met tout son coeur. Elle plonge à pied joint dans tout ce qu'elle entreprend et bien souvent en ressort estropiée. Elle ne semble pourtant pas apprendre de ses erreurs, Joanna, parce qu'elle retombe bien souvent dans le même pattern de relation plus ou moins désirables. On a beau l'aviser, tenter de lui faire voir les red flags, mais c'est croire qu'elle est comme un taureau et fonce vers eux plutôt que de les éviter. Elle s'est pourtant juré que c'était terminé les histoires de coeur. Plus question de s'attacher au premier qui lui donnera de l'importance. Si elle se remet aux histoires de coeur, ce ne sont que des histoires sans lendemain. (Enfin, c'est ce qu'elle dit, ceux qui la connaissent savent bien qu'elle risque quand même de s'attacher.)
Les anecdotes
- you're on your own, kidc'est entre les quatres murs d'un appartement du bronx, à new york, entre la cinquième et la sixième manche d'un match des yankees qu'elle aura vu le jour, joanna. entant tant attendue, papa et maman diront qu'elle est une bénédiction. elle est leur précieuse joanna, la prunelle de leurs yeux. et pour elle, ils auront tout fait, tentant de lui offrir une enfance aussi heureuse que possible. peut-être n'avaient-ils pas beaucoup à lui offrir, peut-être que là ou d'autres gamins se seront ventés de vacances dans le sud, ou en europe, elle n'aura pu parler que des vacances à Cape Cod. jamais elle ne s'en sera plaint, joanna. jamais elle n'aura demandé à papa et maman de magasiner ailleurs que dans les friperies du coin. jamais elle n'aura été de ces gamins ingrats qui chialent parce qu'ils n'ont pas eu le cadeau de noël qu'ils espéraient. non, joanna, elle aura toujours été reconnaissance de ce qu'elle avait, de ce qu'on lui offrait. elle voyait bien papa et maman se tuer à l'ouvrage pour lui offrir quelque chose de convenable, qu'elle ne souffre pas trop de leur manque de moyens. s'il y a une chose pourtant qui la déçoit de son enfance, c'est qu'elle aura toujours rêvé d'un petit frère ou d'une petite soeur, enfant unique, elle vint même à demander au père noël de lui offrir en cadeau. elle sait que l'arrivée d'un second enfant aurait rendu leur situation encore plus précaire qu'elle ne l'était, elle en a conscience aujourd'hui, mais une part d'elle encore doit faire son deuil d'un autre enfant dans la famille.
- wasn’t it easier in your lunch-box days?Consciente que les portes du monde ne s’ouvriraient à elle que si elle parvenait à se démarquer de ses pairs, et encouragée depuis son plus jeune âge par ses parents à exceller à l’école – sans pour autant qu’ils ne deviennent obsédés par les résultats scolaires et l’atteinte de résultats particuliers, on les remercie d’ailleurs – Joanna aura toujours été, si ce n’est première, parmi les élèves ayant obtenus les meilleurs résultats dans tous ses cours. Si certains auront décrété que c’était dû à une mémoire phénoménale – ce qu’elle ne niera pas, elle a une facilité pour la rétention d’information – c’est surtout le travail acharné qui lui aura permis de se hisser au sommet de la liste lors de l’obtention de son diplôme avec honneurs. Certaine de ne pas pouvoir accéder aux grandes universités de renom, c’est sans réelle espoir qu’elle aura soumis ses applications, convaincue qu’elle se retrouverait à la NYU, pouvant ainsi rester chez les parents quelques années de plus et économiser autant que possible. Ses enseignants, tout comme ses proches, auront incités Joanna à soumettre sa candidature, tous croyant visiblement plus en ses capacités qu’elle. Ils auront eu raison puisque, parmi toutes les demandes qu’elle aura envoyées – et dieu sait que le nombre est élevé – la majorité auront reçu une réponse positive directement, ou une convocation à une entrevue, pour les universités plus prestigieuses, à la fois au grand bonheur et à l’anticipation des parents qui voyaient là les signes de dollars s’accumuler, leur compte en banque visiblement pas prêt pour un tel investissement, quand bien même ils voulaient le meilleur pour leur fille. Si l’hésitation aura été longue et lui aura pesée, Joanna aura finalement choisis Harvard, l’admission associée à une généreuse bourse couvrant ses frais universitaires pour ses années d’études, son inscription remplissant les conditions pour obtenir une full ride scholarship. Soulagement pour les parents qui auraient été plus que déçus de voir leur gamine devoir refuser une telle opportunité par manque de financement. Le cœur brisé, mais un peu moins, ils l’auront aidée à faire ses valises et l’auront eux-mêmes reconduit jusqu’à Boston, faisant le trajet dans la petite voiture, le premier de plusieurs au fil des années.
