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Les originesle cruor français, ses deux parents sont des rogues du vieux continent, originaires de paris
feat. Marilyn Lima
pisces née à singapour l'état cité, le dix mars 2002
française
amante passion de quelques garçons, électron libre elle n’a jamais cherché à se mettre des étiquettes
quatrième année d'undergrade en bachelor de journalisme avec une mineure en philosophie sous l'égide du département de littérature
aisée
Le caractère
sylvia plath et joan didion pour modèles mais une peur absolue de tout ce qui touche à l'idée de disparaître un jour. le besoin irrépressible de laisser une trace, elle raccourcie son prénom pour donner le ton de sa folie douce mad folamour. fume le spleen et boit l'idéal, elle n'a jamais vraiment vécu la jeunesse dorée des toits de paris mais savoure ses rêves de capitale par procuration. intrigue comme elle ravie, elle a le sarcasme suintant au bord des lèvres, cet élitisme imperceptible, comme si elle s'en rendait à peine compte. elle déréalise, beaucoup. de plus en plus souvent en réalité, ça l'angoisse. son era de socialite stroboscopée est passée sans qu'elle s'en aperçoive, elle regretterait presque toute cette pseudo démence, déchirée entre l'idéal moral et une vie de sacrilèges qui lui collent à la peau. mad est captivante, un peu capiteuse même. elle aime l'art, la nuit pour toutes les conversation que la lune peut tenir et lana del rey. juge trop vite et regrette après, elle est très indépendante. burn crash, violence sur l'épitaphe.
SARCASTIQUE, CHARISMATIQUE, INFERNALE, OBSTINEE, AMBITIEUSE, CAPTIVANTE, AMBIGUE, BRUSQUE, DROLE, LIBEREE, ELOQUENTE, SANS VERGOGNE, FIERE, INDIVIDUALISTE, OSEE, TROUBLANTE, REVECHE, SWEARS WAY TOO MUCH, ORGEUILLEUSE, CYNIQUE, INDEPENDANTE, SOCIABLE, FEMINISTE, BAFOUE LES NORMES, CRITIQUE, JOUEUSE, FUMEUSE, JALOUSE
- toute la misère du monde est moins crasseuse que tes poumons, mad.
- t'as raison, on s'étouffe là dedans.
- pff plus pour longtemps, tellement d'pétrol dans les bronches qu'on dirait un pays du golfe.
- mais c'est que t'es hilarant en fait ?
- ou vénal.
- bush aurait pas dit mieux
sylvia plath et joan didion pour modèles mais une peur absolue de tout ce qui touche à l'idée de disparaître un jour. le besoin irrépressible de laisser une trace, elle raccourcie son prénom pour donner le ton de sa folie douce mad folamour. fume le spleen et boit l'idéal, elle n'a jamais vraiment vécu la jeunesse dorée des toits de paris mais savoure ses rêves de capitale par procuration. intrigue comme elle ravie, elle a le sarcasme suintant au bord des lèvres, cet élitisme imperceptible, comme si elle s'en rendait à peine compte. elle déréalise, beaucoup. de plus en plus souvent en réalité, ça l'angoisse. son era de socialite stroboscopée est passée sans qu'elle s'en aperçoive, elle regretterait presque toute cette pseudo démence, déchirée entre l'idéal moral et une vie de sacrilèges qui lui collent à la peau. mad est captivante, un peu capiteuse même. elle aime l'art, la nuit pour toutes les conversation que la lune peut tenir et lana del rey. juge trop vite et regrette après, elle est très indépendante. burn crash, violence sur l'épitaphe.
SARCASTIQUE, CHARISMATIQUE, INFERNALE, OBSTINEE, AMBITIEUSE, CAPTIVANTE, AMBIGUE, BRUSQUE, DROLE, LIBEREE, ELOQUENTE, SANS VERGOGNE, FIERE, INDIVIDUALISTE, OSEE, TROUBLANTE, REVECHE, SWEARS WAY TOO MUCH, ORGEUILLEUSE, CYNIQUE, INDEPENDANTE, SOCIABLE, FEMINISTE, BAFOUE LES NORMES, CRITIQUE, JOUEUSE, FUMEUSE, JALOUSE
Les anecdotes
- ( 01 )sa mère est diplomate, son père chef d'une entreprise brassant des millions en chiffre d'affaire. elle voyage depuis toujours, la génitrice nommée ambassadrice de france à singapour au moment de sa naissance, enfant miroir qui n'existe que par le prisme de l'indifférence notoire que ses géniteurs lui accordent. ils lui envoie une somme conséquente d'argent tous les mois et son compte en banque la reflète en privilégiée suprême, membre de la jeunesse dorée du grand monde sans qu'elle n'use jamais des codes de manière frontale. des ombres plus que des figures, mad vit seule depuis ses quatorze ans sous la tutelle parentale mais sans réelle présence de ces adultes qui préfèrent la compagnie du concret. renvoyée depuis toujours à sa condition de gamine, elle ne demande jamais d'aide pour quoique ce soit et tolère très mal l'indifférence.
- ( 02 )elle a vécu presque toute sa vie en asie, à singapour qu'elle considère comme sa ville de cœur. passe quelques années entre londres et hong kong et suit ses parents le temps de toute une jeunesse sans pouvoir souffler. elle a des amis aux quatre coins de la planète, des connaissances dans toutes les villes ou elle a pu un jour vivre. mad s'est installée aux états-unis à new-york il y a six ans, à l'âge de quinze ans sur un coup de tête après avoir décidé de devenir journaliste. tombe amoureuse d'un poète de l'upper east side bien plus âgé qu'elle et marié, qui ne lui accordera jamais plus qu'un regard adouci et quelques cafés mais qu'elle admire éperdument. vous savez, ce genre d'homme un peu fatigué croisé aux heures bleues du métro. des grandes cernes sous les yeux, à moitié endormi dans son écharpe. il quitte new york à l'aube des dix huit ans de madeleine avec juste une lettre pour lui dire de l'oublier, premier coeur brisé.
