Helena Beatriz Reilly ► Anna Speckthart

Harvard Student

ywolf(c)

C'est le sept avril dix-neuf cent nonante quatre à Cambridge, que les membres de la famille Reilly m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Helena Beatriz Reilly (Lena). Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d ' art visuelle et plastique depuis un an et finance mes études en travaillant en tant que vendeuse au 7-eleven. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowells ou les Mathers. OU je voudrais rester students et participer au Summer Camp.

#Grande Gueule #Excentrique #Sournoise #Naive

APRÈS LA BOMBE
Tu te trouvais au Widener Library quand un fou armé s'attaqua à ton université. Parce qu'une étagère s'est abattue sur toi, ton jumeau s'est empressé d'appeler les urgences. Un débris avait traversé ton épaule. C'est pourquoi, maintenant, tu as une petit cicatrice. Tu avais perdu connaissance. Tu ne te rappelais plus de ton nom, plus de rien, pendant deux semaines. Depuis, tu n'es plus la même personne. Tu as peur de te retrouver dans ce genre de situation, en état de faiblesse. Alors, tu évites de retourner dans la bibliothèque, dès que tu franchis son seuil, tes pieds chancellent et ta tête tourne. Tu as toujours aussi peur, parce qu'au fond, tu te dis qu'en l'espace d'une minute, tu as failli perdre ta vie.
LOWELL.
Tu faisais partie de la 'Lowell's House' avant ta fugue. Tu adorais chanter, mais faut le dire, tu chantais comme une casserole sous vapeur. Enfin, c'est ce que l'on te disait parce que tu avais toujours eu la voix rauque et cassée. Tu as d'ailleurs toujours exceller dans le domaine de la peinture. D'ailleurs, ta chambre au campus et envahit de peinture fait par tes propres soins. Tu as pu grâce à celle-ci, trouver ta vocation dans la vie. Tu aimerais devenir une artiste-peintre. L'art est ton domaine. Tu aimes cette idée de capturer les instants de la vie qu'on ne pourra plus revivre, capturer les sentiments du moment pour les emprisonner à jamais dans une toile que l'on pourra admirer quand on le souhaite. Tu es aussi très bonne en poésie et en danse. Tu joues de multiples instruments, tu as appris à jouer du piano toute seule, étant donné que ton père n'aimait pas le fait que tu puisses espérer trouver un travail dans une branche artistique. Tu as a appris a manier plusieurs instruments tels que l'harmonica, le piano, la guitare, la basse, le banjo.
MATHER.
Au fond, tout le monde le sait que tu aurais dû être une Mather. Mais, tu ne veux pas ou plutôt plus...Surtout depuis que ton ex est le vice-président des Mathers. T'y pense beaucoup, les Mathers, c'est le bien, mais...Supporter le regard d'un ex en colère, tu ne peux pas. Pourtant, de part ton caractère dévergondé et égoïste. Tu y a parfaitement ta place ! Tu n'as pas peur de boire, de fêter...Tout t'amuse. Tu as fais partie de toutes sortes de soirées mondaines. Tu es une ivrogne puis, tu fumes parfois, mais pas réellement, c'est plus pour te donner un genre. C'est seulement ta nature frivole qui te permet d'agir ainsi. Toujours à vouloir planer, à vouloir s'amuser. Depuis que ça s'est mal terminé avec Jeno. Tu ne t'imagines pas lui tenir la chandelle, le supporter ou même l'entendre te faire une remarque. Tu es tout ce qu'il y a de pire chez les Mathers, mais c'est tellement grave...comment tu supplies le doyen pour rester chez les Lowells. Tout ça c'est une question de dignité. Jamais, tu ne laisseras ton ex te dicter ta conduite.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle ywolf(c) et j'ai 1+8 y.o. Je suis comme toi (a) et j'ai connu le forum grâce à top-site. Ancienne membre ne pouvant pas se passer de sa petite Lena ( j'ai essayé pourtant...) alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Anna Speckhart comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart, tumblr.... Je fais environ 1000 ou moins mots par RP et mon personnage est un personnage scénario crée par Marshall E. Reilly.

