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Les originesPortoricain et espagnol. Un beau petit mélange de maman et papa.
feat. BAD BUNNY
03 octobre 1994 à San Juan Porto Rico
américaine
célibataire et hétérosexuel
entraîneur de boxe
aisée
Le caractère
TIl est de bonne compagnie. Toujours quelque chose à dire, une blague à raconter. Le sourire aux lèvres, il va vers les autres et noue facilement des liens. Et puis il a la main sur le cœur. Il sera toujours prêt à partager et à se faire passer avant les autres.
Il a beau être une grande pipelette, ce n'est pas un littéraire. Il ne mâche pas ses mots. Plutôt brute de décoffrage, il n'est pas rare de l'entendre jurer et s'il a quelque chose à dire, il le fait sans passer par quatre chemins. En plus de son franc parler, le portoricain n'est pas pudique pour un sou. Il s'étale facilement, trop et trop vite. Ça ne lui pose pas de problème de raconter sa vie quasiment au premier venu. Il a tellement peu connu l'intimité, étouffée au milieu de tous ses frères et sœurs, qu'il n'a pas appris à garder un jardin secret.
Malheureusement, ce n'est pas tous les jours qu'il affiche son entrain habituel. Parfois quelque chose le touche, l'émeut, voire le blesse. Il aurait bien aimé, mais ce n'est pas un cœur de pierre. Il n'a pas toujours le dessus ni sur les situations, ni sur lui-même. Submergé par une émotion trop forte, il lui arrive de perdre le contrôle, de se laisser aller complètement. Il sombre alors dans la déprime ou dans la débauche. Oublier, dissimuler la plaie, faire comme si de rien n'était... Mais on le voit bien que ça ne va pas, il ne sait pas masquer ses émotions. Le seul moyen qu'elle a pour cacher son chamboulement, c'est la colère. Oh oui, Teofilo peut rapidement s'énerver et parfois pour pas grand-chose. Mauvaise gestion des émotions.
Il faut dire que la famille dans laquelle il a grandi ne lui a pas vraiment appris la demi-mesure. Alors crier, ça il sait faire, intimider aussi, mais cogner... Il préfère éviter, il ne veut pas perdre son métier. Du moins, il ne frapperait pas le premier, pas sur un innocent. Après si on lève la main sur lui ou sur un proche, c'est une autre histoire. La légitime défense vous savez.
Et puis il est susceptible. Il est dur avec lui-même mais il ne supporte pas pour autant les critiques de la part des autres. Son égo est trop à fleur de peau pour pouvoir endurer les remarques. Vous l'aurez sans doute compris, l'optimisme ce n’est pas son truc. Il voit toujours le mauvais côté des choses et fait rarement confiance à l'avenir. Il a constamment le sentiment qu'il va échouer, qu'un malheur va arriver. Alors il a du mal à s'engager dans quelque chose de nouveau, il avance à reculons, il doute... C'est un anxieux.
Il a beau être une grande pipelette, ce n'est pas un littéraire. Il ne mâche pas ses mots. Plutôt brute de décoffrage, il n'est pas rare de l'entendre jurer et s'il a quelque chose à dire, il le fait sans passer par quatre chemins. En plus de son franc parler, le portoricain n'est pas pudique pour un sou. Il s'étale facilement, trop et trop vite. Ça ne lui pose pas de problème de raconter sa vie quasiment au premier venu. Il a tellement peu connu l'intimité, étouffée au milieu de tous ses frères et sœurs, qu'il n'a pas appris à garder un jardin secret.
Malheureusement, ce n'est pas tous les jours qu'il affiche son entrain habituel. Parfois quelque chose le touche, l'émeut, voire le blesse. Il aurait bien aimé, mais ce n'est pas un cœur de pierre. Il n'a pas toujours le dessus ni sur les situations, ni sur lui-même. Submergé par une émotion trop forte, il lui arrive de perdre le contrôle, de se laisser aller complètement. Il sombre alors dans la déprime ou dans la débauche. Oublier, dissimuler la plaie, faire comme si de rien n'était... Mais on le voit bien que ça ne va pas, il ne sait pas masquer ses émotions. Le seul moyen qu'elle a pour cacher son chamboulement, c'est la colère. Oh oui, Teofilo peut rapidement s'énerver et parfois pour pas grand-chose. Mauvaise gestion des émotions.