- got a list of names, and yours is in redtrigger warning :
mention de drogue (ghb, allusion à des propos/gestes déplacés)
Malgré toutes les choses qu'elle aura pu dire sur les hommes (c'est une hyperbole que de dire all men should go to jail, on le sait bien, mais elle vous dira que plusieurs d’entre eux mériteraient cette punition), sur ceux qui lui ont brisé le coeur, sur ceux qui ont brisé ceux de ses amies, Joanna vous dira que lui est sans doute l'exception à la règle. Parce qu'elle était en position de faiblesse ce soir-là. Elle qui était là pour passer un bon moment, elle qui ne sort presque jamais – ce n’est pas vraiment son genre d’endroit – n’aura profité du moment que brièvement. Une conversation avec un autre des clients, échange agréable tandis que le liquide dans son verre descendait peu à peu, et que son niveau d’intoxication lui montait. Elle n’a jamais été très tolérante à l’alcool, plutôt averse à son goût, privilégiant les cocktails qui goutent le jus de fruit plus qu’autre chose, mais ce n’est pourtant pas ça qui aura ruiné sa soirée. Oubliant la bonne étiquette d’emporter son verre avec elle lorsqu’elle se rendit à la salle de bain au cours de la soirée, il en a profité pour ajouter un peu de ce liquide néfaste dans son verre, ses plans à lui bien différents de ceux de la jeune femme. Elle n’en a jamais rien pensé, Joanna, elle n’a rien remarqué. Comment aurait-elle pu? Il y a bien une raison pour laquelle le fameux surnom lui est donné et sa réputation n’est plus à faire. Elle qui aura toujours voulu croire en la bonté du monde, qui se disait que c’était agréable d’être en aussi bonne compagnie, qui était prête à lui donner ses coordonnées pour peut-être le revoir quelques jours plus tard, qui sait, elle était loin de se douter que ses intentions étaient mauvaises. On aura beau lui avoir donné toutes les raisons de perdre espoir, de perdre la foi, de ne plus faire confiance, mais elle continue à l’accorder au premier venu, de s’accrocher à l’espoir que le monde ne soit pas si mauvais qu’on le dise. Alors, elle lui aura fait confiance, à lui aussi, ce soir-là. On lui a dit bien des fois qu’à force de trop faire confiance, c’était elle qui finirait par se retrouver le sujet d’un prochain documentaire true crime, du genre de ceux qu’elle aimait bien regarder. Elle s’est dit que ce n’était que l’effet de l’alcool sur son corps si elle se retrouvait soudainement beaucoup plus sociable et relaxe qu’à son habitude, que c’était normal que sa tête tourne un peu. C’est un autre qui lui aura sauvé la mise, quelqu’un qui aura probablement vu plus d’une personne dans la même situation, dans le même état. C’est l’homme derrière le bar qui l’aura sauvé des griffes de celui qui voulait l’emmener ailleurs et faire d’elle sa poupée pour un instant, profiter de son corps à son insu. Celui qu’elle appelle son preux chevalier qui aura pris soin d’elle, l’aura ramenée à bon port, laissée aux bons soins de ses colocataires. La soirée aurait pu se terminer bien différemment si ça n’avait pas été de lui et, rien que d’y penser lui donne froid dans le dos. Elle n’a qu’un vague souvenir de cette soirée-là, et elle se dit que c’est sans doute mieux ainsi, qu’elle ne se souvienne pas de la sensation de sa main contre sa cuisse, de son souffle contre son cou lorsqu’il s’essayait à des avances non désirées. Si elle avait toujours été celle que l’on qualifie de maman du groupe parmi ses amis, aujourd’hui, elle se fait un devoir, en soirée, de limiter sa consommation d’alcool afin d’être alerte aux choses du genre, et s’assurer de la sécurité de tout le monde. Elle a évité le pire, mais elle ne souhaiterait tout de même à personne ce qui lui est arrivé, les effets tout aussi indésirables que les conséquences. - ( 01 )Chez les Jankowski, le baseball aura toujours été une religion et on aura toujours arboré fièrement les chandails des Yankees les jours de match. S'ils se rendaient en série, c'était jour de fête et sans doute là les seuls moments ou papa et maman se permettaient un peu de leste, ou on s'autorisait un peu plus de dépense que le budget alloué à la nourriture pour la semaine.
- ( 02 )arachnophobe, elle fige à la simple vue d'une araignée, aussi petite soit-elle. ce sont les colocataires qui se chargent de ces petites bestioles, jamais elle.
- ( 03 )vous retrouverez toujours un pot de glace ben & jerry's à la pâte à biscuit dans son congélateur. c'est là son pécher mignon.
- ( 04 )sa saison préférée est l'automne. elle trouve apaisant les couchers de soleil aux multiples couleurs, les températures qui chutent, les soirées passées au bord de l'eau avec un plaid sur les épaules, ou devant un feu de camp, les smores qu'elle dévore comme si c'était son dernier repas.
- ( 05 )elle a des playlist pour tout. sa playlist du matin se compose principalement de chansons parues dans les années 90 et début des années 2000, incluant des classiques tels que smells like teen spirit par nirvana, don't speak par no doubt, hit me baby one more time par britney spears, cleanin' out my closet par eminem ainsi que it's all coming back to me par celine dion. ses playlist jouées les plus fréquemment sont sa playlist she's an icon, she's a legend, and she is the moment qui n'inclue que des chansons de taylor swift, et sa playlist if i cannot fly, let me sing qui est composée de chansons de comédies musicales.
