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Les originesaméricaine et coréenne
feat. Jang Wonyoung
Capitale Sud-Coréenne, Séoul le 22 mars 2002
américaine & coréenne
Parfois son coeur tremble, un peu. Hétérosexuelle
Etude bi-disciplinaire, musique et communication, 4ème année
Elite, aisé
Le caractère
In their eyes...
MAGNETIC - it girl -luv fashion - Dad’s favorite - roman à l’eau de rose - enchanting grace - écrin de nacre - Parisian Dreamer - princess - her aura is C H A N E L - high maintenance - poupée de porcelaine - Ethereal Beauty - pure intentions - girl’s girl - she’s from heaven - pretty doll - smelled like white roses - she c a r e s - doe eyes - Goddess of Contrasts - sensitive - made of stardust - eyes to heaven - douleur cachée - perfect eyebrow & lipstick - angel voice - douceur du printemps - pretty in pink - ambition - high. fucking. standards. - sensibilité de l’âme - healing era - duality - perfectionniste - sugary sweet - silk dress - perfect lipstick - self love - vanilla sugar - big heart - super shy - maladresse attendrissante - Beloved Starlet - Regal Aura, Resilient Spirit - kiss & goodbye at the door - poésie - pearls & bows
Rose qui s’épanouie sous le soleil des sourires, danse et chante dans l’ombre d’un destin semé d’embuches. Voix cristalline vient charmer, consoler, conseiller ; murmure les plus douces mélodies. Angélique visage au teint de porcelaine reflétant douceur et gentillesse. De ses épines parée, détermination à son paroxysme créer le trouble. L’anxiété tapis dans l’ombre de ses radieux sourire grandi. Vision déformée à s’en rendre malade, fragilité de l’âme, du corps. Privation, perfectionnisme, besoin d’exister aux yeux de paternels trop exigeants. A n’en plus dormir, insomnies, à n’en plus manger, anorexie. Fragilités d’un corps qui en amènent d’autres. Regard parfois combatifs, parfois absent, de ceux dont la dualité de l’âme compose l’éclat des étoiles et la profondeur des abysses. A l’écoute de ses amis, joyaux de sa vie tissée de mensonges, sensibilité à leur services délivre sa sagesse. Magnétisme d’une beauté céleste, les mots se parents de velours, la douceur lui sied si bien.
°:. *₊° . ☆ ☾ She's a falling star burning in the n i g h t, she's the shimmer on the water in a river of moonlight.
°:. *₊ ° . ° .•
aesthetic
lèvre au goût de paradis, cache une tempête infinie
lèvre au goût de paradis, cache une tempête infinie
MAGNETIC - it girl -
personality
not all those who wander are lost
not all those who wander are lost
Rose qui s’épanouie sous le soleil des sourires, danse et chante dans l’ombre d’un destin semé d’embuches. Voix cristalline vient charmer, consoler, conseiller ; murmure les plus douces mélodies. Angélique visage au teint de porcelaine reflétant douceur et gentillesse. De ses épines parée, détermination à son paroxysme créer le trouble. L’anxiété tapis dans l’ombre de ses radieux sourire grandi. Vision déformée à s’en rendre malade, fragilité de l’âme, du corps. Privation, perfectionnisme, besoin d’exister aux yeux de paternels trop exigeants. A n’en plus dormir, insomnies, à n’en plus manger, anorexie. Fragilités d’un corps qui en amènent d’autres. Regard parfois combatifs, parfois absent, de ceux dont la dualité de l’âme compose l’éclat des étoiles et la profondeur des abysses. A l’écoute de ses amis, joyaux de sa vie tissée de mensonges, sensibilité à leur services délivre sa sagesse. Magnétisme d’une beauté céleste, les mots se parents de velours, la douceur lui sied si bien.
