Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityElys ♦ C'est toi contre moi et moi contre toi. Mets-toi contre moi.La guerre encore, je te promets.
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Elys ♦ C'est toi contre moi et moi contre toi. Mets-toi contre moi.La guerre encore, je te promets.

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Avec les rayons de soleil qui surplombaient Cambridge, il était hors de question de rester enfermée sur le campus. Surtout que comme Humberto n'avait pas besoin d'elle, elle était libre de faire ce qu'elle voulait.A défaut d'une plage de sable blanc et d'une eau turquoise à proximité, elle proposa à sa coloc' Calypso de venir passer l'après-midi au bord de la rivière.Mais comme elle avait déjà quelque chose de prévu, ce serait donc après-midi en solo.D'habitude hyperactive, ce n'est pas le genre de choses qu'elle a l'habitude de faire : se poser.Finalement,ce n'était peut-être pas plus mal.C'était peut-être ce qu'il lui fallait en ce moment.Juste se retrouver un peu seule alors que d'habitude, elle détestait la solitude.Rien que elle et le dernier livre qu'elle venait d'acheter pour compagnie. Lui au moins il ne lui prenait pas la tête et avait même le don de lui faire changer les idées (d'éviter de ressasser constamment sa dernière conversation avec Emrys , de se poser plein de questions qui resteront sans doute à jamais sans réponse , d'éviter de penser à lui tout simplement et tout ça, ça lui prenait vraiment la tête).Et puis, qui sait quelle rencontre elle pourrait faire ? Panoplie musique dans les oreilles, lunettes de soleil et mini-short en jean , elle n'avait qu'à fermer les yeux pour s'imaginer sur les plages paradisiaques de son Brésil avec personne autour pour la déranger.
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J'avais décidément rien comprit aux messages subliminaux de ma chère et tendre Eliah. Nous n'étions plus rien l'un pour l'autre normalement pourtant c'était le contraire, je me sentais relié à elle et ça m'énervait au plus haut point ! Elle avait fait des allusions étranges et rien que d'y repenser ça m’embaume le cœur pourtant je l'avais vu avec ce Humberto, j'avais entendu des rumeurs sur eux alors a quoi jouait-elle ? Je refusais de pas le savoir peu importe si elle concluait alors que je l'aimais encore, je nierais tout en bloc. Je prenais mon téléphone, le plaçant dans une de mes poches avant de prendre ma moto et rejoindre la dunster house. Je grimpais les marches de l’habitation qui ne m'était pas inconnu de par mon frère et frappait à la porte de sa chambre ; Calypso était là. Eliah n'était pas là et très vite, en la travaillant un peu, j'apprenais que ma belle qui m'énervait tant se trouvait sur les quais de la Charles River, sous le beau soleil de Cambridge à se détendre. Je rêvais déjà de la scène, de ce moment où je verrais son corps, allongé sur l'herbe et où malheureusement j'allais devoir ne pas jouer le tendre. Je repris ma route, garant et sécurisant ma moto avant de longer les bords de la Charles River à sa recherche. Quelques pas plus tard, la dunster était là, tranquillement entrain de lire en écoutant de la musique. Elle portait un short qui laissait ses jolie jambes, si belle et si longue prendre le soleil. Je me mordais les lèvres face à se qu'elle pouvait provoquer dans mon etre avant de me racler la gorge, reprenant mon sérieux pour lui dire ; Il faut qu'on parle Eliah ..
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Elle pouvait reconnaître cette voix parmi tant d'autres.Mais,qu'est-ce-qu'il faisait là ? Elle faisait tout son possible pour ne pas penser à lui en ce moment.Mais non, il était toujours là , comme il avait toujours été présent dans sa vie,dans sa tête, dans son coeur.Comment avait-il su qu'elle serait là ? Cambridge ce n'était pas si petit que ça si ? Et la seule personne qui savait où elle était ... Calypso , bien évidemment ! Leur dernière conversation avait été une fois de plus ... chaotique. Si elle avait essayé de lui faire comprendre -  maladroitement c'est vrai - qu'il comptait toujours, qu'il était malgré tout toujours dans sa vie , il n'était pas dans la clarté et l'expression de ce qu'il ressentait non plus. Alors son il faut qu'on parle l'étonna. Il faut qu'on parle...Mon dieu qu'elle détestait entendre cette phrase qui ne laissait rien présager de bon ... Surtout quand celle-ci était prononcée par Emrys.De toutes façons,ils étaient incapables de se parler tous les deux calmement sans s'énerver alors elle ne voyait pas comment ils allaient faire. Ils en avaient déjà eu l'occasion mais à chaque fois, c'était la même chose. Mais,elle ne pouvait pas fuir. D'ailleurs, pourquoi ce serait à elle de partir ? Froide,elle prit à peine la peine de lever les yeux vers lui faisant semblant de continuer sa lecture.Plus pour ne pas avoir à affronter son regard qui à chaque fois la trahissait et la faisait littéralement craquer « Je crois au contraire qu'on s'est déjà tout dit Emrys » Bien sûr qu'elle avait tellement de choses à lui dire.Qu'elle l'aimait sans doute autant qu'il la détestait,qu'il était sans doute l'homme de sa vie, celui qu'elle aurait voulu mari et père (jesors). «Si c'est pour me faire insulter encore une fois, c'est vraiment pas la peine, tu peux repartir ».
