Ellie Thatcher
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DARK RISES › being bad never felt so good
BLIND...ING LIGHTS
« Ca veut pas dire que je te l’accorderais pour autant. » Mes lèvres s’arquent en un sourire carnassier et amusé, pour le coup, je l’apprécie vraiment, son côté mordant. Au sens propre comme un figuré. J’en oublierai presque le nombre d’années nous séparant que j’ai noté au moment de son arrivée. Mais ce n’est qu’un jeu tout ça, rien n’est sérieux, alors son impétuosité ne me dérange pas. Je suis intimement convaincue que lui et moi, ce n’est jamais qu’on se reverra.
Et après ma supposition au sujet des filles et des rencards, il prend le temps de justifier son humeur, « Disons que quand j’invite un ami à boire un verre, ce n’est pas pour le lâcher après vingt minutes. » Oui mais elle lui promet probablement une meilleure fin de soirée, bien que je salue sa loyauté. Ce n’est pas tous les jours que l’on croise quelqu’un qui peut affirmer que face à une possibilité luxurieuse, il choisirait l’amitié.
Mais au moins le jeune homme a le mérite d’attiser ma curiosité et de me donner des envies de m’attarder. Ce n’est pas comme si j’avais quelqu’un chez moi en train de m’attendre avec impatience. Mes réflexions s’égarant vers Love is blind, cette étrange expérience. Un jeu qui n’a pas donné grand-chose et qui à présent me rend un tantinet morose. « T’as pas peur qu’on te prenne pour une cougar à prendre un verre avec moi ? » Mon rire m’étonne moi-même, si bien qu’il est difficile à contrôler quand je viens me justifier. « Tu n’imagines pas combien j’en ai rien à foutre de ce qu’on pense de moi. » Parce que je collectionne des étiquettes pas très glorieuses, car c’est l’histoire de ma vie, parce que j’était pute et droguée avant d’être une Ellie. « Dans ce cas, pourquoi pas. » Parfait Chelsea. Je hoche le visage, approuve d’un « Cinq minutes. » le temps de mettre de l’ordre dans les différentes boissons, de remettre en place les verres et de lancer la machine pour les nettoyer. Pour finalement passer le relais, aller dans la pièce arrière, quitter mon tablier, récupérer mes affaires et terminer par me percher sur le tabouret à ses côtés. « Je m’appelle Ellie et je bois du whisky. » Autrement dit, payé par lui.
Et après ma supposition au sujet des filles et des rencards, il prend le temps de justifier son humeur, « Disons que quand j’invite un ami à boire un verre, ce n’est pas pour le lâcher après vingt minutes. » Oui mais elle lui promet probablement une meilleure fin de soirée, bien que je salue sa loyauté. Ce n’est pas tous les jours que l’on croise quelqu’un qui peut affirmer que face à une possibilité luxurieuse, il choisirait l’amitié.
Mais au moins le jeune homme a le mérite d’attiser ma curiosité et de me donner des envies de m’attarder. Ce n’est pas comme si j’avais quelqu’un chez moi en train de m’attendre avec impatience. Mes réflexions s’égarant vers Love is blind, cette étrange expérience. Un jeu qui n’a pas donné grand-chose et qui à présent me rend un tantinet morose. « T’as pas peur qu’on te prenne pour une cougar à prendre un verre avec moi ? » Mon rire m’étonne moi-même, si bien qu’il est difficile à contrôler quand je viens me justifier. « Tu n’imagines pas combien j’en ai rien à foutre de ce qu’on pense de moi. » Parce que je collectionne des étiquettes pas très glorieuses, car c’est l’histoire de ma vie, parce que j’était pute et droguée avant d’être une Ellie. « Dans ce cas, pourquoi pas. » Parfait Chelsea. Je hoche le visage, approuve d’un « Cinq minutes. » le temps de mettre de l’ordre dans les différentes boissons, de remettre en place les verres et de lancer la machine pour les nettoyer. Pour finalement passer le relais, aller dans la pièce arrière, quitter mon tablier, récupérer mes affaires et terminer par me percher sur le tabouret à ses côtés. « Je m’appelle Ellie et je bois du whisky. » Autrement dit, payé par lui.
MADE BY @ICE AND FIRE.
(Ellie Thatcher)
Je me sens comme un agneau qui dit pardon au loup d'avoir été trop lent à lui offrir son cou. Et je compte même plus les fois où on m'a traité de chienne... Mais c'est une chienne qui a élevé Rome. Les putes comme moi portent les rêves des hommes. Solann, Rome.