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Je sortis de mon cours de sport avec la seule et unique envie de voir mon petit ami, Julian. Non, ce n'est pas parce que je me suis doucher complètement nue que d'un coup j'ai pensé à Julian, quoi que quand je suis nue je pense souvent à lui. Enfin bref, j'avais envie de voir mon mec et j'allais le voir mais pour le moment il fallait d'abord que je le trouve. Je me mis donc à fouiller tout le campus à la recherche de Julian, mais à la place je tomba sur Aindreas. Je m'arrêta donc un moment pour le saluer et lui embrassais la joue. Puis au bout de quelques minutes de papottement, je me remis à la recherche de Julian. Je trouva ce dernier, assis dans l'herbe devant le campus, enfin plutôt allonger dans l'herbe à prendre le soleil. Je souri doucement et me dirigea vers lui d'un pas franc. Une fois arrivé à quelques centimètres du beau brun, je vins me mettre à califourchon sur lui sans un mot et lui déposa un doux baiser sur les lèvres avant de prendre la parole : « Devine, qui c'est. » lui dis-je avec une pointe de sensualité dans la voix alors que le brunet garder les yeux clos. Il l'est ouvrit pour découvrir mon visage quand d'un coup, une jeune femme arriva. « Bon, Julian chéri on va en cours où tu lézarde encore au soleil ? » lui demanda t'elle. Je leva la tête sur la tête blonde de celle qui venait d’appeler mon mec « chéri », je la dévisagea avant de me lever brusquement en prenant appuie sur le torse de Julian. « Oh, je suis désolée de te déranger lorsque tu est occupé CHERI ! » dis-je en appuyant bien sur le mot « chéri », la jeune femme me regarda sans vraiment comprendre. « Quant à toi la blondasse, continue à toucher ou appeler mon mec comme cela et je pense que la gentille Silver, peut devenir la méchante Silver. » dis-je en serrant les dents. Je me tourna enfin vers Julian qui venait de se lever. « Quand à toi Julian tu ne changeras jamais en fait, tu resteras toujours ce séducteur invétérer. » finis-je par dire en souriant. J'avais la lèvre qui tremblait et les yeux qui devenait brillants comme ci que j'allais me mettre à pleurer. Je m'apprêtais à partir quand une main entoura mon poignet, pour me retenir.
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