dixie + you are amazing and i will always be there for someone that i love

DIXIE&TUUKKA

une pensée pour toi ♥ ▽ tu es magnifique et incroyable et sâche que je serais toujours-là pour une personne que j'aime énormément.

Je suis dans mon cour de psychologie depuis maintenant quatre heures et je songe bien de retourné dans ma chambre pour me reposer après, car je suis debout depuis cinq heure ce matin. Depuis que j’ai 14 ans, je suis matinal comme jeune homme. Je m’entraîne tous les jours pour être en forme et surtout pour continuer dans le domaine de mannequin que j’interprète depuis que j’ai 15 ans grâce à mon frère. Je regardais trop souvent mon Galaxie Samsung S4 pour savoir l’heure qu’il était en ce moment. Je regardais mes notes de cours au fur et à mesure que mon professeur parlait et je n’avais pas vue Dixie aujourd’hui et ceci me mis un peu sur les nerfs. Je suis très proche de Dixie. C’est comme ma sœur que je n’ai jamais eu et j’avoue que ceci m’inquiète parce qu’elle manque jamais un cours. Elle-même m’impressionne et surtout pour une Mathers parce qu’ils ne sont très spécial. Mon professeur devenait ennuyeux et s’était peut-être moi qui commençais à trouver le temps long. D’habitude, je le trouve très intéressant et j’avais pratiquement hâte que quatre heure PM arrive, car je commençais aussi à avoir faim. Après quelques minutes, je crois que mon professeur avait lu dans le plus profond de mes pensées pour deviner que ceci était long. Je n’ai pas fait de détour, car je suis entré directement dans ma chambre. Je mis mon sac sur mon divan près de ma fenêtre qui était ouverte pour faire un changement d’air et la douche était très recommander. Même si j’ai pris une douche avant mes cours, je voulais en prendre une autre, car s’était très humide dans l’auditorium. J’avais sortie quelque chose à manger ce matin pour le soupé. Ma mère avait un restaurent justement ici à Boston et chaque semaine, le propriétaire m’appelait pour savoir si j’avais besoin de quelque chose. J’avoue que c’est très généreux de leurs parts et ma mère ne me laisserait jamais crevé de faim. Par contre, il y en avait beaucoup trop et je ne pouvais pas manger ça à moi seul. Si seulement Dixie pourrai aussi répondre à mes messages textes, elle pourra venir manger un morceau avec moi et de me donner une explication pour détendre mes nerfs. ▲ RIMBAUD

(c) AMIANTE

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J'avais cours de criminologie, aujourd'hui. Mais je ne voulais pas y aller. Je ne pouvais pas y aller. J'en étais tout simplement incapable. Couchée dans le lit de Sören, mon copain, dans sa chambre chez les Winthrop, je pensais, regardant le plafond. J'avais accès à sa chambre, et lui à la mienne, puisque nous nous étions échangé nos clés pour aller se voir l'un et l'autre dès que nous le désirions. Sören était invisible, ces derniers temps. Sa chambre restait dans le même état depuis des semaines, je ne reçevais aucun SMS de lui, ni appel, rien du tout! J'étais paniquée à l'idée qu'il lui soit arrivé quelque chose, puisqu'il était de la mafia, ou qu'il ne m'ait jamais aimée et se soit enfui pour ne pas avoir à me revoir. Ça me terrifiait complètement, et m'anéantissait en même temps. Depuis plusieurs heures déjà, Tuukka, un de mes très bons amis et confident, m'envoyait des messages textes pour savoir pourquoi je manquais le cours. Lui aussi étudiait en criminologie. J'étais incapable de lui répondre. À un certain moment, je sortis de la chambre de mon copain, puis m'étalai au sol devant sa porte en fermant les yeux pour deux bonnes heures, alors que Tuukka continuait de me texter. Je ne lui répondais toujours pas... Mais à un moment, alors qu'il m'envoyait un autre SMS, je me décidai à lui répondre. Nous discutâmes donc un moment par SMS, lui m'invitant chez lui à manger un truc, et moi anéantie par le fait que Sören m'avait peut-être oubliée. Je pris une profonde respiration : je ne voulais pas que Tuukka me voit dans un état de merde. Arrivant devant sa porte de chambre, qui se trouvait aussi chez les Winthrop, j'arborai un joli sourire, ouvrant la porte sans même avoir besoin de frapper. « Salut Tuuk ! Ta mère a préparé un truc pour souper? Ça sent bon...vraiment bon... ! »

