Les originesJe suis née Américaine mais j'ai aussi du sang italien, et irlandais du coté maternelle et écossais, français, gallois, allemand et anglais du côté paternel
feat. alycia debnam-carey
19 novembre 1995, Boston au Massachussetts
J'ai la nationalité Américaine, celle de mon pays de naissance mais au fond de moi coule le sang chaud italien, le brûlant irlandais en d'autres choses et qui forge mon caractère pas toujours facile.
Célibataire et hétérosexuelle
Bachelor en Sciences, Med School. en médecine générale 6eme année.
Classe moyenne, on ne roule pas sur l'or mais, la débrouillardise fait partie intégrante de notre belle famille.
Le caractère
Je suis souvent exubérante, je parle en faisant de grands gestes, sans retenue. Je parle souvent plus vite que je ne pense et c'est pas toujours une foutue qualité. J'ai un caractère de merde parfois, enfant il m'arrivait de faire des colères quand je n'avais pas gain de cause. Je me suis adoucie avec le temps même si je n'aime pas toujours ne pas avoir le dernier mot. On dit souvent de moi que je suis impétueuse à ma décharge c'est mon coté rital qui parle pour moi. Je suis solidaire et loyale envers ma famille, mes amis et les gens savent qu'on peut compter sur moi même dans les pires moments ou les pires conneries! Lorsque je deviens taiseuse vous pouvez être certain de m'avoir blessée mais ne croyez pas que c'est par faiblesse, non je suis juste en train de fomenter dans ma tête les milles et une façons de cacher votre corps. Non rassurez vous je ne suis pas une psychopate en série mais je peux avoir la rancune tenace. Mais, je vous rassure je suis aussi sympa, j'aime délirer, sortir, danser sous la pluie si j'en ai l'envie. Je prend la vie avec enthousiasme car malgrè les soucis, elle vaut la peine d'être vécue.
Les anecdotes
- ( 01 )Je suis la petite dernière de la famille Coleman, celle qui enfant se tournait toujours vers ses frangines pour avoir leur approbation ou leur demander des conseils. Ma famille s'est ma vie, ils sont chacun d'entre eux important à mes yeux. On n'a jamais roulé sur l'or mais, nos parents nous ont toujours apprit à être débrouillards dans la vie. On ne manquait donc de rien. Mon frère c'est mon trésor, j'en ai qu'un et il a toujours été mon roc, mon modèle, celui, qui appaisait mes peurs de petite fille en me racontant des histoires le soir pour m'aider à dormir. Nous sommes tous et toutes proches même si parfois j'arrive à leur taper sur les nerfs.
- ( 02 ) Depuis petite je suis sujette à l'hyperemotivité ce qui avait souvent tendance à me rendre un peu solitaire. Oh j'avais bien quelques amis, je n'étais pas non plus associable juste que je préférais parfois m'isoler. A l'école primaire au bout de deux ans je ne tenais déjà plus en place, je perturbais les cours car je m'ennuyais terriblement et curieuse de tout je ne cessais de poser des questions à tour de bras. Ce n'étais pas facile, je me faisais souvent réprimander par la prof et je ne le vivais pas toujours très bien. Malgré cela mes résultats n'en était pas le moins du monde affectés. On a pensé que j'étais juste très exubérante rien de plus. C'est vers la fin du lycée qu'un de mes professeur pointe du doigt à me parents le fait que je serais surdouée. Ca explique peut-être mon autodérision légendaire. Nous avons donc passé le test HPI qui a déterminé mon QI à 135. Je ne vais pas vous dire que j'en était heureuse en fait moi ça ne me faisait ni chaud ni froid de savoir cela bien que cela explique mes très bons résultats lors de mon passage des SATs. J'obtient donc une bourse pour étudier la médecine à la Prestigieuse Harvard.
