sympathy for the devil. (ft. nino)

c'était pas dans ses habitudes de faire ça, mais tout comme d'autres jeunes hommes, il avait ses besoins. alors, dans ce genre d'accoutumé, il y avait toujours cet échange avec un autre garçon de sa confrérie, nino avec qui i s'était lié l'an dernier. quelle était leur relation ? il ne savait même pas et il ne voulait pas y réfléchir. plan cul ? au secours, il détestait ce mot. sexfriends ? pouvait-il réellement dire qu'ils étaient des amis ? il l'appréciait, plus que de raison, mais de là à développer des sentiments, il ne savait pas. il avait cejugement qui faisait qu'avec un homme dans son lit régulièrement, il ne pouvait le prendre au sérieux pour aller plus loin mais peut-être devrait-il arrêter avec ses vieux principes. au moins, leur soirée était convenue et les échanges s'étaient intensifiés et comme à son habitude, la boulette n'était pas loin, envoyant une photo compromettante à un autre contact que celui qui était désiré. il avait ressenti de la honte, ne sachant pas quoi faire et malencontreusement, pour se rattraper,il avait envoyé ce genre de gif de chat, la chose qui voulait dire "joker". le soir arrivé, il avait convenu de vingt-et-une heure. parfait pour finir la journée. alors que l'heure approcha, il eut ce fameux texto qui signifiait que nino était en route et il se prépara à sa requête.

tu étais fidèle à toi-même. horny en permanence. sentiment qui fut décuplé par la photo que preston venait de t'envoyer. t'avais besoin de sa dose, de son corps contre le tien, maintenant, tout de suite, dans l'unique but d'assouvir ce désir ardent. c'est pourquoi tu te douchas et tu te hâtas d'aller jusqu'à chez lui. preston était un beau-gosse de la pfo. c'est là-bas que tu l'avais rencontré, en soirée plus précisément. c'était un homme très centré sur les études, à ne pas prendre ses études à harvard à la rigolade. et il avait bien raison. pour le prix que ça coûtait, mieux valait tout donner pour réussir. mais ce qui était particulièrement kiffant avec preston, c'est qu'il était une personne totalement différente au sein de l'université et en tête à tête. et c'est ça qui te rendait marteau avec lui. sa sauvagerie et sa brutalité qu'il cachait si bien. arrivant à son immeuble, tu grimpas les escaliers quatre à quatre. la porte de son appartement était bien évidemment déverrouillée. je suis là ! t'annonças-tu en retirant tes chaussures dans le hall d'entrée. tu y accrochas ta doudoune et tu pris la direction de la chambre. tu marquas une pause sur le seuil de la porte. hello beauté, souris-tu.