Les anecdotes
anecdotes
douceur du rêve, angélique menteuse
douceur du rêve, angélique menteuse
Le matin calme afflux dans les veines de la branche maternelle, tourbillon d'attentes démesuré au poids lourd de la richesse du patronyme dorée. Traditionnel repas, famille rassemblée, décorant de leur visage faussement souriant le parfait tableau du bonheur. Nouvel an lunaire, solennel évènement, occasion de critiquer mais d'admirer la beauté de chacun aujourd'hui sur son trente-et-un. Et les langues de vipères ne peuvent s'empêcher la remarques cinglante. Facile, méchanceté gratuite, stéréotype à la dimension réelle, et le corps trop maigre de la princesse inquiète. Cause yes, she's too skinny. La difficulté à prendre du poids et la facilité à le perdre, le complexe de l'apparence dans les terres de la beauté naturelle. Celle qui s'oppose aux terres nouvelles de l'Amérique où la volupté est vénérée. L’élégance d’une éducation s’oppose d’une franchise au ton d’ironie. Mais la culture du respect veut que les mots se taisent. Alors le silence criant de vérité ne fait qu’accroître le mal être qui survient lors des diners. Les repas s’amenuisent pour éviter les confrontations jusqu’à ne plus manger par impression de satiété. Jusqu’à épuisement, le froid qui engourdi les membres et la tête qui tourne. L’accident dont la cause s’efface sous celle clamée, la pression des études, de l’héritage révèle une faiblesse de l’esprit. Délicate âme troublée, le psychisme bloqué dans un besoin de contrôle ultime.
La it-girl, fashion en toute occasion, la clarté des mots et l'image studieuse cache une véritable gameuse. Facette dont on ne la soupçonnerait jamais, joueuse de LoL à ses heures perdues en support de quelques cousins dont l'un professionnel et reconnu, elle découvre un monde où se créer sa propre vérité. Et la passion vient des heures passé devant l'écran, s'améliorant et les heures passent vites. Accompagné de ses cousins, ou les accompagnant version officiel, ses pas la mène dans une grande salle dont les écrans géants affiche déjà les drafts. En retard par soucis de rencontrer des gens capable de la reconnaître, une casquette soigneusement coiffe ses cheveux, un masque couvre son visage délicat, seuls ses yeux rivés sur les écrans s'émerveillent des prouesses des joueurs nationaux. Passe-temps caché à ses parents trop conservateurs pour comprendre son attrait pour un loisir pareille. Et en ligne le nom se cache par des pseudo et jamais elle ne révèle son identité. Fille de sénateur ce serait trop affligeant. A imaginer la honte qu'elle ferrait tomber sur sa famille sa tête en tourne déjà. Les réprimandes de ses paternels déjà fusent dans son esprit sans nul autre besoin de contextualiser...
Her aura is CHANEL. La mode comme une religion. "Omg she's so expensive". YES. Née dans le luxe d'une famille richissime au pouvoir démesuré la haute couture est un quotidien. Elevée dans l'élégance d'une famille ultra conservatrice, le principe veut que l'apparence soit la vitrine de l'âme. Image familiale à entretenir, old money for sure. Assister aux défilés, poser, le mannequinat s'est vite imposé à la jeune fille dont la grâce angélique à su attiser l'oeil de quelques agences. Et le pouvoir du nom ou beauty privilege exacerbé n'a su qu'amplifier sa facilité déconcertante à construire une communauté autour de sa passion. Reine des réseaux sociaux, le téléphone ne la quittant jamais, seule addiction, regroupé autour de la mode et de la beauté sa vie d'enfant, sa jeunesse dorée a su captiver. Ses origines coréennes surfent sur la popularité nouvelle de ce pays d'orient. La skincare comme atout, valorisée par son visage de poupée lui fait décroché toujours davantage de contrats. Vouée à cette profession émergente le ton monte quand les parents entrent en jeux. L'opposition difficilement évitable des attentes prestigieuses face à la honte d'avoir un "faux métier"...
Les lourdes attentes familiales impose la poursuite d’un cursus élitiste. La route baigné de lumière, dans les pas de sa mère médecin renommé, quelques pas et la voila sous d’autres lumières. Celle de la scène et des salles de danse. Les deux classes sautée par son brillant profile et ses capacités d’apprentissage hors normes ont su faire rayonner sa famille mais à l’aube de ses dix-huit ans la musique l’appelle. Vibrations symphoniques qui imprègnent son âme de leur art, assez pour la faire dévier de cette avenir étoilé pour elle même en devenir étoile. La musique en pays d’évasement, refuge de l’esprit quand la pression parentales envahi jusqu’à ses cauchemars. Et la mère se détourne quand le chemin que choisi l’héritière n’a rien de digne pour elle. Alors la peur et l’abandon submerge chez une jeune femme qu’un père aussi prévenant soit il ne peut pallier. Harvard en trophée, symbole de sa réussite scolaire dans un domaine autre que celui prédestiné, démonstration de sa détermination à en vouloir convaincre une mère qui refuse de l’accepter.