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Je la sentais perplexe face à ma soudaine apparition dans ce joli paysage d'été. Oui, il était là l'été tout comme je me trouvais à ses cotés à présent, floutant son moment de tranquillité. Je me sentais heureux, si heureux de la voir et pourtant, si mitigé parce que je lui en voulais d'avoir sous-entendu des choses alors qu'elle était avec cet espèce de machin, là, ce Humberto qui était, je crois, un espèce de prétentieux. Oui, je peux l’être mais c'est différent, je crois, c'est compliqué ! Je la regardais, ce corps me faisait rêvé et si je ne savais pas me contenir, j'aurai surement pris sa main pour la tirer vers moi afin d’emprisonner ses lèvres pulpeuses qui m'appelaient tant. Je l'avais eu, on me l'avait enlevé, je le savais maintenant mais quelque chose m’empêchait de tenter de la reconquérir ; l'impression qu'elle m'avait remplacé et ne voulait plus de moi quelque soit les indices qu'elle avait pu me donner ; alors oui, elle se jouait de moi d'où ma colère que je venais exprimer. Bien sur, elle réagit néanmoins rapidement me rétorquant qu'on s'était déjà tout dit et que si j'étais là pour l'insulter c'était pas la peine. l'insulter me faisait trop mal mais je ne pouvais pas faire l'agneau sinon c'était me dévoiler de trop, être trop gentil, être trop tout je crois. Je me sentais comme tiraillé entre l'envie de la prendre là tout de suite et l'envie de la tuer de me faire tant de mal, parce que oui, avouons-le, la voir avec ce mec me tuer à petit feu. Je suis là pour parler, je ne t'insulterais pas, si tu m'explique ! je restais calme, enfin j'essayais surtout. Pas de sourire, je restais de marbre. C'est quoi ce mec qui te colle au cul ? c'est quoi ce mec avec lequel tu échange ta salive ? Pourquoi tu dis des trucs après tu fais autre chose de contradictoires ? Oui, je n'étais pas clair, mais intérieurement, j'étais perdu et ça, ça le prouvait plus encore.
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Qu'il parte ? Qu'il reste ? Qu'il lui pardonne ? Elle ne savait pas ce qu'elle voulait alors oui, elle était perplexe et perdue elle-aussi. Il était légitime qu'elle se pose la question de savoir ce qu'il faisait là et surtout de quoi il voulait parler. Surtout vu comment leur appel s'était terminé la dernière fois.Il voulait parler? Ok. Pour une fois qu'il voulait parler sans l'insulter en plus , il ne fallait pas laisser passer l'opportunité.Mais encore une fois, ce serait apparemment encore à elle de devoir s'expliquer. Et sur une chose sur laquelle elle ne lui devait aucune explication ou justification.Si tu savais mon chéri la véritable nature du lien avec Humberto, tu tomberais de haut ... Et peut-être même qu'il la détesterait encore plus.Devoir se justifier l'énervait tout comme elle trouvait une certaine satisfaction , un certain plaisir à le voir ainsi évoquer Humberto.Elle se redressa , fronçant légèrement les sourcils à ses paroles et se mordant légèrement la lèvre inférieure pour s'empêcher d'esquisser un sourire. Elle ne comprenait pas pourquoi il lui balançait cela alors qu'il avait été le premier à lui faire comprendre très clairement qu'elle n'avait rien à dire sur ses conquêtes que ce soit Leyna ou les autres. Et pourtant, Monsieur était bien plus coureur qu'elle.Lui aussi était contradictoire alors ! Et si c'était de la jalousie ?  Et si il ne supportait pas de le voir avec Humberto tout comme elle ne supportait pas de le voir avec d'autres filles ? Si c'était le cas, elle adorait ce côté jaloux craquant ! Non impossible ! Ce serait tellement trop beau pour être vrai ! Non, soyons réaliste , ce n'était pas possible ...  « De qui tu parles ? Humberto ? Je t'ai déjà dit que ça ne te regardait pas et je fais ce que je veux avec qui je veux. Et puis de quelles choses contradictoires tu parles? Je vois pas quand j'ai pu dire ou faire des choses contradictoires.» Elle joua l'ingénu, celle qui ne comprenait pas où il voulait en venir alors qu'en réalité,elle savait exactement de quoi il parlait et à quoi il faisait référence mais elle voulait l'entendre dire.