Il faut dire que la famille dans laquelle il a grandi ne lui a pas vraiment appris la demi-mesure. Alors crier, ça il sait faire, intimider aussi, mais cogner... Il préfère éviter, il ne veut pas perdre son métier. Du moins, il ne frapperait pas le premier, pas sur un innocent. Après si on lève la main sur lui ou sur un proche, c'est une autre histoire. La légitime défense vous savez.
Et puis il est susceptible. Il est dur avec lui-même mais il ne supporte pas pour autant les critiques de la part des autres. Son égo est trop à fleur de peau pour pouvoir endurer les remarques. Vous l'aurez sans doute compris, l'optimisme ce n’est pas son truc. Il voit toujours le mauvais côté des choses et fait rarement confiance à l'avenir. Il a constamment le sentiment qu'il va échouer, qu'un malheur va arriver. Alors il a du mal à s'engager dans quelque chose de nouveau, il avance à reculons, il doute... C'est un anxieux.
Les anecdotes
- ( i miss the days )Il a toujours du mal à se souvenir de son enfance. Il revoit des images, des silhouettes, des mots mais le tout flou. Teofilo est né à Porto Rico. Il est issu d'une famille plutôt aisée. Sa mère, Rosana était médecin. Luis lui, chanteur. Il y a toujours eu plusieurs générations à côtoyer sous le toit de sa famille. A savoir : ses grands-parents paternels, ses parents, et puis ses frères et sœurs et sa tête d’imbécile heureux. Il n’est même pas sûr que son grand-père ait un jour pris sa retraite mais il se souvient très bien l’avoir accompagné lorsqu’il était en vacances.
- ( gone )En grandissant, il a appris à conquérir les cœurs. Un imbécile heureux qui pensait que l'amour était si beau, si simple. Il était prêt à tout sacrifier pour ses amourettes jusqu'au jour où il rencontra une personne qui ne fait plus partie de sa vie. Au début, c'était une très belle histoire d'amour et ça s'est transformé en un véritable enfer. Pendant un an, ce fut incroyable, une belle expérience mais au-delà la relation s'est dégradée et est devenue toxique. Son ex s'amusait à la brutaliser que ce soit par les mots ou par les coups lorsque quelque chose n'allait pas dans son sens. Teofilo voulait qu'on le laisse tranquille, son silence fut tellement long avant qu'il n'arrive à quitter cet enfer. Malgré la violence physique et la violence morales qu'il a pu subir, il n'a jamais mis les femmes dans le même sac. Il est conscient qu'elle était un problème et qu'il était un problème. Il a réussi à la pardonner même s'il est un peu traumatisé par cette relation.
- ( cancer )Avant de partir de Porto Rico pour aller à Boston, il a appris une nouvelle qui lui a mis un coup de massue sur la tête. Sa maman était atteinte d'un cancer et devenait commencer tous les traitements pour qu'elle puisse se soigner. Elle voulait que sa famille reste positive, qu'elle fasse confiance à la médecine. Teofilo avait du mal à rester positif, mais faisait tout son possible afin de garder la tête haute. Il n'a jamais baissé les bras et a toujours fait confiance aux médecins.
- ( trip )Lorsqu'il a fini ses études, il a décidé de voyager pendant un an afin de se ressourcer. Il a toujours voulu visiter les pays qui se trouvent en Europe. Il a d'abord commencé par le Portugal puis il a enchaîné avec l'Espagne, la France, L'Italie, L'Allemagne, le Royaume-Uni etc. Ensuite, il est parti en Amérique du Sud avant de retourner chez sa famille. Il s'est ressourcé au maximum. Il avait vraiment hâte de pouvoir retrouver sa famille malgré la tension qu'il pouvait y avoir. La maladie de sa mère commençait à peser sur tout le monde, mais ils devaient tous apprendre à vivre avec. Grâce à ses voyages, il parle plusieurs langues.
