Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityjasp le jardinier (jaspeandra) - Page 2
Le deal à ne pas rater :
SAMSUNG Galaxy A14 5G Noir 64 Go à 98,49€
96.99 €
Voir le deal


jasp le jardinier (jaspeandra)

2 participants
Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 QIkbezwN_o
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 74
Messages : 24925
Préférences de jeu
veritas
Jasper O. Ellington
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
On est passé par pas mal de chemins, pas mal d' esclandres, de démonstrations, on a été flamboyants, on s’est aimés puis broyés. On s’est presque perdus, plusieurs fois. On a été trop loin, plusieurs fois. On s’est prouvé aussi, on s’est gravés la peau, rectifiés, re gravés, effacés. Des stries sur la peau, un peu partout, sont des signes de nous. J’crois qu’on a fini par arrêter d’être fantasques. Maintenant, on échange un jardin contre l’entretien d’un balcon. Maintenant, on s’touche plus. J’peux plus me contenter de la flamme ridicule d’un briquet que t’allumes puis laisses se faner. On est presque plus que du passé. Et crois moi, à penser et verbaliser, ça m’arrache la gueule. J’me demande si je ne préférais pas la guerre, à ce drapeau gris ridicule autour duquel on danse. "Parce que c'est pas la seule raison pour laquelle je reste." Evidemment. Dans notre ronde, on se mord chacun les mollets, de plus en plus mollement. Mais, toi, tu n’sais plus comment te sortir de ce carrousel, accrochée par cette tige qui te maintient solidement entre nous. Et, moi, j’ai appris à marcher à ce rythme ralenti. Je marche, je marche, je marche. J’me satisfait de seulement voir ton dos, et parfois un morceau de tes lèvres, quand tu viens me lancer un regard. J’pensais pas être encore capable de casser le rythme, de foutre un peu le bordel dans la partition. Tu veux qu'on mange ensemble ? Les pieds plantés dans le sol de ma métaphore, et les orbes plantés dans les tiennes, y a un bref : “J’ai pas faim.” Et puisque c’est faux, rajoute plus plausible : “J’dois me doucher de toute façon, j’vais y aller.” Deux excuses collées l’une à l’autre, qui espèrent en simuler une réaliste. J’me relève, d’un coup, sans prendre la peine de jouer aux transitions ou même d’attendre un délai raisonnable. Demain, j’recommencerais à marcher, mais aujourd’hui j’en ai plus envie. Ou seulement pour amorcer un départ, de quelques pas. C’est pour ça qu’on parle plus des vraies choses, et qu’on regarde toute la pièce sauf l'éléphant énorme en plein milieu, avec nos noms dessus. Me demande pas pourquoi, là tout de suite, j’ai décidé de m’en prendre à lui. J’m’en pince les lèvres, pas assez fort puisque ça passe trop fort. “Tu vas jamais choisir, c’est ça  ?” On est tous en position en stand bye. Lui, moi, en tout cas. On fait semblant avec des compagnies qui pourraient tout remporter, on passe à côté de chances trop belles pour nous, parce qu’on est en stand by. En attente, chacun d’un côté. Et toi, pas foutu de faire un pas et d’perdre l’autre. “Quand est-ce que tu vas comprendre qu’il vaut mieux deux heureux que trois malheureux, Leandra ?” T’as jamais été aussi cruelle que dans cette position, même si tu t’auto convaincs de faire le bon choix. En ne tranchant aucune tête, tu nous gardes tous les deux, les amoureux à portée de cœur. La réalité, c’est que t’as peur de perdre l'éconduit. La vérité, c’est que t’as peur de me perdre.

(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
Leandra T. Carreirao

Âge : 32
Lieu de naissance : au Cap Vert, mais possède la nationalité américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : Boston, à Beacon Hill, seule avec mes enfants une semaine sur deux.
Situation sentimentale : célibataire, probablement à terminer seule avec une entreprise pour moi. Carrière ou famille, c'est ça ?
Études / Métier : CEO de ma propre fondation d'aide aux femmes et aux démunis.
Date d'inscription : 22/04/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : elle / polaroid papers
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 A06ff30c42c133d8f43fdbb35e13f6b253d74ffe
Faceclaim : Sara Sampaio.
Crédits : polaroidpapers
Multicomptes : sofia dunn-aguera, stevie cesarini, astoria omen
Description (1) :


these
violent delights
have
violent ends


jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 Ea92cdc0a42adfaeb03d7696f1a05d670cd6a45c jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 Cd1d7d07b90b964d83c634dfbbb79b5ffafddfbf jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 A74b79b1b06c661c4ee5f3f18c4453bd1ed0969e

—                —               — 

possède un très léger accent quand elle parle › est arrivé aux Etats-Unis à ses 7 ans › ambitieuse, elle a crée sa propre fondation pour les femmes et pour leur venir en aide. › elle fait de la boxe › elle a deux enfants, Aaron et Riley › son père est décédé › elle est déterminée, sait ce qu'elle veut et où elle va › elle est récemment propriétaire et fait des travaux dans sa maison.


