Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityElys ♦ C'est toi contre moi et moi contre toi. Mets-toi contre moi.La guerre encore, je te promets. - Page 2
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Elys ♦ C'est toi contre moi et moi contre toi. Mets-toi contre moi.La guerre encore, je te promets.

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    Impossible ! Impossible de quoi ? Impossible qu'elle puisse être sincère ? Impossible qu'elle puisse l'aimer toujours ? Impossible qu'ils se remettent un jour ensemble ? Impossible qu'il lui pardonne un jour ? Si c'était impossible à tout cela,c'était comme si elle venait de se prendre une claque en pleine figure , pire qu'une douche froide. Ses quelques mots suffirent à la blesser ... Elle s'attendait à pas grand chose mais vraiment pas à cela : impossible signifiait aucun espoir. Pour une fois, il lui fallu un certain temps avant de réagir à l'attaque tellement  un temps d'encaissement et d'interprétation était nécessaire. Pourtant, son regard semblait dire le contraire et rien que cela remettait en cause sa conclusion. Ils n'avaient jamais vraiment eu besoin de mots pour se comprendre tous les deux.Leurs regards avaient toujours suffi à parler pour eux et pour leurs sentiments. L'espace d'un instant elle avait l'impression de retrouver ce lien d'autrefois , ce petit truc qui les unissait. Peut-être que c'est dans son regard qu'elle pourrait lire les vraies réponses à ses questions mais il semblait tout aussi perdu qu'elle. Et puis sa main sur son visage ... Une sensation indescriptiblement positive. Comment pouvait-il affirmer quelque chose et en même temps sa gestuel témoigner du contraire ? Ou alors il jouait avec elle ? Non impossible ! Ce moment était sans doute celui qu'elle avait attendu depuis deux ans. Enfin un geste tendre et un signal positif. Ce côté tendre surprenant et bien enfoui avec son coeur était ce qui l'avait fait craquer chez lui et continuait de la faire craquer aujourd'hui.C'est que tout n'était pas fini entre eux alors non ? L'espace d'un instant , c'était comme si le temps s'était arrêté , comme si rien ne s'était passé quelques minutes avant , comme si ils étaient seuls au monde.Juste le silence ... et ce mélange de sentiments contradictoires avec une pointe d'espoir. Si elle n'écoutait que son coeur et ses envies, elle ne retiendrait pas ce sourire qui tente de se dessiner sur son visage à la simple sensation de sa main posée sur elle et  n'hésiterait pas à faire le dernier pas à parcourir puisque c'était ce qu'elle voulait, ce qu'elle avait envie et besoin. Mais sa raison ... sa raison lui ramenait en pleine figure les derniers mots prononcés et le souvenir de toutes les phrases assassines qu'il avait pu lui balancer dans le passé. Ok, c'était à elle de se faire pardonner , c'est elle qui a foutu en l'air leur couple mais elle ne serait pas la seule à faire des efforts. Par ego, orgueil et comme pour se protéger, elle brisa le lien proche qui s'était crée entre eux de toute sa froideur, tournant la tête et retirant sa main de son visage avec force et fermeté : « Tu l'as dit , c'est impossible. On n'a plus rien à se dire maintenant. Tu peux partir »  Faux ! Et elle le savait , elle aurait tellement de choses à lui dire pour le retenir auprès d'elle. Que tout ce qui lui importait c'était qu'il revienne.Mais à quoi bon lui ouvrir son coeur si il ne la croyait pas ? Autant arrêter cette conversation là avant de repartir pour une énième discussion.Il avait donc raison : c'était impossible surtout si à chaque fois que l'un faisait un pas avant , l'autre en faisait dix en arrière.
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Je la regardais, mes mains touchées son visage si beau, si parfait, tant désiré. J'aimais le contact de mes mains contre sa peau, j'aimais sa peau, je l'aimais elle, depuis toujours je crois pourtant ça me coutait de l'avouer, j'avais trop peur si bien que lorsque je la touchais, je gardais mon regard de beau gosse qui ne veut rien de plus que du sexe et c'était comme si je cherchais à nier ou à tout gâcher, c'était pourtant pas le cas au fond de moi mais là oui, c'était ainsi. Malheur ! Si peu de courage, tellement de peur. Je la touchais, mon cœur s'emballait mais je ne la laissais pas y accéder, je l'enfermais dans l'igloo incassable que j'avais toujours construit mais qu'avant, elle avait su briser dans un petit coin seulement. Je ne souriais pas, je ne montrais qu'un grand désir limite pervers comme pour la repousser. Bien sur, elle n'apprécia pas ma remarque comme quoi c'était impossible et bien sur, elle repartit dans les tours directement. Vexé. Je suis faible et je la fais payer pourtant je sais que j'ai tord et qu'elle ne le mérite plus. Je continue de la regarder. Je sens qu'elle m'échappe peu à peu, que son cœur se refroidit en façade, que le mien brule de la voir ainsi, de la voir souffrir à cause de moi, de la voir se dégouter de moi mais je me sens dans l'incapacité de faire ce qu'elle veut. Alors elle part en vrille, me disant ce qu'elle pense et je recule net, prenant la fuite, lâchant son regard, brisant le contact. Oui, tu as raison ! J'aurai pas du venir ... ça ne servait à rien, car je savais que tu étais fausse ... Pourquoi suis-je incapable de reconnaitre mes problèmes, mes erreurs et suis-je entrain de faire ce genre de truc abominable !? J'ai honte pourtant je le fais et c'est le pire. Je me sens comme un salop à dire ça alors qu'une seule chose devrait être dite : Merde, Eliah, je t'aime mais j'ai peur et je me sens totalement pas fait pour toi tellement tu es au dessus de tout ce que je suis. Et je fais demi-tour, violemment, lui tournant le dos, mon cœur s’arrête comme ma vie, c'est une impression si moche, si sale, si  mauvaise. Mon cœur se brise, je l'ai perdu presque intentionnellement, mais ce n'est pas vraiment le cas, je me sens tellement perdu. J'avance, m'éloignant d'elle et je sentirais presque les larmes de honte, de tristesse monter en moi pourtant rien, juste le dégout de ce que je viens de faire mais la satisfaction de ne pas nous infliger la souffrance d'un amour interdit pour trop de raisons.

FIN DE SCENE
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