- ( 03 ) Après mon passage réussi aux SATs, j'ai pris une décision qui étonna les membres de ma famille. Ils me voyaient déjà intégrer Harvard après les vacances. Pourtant c'est un tout autre choix qui cogita dans ma tête pendant le mois de juillet. J'allais demander la possibilité d'une Gap Year (année sabbatique) dans le but de partir un an en mission humanitaire. Ma destination, l'Asie plus précisément les Philippines. Alors je ne vous raconte pas l'état de stress de ma mère. Et que dire de mon frère qui lui-même se trouve loin de la maison. Il l'a appris par téléphone, que j'allais m'envoler pour ce pays lointain. Je ne pense pas qu'il ai cherché à m'en dissuader même si son inquiétude était bien palpable. J'avais 9 ans quand Lewis c'est enrôlé je ne vous dit pas mon état émotionnel à moi ce jour là. Inquiétude, tristesse mais aussi fierté tout de même. Au final j'embarquais dans l'avion à mes 18 ans, contrat signé c'est la région des Visayas que j'aiderai les médecins volontaires. Mon expérience là-bas fut aussi dure qu'enrichissante. Notre famille n'a jamais vécu dans l'opulence mais, voir la misère dans certain coins là-bas m'a fait relativiser sur le fait que je n'avais vraiment pas de quoi me plaindre. Lorsque je reviens à Boston l'année suivante, je suis changée j'ai fais un bond de géant dans la maturité.
- ( 04 )Au lycée, je pratiquais assidument la natation je faisais partie de l'équipe et non seulement l'une des meilleures. Je suis très sportive et j'ai commencé très jeune. Je fais donc extrêmement attention à mon poids ainsi qu'à mon physique. Mais, je suis perfectionniste. Je veux toujours que tout soit parfait et ce n'est pas toujours une qualité non plus. Perfectionniste envers moi mais cool avec les autres. Ce qui me vaudras d'ailleurs quelques petits soucis pendant ma période universitaire. J'ai intégré également l'équipe de natation de Harvard où je me débrouille pas trop mal, je ne suis pas la première nageuse mais mes résultats me suffisent. Je vise plutôt l'excellence dans mon travail car j'aimerai tenter plus tard une spécialisation en chirurgie. J'entre donc à Harvard à l'âge de 19 ans, en sciences pour 4 ans et j'enchainerai ensuite par 4 ans en Med School. J'intègre alors la confrérie des PFORZHEIMER les élitistes et brillants je ne pouvais me sentir mieux au sein d'une confrérie que dans celle-ci. J'y passe 4 de mes plus belles années.
- ( 05 ) Bachelor en poche, je suis censée alors intégrer la Med School en Faculté de médecine d'Harvard. Pourtant encore une fois, je vais défrayer la chronique en décidant de faire une nouvelle année sabbatique enfin plutôt de repartir un an en mission humanitaire et cette fois-ci je choisis l'Afrique du Sud. Cela n'as pas été facile de mettre me études sur pose mais, finalement mon projet à bien été accueilli, je pourrais reprendre mon cursus à mon retour. Je prend donc la direction du Cap de Bonne-Espérance et ce au damne de mon petit ami de l'époque qui ne tiendra pas la relation à distance. C'est certain que dans mes quelques jeunes années j'en aurai fais des choses et ce n'est pas pour me déplaire. Les médecins humanitaires sont à mes yeux courageux. Ce n'est pas donné à tous de quitter son hôpital au final bien douillet, son luxe et surtout le petit confort qu'on ne retrouvera pas en pleine cambrousse. Ces expériences que j'ai faites, je les trouve enrichissantes je pense avoir été témoin de beaucoup de choses, des choses que je n'aurais pas apprises ailleurs que sur ce terrain là.
- ( 06 )C'est aussi en Afrique du Sud que je suis retombée amoureuse d'un jeune médecin engagé dans les missions humanitaires aussi. Ce fut je pense une des plus belles histoires que j'ai vécu sentimentalement parlant. Malheureusement toutes les belles histoires ont toujours une fin. Il fallait que je rentre en Amérique et lui, il allait voguer vers une autre mission, c'était toute sa vie. Nous devions passer notre dernière soirée ensemble si seulement le destin n'en avait pas décidé autrement. je suis prise d'une fièvre subite, je me sentis mal, très faible. Je ne comprenais pas ce qui ce passait le matin même de mon dernier jour en Afrique du Sud. Je m'étais levée mais, je me sentais tellement bizarre. J'étais allée rejoindre Kaiden pour déjeuner mais je n'u pas le temps de la rejoindre à la table que je m'effondrais sur le sol. Black out total. Quand je me suis réveillée j'avais été transportée dans la capitale par je ne sais quel moyen , me retrouvant allongée dans un lit d'hôpital, perfusion dans le bras. Dans la journée le verdict était tombée j'avais attrapé le paludisme.