Description (2) :
what about us ? —
— Jude Montgomery ; ex conjoint, père de ses enfants
— Jasper Ellington ; ex conjoint, meilleur ami, relation floue
— Milo Musat ; détestable, concurrent avocat
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien

Warnings : religion, avortement, grossesse, racisme, vengeance, dépression, triangle amoureux.
RPS : 121
Messages : 12668
Préférences de jeu
veritas
Leandra T. Carreirao
est en ligne
rédaction & design | I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/f53-meetssengerProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t119145-meetsachussets-leandracarreirao#4410277
Parle un peu fort, s'énerve. "Et j'me base sur quoi Jasper ?" comment je fais un choix ? Comment est-ce que je peux ? Je te donnerais bien milles excuses pour cacher le fait que je ne sais pas choisir, la vérité c'est qu'un jour c'est lui, et le lendemain c'est toi. La vérité c'est que je sais pas, je peux pas faire ce choix. Je fais pas de choix pour justement vous laissez vivre, choisir de votre côté. Une autre femme, plus belle, plus douce, moins indécise, en tout cas. "Dans les deux cas j'suis incapable de me donner à 100% et j'ai trop d'amour et beaucoup trop de respect et bordel je sais, je sais que vous méritez le 100% de quelqu'un." et je sais pas donner tant, parce que les possibilités de l'autre seront toujours dans un coin de ma tête. "Et c'est pas moi." Alors quoi ? Je test avec l'un et si ça marche pas, je répare le cassé avec l'autre ? Je test et je choisi ensuite ? Vous êtes quoi, des produits ? "J'ai juste décidé de pas choisir ou plutôt de choisir pour vous." la vérité, elle m'arrache la gorge quand elle sort : "Vous méritez bien meilleure que moi." j'ai fais du mal, j'ai détruit, reconstruit pour mieux détruire par dessus. J'ai soufflé le chaud et puis j'ai soufflé le froid. J'ai du mal à le reconnaître, que vous méritez mieux. J'ai du mal à me dire que vous serez heureux avec une autre, qui n'a pas mes courbes, qui n'a pas mes discours, qui n'a pas mon odeur. Je soupire, relève les yeux vers lui ; "Quand est-ce que ce sera suffisant ?" je m'avance légèrement ; "Quand est-ce que ce sera assez ? Quoi que je fasse, c'est jamais bon. Choisir ça marche pas, ne pas choisir ça marche pas. Alors maintenant quoi ?" je m'enfuis, j'abandonne tout, je disparais ? Je pars d'ici, je laisse tout à la dérive ? Le monde tournera, avec ou sans moi. C'est peut-être ça finalement ce que je devrais faire, abandonner. Les deux, tout, ma vie, mes enfants, mes constructions. Peut-être que sans moi, c'est votre meilleure chance de vous reconstruire. "J'préfère ne pas choisir et vous laissez une chance d'être avec quelqu'un qui vous fera pas vivre la moitié de ce que je vous ai fais subir." s'avance ; "Je préfère quelqu'un qui te choisisse en premier, tout le temps, constamment. Plutôt qu'une certaine qui, parfois, devant la télé ou dans le jardin, se demande qu'est-ce que ça aurait été avec un autre." s'avance à nouveau ; "Je préfère te voir heureux que ne plus te voir du tout." alors énerve toi autant que tu veux, demande moi autant que tu le souhaite, je préfère avoir un minuscule morceau de ta vie que de devoir en disparaître. Pareil pour lui. Les larmes aux yeux, le soupire est lourd. "Qu'est-ce que tu veux que j'te dise Jasp ? Qu'est-ce que tu veux entendre ?" mais surtout, surtout ;  "Qu'est-ce que t'aurais fais à ma place ?" t'aurais choisi l'autre, je le sais. Parce que c'est déjà presque arrivé. Alors tu vois, que tu peux être heureux sans moi.

(Leandra T. Carreirao)