Mot de la fin ? ▲ Magnifique design <3.

(Invité)

15/03/2013

Mon histoire

RETOUR EN ARRIERE

NAISSANCE
Tu es née heureuse ou plutôt silencieuse, tu n'avais pas pleuré parait-il. C'était déjà un mauvais présage, un enfant quand ça né, ça pleure, mais toi...Tu observais, de grands yeux bien verts avec tes doigts qui parcouraient le visage de ta mère. Ton jumeau, lui avait toujours été différent. Tandis que tu étais née joufflu et en bonne santé, il était né maigrichon, un tout petit bébé qui se devait de supporter la couveuse. Ça avait toujours été comme ça, toujours le petit dernier de la famille, le petit blond parmi les bruns. Mais, toi tu l'aimais et-ce même-ci tu te devais de le supporté, lui tellement intelligent, toi tellement...insupportable. Parait-il que quand vous êtes né, vous aviez vos mains placés dans les mains l'un de l'autre.

UN BOND EN AVANT

Tu es magnifique... ton frère acquiesça la tête et tu souriais toute gênée...non, c'est vrai regarde toi Lena. Il te prit par le bras pour t'emmener devant le miroir de ta garde-robe... tu fermais les yeux et il t'obligeait à les ouvrir. Tu restas choqué quelques instants dans de légers frôlement le miroir comme si tu pouvais atteindre ce reflet qui te représentait. Tu eus quelques frissons avant de te reculer ...non, disais-tu en posant une main sur tes lèvres, tu n'arrivais pas à y croire, c'était toi ? La jeune fille élancée, à la taille de guêpe ? Depuis combien de temps avais-tu portée des jeans déchirés et des T-shirt délavés ? Tu ne savais plus...tu avais arrêté de compter. Ton jumeau te proposa son bras, aujourd'hui, tu allais être gratuated dans quelques jours et tu allais enfin pouvoir quitter le collège pour dorénavant une vie beaucoup plus active. Mais, là, il s'agissait de ton bal de prom. Tu souriais inlassablement et il t'embrassait la joue...c'est bon, on y va ? disait-il frénétique. Il avait peur que tes pieds s'en mêlent dans cette longue robe, il avait peur que tu tombes des escaliers, d'ailleurs il te tenait fortement. Marshall se tenait en bas de l'escalier, ils vous photographiaient...NON LENA, serieux c'est toi !! ...tu rougissais gênait...c'est bon n'exagère pas, c'est pas comme-ci , j'étais méconnaissable ! ... il se marrait ensuite...non, t'es toujours belle, c'est de famille après tout...Tu sentais ton jumeau qui serrait fortement ton bras, il descendait beaucoup trop vite les escaliers et tu n'arrivais pas à suivre son rythme...Hé, fais attention ! s'écria Marshall...tu risques de la faire tomber...Il éleva ses bras vers toi...viens Lena...il te pris la main et tu descendis ses derniers marches calmement. Marshall te tenait encore les mains quand il s'écria à ton jumeau...qu'est-ce qui se passe ? T 'aurait pu la blesser et te blesser également...Ton jumeau descendit les escaliers en le repoussant avec son épaule, mais Marshall étant beaucoup plus fort, il ne put pas le repousser bien loin, il chuchota d'une voix emplie de tristesse...depuis quand tu te soucis de ton petit frère ?...Et il se retourna vers toi...Lena, on doit se dépêcher, nos cavaliers nous attendent dans le salon.