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Je restais marbre face à sa beauté, face à ses provocations. J'étais irrévocablement jaloux de ce mec qui lui servait de petit ami et je ne comprenais pas, ces messages qui semblaient là si vite détruit par la vision de leur couple. J'avais espéré en ayant peur néanmoins de pouvoir la reconquérir, ou qu'elle cherche à le faire et pourtant, c'était vain. Je me sentais en rogne, énervé, dévasté de savoir ça et qu'elle avait encore joué avec mon cœur. Était-elle salope à ce point tout comme la vie pouvait l’être ? Je ne souriais toujours pas et l'écouter me dire que ça ne me regardait pas. ça c'était avant qu'elle me questionne sur le pouquoi de mon attaque, sur ces choses contradictoires. Je sentais le rouge monter à mes joues, du rouge non de gene mais de colère parce que je sentais que soit je me trompais et je me tapais la honte, soit elle se foutait de ma gueule. Mais tu t'es bien occupée de moi et Leyna alors pourquoi ne le ferais-je pas dans ce cas là aussi ? Tu oses me demander quelles choses contradictoires alors que c'est toi qui m'a limite traiter d'abrutis parce que j'ouvrais pas mes oreilles pour les entendre ces fameux signaux ! Je me compliquais la vie comme je compliquais mes pensées et mes mots, je criais presque, chuchotant ensuite, me rappelant où j'étais.
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    Le voyant hausser une nouvelle fois le ton contre elle, elle lui lança un regard noir.Se donner en spectacle comme ça dans un lieu public,non merci. Heureusement, il le comprit aussi. Presque résignée, elle constata : « Tu vois on est incapables de se parler calmement sans que tu t'énerves » Qu'il puisse penser qu'elle pouvait jouer avec lui était la dernière chose qu'elle voulait.Elle ne supporterait pas l'idée de le blesser encore une fois, comme elle avait pu le faire dans le passé.Au contraire, tout ce qu'elle souhaitait, c'était apaiser leur relation.Qu'ils arrêtent de se prendre la tête constamment. Que tout redevienne comme avant ... Mais, cette dernière chose semblait tout simplement impossible.Même si sa réaction de jalousie à l'encontre de Humberto pouvait peut-être la laisser espérer que peut-être tout n'était pas perdu. Ouai, elle avait été jalouse de le voir avec Leyna mais la raison était valable puisqu'au final, il avait cru ressentir des sentiments pour Leyna. Elle au moins n'avait éprouvé aucun autre sentiment pour aucun autre que lui. Elle au moins était certaine qu'elle ne ressentirait jamais rien d'autres de plus que une amitié profonde pour Humberto.Mais tout cela, la vérité,elle ne pouvait pas lui dire.Voilà pourquoi elle se contenta de révéler : "Maintenant ce qui se passe avec Humberto,c'est vraiment pas ce .que tu crois , c'est pas comme Leyna et toi et crois-moi, ça n'a rien à voir avec toi et moi non plus.» Toi et moi ? Est-ce-que vraiment ça signifiait quelque chose ? Ou est-ce encore un de ces signaux implicites et involontaires ? Des signaux ? Ouai, ces fameux signaux qu'elle n'avait pas fait exprès de lancer mais sa jalousie s'en était chargée pour elle. Si seulement il pouvait lui aussi en lancer quelques-uns,elle se sentirait peut-être moins perdue.Tous ces non-dits les empêchaient d'avancer. Si elle souhaitait les briser, elle avait aussi peur qu'il la rejette , que ce qu'elle pense ne soit pas réciproque, qu'il lui balance encore une méchanceté en retour ... « Ce que je t'ai dit la dernière fois, je le pensais.» Comme un enfant démasqué d'avoir fait une grosse bêtise qui passe aux aveux , son regard se baissa.