Ladies always rise above, ladies know what people want
draw the cat eye, sharp enough to kill a man, you did some bad things, but I'm the worst of them. sometimes I wonder which one will be your last lie, they say looks can kill and I might try. i don't dress for women, i don't dress for men, lately I've been dressing for revenge.
Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 QIkbezwN_o
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 74
Messages : 24925
Préférences de jeu
veritas
Jasper O. Ellington
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Allez tous vous faire foutre, j’en peux plus de tourner comme un connard depuis des mois, des années. La vérité ? Depuis Alaska, j’tourne en rond. Et Alaska, c’était pas hier. Et Alaska, j’l’ai laissé partir, parce que j’arrivais pas à te quitter. Depuis là, j’fais que de la merde, à croire que cette chance, ma chance, j’l’ai laissé passer. Elle a essayé de revenir, de me tester, la chance. Tu sais, en se disant que j’pouvais pas, encore, faire la même erreur. On m’a présenté l’ambition indienne, sublime, déterminée et abîmée juste ce qu’il faut pour vous faire tomber amoureux. Sauf que t’as raison, on mérite d’être aimés à cent pourcent. Alors j’ai merdé, encore, j’ai laissé partir ; j’suis même sûr que j’ai poussé un peu, tu sais, histoire d’être sûr que j’saisisse pas, même une seconde, cette nouvelle chance. Pour elles, aujourd’hui, même si c’est trop tard, je secoue notre manège. J’étais pourtant juste venu pour entretenir ton jardin, sans même frôler le jeu de mots. Pas vraiment déterminé, jusqu’alors, à tout remuer. Une réplique, ça nous déclenche. Moi, du moins. J’m’enterre vivant, à force de piétiner. Faut que j’m’en sorte avant d’avoir les poumons plein de la terre. Respiration sifflante. Le cœur déjà flingué. “Tu penses que tu fais les choses bien là ?” Ouais, vraiment, tu penses que c’est un cadeau c’que tu nous fais ? C’est bon pour ton petit karma, pour ta petite image dans la glace, tu t’auto congratules de ne plus jongler entre l’un et l’autre, sauf qu’on est toujours bloqué, à t’regarder. “Tu penses que ça nous aide ?” J’nous mets tous les deux, Jude, tu m’excuseras, mais si j’capte pas grand chose à ta personnalité, je sais qu’elle est notre point commun. Cette souffrance là, ce manque, l’organe creusé par le vide. “On a l’air heureux et en couple là tu crois ? On fait notre vie ?” J’en sais rien pour Il, j’m’en tape, j’dois surement faire quelques déductions. La voix qui porte, les sentiments qui dégueulent. J’ai arrêté d’être pudique, depuis que c’est de notoriété public que j’suis le con de l'échiquier. Nouvelle pièce. “J’suis incapable de me foutre en couple et de laisser la place pour quelqu’un parce que j’ai toujours l’espoir qu’un jour tu débarques et qu’tu me dises que t’as compris c’était moi, que c’était nous et qu’on méritait ça.” Tu veux pas l’entendre, et je suppose que je l’ai pas verbalisé non plus comme il le fallait. Mais, voilà, c’est largué sans interprétation possible. La gorge en étau ; si vous voulez savoir ce que ça donne, un lion qui s’casse la gueule devant toute la jungle, c’est maintenant. “Je suis en attente et je fous ma putain de vie en l’air parce que t’es pas capable de savoir qui tu veux.” C’est de ma faute, j’le sais. C’est de ma faute, mais c’est aussi de la tienne. “Et me dit pas de pas le faire, comme si c’était facile et possible.” D’arrêter d’avoir un minime espoir, même infime, ridicule, à peine visible. Tant qu’il existe, je mise tout dessus. Mauvais joueur de poker. “En fait t’attends qu’un de nous deux abandonne l’espoir pour choisir celui qui reste. Ça serait plus facile, hein ?” On a qu’à l’faire à pile ou face, à ce stade. Vu que j’l’entends maintenant, ce que tu m’as balancé dans la gueule. T’as été avec moi, pleinement avec moi, qu’à nos débuts, quand il n’était pas encore là. Depuis, tu te demandes toujours ce que ça donnerait, si c’était lui qui te touchait. “On fait des choix, on fait tout le temps des choix, pour tout, et bien sûr qu’on renonce à pleins de trucs, c’est le jeu.” On choisit une route, on parie sur un choix, et parfois on se plante. On s’allie à une âme, et on renonce à toutes les autres, qui étaient sûrement tout aussi belles. L’esprit brûle, j’accroche mes cheveux de mes phalanges, puis j’abandonne, souffle, trépigne. “C’est lâche Leandra, c’est tellement lâche.” Syllabes étranglées, et le corps douloureux sans courbature. J’voulais juste tondre cette pelouse. Ce que je veux ? Regarde moi bien, regarde moi bien quand je m’approche, et enregistre parce que c’est la dernière fois que j’le dirai. “Moi j’veux entendre que tu veux être avec moi.” Est-ce que c’est clair, comme ça ? “Entièrement, parce que tu penses qu’on peut être heureux.” Ca donnerait ça, la fin de mon bouquin. Recule d’un pas. “Tu peux le dire ?” Allez, Leandra, t’as commencé, t’as déjà amorcé ma chute, ai au moins l’amitié d’mettre fin à ma torture. Y a plus qu’à souffler sur notre flamme pour l’éteindre. Et cette fois, j’te laisse aucune porte de sortie, aucune fenêtre pour nous sauver. Battant haletant, monte sur l'échafaud. Faire tout dérailler.


(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
Leandra T. Carreirao

Âge : 32
Lieu de naissance : au Cap Vert, mais possède la nationalité américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : Boston, à Beacon Hill, seule avec mes enfants une semaine sur deux.
Situation sentimentale : célibataire, probablement à terminer seule avec une entreprise pour moi. Carrière ou famille, c'est ça ?
Études / Métier : CEO de ma propre fondation d'aide aux femmes et aux démunis.
Date d'inscription : 22/04/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : elle / polaroid papers
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 A06ff30c42c133d8f43fdbb35e13f6b253d74ffe
Faceclaim : Sara Sampaio.
Crédits : polaroidpapers
Multicomptes : sofia dunn-aguera, stevie cesarini, astoria omen
Description (1) :


these
violent delights
have
violent ends


jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 Ea92cdc0a42adfaeb03d7696f1a05d670cd6a45c jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 Cd1d7d07b90b964d83c634dfbbb79b5ffafddfbf jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 A74b79b1b06c661c4ee5f3f18c4453bd1ed0969e

—                —               — 

possède un très léger accent quand elle parle › est arrivé aux Etats-Unis à ses 7 ans › ambitieuse, elle a crée sa propre fondation pour les femmes et pour leur venir en aide. › elle fait de la boxe › elle a deux enfants, Aaron et Riley › son père est décédé › elle est déterminée, sait ce qu'elle veut et où elle va › elle est récemment propriétaire et fait des travaux dans sa maison.