- ( 06 )grande fan de taylor swift, elle la suit depuis ses débuts, ayant assisté à au moins un concert pour chacune de ses tournées, incluant le eras tour. elle considère la chose comme son plus grand flex.
- ( 07 ) bordélique dans bien des aspects de sa vie, elle considère pourtant les espaces commun du logement qu'elle partage comme sacrés et sera la première à passer derrière un peu tout le monde pour ramasser ce qui traine. sa chambre est pourtant un véritable chantier.
- ( 08 )elle préfère le sucré au salé. si elle peut bien manger un sac de chips à elle seule - elle blaguera en disant qu'elle est une famille à elle seule lorsqu'elle voit le fond d'un sac format familial - elle n'hésitera jamais si on lui donne le choix entre un encas salé ou sucré.
- ( 09 ) elle a, à l'âge de seize ans, écrit à stephen sondheim, pour lui demander conseils sur une chanson qu'elle a composée. si elle ne s'attendait à rien vraiment de sa part, elle aura été plus qu'étonnée de recevoir, quelques mois plus tard, une lettre qui lui était destinée, signée de la main de l'homme lui-même. elle l'a faite encadrée et elle trône fièrement sur un des murs de sa chambre.
- ( 10 )elle aura longtemps rêvé de broadway. adolescente, elle ne compte plus le nombre de weekends qu'elle a passé à se lever aux aurores pour tenter d'obtenir des billets à prix réduits. plutôt chanceuse, la liste des spectacles qu'elle aura eu la change de voir est terriblement longue. on y compte, entre autres, ses pièces favorites telles que next to normal, the great comet, catch me if you can, anastasia, et plus récemment le revival de company. aaron tveit figure sans doute au top du palmarès d'artistes qu'elle a vu le plus souvent sur scène, lui qui est définitivement son acteur de broadway favori.
- en vrac
- fait parti du club de théâtre ; est musicienne et compose ses propres chansons ; elle traine toujours un cahier dans son sac, et passe beaucoup de temps à écrire, que ce soit des histoires, des poèmes, ou encore des chansons lorsqu'elle est en transports en commun ; a un compte youtube sur lequel elle poste ses covers - elle n'ose pas encore y poster ses propres compositions ; big swiftie, mais aussi emo dans l’âme, ses gouts musicaux sont variés pouvant aller de my chemical romance, à disturbed, en passant par city & colour et ses cast albums de comédies musicales ; phobie des araignées ; très bonne cuisinière qui sait faire avec peu. vous lui donnez des conserves et des légumes, elle vous prépare un truc en moins d’une heure ; fan de true crime, ça l’a rendue un peu parano, elle vérifie quatre fois pour être certaine que les portes de l’appartement soient bien verrouillées avant d’aller dormir ; déteste les films d’horreur/zombie/exorcisme/etc. – on a essayé de lui faire regarderl’exorcisme, elle en a fait des cauchemars pendant une semaine ; a une bucket list pour les voyages qu’elle rêve de faire, une pour ce qu’elle aimerait posséder de matériel, et une pour ses aspirations dans la vie ; très méthodique, elle est du genre à faire des listes pour tout, à avoir un agenda bien organisé, et ses notes de cours sont codifiées par couleur/sujet/thème. si vous devez emprunter les notes de quelqu’un, elle est sans doute le meilleur choix ; sa chambre est pourtant un véritable bordel, du tissu rangé un peu partout, des croquis éparpillés ici et là ; première à proposer un groupe d’étude avant un examen ; très consciente de la valeur de l’argent, les rares folies qu’elle s’autorise sont des billets pour aller voir des comédies musicales ; mom friend, elle se souvient de tous les anniversaires et moments importants, et elle a une pharmacie complète dans son sac à main, et vous pourrez toujours lui demander pour des produits d'hygiène ou des comprimés, elle en a assurément. ; elle tient un journal dans lequelle elle y détaille ses ressentis, ses moments forts de la journée, ses pensées. si ces écrits sont personnels, elle couche également sur papier des histoires qui peuvent traverser son esprit débordant de créativité, l'écriture étant un exutoire parfait pour celle qui a l'âme d'une artiste. ; elle tient également un blog sur lequel elle y poste des critiques de spectacles qu'elle aura vu, d'albums qu'elle aura écouté, d'artistes qu'elle aura découvert. elle aura commencé la chose à l'adolescence, à l'époque ou tumblr était en plein essort, s'épenchant sur ses états d'âmes après avoir vu ces comédies musicales qui tantôt lui ont renversé l'âme, tantôt l'auront alléger. certains de ses enseignants auront d'ailleurs complimenté ses rédactions et dissertations, assurés qu'un jour elle viendrait à écrire un livre - ce qui l'a toujours bien fait rire.
- Code:
<pris><b>rachel zegler</b> <span>@"Joanna Jankowski"</span></pris>
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