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Eliah prenait ses grands airs comme si elle n'était pas foutue d'avouer sa conneries, ses erreurs encore et encore. Ça me saoulait, je me sentais jaloux et j'aimais pas ça clairement et de savoir qu'elle risquait de le voir parce que j'étais incapable de me retenir me rendait fou intérieurement aussi. Elle râla encore un coup comme je l'avais fait pour me dire que je ne pouvais pas m’empêcher de hausser la voix. Je ne relevais pas et me laisser tomber sur le sol, assez doucement sinon je serais tomber de haut mais histoire de m'assoir à ses cotés sans être trop proche d'un style assez nonchalant. Je marmonnais limite dans ma barbe tellement la situation me saoulait et tellement elle avait raison en fait face à notre situation dans cette relation presque étrange. Néanmoins, je la sentais déroutée par mes dires, par tous ça et elle se sentit obligée de répondre à ma demande meme si elle m'avait dit que ça me regardait pas et ça me fit légèrement mais vraiment très légèrement sourire. Ah ... pas ce que je crois, je n'en étais pas sur, elle devait se foutre de moi ? elle niait encore sa relation avec l'autre couillon, apparemment incomparable avec Leyna et moi et surtout n'ayant rien à voir avec nous, j'en étais pas sur du tout de tous ça alors je la regardais, le regard noir, mais aussi perdu. Je ne savais pas si je devais la croire surtout en voyant qu'elle semblait elle-même pas sur de ces propos. Tout en semblant presque chancelante face à ce qu'elle allait dire, ce qu'elle s’apprêtait à sortir, elle m'annonça que ce qu'elle m'avait dit, elle le pensait et j'ouvrais limite la bouche de stupéfaction. Je ne pouvais toujours pas parlé parce que je voulais lui démontrer que je pouvais rester calme pendant une explication. Je respirais bien fort tandis que je faisais le vide incapable de savoir quoi croire, quoi dire, quoi comprendre. Je me tournais un peu vers elle : Eliah ... si tu le pensais, tu ne serais pas ainsi avec ce mec ... tu serais comme ça avec moi, tu tenterais de l’être, tu tenterais surement un renouveau entre nous ... Mon ton était étrangement calme pourtant je me sentais tellement jaloux que ma colère revenait d'un coup : Et puis MERDE, pourquoi tu veux jouer avec moi ? Pourquoi !? Ne me sors pas des choses tout en étant avec un pauvre connard sorti de nulle part là ... Je m'en fou en fait j'aime juste pas qu'on se foute de ma gueule ... Je mentais évidemment, je rêvais d'elle, d’être avec elle, mais je ne le dirais pas, je ne devais pas, elle le méritait pas vu son comportement et puis, en fait, elle mentait surement et en fait, elle s'en foutait de moi.
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    Quelles conneries ? Quelles erreurs ? A priori, elle était encore assez libre pour faire et dire ce qu'elle voulait.Si elle avait su que ces quelques mots sortis spontanément allaient provoquer un énième clash , elle se serait retenue. Elle n'était pas du genre à s'énerver rapidement et se considérer comme plutôt patiente mais là, c'était trop. Oui, ça lui prenait la tête. Énervée contre lui parce qu'il ne voulait rien comprendre et énervée contre elle-même de ne pouvoir lui dire la vérité. Au moins, ça leur aurait évité cette scène ridicule ... Une relation étrange , c'était exactement cela. Avec des réactions de couple alors qu'ils étaient censés se détester. Premier point positif dans tout cela : il la laissait parler mais si c'était pour ne pas l'écouter, c'était pas la peine. Elle tomba de haut -très haut- quand il lui balança que si elle pensait ce qu'elle lui avait dit, elle aurait dû essayer de le reconquérir. Il lui fallut un petit moment pour réinterpréter tout cela , enfin pour se rendre compte de ce qu'il venait de dire là. Sa surprise se lut facilement sur son visage car elle lui lança un regard l'air de dire « pardon t'es sérieux là ? » Oui, elle y avait pensé mais à chaque fois, ses espoirs étaient vite balayés.Ouai, cool mais petit détail chéri :  comment elle pouvait savoir qu'il attendait cela d'elle alors qu'il n'avait cessé de lui faire comprendre et de lui dire d'ailleurs qu'il n'en avait rien à foutre d'elle ? Allo , il la déteste , elle était pas folle quand même ? Et le voilà qui s'énervait à nouveau. « Mais, ce n'est pas ... » commença-t-elle par hausser la voix avant de minorer « ce n'est pas ce que tu crois avec Humberto.C'est la vérité » Le pire, c'est qu'elle lui disait la vérité quand elle lui répétait cela.Mais, si il voulait  jouer au jeu des pourquoi, ok elle était très forte pour cela .... Si il s'en foutait finalement, pourquoi il lui prenait la tête comme ça alors ? Et après c'est lui qui lui parlait de cohérence ... « Tu peux arrêter de penser juste deux secondes que tout ce que je dis ou fais, c'est pour me foutre de toi ? Sérieux,pourquoi je te mentirais là-dessus ? Je comprends pas ... Pourquoi je te dirais que j'arrive pas à t'oublier , que j'ai eu tord de te quitter il y a deux ans , que depuis personne t'a remplacé et j'en connais la raison maintenant ? Pourquoi je te dirais tout cela si j'étais pas sincère ? Pour que tu me détestes encore plus ? » Alors qu'elle le regardait dans les yeux, elle se sentait déjà jugée et condamnée sans avoir eu le droit à un procès équitable ou à la présomption d'innocence. Cette impression la dévorait même si en apparence, elle conservait son air distant et un peu détaché presque par provocation «Bien sûr, tu me crois pas. Dis-moi comment je pourrais te prouver que je suis sincère parce que là, je t'avoue que je vois pas alors dis-moi»
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Eliah se la jouait et je savais pas trop comment réagir là tout de suite. Je la sentais sure d'elle et de ses propos pourtant si fragile comme toujours que je voulais la protéger pourtant elle gardait à fond un coté sure d'elle qui m’empêchait donc de faire quoi que ce soit et qui ne me donnait pas envie de baisser ma garde. Je gardais un visage tout à fait inexpressif face à une insolence qu'elle exprimait par ses yeux soudain levés face à mes remarques alors que je ne faisais que dire les choses honnêtement enfin c'est ce que j'essaie de faire croire car la vérité serait plutôt ; je t'aime, je te veux mais ça, c'est impossible. Je sentais le rouge monter vers ses joues et très vite, je compris que c'était la colère qui la faisait rougir tant elle était énervée face à ce que je disais mais je ne me démontais pas, je me sentais comme pris pour un con quand meme fallait pas oublier tous ce que j'avais du vivre à cause d'elle ... oui, je fais la victime mais c'est le cas au final meme si je ne veux pas l'avouer que c'est ainsi. Elle niais à nouveau, encore et encore et c'est moi qui levait les yeux cette fois tandis que je la sentais vraiment sur le point de me frapper surement de colère quoique j’interprétais souvent mal ses émotions depuis qu'on était plus ensemble, ne voulant peut être voir que ce que je voyais au premiers abords mais elle avait qu'à se bouger si ce qu'elle disait n'était pas faux ! Je ne me sentais pas capable de beaucoup trop de chose, je dois l'avouer et la perspective qu'elle puisse etre ainsi parce que je disais n'importe quoi et qu'elle était vraiment dans la recherche de nos retrouvailles m'étaient impossible car je me sentais plus digne d'elle, elle me donnait l'impression d’être nul à coté d'elle, tant elle me surpassait par tout, rien que par sa personne alors je ne voyais que des signaux négatifs. D'ailleurs ce qu'elle me disait là, me surprenait particulièrement. L'énervement était présent dans sa voix tremblante mais le pire était ces propos ; tous semblait si vrai. Elle semblait donc avoir dit la vérité mais au fond de moi, meme si j'avais rêvé d'entendre ça, je ne pouvais y croire et je flippais comme la première fois que nos lèvres s'étaient touchés avec émotion et non, juste pour un baiser. Je me sentais apeuré, mal, si bizarre, pourquoi ? J'écoutais le flot de parole et pourtant, je ne semblais pas pouvoir y croire, ne presque pas pouvoir le percevoir. Ces paroles étaient violentes, belles tout en étant violente presque dédié à me broyer le cœur de honte parce que je ne la croyais pas mais encore une fois, je ne pensais qu'une chose : tout ça, c'est pas possible ! Je ne répondais pas, je gardais la connexion entre nos yeux sans pouvoir bouger, impossible. elle resta plonger dans le fond de mes yeux tout en me demandant comment elle pouvait me prouver sa sincérité et je restais bouche bée, limite la bouche ouverte comme un poisson. J'eus un instant de recul comme sonné par les paroles de la belle brune et je reculais instantanément comme si mes pensées me poussaient à reculer pas à pas pourtant mon cœur, mon désir aussi voulait que j'avance mais j'avais trop peur. Je ne parlais toujours pas, et je n'avançais pas non plus pourtant je partais pas. Je sais pas ... je crois que c'est impossible ! une phrase qui avait tous les sens possible pour moi, bien sur, elle ne comprendrait pas le meilleur sens et partirait surement en cacahuète me disant que je ne suis qu'un con mais rien d'autres ne sortait là tout de suite. Pourtant comme un sursaut, en disant ça, je m'étais avancé et tout en la regardant, les yeux presque trop brillant, je caressais son visage, mais on pouvait sentir mon état de perdition réellement palpable.
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