Et l’on se fierai à son visage d’ange dissimulant si audacieusement sa véritable identité. Echappé à la réalité en revêtant la peau de la plus simple de personne. Libéré de ces quelques lettres dorée qui, une fois calligraphiés impose respect et courbettes, elle brise les chaînes d’une personnalité débordante de vie. Troquer le nom du prestige, celui qu’elle cache « Jasmine Chambers Bae », élite des élites pour celui un peu plus familier de « Jazzy » ou « Jaz » surnom pour une princesse à son papa. Bae le nom maternelle qui en ces terres du Nouveau-Monde tend à perdre ses distinctions s’adapte à cette fausse Jasmine. Déposer la couronne à terre là où le monde pose le genoux lorsque sa tête s’en pare, mentir sur ses origines, sa condition. Jeu d’acteur qui se perfectionne quand la volonté est de s’intégrer. Et les illusions brise jusqu’à des âmes. Plus jeune menteuse ou actrice avérée, ville des anges, la côte ouest sous le soleil couchant s’envenime d’un doux poison. A en rappeler la condition de mortel à ceux qui enivrer de fumée, le moteur d’une moto brûlant l’asphalte de sa vitesse enivrante, le feu qui retenti quand la vérité rattrape le mensonge. Trésor dont on aimerait en tirer rançon auprès de quelques hautes tête du gouvernement, princesse qui s'ancre désormais dans sa réalité dorée par peur que le film ne se joue une seconde fois...
Le sable de Busan se mêle au ballet des flocons, brise hivernale en chorégraphe de ce fabuleux spectacle vient caresser les joues déjà rosies par l’émotion. Les yeux baignés de perles de cristal ne sont pas assez nombreux pour contempler le feu d’artifice. Fin d’année en compagnie de celui qui promet monts et merveilles, le prince charmant d’un comte de fée trop parfait. Scène à jamais gravée dans sa mémoire premier amour frêle, enivré de jeunesse insouciante, un bouquet de fleur à la main et le cœur dans l’autre. Can I have this dance ? Le pitch d’une romance rêvée, les standards trop hauts pour être atteignable, l’adoration pour les films à l’eau de rose. La désillusion qui frappe quand elle s’en retrouve être utilisée pour sa notoriété. Refermant le cadenas de son coeur, mettant la clef dans l’océan oublier n’a pas été la plus douce des guérisons mais le romantisme demeure.
Et les difficultés ne se trouve pas dans l’intellect mais à la cuisine. La délicatesse des gestes mais l’incapacité à cuisiner correctement. Le palais délicat et l’affection pour les saveurs asiatiques mais le talent manque, par défaut d’apprentissage. Le service à la demande d’employés rigoureusement choisi pour répondre aux demandes exigentes et ainsi elle échappe au besoin d’accommoder. Catastrophe culinaires, lamentable échec à préparer un somptueux repas, les quelques amis de cette soirée se souviennent. Concours organisé où chacun devait apporter son mets favoris confectionné par ses soins, Jasmine avait choisi des dumpling. Malchance ou maladresse, impossible de présenter un tel plat quand la pâte censé formé de petites ravioles n’était pas lisse. S’avoue vaincu ? Vouloir s’intégrer, ne pas apparaitre en princesse, le traiteur la sauva. Efforts incompris, mais tricheries passées sous silence nul d’entre eux n’a jamais su la difficulté qui résidait à émincé oignon.
Le port altier d'une silhouette soigneusement travaillée, reflexion d'une rigueur absolue dans l'effort. Le pilate, discipline de maitrise et de calme s'impose dans le quotidien de la princesse comme le moyen de maintenir sa parfaite silhouette. Le renfort des muscles, la souplesse acquise pour les années passées de danse classique au service d'un sport doux. Pratique dont elle en fait la promotion régulière, la caméra toujours posée non loin à en rendre fou les adhérents des salles de sports. But who cares, "she's the main event". Vivre pour les caméras ou par besoin de se prouver une quelconque d'évolution vers la perfection la vidéo tourne. Occasion pour revêtir des tenues de sports variés et comme l'œil le plus pur sait apprécié la beauté d'un corps, Jasmine y est toute aussi attentive...