Marshall attrapa l'épaule du jeune homme...arrêtes tes conneries, tout le monde est heureux et faut toujours que tu ramènes...que je ramènes quoi ? S'exclama-t-il et Marshall te lança un regard...rien du tout, on doit y aller maintenant...tu repoussais de tes deux mains les épaules larges des deux jeunes hommes. Tu sentais bouillonné en eux, une colère qui te rendait mal-à-l'aise...C'est bon Marshall, je n'ai rien eu...et notre frère ici présent va bien, tu caressais les épaules de ton jumeau...tout va bien, personne n'est blessé . Marshall passa une main dans son cou...ouai, partez maintenant, on vous attend. Tu acquiesças et traîna ta moitié dans le salon. Aussi bien que tu t'en rappelles, tu passas la plus belle soirée de ta vie.

Tu ne le sais pas encore, mais ta vie à Harvard sera mouvementée.

PENDANT

C'est l'histoire d'une fille que tu rencontres par accident, elle t'éblouit, quand tu l'a vois chaque jour est plus qu'un nouveau jour, c'est quelque chose qui te rend souriant, qui te donne envie d'aller en cours...Elle est brune, méchante, parfois elle rit comme un épouvantail que le vent fracasse. Tu l'a rencontre à un coin de la rue, ses cheveux bruns flottent aux vents et ses dents blanches illuminent des lèvres roses. Elle a les yeux d'un alcoolique , oui, ses yeux verts bouteilles t'enchantent...C'est ridicule, tu te crois amoureux. T'entends parler d'elle un peu partout, elle s'occupe d'une radio chaque jour, pendant l'heure de pause, le matin, le soir, elle parle en direct et parait-il que sa voix suave caresse le microphone, qu'elle porte des jeans déchirés, toujours un trou au niveau du genou. Il paraît qu'elle vole les coeurs pour mieux les jeter, qu'au fond c'est une mauvaise fille qui prend la vie du bon côté. Elle met toujours le même rouge-à-lèvre Chanel qui mettent en valeur ses lèvres charnues. Et pour la première fois, tu l'a rencontres en traversant le couloir, comme ils le disaient- tes amis-, elle ne porte presque jamais de soutien-gorge. Elle ne te reconnaît même pas d'ailleurs, elle ne sait pas que tu es ce gars qui l'a bouscula dans le bus, elle qui vient toujours en cours fatigué, assommé par on-ne-sait-quel-boisson, ne lève même pas les yeux vers toi, elle émane quelque chose de profond qui t'inspire la peur. Elle semble faire des sauts d'humeur, le matin, tu l'as vois rire et le soir crier...Il paraît qu'elle vient du Cambridge, qu'elle est née vers 13h01, tu te sens fou de même savoir les détails qui devraient être les plus insignifiant pour toi.

Quelques temps après, tu l'accostes timidement dans un cours et elle tombe sous ton charme. Aussi simple que cela, elle est romantique, elle aime les roses, les baisers sous la pluie, les batailles de neige, te jeter des feuilles mortes, aller à la mer...

LENA

Dis-moi que tu m'aimes, dis-moi que tu as besoin de moi...Dis-le moi. Dis-moi que le temps peut s'arrêter. Que l'on peut tout recommencer. Tu gises sur le sol, t'as la haine, en faite, t'a presque envie de pleurer. Ton petit copain actuelle vient de te quitter. Il s'appelle "Milo", c'est le crevard qui t'a promis la lune et les étoiles en prime. Idiot ! T'a pas voulu écouter ton frère, non, pas parce qu'il t'énerve d'avoir raison, mais parce qu'il a généralement 'toujours' raison !

Ton père te poursuit comme la peste, il ravage tes plans d'avenir, il sème ce que tu ne désirais pas avoir.