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DIXIE&TUUKKA

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Enfin ! Dixie me donnait enfin un signe de vie. Depuis ce matin, je la cherchais partout dans l’auditorium, car ce n’était pas son genre de manquer un cours et surtout celui de criminologie. Elle me rendait encore plus nerveux avec les messages textes qu’elle m’envoyait et ma frustration me montait au nez quand elle avait mentionné le nom de son copain dans un de ses messages. Il est dans la même maison que moi et au nombre de fois que j’ai croisé cette homme, j’avais toujours de mauvais pressentiment envers lui. Enfin bref, elle m’a soulagé lorsqu’elle m’a avertie qu’elle venait me voir. Je l’avais invité aussi à venir manger un morceau avec moi, car j’avais trop de soupé pour une simple personne. Ma petite cuisine était quand même bien ranger pour une petite pièce qui est relié à mon petit salon. Je branchais mon iPod à ma petite radio et une chanson de Sleeping whit sirens embarquait. J’adore la musique rock et surtout quand c’est un peu métal. Je n’avais pas entendu mon téléphone sonné et avec la voie de mon frère qui voulait avoir de mes nouvelles. Je lui envoyais un message texte que je recevais une amie ce soir pour manger. Mes frères sont toujours surpris de savoir que je suis avec une fille. Dixie n’est pas qu’une simple fille. Non, Dixie est come une petite sœur à mes yeux. Elle le sait qu’elle peut tout me dire et surtout qu’elle peut me faire confiance avec tout, parce que je suis très respectueux envers ses choix. La porte s’ouvrit et j’entendis une voie joyeuse. Je suis tout mélanger dans ses sentiments aujourd’hui. Est-ce qu’elle est triste, contente, nerveuse ? Enfin bref, je ne veux pas lui demander la question maintenant. Elle avait un sourire au visage et j’aime mieux la voir sourire que souffrir. Je m’approchais d’elle et je la pris dans mes bras pour lui faire un câlin.

« Je suis content de te voir. Tu va voir, tu va adorer le repas qu’elle a fait. C’est directement de son restaurent. Faudrait avoir une petite soirée toi et moi en-dehors du campus… Tu va adorer cet endroit. D’accord, tu va trouver qu’on parle bizarre, mais c’est quand même intéressant. » Dis-je en l’apportant dans la cuisine.
▲ RIMBAUD

(c) AMIANTE

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J'avais envie de disparaître. Le simple fait de penser que Sören avait pu m'abandonner comme ça sans rien me dire alors que tout allait super bien entre nous me faisait tellement souffrir, tellement de mal, que j'avais simplement envie de me terrer dans le fin fond d'un trou dans un coin abandonné et perdu dans un autre pays méconnaissable. Mais bon, c’était un peu impossible, surtout que Tuukka mon super ami avait bien remarqué que je ne m’étais pas présentée au cours du matin et me harcelait de SMS auxquels je ne pourrais l’ignorer très longtemps encore. Couchée devant la porte de l’appartement de mon copain, ex-copain, ou je ne sais même plus comment l’appeler, j’avais finalement répondu à Tuukka, lui affirmant que j’allais venir le rejoindre chez lui pour partager un souper, parce que de toute façon j’étais dans la Winthrop House depuis des heures déjà. Je ne savais même pas quoi faire d’autre du reste de ma journée à part me questionner encore et encore, à me demander ce que j’avais pu faire de mal pour perdre celui que j’aimais depuis bien des mois déjà. C’est donc en tentant de chasser ces idées de ma tête que je me rendis jusqu’à la chambre de Tuukka et entrai immédiatement, sans prendre le temps de lui avertir en cognant à la porte que j’étais arrivée. Je prenais un air joyeux et souriant pour ne pas le faire paniquer sur mon état déplorable. Après tout, il était un peu comme le grand frère que j’avais perdu, et je ne voulais pas l’inquiéter pour…rien. [b] « Je suis content de te voir. Tu va voir, tu va adorer le repas qu’elle a fait. C’est directement de son restaurent. Faudrait avoir une petite soirée toi et moi en-dehors du campus… Tu va adorer cet endroit. D’accord, tu va trouver qu’on parle bizarre, mais c’est quand même intéressant. »[/b ] Il me traîna jusqu’à la cuisine. Je me concentrais simplement sur le fait de garder ce faux sourire sur mon visage et de me rendre crédible dans cette joie qui ne m’appartenait pas vraiment. J’hochai la tête tout en le suivant. « Ouais, faudrait y aller un de ces jours! Je suis sûre que c’est délicieux, enfin j’en doute pas… Du neuf, Tuuk? » Je regardai les alentours, observant son appartement chez les Winthrop. Ça sentait la chambre de gars, ce qui était normal, après tout! « Alors, le cours de ce matin? J’ai pas manqué un truc trop important? »

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DIXIE&TUUKKA

une pensée pour toi ♥ ▽ tu es magnifique et incroyable et sâche que je serais toujours-là pour une personne que j'aime énormément.

