Burn like a sun | ft Maxime

C’était parti de rien, d’une petite provocation puérile à laquelle Maxime avait mordu, entraînant une réaction en chaîne les conduisant jusqu’à ce moment. Il avait passé l’intégralité de la journée, dehors, au grand air. Pas uniquement à lézarder au soleil mais aussi à se promener, à découvrir la ville. Tout ce qu’il aimait Chelsea. Ils avaient discuté, ris ensemble, profité de la plage, s’allongeant sur une serviette, elle même disposée sur le sable chaud. Il avait à peine trempé les orteils dans l’eau Chelsea, préférant mille fois la chaleur des rayons du soleil à la fraîcheur de l’eau. Ce n’est d’ailleurs qu’au départ des derniers rayons du soleil qu’ils ont également quitté la plage, regagnant l’hôtel pour finalement voir à qui ce bain de soleil avait le plus profité, bien que dans cette affaire, personne ne serait perdant. Il avait ressenti des frissons au passage des mains de Maxime sur son corps Chelsea, lorsqu’il lui avait demandé de lui étaler un peu de crème solaire, et il savait bien que plus bronzé ou non, la suite s’annonçait encore plus agréable. « Alors, prêt à voir qui de nous deux a le plus bronzé ? » Il l’interroge avec un grand sourire, abaissant légèrement la limite de son short pour observer la démarcation laissée par les rayons du soleil qu’il absorbait depuis plusieurs jours maintenant.

Je passe le plus clair de mon temps au bord de la piscine ou au bord de la plage depuis le début du Spring Break, donc je dois dire que j'ai pris de belles couleurs et c'est autour de ça que ma journée et ma soirée avec Chelsea s'est programmé. On pari sur qui est le plus bronzé. A voir ce que ça va donner à la fin de la journée, parce qu'on passe la journée ensemble, à se balader dans Miami, jusqu'à se poser sur une serviette au bord de la mer. La journée s'est très bien passée. On s'entend très bien avec Chelsea et on finit par rentrer à l'hôtel et je souris alors qu'il reparle de nos bronzages, tout en abaissant un peu son short afin de voir la démarcation de son bronzage. Oui pas mal.. Que je lui réponds en m'approchant de lui et voir un peu mieux la séparation. Regarde moi, c'est plus non ? Que je demande en venant abaissant un peu mon short à mon tour pour lui laisser voir mon bronzage. Peut importe le résultat, on sait comment ça va se finir. On n'est pas là pour jouer aux cartes, bien au contraire. Je me colle un peu plus contre lui en me mordant la lèvre inférieure.

Ce n’est que le début de la saison chaude et pourtant, il a déjà commencé à prendre de la couleur Chelsea. C’est encore léger, malgré les heures qu’il peut passer dehors, mais il sait, que d’ici quelques mois, son bronzage serait bien plus marqué. En dehors des conséquences sur son apparence physique, il aime ces bains de soleil malgré tout, la sensation du soleil sur sa peau, ce qui l’a mis dans de très bonne disposition toute la journée pour discuter et taquiner Maxime, qui jusqu’à maintenant semblait s’amuser avec l’écossais. Arrivé dans la chambre, il commence déjà à inspecter son corps, à observer les résultats de cette journée. C’est léger, loin encore de sa capacité maximale à bronzer mais ça commençait tout doucement à se marquer. Il sourit, interpellant Maxime pour qu’il constate aussi ce léger changement et l'inviter à découvrir le sien. Légèrement marqué aussi, il se dit que comme lui, le français renforcera cette démarcation une fois l’été réellement commencé. « C’est plus parce que tu as décidé que ça serait plus, ou parce que c’est vrai ? » Il le taquine Chelsea, parce qu’il ne voit pas vraiment la différence. Pour lui, ça serait un ex aequo, ce qui en soit, collerait tout aussi bien au reste de cette soirée dans laquelle ils auraient tous les deux ce qu’ils désirent non ? « Si tu veux que je t’accorde cette victoire, il va falloir me laisser inspecter un peu plus. » Lueur espiègle dans le regard il laisse ses mains glisser le long du torse de Maxime, passant sous son t-shirt pour chercher à lui enlever.  

On n'a plus qu'à comparer nos bonzages maintenant. Je suis peut être parisien, mais j'ai passé mes étés entiers dans le sud de la France, donc le soleil ça me connaît et je bronze plutôt facilement. Donc après une séance à la plage, à faire les crêpes avec Chelsea, on finit par rentrer dans ma chambre. Nous voilà face à face, et je le regarde quand il baisse légèrement son short de bain. Je vois bien la démarcation et je décide d'en faire de même, lui montrant que moi aussi j'ai bien bronzé. Parce que c'est vrai non ? Que je réponds en souriant amusé alors que deux de mes doigts se glissent entre son short et son corps pour l'abaisser de nouveau un peu. Autant en profiter. De toute façon, on sait jamais ça va se finir cette histoire. On sait que je vais pouvoir profiter de son corps et lui du mien. Ah mais je suis tout à toi... Que je viens à murmurer au creux de son oreille, alors que je sens sa main se glisser sous mon t-shirt. Je l'aide à me le retirer, le jeter un peu plus loin dans la chambre et je m'attaque rapidement au sien. Et le voilà torse nu également. Je fais glisser mes lèvres le long de son cou pour ensuite venir capturer ses lèvres pour pouvoir l'embrasser avec fougue.

Il doit bien avouer qu’il n’est pas le seul à savoir apprécier le soleil Chelsea. Cela pouvait paraître surprenant quand on savait où il était né et avait grandi et pourtant, une partie de ses gênes savait tirer avantage de cette exposition, mais visiblement, le français aussi. Tous les deux arboraient un teint un peu plus hâlé qu’à leur arrivée à Miami, signe de la forte présence du soleil dans le ciel. Il compare une nouvelle fois alors que Maxime vient lui-même mettre en évidence la démarcation sur la peau de l’écossais, lui arrachant un léger frisson au passage. Il hausse les épaules Chelsea, ne sachant réellement dire qui avait prit le plus de couleur mais sachant pertinement que ça ne changerait plus rien à l’issue de leur soirée. Ses mains sont déjà sous le haut du français alors qu’il envisage de lui accorder cette “victoire”. Maxime se laisse faire et il en profite Chelsea. Cette journée lui a donné chaud, mais seulement parce qu’il l’a passé à absorber les rayons du soleil, mais également parce que Maxime provoquait une attraction particulièrement irrésistible contre laquelle il avait dû lutter toute la journée. Une attraction visiblement réciproque. Il lui facilite l’enlèvement de son haut, se laisse embrasser, répondant avec fougue à ses lèvres contre les siennes. Ses mains viennent se poser sur les hanches de Maxime, poussant doucement le tissu qui le couvre encore. Maintenant qu’ils n’étaient plus que tous les deux, il n’y avait plus de raison de s’encombrer d’un short.

hj : han désolé, j'ai du supprimer la notif sans faire exprès