Description (2) :
what about us ? —
— Jude Montgomery ; ex conjoint, père de ses enfants
— Jasper Ellington ; ex conjoint, meilleur ami, relation floue
— Milo Musat ; détestable, concurrent avocat
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien

Warnings : religion, avortement, grossesse, racisme, vengeance, dépression, triangle amoureux.
RPS : 121
Messages : 12668
Préférences de jeu
veritas
Leandra T. Carreirao
est en ligne
rédaction & design | I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/f53-meetssengerProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t119145-meetsachussets-leandracarreirao#4410277
Tu crois que t'es le seul à être plus bas que le sol, mais regarde moi, est-ce que j'ai l'air vivante, d'après toi ? Est-ce que je suis encore la Leandra que t'as connu ? Je te le demande, parce que dans chacun des miroirs, je ne me reconnais pas. Je me vois, je m'apprête, je donne le change, mais tout a disparu, et ça fait bien longtemps maintenant. J'ai fais un choix parce que vous m'avez imposé de faire un choix. “Tu penses que tu fais les choses bien là ?” Chacun voit midi à sa porte. J'ai ma version, tu as la tienne. Entre nos deux versions sa cache la vérité, quelque part. Celle qui sera conté dans les livres, celle qu'on dira quand on montrera cette relation en exemple, ou en contre exemple. “Tu penses que ça nous aide ?” Je pense que je me suis creusée une tombe et que je m'y suis enterrée, pas assez puisqu'avec ton attirail de jardinier, t'arrives à m'y déloger. Tu tires sur ma main pour me ramener d'outre tombe et j'aime pas ça. C'est de l'attaque, ce que tu fais. J'y étais bien, dans ma fausse paix. “On a l’air heureux et en couple là tu crois ? On fait notre vie ? J’suis incapable de me foutre en couple et de laisser la place pour quelqu’un parce que j’ai toujours l’espoir qu’un jour tu débarques et qu’tu me dises que t’as compris c’était moi, que c’était nous et qu’on méritait ça.” le coupe presque dans la phrase quand en face, la répartie : "T'es pas incapable de te foutre en couple Jasper et tu l'a montré plus d'une fois !" me force pas à énuméré les corps que j'ai dû voir défiler, à énumérer les courbes avec lesquelles tu as valsé. “Je suis en attente et je fous ma putain de vie en l’air parce que t’es pas capable de savoir qui tu veux. Et me dit pas de pas le faire, comme si c’était facile et possible.” On est mauvais à deux, je connais pas les règles du jeu mais j'ai quand même voulu jouer, j'ai voulu participer et maintenant je m'en mords les doigts. “En fait t’attends qu’un de nous deux abandonne l’espoir pour choisir celui qui reste. Ça serait plus facile, hein ?” Et même si tu sais pas jouer non plus, t'es bon à frapper, t'es bon à attaquer. Ce que tu fais, avec cette phrase, et tu me mets tout sur le dos et je sais plus comment réagir, je sais pas quoi dire. Alors, hors de ma tombe, je rigole. J'en ris nerveusement, même, mais derrière ce rire se cache une colère. “On fait des choix, on fait tout le temps des choix, pour tout, et bien sûr qu’on renonce à pleins de trucs, c’est le jeu.” Si je choisi, ça ne va pas. Si je choisi pas, ça ne va pas non plus. C'est quoi mon issue là dedans Jasper, dis-moi quelle est mon issue ? “C’est lâche Leandra, c’est tellement lâche.” Parce que je suis responsable de ton mal, c'est ça ? Tu croise combien de miroir, toi ? Parce que j'en croise assez pour voir mon reflet, assez pour me blâmer tous les jours de cette situation dont je fais en sorte de m'échapper. “Moi j’veux entendre que tu veux être avec moi.” Mais toi, tu m'y confronte. Si j'avais su, j'aurais réfléchis à deux fois avant de te proposer de jouer au jardinier. “Entièrement, parce que tu penses qu’on peut être heureux.” C'est pas ça le problème, je suis convaincue et je pense sincèrement qu'on peut être heureux. Bien sûr que je peux dire ça, parce que je veux être avec toi. Je veux être avec lui aussi. “Tu peux le dire ?” Oui, je peux le dire. Moi, je peux le dire. Mais forcément ton venin se crache et me laisse peu d'occasion à m'enfuir. Tu me connais, tu sais que ça monte, tu sais que ça chauffe. Alors, les yeux trouvent ceux d'en face, en colère, saignant, sanglant, noir. Sombre, si sombre que les ténèbres pourraient s'y cacher, qu'on les verrait toujours pas. "Et toi tu peux le dire ?" Elle est facile ta position, bien sûr. Je suis celle à blâmer pour tous les maux, celle responsable de ton enfer, du sang qui coule le long de ta poitrine, ce sang qui ruissèle de tes poignets à force de trop m'aimer. "Tu peux me choisir, Jasper ?" Leandra n'est plus là, elle a disparue. La colère, prête à tout détruire, brûler cette maison, brûler ta peau, s'il le faut. Les sourcils froncés, le regard sévère. "Tu m'a choisi quand t'a décidé de partir à New-York ? C'était moi ton choix quand tu t'es mis avec Alaska ? J'étais ton choix quand t'as fais un enfant à Salomée ? Quand t'as pris son parti, j'étais celle que t'avais à l'esprit ?" Alors il est beau ton rôle, Jasper, ça oui il est beau. Croise un miroir et pose toi les bonnes questions, parce que je suis pas la seule à blâmer dans cette histoire et peut-être qu'on avancera quand enfin tu le reconnaîtra. S'approche de l'homme, le pousse légèrement, espérant qu'il le soit aussi dans ses retranchements. "Y a rien qui vous suffit ! C'est toujours à moi de choisir, toujours Leandra, Leandra, Leandra !" est-ce que vous, vous avez essayé, au moins ?  "Mais est-ce que t'as de l'amour au moins pour moi ?" qu'elle souffle, souffre, s'avance. "C'est quoi, tout ce que tu mets là dedans, à l'intérieur ? tout en faisant les gestes sur son torse qui accompagne son discours. "Est-ce que t'as de l'amour pour moi ? Est-ce que tu me choisira ? Ou est-ce que c'est ton putain foutu d'égo qui parle ?" le lion dans sa cage, qui s'énerve parce que le roi de la jungle n'est plus le seul à avoir une couronne. Et si c'est le cas, est-ce que je te suffirais ? Est-ce que tu voudra de moi ? Si ce n'était que nous, si ce n'était que moi ? "Qui me dit que tu t'enfuira pas à la première difficulté ? Un billet d'avion c'est si simple à acheter !" c'est déjà ce que t'as fais, pas vrai ? ça résonne, ces termes là, parce que t'as déjà voulu le faire, parce que tu l'a fais. Repousse l'homme encore une fois. "J'ai beau être lâche j'arrive au moins à reconnaître que j'ai merdé." et que je suis incapable de choisir, surtout. Mais toi, toi est-ce que tu peux le reconnaître ? J'en sais rien, et t'en sais rien non plus. Parce que si tu meurs à petit feu, tu l'a bien caché. Masqué derrière des corps, d'autres que t'as appris à connaître, pendant que dans mon choix, j'étais entrain d'admirer le spectacle de loin, et vraiment demande toi quel est le pire. Voir l'autre faire sa vie et découvrir d'autres âmes ? Ou voir l'autre et se souvenir qu'on l'aime ? Je connais ma réponse, mais quelle est la tienne ?
(Leandra T. Carreirao)