Tu pleures, t'as dix-sept ans et tu te dis que plus jamais quelqu'un ne te fera autant de mal, que les hommes sont des ch*ens. Alors, tu te rebelles, tu deviens méchante, t'insultes et personne ne comprend pourquoi. Ton grand frère, c'est ton héros, c'est le seul qui te voit pleurer quand tout va mal. Lorsque tu avais treize ans , il t'avais offert un livre dans lequel tu pouvais mettre tout ce que tu désirais. C'était le jour de ton anniversaire, tu t'en souviendra toujours du papier mauve princesse raiponce qui emballait ton présent...Tu croiyais que c'était un délire, ton frère, il t'offrait réellement un journal intime pour ton jour de naissance Ouai. Il te demandait d'écrire la dedans presque tous les jours. Mais, t'étais trop fainéante, alors, tu faisais juste semblant d'accepter la condition qu'il te donnait. Il te disait que ça te permettait de savoir ce que tu faisais avant, plutard quand t'auras le courage de te relire, de voir combien de fois ta mentalité avait évoluée. Bref.

Le discours pour te dire d'écrire ta life, si compliquée est-elle, en quelques mots chaque jour. Ton frère te dit qu'il a remarqué ton talent d'écriture, depuis longtemps. Au début, t'étais réticente, tu te disais que de nos jours ça n'existais plus tout ça. On étaient tous un peu geek, tous sur les portables mufti-fonction, ...Et que les journaux intimes s'étaient démodé et qu'en plus écrire à la main... c'était chiant. Mais, lui il te disait, qu'écrire à la main, c'était faire attention aux sens des mots qu'on utilisaient. Tu sentais du vécu dans ses paroles, alors t'avais accepté. Pourquoi ne pas l'écouter ? Après tout, il était l'exemple idéal pour toi.

Quelques années plus tard, tu relisais certains passages de ce que t'écrivais. Exactement, comme il te l'avait prédit...

2012

C'est le moment de rentrer en première année à Harvard, tout comme il l'avait espéré, ça fait des mois déjà qu'il me court après. Qui ça ? Bah, mon père. Ma mère, quant à elle ne dit jamais rien comme toujours, elle est trop occupée à traiter ses propres affaires, faut dire, la seule personne qui me comprend le mieux c'est mon frère Marshall, ma mère aussi parfois peut-être attentionnée et proche de moi quand elle veut, mais dès qu'elle retourne à son travail on ne l'a voit plus. Puis, mon jumeau, lui, ça le rend malade que père ne s'intéresse pas à lui. Il le trouve trop mou, trop faible, puis, c'est le seul blond de la famille, alors les blagues, elles fussent, elles fussent...Parfois, il pleure, souvent je le consoles, mais il ne veut plus rien entendre. Parfois, j'ai l'impression qu'il m'en veut...Puis, il ne s'entend pas réellement avec Marshall, tous les deux ont tendance à se bagarrer, et c'est toujours Marshall qui gagne. Il est beaucoup plus fort que lui..

(...)

J'ai pris "droit" et bien que je ne sache toujours pas ce que je compte faire, j'espère que quelques cours m' intéresseront, parce que moi tout ce que j'aime, c'est l'art, j'ai toujours aimé ça. J'ai toujours aimé les photographies, j'ai toujours affectionnée le fait que l'on puisse capturer des instants qui ne se vivront plus et qui resteront immobiles dans une pellicule, toute l'éternité. J'ai toujours aimé la danse, la musique, d'ailleurs mon père n'a jamais su que je jouais de plusieurs instruments. Non ! Il est trop soucieux d'enrichir notre famille. Je sais que c'est pour mon bien, mais parfois, j'aimerais qu'il arrête un peu et qu'il ouvre ses yeux pour voir combien ses enfants sont merveilleux.

POINT DE VUE LENA : ALERTE A LA BOMBE !

2013

Quand on te dit que la vie n'est pas un fleuve tranquille, qu'il y a les soucis, les côtés mauvais et bons.
(...)
PSY ; Racontez-moi ce qui s'est réellement passé...