Lorsque j'ai rencontrer Dixie, disons que j'ai dû me retenir pour ne pas trop la séduire, car elle ne se laissais pas approcher assez facilement et surtout qu'avec son copain, j'ai dû encore plus me retenir. Enfin, aujourd'hui, ceci est complètement différent parce que nous sommes très proche tous les deux. Je suis enfin content qu'elle soit ici parce que c'est messages textes était un peu inquiétant, mais maintenant je suis content que mes nerfs soit détendu. Ce soir, nous allons manger quelque chose qui est typiquement Finlandais et en espèrent qu'elle aime ça. Je lui avait proposé pour aller manger un morceau un soir et j'étais content qu'elle ait accepté. Je ne voulais pas tout de suite sauté sur les grande question. Nous étions tous les deux dans la cuisine et je lui servais un verre d'eau et je mis le tout dans le fourneau.

« Tu n'a pas manquer grand chose. Le professeur lisait directement les notes, mais nous avons un projet à faire pour le mois prochain... »

Ma mère m'a toujours dit de faire attention pour ne pas brûlé mes repas. J'avoue que lorsque j'étais jeune, s'était une habitude, mais la, je vais faire de mon mieux pour Dixie, car je ne veux pas l'empoisonné non plus. Je pris place devant elle et je la regardais en lui affichant un grand sourire et je me suis lancé sur la question.

« Dixie, tu es sûr que ça va ? » Dis-je en déposant ma main sur la sienne.
▲ RIMBAUD

(c) AMIANTE

(Invité)

Tuukka était l'une des seules personnes en qui je portais une entière confiance, comme on la portait à un frère. Je me sentais bien, même si j'étais souvent réticente à lui avouer mes problèmes ou des trucs qui m'arrivaient. Ce n'était pas que je ne voulais pas lui dire, c'est que j'avais peur de lui dire. Pourtant, je savais qu'il ne me jugerait jamais - ou presque -. C'est pourquoi, à cause de cette peur, que je préférais me taire et faire semblant que tout allait bien, alors que c'était complètement faux. J'avais peur de perdre Sören, qui ne répondait pas à mes appels, à mes SMS et qui n'était pas chez lui. Enfin bref, je devais manger un morceau, sinon Tuukka me trouverait bizarre et se poserait des questions. Avec un sourire aux lèvres, je l'avais suivis à la cuisine, lorsqu'il me dit que nous allions manger un truc que sa mère avait fait. Il était Finlandais, alors ce serait sûrement une spécialité de son pays. Miam! « Pour le mois prochain? Tu m'expliqueras une autre fois par contre, mais c'est gentil de me le dire! » Je laissais Tuukka préparer le souper, puisque de toute façon lui seul savait comment faire cuire ce met qui sentait tellement bon d'ailleurs. Je lui souriais toujours, jusqu'à ce qu'il prenne place devant moi en posant sa main sur la mienne et me posant la question à laquelle je ne voulais pas répondre. Je me mordis la lèvre en hochant la tête, pour faire signe que oui. « Oui, bien sûr que ça v... » Je n'eus pas trop le temps de terminer ma phrase que je reçu un message texte, entendant ma sonnerie dans ma sacoche dans l'entrée de l'appartement de Tuukka. J'y accourai presque, reconnaissant la sonnerie que j'avais attribué aux messages provenant de Sören. Il me répondait enfin! Mon coeur battait si vite tellement j'étais heureux. Mais... J'échappai mon cellulaire au sol, fixant le mur devant moi, la bouche entrouverte. J'étais comme seule au monde, je me sentais presque arrêter de respirer. Sur l'écran de mon portable s'affichait ceci : « Adieu, Dixie. Tu ne me reverras plus. N'essaie pas de me contacter, c'est inutile. » Le monde avait arrêté de tourner. C'était flou tout autour de moi. Je ne sentis même pas tout de suite les larmes me monter aux yeux, pourtant ceux-ci se remplissaient d'eau. J'étais incapable de dire quoi que ce soit : j'avais le coeur brisé.

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