Ladies always rise above, ladies know what people want
draw the cat eye, sharp enough to kill a man, you did some bad things, but I'm the worst of them. sometimes I wonder which one will be your last lie, they say looks can kill and I might try. i don't dress for women, i don't dress for men, lately I've been dressing for revenge.
Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 QIkbezwN_o
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 74
Messages : 24925
Préférences de jeu
veritas
Jasper O. Ellington
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Tu l’vois, que j’suis arrivé au bout du truc ? Tu sais, de la patience infinie, de l’espoir crétin que je nourris avec tout ce que tu me donnes, même les miettes. J’tiens, j’m’accroche, alors même que nos peaux ont choisi de s’apaiser loin l’une de l’autre. J’m’accroche, juste parce qu’à ton annulaire, il n’a pas encore glissé le plus précieux des métaux. J’sais qu’il ne manque pas d’envie. J’sais aussi que de nous trois, je suis celui avec le moins de patience. Ce statu quo de merde sur plusieurs années, c’était sympa à écrire, à lire, mais là, moi, Jasper, j’implose alors même que c’était pas prévu dans le titre du sujet. Pas même prévu au début de l’écriture vers la descente. Maintenant qu’on est là, on fait quoi ? Le cœur révolté, se tord à chacun de tes mensonges. J’crois que le must, c’est quand même que j’ai fait un gosse à Salomé. Tu sais, la cerise sur la montagne de merdes que tu me racontes, avec des faits raccourcis, tronqués, édulcorés. T’as peur, hein? J’suis quasi sûr que c’est la panique là-dedans, maintenant que j’ai pris la jolie boule à neige de nous trois nous tenant la main, et que j’l’agite comme un forcené. La neige ne tombe plus depuis longtemps. On est congelés, stoïques. Je hurle dans une bibliothèque, j’fais tomber la palette entière de couleurs sur ce bouquin aux lignes noires sur fonds blanc. Voilà, on y arrive. Fallait bien que l’un de nous craque, et j’suppose que c’est plutôt logique que ça soit celui qui n’a plus rien à perdre, qui le fasse. J’t’ai perdu depuis Riley. J’suis juste trop con pour le voir. Alors j’encaisse, parce qu’avec du recul, nos guerres n’ont fait que nous servir d’excuses pour justifier nos divorces. Je pouffe, quand même, quand tu mets un point d’interrogation sur mon dos, planté jusqu’au cœur. Parce que si t’ouvrais les yeux sur autre chose que toi-même, Carreirao, tu verrais que mon corps est jonché de cicatrices pour toi. Que j’suis là, dans ton putain de jardin que j’entretiens comme un jardinier qui n’comprend rien au fait qu’il serait temps de quitter la soirée. Faut partir monsieur, à un moment, faut comprendre, ça devient gênant. Pour tout le monde. Heureux que Junon soit trop jeune pour capter le ridicule. Donc ouais, je pouffe, parce que c’est trop gros, ça m’en retire le souffle. Et tu m’y aides, de coups sur mon torse. Vas-y, sers toi de mon air. Prends tout, tout, n’en laisse rien. “C’est bon, t’as fini ?” Ton laïus parsemé d’erreurs historiques, de trucs que t’aurais même pas dû oser sortir. J’ai la tête qui t’provoque, d’un boxeur qui en a rien à secouer de se prendre des coups. “T’as encore des trucs à dire ou t’as tout lâché là ?” J’peux en réceptionner encore un peu, des gestes et des paroles. “Parce que moi j’suis encore là, et j’ai merdé ouais, surement, tout un tas de fois, et pas qu’avec toi.” J’ai été imparfait, dans toutes mes relations. Ma place de bouffon était aisée avec toi, mais j’ai parfois été le bourreau, dans quelques éclats d’ego, de tristesse. J’le reconnais. Les mains s’enfoncent dans les poches, et mes orbes s’accrochent, le sourire d’un type qui sait qu’ça n’va pas durer, mais qui y va fièrement, à l'échafaud. “J’pars pas d’ici tant que tu m’as pas répondu.” Lui ou moi. Personne. “Et m’dit pas que t’as besoin de temps, du temps ça fait des années qu’on t’en donne.” Le standby a eu plusieurs prolongations. “Moi je sais que t’es la femme de ma vie, je sais que j’aimerai jamais quelqu’un autant que je t’aime. Tu le crois ou pas, ça ça t’appartient. Mais c’est ce que je sais.” Tu l’entends, ou pas, mais j’te l’ai dit. J’ai trop voulu te faire entendre les choses en hurlant, en me révoltant quand tu ne les écoutais pas. Désormais j’abandonne au vent mes confidences, et t’en feras ce que tu veux. Je ne crois pas, je sais. C’est entremêlé à mes veines. “Moi j’ai pas d’hésitation. Je veux être avec toi.” J’le sais, mais j’le sais depuis des années. Depuis le tatouage, depuis la présentation à mon père, depuis la cicatrice de Jude et la mienne. Depuis que j’aime tout ceux qui t’appellent maman. Je noierai pas mes mots dans quelques fioritures, pour une fois, je filtre l’esprit pour ne laisser que le cœur. Ca me noie, un peu, quand j’pensais bien gérer. Une inspiration, plus douloureuse. Le bord, j’oscille. Quelques graviers chutent, déjà. “Mais j‘ai besoin de savoir si t’es capable de m’aimer de la même manière.” J’le mérite. J’crois que j’ai mis longtemps à le comprendre, que j’avais le droit à ça. Choisis moi ou libère moi. Attrape moi la main, ou pousse moi. Je n’en peux plus de jouer aux équilibristes entre nos vies.