- ( chaos )Malheureusement pour lui, sa mère est décédée de sa maladie laissant derrière elle toute une petite famille. Son père a décidé de mettre un terme à sa carrière pour pouvoir s'occuper des plus jeunes enfants, mais Teofilo lui donne un petit coup de main en prenant sous son aile sa petite sœur. C'est dans la même année qu'il décide de partir s'installer à Boston afin de vivre sa petite vie tranquille.
- ( stress )C'est devenu quelqu'un qui angoisse pour beaucoup de petites choses futiles et qui ne servent à rien. Il prend sur lui puisqu'il sait que ça ne sert à rien mais dès qu'il rencontre l'inconnu, l'anxiété prend le dessus et commence à paniquer. Il a du mal à se remettre de la mort sa mère. Il sait qu'il fait une petite dépression, mais il en tir du positif car s'il n'avait pas touché le fond, il n'aurait sans doute jamais atteint ses objectifs dans la vie. Depuis qu'elle est morte, il il est bénévole à l'hôpital pour pouvoir soutenir les personnes qui sont atteint de cette maladie.
- ( empty )Sa vie est assez banale. Son enfance et son adolescence ne sont qu'un enchaînement de journées plutôt joyeuses, de disputes entre frères et sœurs, de soirées familiales et de journées de cours d'ennui mortel. Mais depuis qu'il est devenu entraineur de boxe, il canalise toute son anxiété dans son sport préféré. Il entraîne des enfants, des adultes et un boxeur professionnel. Ce sport lui a permis de se forger un caractère. Il n'a jamais voulu suivre le parcours de sa mère et de son père. Il a toujours voulu faire quelque chose qui sort de l'ordinaire.
- ( loser )Depuis qu'il n'est plus avec son ex, il n'a jamais recherché l'amour en particulier. Il s'est toujours dit que ça lui tomberait dessus un de ces jours. Il a fait plusieurs rencontres, mais par méfiance, il a toujours préféré dire stop. Malgré la violence qu'il a connue, il croit toujours en l'amour. D'ailleurs, il a rencontré quelqu'un et se dit qu'elle est une femme parfaite pour lui. Cependant, la méfiance est toujours présente et ne fera jamais le premier pas. Il préfère baisser les bras plutôt que de se battre.
- ( chambea )Il est retourné à San Juan pour voir son père et sa fratrie, mais lorsqu’il fut seul dans les rues, on lui a tendu un guet-apens. En effet, le petit ami de son ex est venu en bande pour ruer de coups Teofilo. Il a pu rendre quelques coups, mais il n’a pas pu devenir hulk et maîtriser tout le monde. Son sport de combat lui a servi à mettre knockout certains mais pas tout le monde. Il a été hospitalisé et le résultat n’était pas beau à voir. Quelques côtes cassées et un bras cassé. En y repensant, il sait que sa mère lui aurait passé un savon si elle avait appris qu’il s’était battu. Mais plus de peur que de mal.
- ( happy )Depuis qu'il habite à Boston, il a appris à devenir un homme. Il sort plus souvent avec ses amis et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il essaye de vivre mieux, d'être heureux. Certains de ses frères et sœurs sont venues habiter dans la ville pour éviter qu'il ne se trouve loin d'eux. Il passe son temps également à s'entraîner car malgré qu'il soit entraîneur, il participe à quelques tournois de boxe histoire d'être en forme physiquement. Son entourage s'inquiète de sa santé, mais tout va bien pour lui. Même s'il peut voir l'obscurité, il arrive à trouver la lumière dans les ténèbres.
- Code:
<pris><b>Benito Antonio Martínez Ocasio (Bad Bunny)</b> <span>@"Teofilo Morales"</span></pris>
(Invité)
4/6 rps en cours 
