Un planning surchargé. Comme toujours. Mason Witter ne chaume jamais. Se reposer, il saisit à peine ce que cela signifie et si le commun des mortels ne rechigne pas pour poser des vacances, c'est quelque chose qui ne lui donne pas envie. Le milliardaire ne comprend pas comment on peut passer plus d'une semaine à ne rien faire, c'est pour cette raison qu'il ne prend jamais plus de sept jours, lorsqu'il s'octroie des séjours, où que ce soit dans le monde. Ayant quitté la salle de réunion avant tous les employés, ces derniers s'étant levé tandis qu'il se redressait de son siège, pour le laisser passé en premier, à l'image de la mer qui s'ouvre en deux devant Moïse, son assistant le suit et se racle la gorge tandis qu'il rejoint son bureau. "Qu'y a-t-il ?" L'interroge Mason, sur le ton de l'ennui, puisqu'il ne fait que cela en le dérangeant tandis qu'il regagne son bureau. "Monsieur Witter, je dois vous rappeler votre rendez-vous en milieu d'après-midi, dans les locaux de votre cousine, mademoiselle Wendy Witter." Sa voix tremble et une goutte de sueur semble perler sur son front. Les secondes s'étiolent lorsque le DG, prend place derrière son bureau, croise ses mains devant lui et demande à son interlocuteur : "qu'attendez-vous ? Que je vous tienne la porte ?" Son ton est sec, ainsi que froid. Il n'avait pas besoin qu'on lui rappelle cette demande de Wendy de passer à sa société et s'il pensait bien faire, son incompétent d'assistant, c'est bel et bien planté. Sur ses mots, il le voit déguerpir à toute vitesse et un mince sourire naît sur son visage satisfait, avant qu'il ne se mette de nouveau à travailler.
Il est quinze heures trente tapantes lorsque Mason rejoint le véhicule que conduit son chauffeur. Sa Bentley rutile, comme toujours et une fois installée à l'arrière de la voiture, ils partent en direction du bureau de Wendy. S'il a bien accepté de s'entretenir avec elle, c'est notamment parce qu'elle est une Witter et qu'ils aspirent à la même chose, mais également puisqu'il s'interroge sur la raison pour laquelle sa jeune cousine souhaite s'entretenir avec lui. Que peut-elle bien lui vouloir ? Il est rare que l'on surprenne Mason et sur ce coup, comme sur tant d'autres, la rouquine y est parvenue. Rattachant le premier bouton de sa veste de costume, le Witter se présente à l'accueil, bien qu'à son avis, il est évidemment attendu. On lui demande par ailleurs de prendre l'ascenseur et même s'il a aperçu le regard avide de la jeune femme à qu'il a parlé, Mason se lasse des émois qu'il crée sur son simple passage. Frappant au bureau de Wendy, il termine par y pénétrer et minimise la distance qui les sépare en rejoignant l'un des fauteuils présents derrière son bureau. Y prenant place, il défait le bouton de sa veste et croise les jambes, un mince sourire s'étant immiscé sur son visage."Que me vaut le plaisir de cette entrevue ?" Il l'interroge alors, son regard d'un bleu dévastateur s'ancrant dans celui de la jeune femme.
Il est quinze heures trente tapantes lorsque Mason rejoint le véhicule que conduit son chauffeur. Sa Bentley rutile, comme toujours et une fois installée à l'arrière de la voiture, ils partent en direction du bureau de Wendy. S'il a bien accepté de s'entretenir avec elle, c'est notamment parce qu'elle est une Witter et qu'ils aspirent à la même chose, mais également puisqu'il s'interroge sur la raison pour laquelle sa jeune cousine souhaite s'entretenir avec lui. Que peut-elle bien lui vouloir ? Il est rare que l'on surprenne Mason et sur ce coup, comme sur tant d'autres, la rouquine y est parvenue. Rattachant le premier bouton de sa veste de costume, le Witter se présente à l'accueil, bien qu'à son avis, il est évidemment attendu. On lui demande par ailleurs de prendre l'ascenseur et même s'il a aperçu le regard avide de la jeune femme à qu'il a parlé, Mason se lasse des émois qu'il crée sur son simple passage. Frappant au bureau de Wendy, il termine par y pénétrer et minimise la distance qui les sépare en rejoignant l'un des fauteuils présents derrière son bureau. Y prenant place, il défait le bouton de sa veste et croise les jambes, un mince sourire s'étant immiscé sur son visage.
(Mason Maslow d'Harcourt)
Wendy Witter est on fire