(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
Leandra T. Carreirao

Âge : 32
Lieu de naissance : au Cap Vert, mais possède la nationalité américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : Boston, à Beacon Hill, seule avec mes enfants une semaine sur deux.
Situation sentimentale : célibataire, probablement à terminer seule avec une entreprise pour moi. Carrière ou famille, c'est ça ?
Études / Métier : CEO de ma propre fondation d'aide aux femmes et aux démunis.
Date d'inscription : 22/04/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : elle / polaroid papers
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 A06ff30c42c133d8f43fdbb35e13f6b253d74ffe
Faceclaim : Sara Sampaio.
Crédits : polaroidpapers
Multicomptes : sofia dunn-aguera, stevie cesarini, astoria omen
Description (1) :


these
violent delights
have
violent ends


jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 Ea92cdc0a42adfaeb03d7696f1a05d670cd6a45c jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 Cd1d7d07b90b964d83c634dfbbb79b5ffafddfbf jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 A74b79b1b06c661c4ee5f3f18c4453bd1ed0969e

—                —               — 

possède un très léger accent quand elle parle › est arrivé aux Etats-Unis à ses 7 ans › ambitieuse, elle a crée sa propre fondation pour les femmes et pour leur venir en aide. › elle fait de la boxe › elle a deux enfants, Aaron et Riley › son père est décédé › elle est déterminée, sait ce qu'elle veut et où elle va › elle est récemment propriétaire et fait des travaux dans sa maison.