LENA ; J'ai la vision de ce jour trouble, je n'ai d'ailleurs pas envie de m'en rappeler. Je me souviens d'une palpitation, vous voyez le fait de sentir les battements de son coeur. Sans doute un changement de rythme cardiaque, car je n'ai jamais autant couru de ma vie. J'avais ce surplus de battement cardiaque, comme-ci mon coeur sautait un tour.

J'ai laissé mes affaires en cours, je me souviens, j'étais à l'université, c'était sans doute l'heure de midi et j'avais préféré resté à la bibliothèque lorsque la bombe explosa. J'ai vu des étagères effondrées au sol , les uns se coincés, d'autres crier...J'ai essayé d'en aider quelques-uns et comme tout le monde s'affolait et moi également. J'ai couru comme jamais parce que j'ai cru que j'allais tout perdre. Lui, moi... Ma famille, non, plutôt moi. Mon frère était loin, mes souvenirs le concernant s'en est allée en même temps. J'ai cru que je mourrai quand un débris traversa mon épaule et que je sentis quelque chose tomber sur moi. Puis j'eus froid et j'ai crié, mais personne ne m'a entendu. J'étais seule le dos contre le sol. Et je ne sais pas comment je me suis retrouvé à l'hôpital en train de me réveiller deux semaines plus tard. Ce jour-là, j'ai radicalement changé, je n'étais plus la même personne. Le néant, c'est emparé de moi et j'ai perdu connaissance.

JENO

Mort. Une mort douce, peut-être ? ...Peut-être. Tu soupires inlassablement, les yeux noyées dans tes larmes. Tu sais que le monde vient de s'arrêter, que ton cœur ne bat plus le mille à l'heure. Hyperbole, vous me direz ? Tout à fait ! Tu te recroquevilles sur toi-même en mordant tes lèvres. Comme-ci...comme-ci, tout pouvait changer. Ton cœur est déchiré en milles morceaux, tu n'as jamais ressenti cela, c'est comme-ci un cuter t'avais transpercé et que la blessure était tellement profonde que même entièrement soigné et recouverte d'un pansement, tu pouvais encore sentir la douleur. C'est dans ses moments-là que tu restes dans ton lit, et puis que tu te lèves, minable, chancelante, en te traitant d'imbécile, de sans-vie, qui ne cesse jamais de refaire les même erreurs. Toujours beaucoup trop douce, et cette douceur compilé à ta gentillesse te tue. Ta naïveté te tue. Ça doit faire plus d'un an que tu es à Harvard. Et tu ne pensais vraiment pas que toutes ses choses t'arriveraient. T'es tombée amoureuse du plus grand dealeur, tu savais même pas qu'il vendait de la Marie-Jeanne, il t'aimait, tu l'aimais...Il changeait à cause de toi, il devenait plus sentimental, est-ce cela qui t'a fait fuir ? Non ! Tu as cru qu'il s'est joué de toi, à l'époque, tu étais vierge, et tu as vraiment cru qu'il ne voulait que ça. Tu as fugué, pas seulement à cause de lui, mais de ton père, de ton jumeau, de ton frère...Pendant deux semaines...toi et Jeno vous aviez été en froid et maintenant, c'est fini. Pourtant, tu l'aimes, tu le sais...mais...vous n'arrivez plus à vous regarder comme avant.

MAINTENANT

Tu essayes de tourner la page, tu as décidé de prendre ta vie en main, avant tu étudiais le droit et bah pour ta deuxième année, tu as décidé de mener une vie artistique, ce dont tu as toujours rêvé.Tu as fugué, pas seulement à cause de lui, mais de ton père, de ton jumeau, de ton frère...Pendant deux semaines...toi et Jeno vous aviez été en froid et maintenant, c'est fini. Pourtant, tu l'aimes, tu le sais...mais...vous n'arrivez plus à vous regarder comme avant. Tu as décidée de te prendre en main, de devenir une nouvelle "Lena". Et peu importe ce que te dis ton père, tu vivras.

a suivre...

(Invité)