- ( 03 )elle a un frère au prénom aussi poussiéreux que le sien qu'il doit abréger lui aussi. les deux ne se parlent pas, en réalité elle n'est même pas vraiment sûre de son âge. vingt huit ans, vingt neuf peut être, un écart minime vraiment, mais il a eu ce même besoin de quitter tôt leurs parents et de faire sa vie comme il le voulait, lassé par l'absence. madeleine s'est construite une famille un peu abstraite consistant en quelques vieux amis de singapour principalement, d'un vieux chien appelé lou (pour lou reed) et d'une mère de substitution vivant sur une île perdue de norvège.
- ( 04 )possède l'esthétique d'une disco ball girl jusqu'à l'aube de ses dix neuf ans. robe à paillettes pour danser tous les soir, l'argent monochrome sur les paupières, elle sort beaucoup et boit avec une fausse carte. ivre, désinhibée. l'alcool est un jeu et sa liberté aussi. la perte d'une connaissance suite à un coma éthylique mal pris en charge la freinera dans sa consommation de substances sans qu'elle n'arrête jamais vraiment définitivement. aujourd'hui elle sort toujours autant, boit peut être un peu moins. fume dans son coin. elle brille lascive, lumière fanée aux commissures des lèvres durcies par l'amertume. un profond mal être et dégoût d'elle même qu'elle cache derrière une confiance en elle toute faussée mais parfaitement crédible. mad est actrice.
- ( 05 )elle se libère par l'écriture et la littérature, ses deux passions. elle lit camus, dostoïevski, akutami, oda, bell hooks et virginia woolfe. tient des conversations en français avec un ami imaginaire sans visage et retranscrit ses dialogues dans des carnets qu'elle compte publier un jour. romantise ses drama comme beaudelaire, elle est borderline indécente avec ses choix de livres. possède un pen pal qu'elle a jamais vu puisqu'ils se sont promis dans leurs lettres de ne jamais se décrire. aussi infernale qu'henry winter dans the secret history, elle base sa personnalité du moment sur les personnages qu'elle trouve intéressants. puit sans fond de culture, de socio, de philo et de linguistique.
- ( 06 )le journalisme était l'évidence même de sa poursuite d'études, elle est comme un poisson dans l'eau dans son bachelor et tient le haut de liste de sa promo. membre du harvard crimson, le journal du campus. plume agape ripe sur les jugulaires. vampire du style, elle pompe le sang des machiavel wannabe. mad est cassante et acide, elle se joue des conventions et abhorre l'éphémère. son nom est légèrement connu pour un article, l'anatomie d'une soirée, dissection d'une frat party qui lui offre en plus du crimson, une place de rédactrice dans un web journal américain conséquent.
- ( 07 )parle français avec ses parents. idiome maniéré, teinté d'un léger accent qui trahit sa maigre pratique de langue en dehors du cercle familial, elle utilise de vieilles expressions, ne maîtrise que le langage soutenu. l'anglais est la langue qu'elle pratique le plus et maîtrise le mieux, suivi du mandarin appris à l'école et du malay, tous deux précieux héritages de ses années à singapour.
- ( 08 )elle adore être amoureuse mais à peur d'être en couple, terrifiée à l'idée de perdre son indépendance. l'amour idéal se vit en décalé pour elle, avec une idée plus qu'avec une personne. c'est toxique. elle a jamais eu de relation sérieuses, juste quelques flirts et des amants qu'elle idéalise pour laisser partir quand elle pense trop s'attacher.
- ( 09 )l'argent à flot mais une chambre qui lui ressemble, la subtilité d'un luxe discret qui se mêle à l'éclectique esthétisme mid century de sa chambre. des bibelots de marché aux puces, des vestes chinées en fripes accrochées aux œuvres d'art inestimables de saarinen et ponti. des tapis et des rideaux qui mélangent la pire des qualités et la perfection perse. pulp fiction et samurai champloo sur les murs, du jazz dans les vinyles. son espace sent la clope et la vanille. stevie ray vaugahn, childish gambino et chase atlantic. des stylos et du papier pour tamiser l'endroit, elle écrit sur un bureau qui croule sous le poids du courrier pas trié et des tasses à café. sauf que dedans c'est du monster.
- ( 10 )en vrac : la nourriture est un vieux démon ;; elle laisse un parfum de tabac froid et thé oolong d'armani là ou elle passe. ballades froides sur la plage ;; grunge. des iris sombres, des appels à trois heures du matin pour se prendre la tête juste parce que ;; porte du rouge à lèvres tous les jours ;; aime se lever tôt, la couleur verte, la mode, l'odeur du bitume après la pluie. le petrichor. déteste le vague à l'âme, angoisser, le vide ;; fille spirituelle de vivien westwood
- tu dis "le regard des autres" comme si tout le monde avait le même.
- on vit dans une société très formatée tu sais ?
- ça te tuerai d'avouer que t'en as quelque chose à faire hein, du monde.
- ouais, ça foutrait en l'air mon image.
- Code:
<pris><b>Marilyn Lima</b> <span>@"Madeleine Lamoureux"</span></pris>
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