Description (2) :
what about us ? —
— Jude Montgomery ; ex conjoint, père de ses enfants
— Jasper Ellington ; ex conjoint, meilleur ami, relation floue
— Milo Musat ; détestable, concurrent avocat
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien

Warnings : religion, avortement, grossesse, racisme, vengeance, dépression, triangle amoureux.
RPS : 121
Messages : 12668
Préférences de jeu
veritas
Leandra T. Carreirao
est en ligne
rédaction & design | I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/f53-meetssengerProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t119145-meetsachussets-leandracarreirao#4410277
T'es encore là mais c'est peut-être qu'une question de temps. T'es encore là, oui, mais pour combien de temps ? Est-ce que le paysage te plaît ? Est-ce que t'a prévu de rester ici ? Est-ce que je peux te faire confiance là dessus ? J'ai passé des années à essayer, à tenter de lisser nos pages, celles que tu broies désormais, celles où t'ajoutes de la couleur, du relief, des formes et des contextes. J'ai tellement tout lissé que j'ai plus rien pour pleurer. Je soupire, m'assoit là, sur un rebord, un accoudoir, que sais-je. Mes dernières années ? Un long fleuve tranquille. Tu sais pourquoi ? Parce que tu n'étais pas là. Facile d'aplatir les pages quand il n'y a personne pour les froisser. Pas facile de rester loin de toi pendant que j'essaie de me calmer. "Je t'aime Jasper." c'est le cas, c'est une vérité qui a empoisonné tout le reste. "Mais je pense pas que je puisse te rendre heureux." voici une autre vérité, qui m'empoisonne depuis quelques années déjà. Trop longue. J'ai mis du temps à relire l'histoire, à lisser nos pages, à lire entre les lignes. J'en ai vu des choses, beaucoup. Me concernant, te concernant, nous concernant. Les lignes transpirent, tu sais ? L'encre a coulé sur mes mains et j'en ai tâchés mes plus belles formes. Parmi ses lignes, beaucoup de haine, aussi. Trop même, peut-être ? "On a trop vécu, je t'ai trop cabossé et c'est qu'une question de temps avant que la rancœur ne fasse son travail." Une question de temps avant que tu te rendes compte que tu ne m'aimes pas, ou pas bien, ou pas sereinement, ou pas pour vieillir. Tu te rendra compte que d'autres femmes t'ont mieux aimé, que peut-être tu mérites une histoire douce, peut-être que ton eau en a marre de se fracasser contre des rochers et que tu préférais ton comportement autrement. T'as beau ne pas le croire, je vois le mal que je t'ai fais. Je m'en rends compte, je le sais. Je joue l'honnêteté, je t'offre mes craintes sur un plateau d'argent. Je vois les cicatrices, j'en ai guéri certaines. Je vois les pansements, je vois les bleus, je vois les marques. Celle que j'ai faite mais aussi celles que tu t'es faites à cause de moi. Je vois les bandes, les endroits recousu, les brûlures. Je sais reconnaître mes entailles sur ta peau dû à leur précision. On savait où frapper, pas vrai ? J'ai plus envie de frapper, Jasper. J'ai plus envie. Ce que j'ai envie ? Te garder. Contre moi, là, ici. Tu serais bien, dans cette maison. Je vois quand tu te balades dedans, c'est ici, ton endroit. C'est l'aisance avec laquelle tu t'occupes des choses, c'est la manière dont tu fais des cocktails, c'est chez toi, et tu le sais. Avec moi, c'est chez toi. On a toujours été chez nous avec l'autre et c'est quelque chose que tu pourra pas nous retirer. J'ai envie de te dire de rester, j'ai envie de te le hurler, mais mes yeux fixent le sol et je sais pas où aller. J'ai jamais su quelle direction prendre et c'est ça, mon soucis, pas vrai ? Je sais pas, dis-moi qu'est-ce qu'on fait ? Un soupire, la tête se relève, et elle se secoue. "Je pense pas que je suis capable de t'offrir ça." j'ai toujours été forte à mentir, tu vois. Je sais comment sont les choses, je sais ce qu'il se passe, je me connais. Je me connais, surtout. C'est peut-être pas maintenant, peut-être dans deux ans, six ans, huit ans, seize ans, qu'importe, au final, je me connais. Je te ferais du mal, encore. J'ai intériorisé ce monstre en moi, j'ai pris tout ça. Je pense pas être une bonne personne et je sais que même si j'essaie, j'aurais toujours ce démon en moi qui me forcera. Alors, même si je sais que t'es bien là, que ta place est avec moi, je préfère pas prendre le risque de te faire encore du mal. Je sais que t'as déjà beaucoup souffert et j'ai pas envie d'en rajouter, je veux pas être celle qui en ajoute. Peut-être que mon bluff ne machera pas mais on sait tous les deux que je suis une très bonne menteuse. J'ai appris des meilleurs. J'oublie parfois que tu me connais, que tu sais. Je compte sur ta haine envers moi pour voiler tes pouvoirs. Tu veux que je te dise le pire dans tout ça ? J'ai jamais été faite pour le paisible, le tranquille. J'aime quand ça déraille, j'aime quand on connait les vagues, quand ça tangue d'un côté puis d'un autre. Tu le sais, que je suis pas faite pour les balades, tu l'a toujours su. Je le sais parce que tu m'aimes comme ça ; comme un océan qui se déchaîne contre les roches, comme une rivière qui emporte tout sur son passage, comme une pluie battante un soir d'orage. Tu m'aimes avec la force des choses, tu m'aimes parce que tu sais pas faire autrement, parce que même si tu veux changer de destination, le courant t'emportera toujours jusqu'à moi. Je le sais, parce que je t'aime aussi comme ça.
 
