Les originessud-coréennes
feat. Kim Taehyung
né le 8 avril 2001, à brighton (uk)
anglais, l'accent british bien présent
célibataire (bisexuel + hétéroromantique)
troisième année d'undergraduate (licence) dans le but de passer les LSATs et d'accéder à la Harvard Law School ; bosse à l'administration d'Harvard et en profite pour revendre des réponses d'examens
riche, à ne pas compter ses dépenses
Le caractère
Pendant longtemps, j'ai cru que j'étais ce garçon qui était droit, qui écoutait ses parents et qui allait exceller dans tout, parce qu'ils le disaient. Non, c'était faux. Découvrir qui j'étais vraiment, ça s'est fait à l'école, ça s'est fait avec les amis.
La rébellion est arrivée à l'adolescence. Les premières conneries, ce sentiment d'émancipation, de liberté. J'ai beaucoup trop aimé ça pour le nier.
C'est là que j'ai appris les différentes nuances de mon caractère. Si j'étais pudique depuis tout petit, je me suis découvert d'autres traits. Solaire et sociable, loyal et rancunier, taquin et pourtant je m'en foutiste. Mais avant tout un petit clown, marrant et amuse la galerie dès que j'en ai l'occasion. On ne m'enlèvera pas mon côté bosseur, même si j'ai pas mal de facilité grâce à une mémoire photographique hors normes.
Pendant longtemps, j'ai cru que j'étais ce garçon qui était droit, qui écoutait ses parents et qui allait exceller dans tout, parce qu'ils le disaient. Non, c'était faux. Découvrir qui j'étais vraiment, ça s'est fait à l'école, ça s'est fait avec les amis.
La rébellion est arrivée à l'adolescence. Les premières conneries, ce sentiment d'émancipation, de liberté. J'ai beaucoup trop aimé ça pour le nier.
C'est là que j'ai appris les différentes nuances de mon caractère. Si j'étais pudique depuis tout petit, je me suis découvert d'autres traits. Solaire et sociable, loyal et rancunier, taquin et pourtant je m'en foutiste. Mais avant tout un petit clown, marrant et amuse la galerie dès que j'en ai l'occasion. On ne m'enlèvera pas mon côté bosseur, même si j'ai pas mal de facilité grâce à une mémoire photographique hors normes.
Les anecdotes
- ( 01 ) brighton, uk. la côte anglaise sur laquelle j'ai grandi, avec deux grands frères, une grande soeur. famille coréenne, on connait très rapidement la pression pour réussir dans la vie. la pression familiale, parentale. et forcément petit, c'est la norme, ce qu'on a à la maison. donc on s'y fait, on s'y habitue. on travaille et on s'acharne pour que le père ne ressente aucune déception.
- ( 02 ) avec riven, on est les deux plus jeunes. et quand bien même les liens du sang ne nous lient pas, on était quand même les deux doigts de la main. un an d'écart, pile poil. le même anniversaire, comme deux jumeaux qui ne sont juste pas nés la même année.
- ( 03 ) enfance sans vague, sans excès. tout était cadré, contrôlé, presque millimétré. le but premier, c'était d'avoir les résultats scolaires les plus satisfaisants pour que papa soit content. et ça marche très longtemps... jusqu'à la fameuse crise d'adolescence.
- ( 04 ) lycée, nouvelles rencontres. le début de la rébellion, de la décadence. les premiers écarts, les premières expériences. frôler une liberté jamais acquise auparavant. c'est pas pour autant que les résultats chutent, au contraire. une double vie qui passe sous couvert dans la maison familiale. y'a que riven d'au courant, bien que ça lui plaise pas trop. début de la cassure, les deux frères liés qui finissent par se séparer.
- ( 05 ) les voyages sont nombreux vers seoul, là où les grands-parents se trouvent. pourtant, la culture n'est pas forcément acquise. ayant grandi dans un pays occidental, avec diverses coutumes bien différentes, l'acclimatation est toujours un peu plus compliquée arrivé là-bas. je me fais souvent engueuler par les grands-parents, comprenant souvent qu'un mot sur deux de ce qu'ils me disent. mon coréen n'était pas aussi développé que celui de mes aînés. aucun effort de ce côté là, je le sais.
- ( 06 ) la lettre d'acceptance d'harvard, une fierté pour moi, une fierté pour mes parents. seulement, la condition pour y aller, c'était de revaloriser cet héritage que je ne prenais pas au sérieux. une année, un year gap pour aller en corée du sud chez mes grands-parents. peut-être que ça m'aidera à retrouver un peu plus de rigueur. parce qu'il est pas dupe le paternel. il voit bien que je suis différent depuis quelques années. il voit bien que je prends plus de libertés. j'accepte le deal à condition qu'il me laisse faire les études que je veux par la suite, qu'il n'interfère pas avec ma scolarité. l'excuse donnée à l'équipe d'admission d'harvard pour l'année sabbatique était louable selon eux et ils ont accepté sans souci.
- ( 07 ) si j'en sais plus sur la culture coréenne aujourd'hui, j'ai surtout développé un goût non-modéré pour les fêtes, pour la vie underground, pour cultiver cette double vie que je mène depuis des années maintenant. rien de salace, rien de provoquant. juste l'envie d'avoir mon univers caché des autres.
- ( 08 ) les premières années à harvard m'ont permis de me conforter dans l'idée que le droit serait mon domaine. une mémoire photographique aidant beaucoup, je finis même par exceller aux examens. c'est un pote, qui a fini par me donner l'idée de commencer un commerce assez... atypique. encore pas tellement vu sur le campus - ou alors pas tellement réputé, à voir -, celui des réponses d'exams. pour se faire, je devais absolument avoir accès à l'administration qui stocke toutes les réponses aux examens. ce fut rapidement chose faite.
- ( 09 ) pour garder cette cadence rythmée, il fallait de l'aide. des petits cachets. c'est comme ça que j'ai fini par acheter les amphétamines. ayant longtemps hésité, c'est un soir où la fatigue s'imposait que j'ai cédé. un cachet sur la langue, et il en fallait pas plus pour finir mon devoir par la suite. pas accro, enfin j'crois pas. disons juste que ça aide, ça booste, et forcément, avec tout le travail à amasser, c'était souvent que le cachet finissait sur la langue.
J'ai cependant réussi à avoir un “gap year”, me permettant de voyager afin d'en apprendre plus sur moi-même, sur mes origines. L'objectif était louable selon eux et n'ont pas montré d'objections. C'est comme ça que j'ai fini par intégrer Harvard l'année de mes 19 ans.
- Code:
<pris><b>KIM TAEHYUNG</b> <span>@"Rhys Ackerman"</span></pris>
(Rhys Ackerman)
“take a deep breath and remember who the fuck you are ”