Dans l'éclat argenté du clair de lune, Jasmine se laisse emporter par le flux envoûtant de la musique, ses mouvements semblables à des arabesques célestes écrivant une ode silencieuse à l'art de la danse. Chaque geste, chaque mouvement, est une offrande d'amour à une passion intemporelle, un récit muet tissé dans les fils d'émotions ineffables. Depuis l'aube de son existence, enveloppée dans le doux murmure des mélodies et les caresses délicates des costumes de danse. Ses premiers pas sur la scène, guidés par les étoiles et les rêves, ont inauguré une romance éternelle avec l'art sacré de la danse. La danse classique, avec ses pas de velours et ses pirouettes enchantées, a été son premier amour, celui qui a sculpté son âme et réveillé son esprit. Chaque séance d'entraînement, chaque répétition, était un voyage vers l'excellence, une quête de perfection inscrite dans chaque battement de cœur. Repoussant les frontières de son art, plongeant avec audace dans les rythmes hypnotiques du jazz, les mouvements sensuels de la salsa et les pulsations effrénées du hip-hop. Chaque style de danse a ajouté une nuance unique à sa palette artistique, élargissant les horizons de son être créatif. Malgré les tempêtes et les tempêtes sur son chemin, Jasmine a continué de danser avec une grâce infinie, une détermination inébranlable. Chaque pas était une proclamation de sa force intérieure, une affirmation de son pouvoir en tant qu'artiste intrépide face à l'adversité. Et dans chaque performance, chaque moment de grâce, elle trouvait refuge dans les bras de la danse, un sanctuaire où son être entier pouvait s'épanouir en toute liberté et authenticité.
Le coeur est à la Corée quand l’esprit est à New York. Née dans la capitale du matin calme, la ville qui ne dort jamais est celle qui a vu ses premiers pas. La scolarité brillante effectué parmi l’élite des élites, les bancs remplis de personnalité internationals. Bercé dans un tourbillon de népotisme et d’égos surdimensionnés, la délicatesse du caractère se heurte mais attendri. Séoul pour suivre les pas de sa mère, devenir médecin pour voir briller dans ses yeux les lueurs d’une quelconque fierté à s’en vouloir dégouté. A s’en rendre malade et le rêve idéaliser par une mère promettant ses ambitions dans celle de sa filles s’évanouie pour laisser place à la magie d’un rêve pleinement désiré. Les terres de l’enfance retrouvé, intégrer Harvard pour toujours plus briller dans le contexte où sa voix d’ange ne peut être que sublimer.
Nourrir un rêve qui dort depuis tant d’année pour rendre fière une mère aux exigences cosmiques. Harvard c’est l’idée d’un paradis, celui dans lequel la liberté s’exprimerait par son art, la musique, le chant. Ère de grandeur pour un talent qui sommeil, temps des rencontres et des expériences ; le rêve éveillé.
Depuis son enfance, Jasmine avait toujours rêvé de fouler les prestigieux pavés de Harvard, mais le chemin pour y parvenir était semé d'embûches. Sa santé fragile et ses luttes intérieures auraient pu décourager les âmes moins résolues. Quitter des études de médecine commencées avec brio, choisir l’art… tant de difficultés qui entravaient sa route. Et quand enfin l'annonce tant attendue est arrivée, c'était comme si les portes du paradis s'ouvraient devant elle. Les cloches de Harvard résonnaient dans le ciel, saluant l'arrivée d'une nouvelle légende sur son campus sacré. Pour Jasmine, c'était le début d'une nouvelle ère, une aube dorée où tous les rêves étaient possibles et où rien ne pouvait arrêter sa quête de grandeur. Ainsi, lorsque Jasmine franchit les portes majestueuses de Harvard, c'était avec une humble gratitude et une confiance inébranlable en l'avenir. Elle savait que le chemin qui l'attendait serait semé d'embûches et de défis, mais elle était prête à affronter chaque obstacle avec grâce et détermination. Car pour Jasmine, Harvard était bien plus qu'une simple école - c'était le théâtre de son destin, le lieu où elle allait laisser son empreinte indélébile sur le monde.
- Code:
<pris><b>Jang Wonyoung</b> <span>@"Jasmine Bae"</span></pris>
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