(Leandra T. Carreirao)


Ladies always rise above, ladies know what people want
draw the cat eye, sharp enough to kill a man, you did some bad things, but I'm the worst of them. sometimes I wonder which one will be your last lie, they say looks can kill and I might try. i don't dress for women, i don't dress for men, lately I've been dressing for revenge.
Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 QIkbezwN_o
jasp le jardinier (jaspeandra)  - Page 2 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 74
Messages : 24925
Préférences de jeu
veritas
Jasper O. Ellington
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Je pense, je pense, je pense. Ton courage défaille, Carreirao, tu parles comme une politique pas foutue de trancher, enlisée dans ce désir de ne pas blesser les foules. Y a que moi, dans la foule, et le corps morcelé de nos impacts, de nos griffures, j’n’en ai plus, de parcelle de peau à préserver. Ta lame enrobée de retenue, rentre tout aussi bien dans ma chair. Je la préfèrerais tranchante. La mise à mort est trop lente. Tu m’aimes, je t’aime, et ça n’a jamais été ça le problème. C’est surement celui des autres, qui oublient et désaiment si facilement. Filez moi l’astuce ; elles partent, et il y a toujours un morceau de moi dans leur valise. Toi, j’ai pas eu le flair, je t’ai confié mes espoirs, mes désirs et ce futur, même si t’en a pas toujours été avisée. Liés jusqu’au sang, j’ai jamais envisagé une autre fin que celle de nos peaux accrochées. Le chemin nous a bien abimés, mais on est encore là, à s’inventer un quotidien de trentenaires qui s’retrouvent pour parler jardinage. Ca fait combien de temps, Carreirao, qu’on a enfilé nos masques ? Ca nous arrache la gueule, de les ôter, mais j’en ai marre, tu vois, j’en peux plus de pas me reconnaitre dans le miroir. J’l’ai dégagé et j’vais pas te mentir, y a des stigmates. On s’est gâchés du temps, de la beauté, des moments. On s’est miné le chemin, et on s’marre en voyant comme on arrive bien à les éviter, ces pièges qu’on se pose. Laconique, factuel, intraitable : “C’est pas ce que j’t’ai demandé.” Me dire que tu m’aimes, me dire que tu peux pas me rendre heureux, me sortir le baratin de la fille qui anticipe notre chute. C’est ce que j’ai fait, la dernière fois. Notre dernière fois. J’ai anticipé, et à une perte près, j’avais déjà tout écrit. J’suppose que cette perte là, était celle de trop. Des éclats dans le cœur métal. “J’te demande pas si tu peux me rendre heureux, j’te demande même pas si ça tiendra jusqu’à demain.” C’est compliqué, d’écouter ce que je te dis ? J’te demande pas une promesse, ni l’écriture anticipée de nos chutes, j’te demande un regard direct sur ce qui peut secouer ton battant. Bouge-t-il encore un peu, en dehors de quelques battements purement fonctionnels ? Est-ce qu’il sait encore se serrer ? Défaillir, tressauter, s’accélérer et faire pulser tout le corps ? T’as tellement creusé loin de nous, que la bouche pleine de terre, j’te demande de cracher ce qu’il se passe là-dessous. Discours inaudible, bouffé par ta politique de l’autruche. Ca tombe bien, j’suis d’humeur à déterrer tous nos cadavres ; et là, à ce moment précis, j’suis pas bien sûr qu’on soit capable de m’arrêter. Lancé à grande vitesse, prêt au fracas s’il le faut, la peau blindée et le reste avec. Le regard fixe, agrippant de toute son obscurité les tiennes. Si t’envisage la fuite, j’ai suffisamment de patience pour fermer toutes les portes, les fenêtres, les fêlures, le moindre passage d’air, j’scellerai chacune des issues. “J’te demande si j’peux te suffire.” Entends-moi. “J’te demande si j’dois t’attendre ou si tu me libères.” Mes phalanges, placées sur l’arrondi de tes traits. Etau délicat. “Et si c’est pas le cas, j’veux que tu me dises que ça sera jamais moi, que j’te suffirai pas.” Que juste moi, sans la douceur de Jude, c’est comme un monde qui ne tourne plus. Que cette pièce n’existe qu’avec ses deux faces. “Que j’me trompe.” Dans mes certitudes, les mêmes qui m’foutent en l’air depuis des années. Qui foutent en l’air des histoires qui comme ça, avaient l’air vachement bien, si seulement j’les avais pas sabordé dès le départ. “Dis moi que j’dois arrêter de penser à toi.” Du courage, j’en ai pour deux, et j’t’en souffle. Les années sont passées, Leandra, assez pour s’aimer ou s’briser le cœur comme des grands.


(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)