- ( 07 ) Il a fallu ensuite me rapatrier à Boston, devinez qui est venu me chercher à l'aéroport. Lewis et Marshall rentré de mission et justement en permission à ce moment-là. Ah je ne vous ai pas encore parlé de Marshall. C'est le compagnon d'arme de mon frère depuis quelques années. Il est souvent fourré chez nous lorsqu'ils peuvent rentrer du moins. C'est un ami de la famille, enfin c'est un peu comme un second frère pour nous. Mais, je vous avoue que je crois bien en avoir été amoureuse alors que je n'étais qu'une petite gamine. Vous savez ces béguin d'enfance quoi. Quand ma famille a été avertie de mon état et de mon retour c'est tout naturellement que les deux soldats ce sont portés volontaires à me ramener droit à la maison. Je commençais à aller un peu mieux, j'avais eu le traitement adéquat à temps. Je pense qu'ils ont vraiment flippé en apprenant ça. Un mois plus tard je reprenais le chemin de Harvard pour débuter ma quatrième année en Med School.
- ( 08 )Ma frangine Jamie est romancière, j'ai été sa toute première lectrice. Son mariage m'as réjouit et encore plus le joli petit miracle d'être devenue tata d'un merveilleux petit Huxley que j'aime énormément. Moi l'expérience du mariage ne me tente pas du tout en comptant le fait que mes histoires d'amour ont toujours tourné court.
- ( 09 ) Mes années se passent bien mais, je me mets une pression d'enfer pour réussi la Med School. Tellement que je fini par avoir recours à l'insu de ma famille aux amphétamines pour tenir le coup. Je deviens très rapidement accro à cette cochonnerie qui commence à me donner de sévères insomnies. Au début cela passe inaperçu aux yeux de mes amis qui ne remarquent pas que la boule d'énergie que je suis devenue très vite commence à ressembler à un zombie. Traits tiré, teint cireux sont compter les jolies cernes sous mes yeux. C'est au final un ami de la Pfo qui mettra le doigt sur mon soucis et qui pour mon bien avertira ma frangine Jamie. Au début j'ai pris ça comme une trahison. Contrainte et forcée je dois donc interrompre une nouvelle fois mon cursus pour rentrer en centre de désintoxication. J'y passerai quatre longs mois qui feront que j'échoue à ma 5ème année mais, qui m'ont permis de m'en sortir et de ne jamais rechuter jusque-là. Heureusement le comité d'Harvard me laissera recommencer cette année car ils savent que j'ai le potentiel pour rectifier le tir. Ceci explique qu'à bientôt 29 ans je ne termine que ma sixième année en 2024.
- ( 10 )La mort de Marshall, oui c'est aussi l'un des moments de ma vie qui m'ont fragilisée. Il était aussi un pilier important dans ma vie. Il y a parfois des choses qu'on n'arrive pas à confier à son propre frère. Même lorsque les deux soldats étaient en mission , j'écrivais toujours des lettres à Lewis mais aussi à Marshall. Ou quand c'était possible nous nous appelions en visio. Lors de son enterrement je me suis rendue compte que si j'avais du en plus perdre Lewis je ne m'en serais pas remise. Marshall m'a toujours considéré comme un petit bout de femme forte, courageuse et téméraire. C'est en sa mémoire que je montrerai à tous que je réussirais à devenir une grande chirurgienne.
- Code:
<pris><b>Alycia Debnam-Carey</b> <span>@"Lexie Coleman"</span></pris>
(Lexie Coleman)