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Les originesnée américaine, la tulipe néerlandaise peint l'arbre d'un carmin vénal aux vieilles racines d'europe. des origines françaises si effacées qu'elles ne sont plus mentionnées.
feat. lauren de graaf
boston, massachussets (usa) dix neuf juin 99
américaine
vivide mais seule. sourire poison, le cœur éparse. het en mal de temps
deuxième année de médecine à la harvard medical school, possède un b.s en biochimie
riche
Le caractère
elle se parfume à la sophistication domestiquée et aux cigarettes de contrebande. lumière vibrante jolie dame divague. elle est sociable. captivante. cryptique et poétique. belle âme en société elle brille, baigne dans une aura de calme. laisse derrière elle le sillage d'un guerlain. vendue à l'audace et à la mélancolie. bienveillante, amante du spleen. old fashioned elegancia cernes parmes poudrées de poussière. nymphe du vice, main de la chance au poker. confiante et de confiance. discordante olympienne ironique et vicieuse. joueuse mais susceptible mon dieu c'est pas possible. forte et indépendante, impose dispose sang froid de serpent et le même venin lucide. elle est solaire patiente et charismatique. elle reminisce le crépuscule.
SUMMERTIMES, ELLA FITZGERALD
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elle se parfume à la sophistication domestiquée et aux cigarettes de contrebande. lumière vibrante jolie dame divague. elle est sociable. captivante. cryptique et poétique. belle âme en société elle brille, baigne dans une aura de calme. laisse derrière elle le sillage d'un guerlain. vendue à l'audace et à la mélancolie. bienveillante, amante du spleen. old fashioned elegancia cernes parmes poudrées de poussière. nymphe du vice, main de la chance au poker. confiante et de confiance. discordante olympienne ironique et vicieuse. joueuse mais susceptible mon dieu c'est pas possible. forte et indépendante, impose dispose sang froid de serpent et le même venin lucide. elle est solaire patiente et charismatique. elle reminisce le crépuscule.
Les anecdotes
- ( 01 ) bostonian, almost english l'accent encensé d'une city girl née dans la ville mer, elle inspire donna tart. l'histoire secrète d'une benjamine sylphide qui s'agence dans la dynamique parfaite d'une famille de cristal qui tient aux apparences. elide. ni une virgule ni un point, le souffle coupé presque, juste un temps de réflexion pour couper la parole aux ombres murmurantes fille encore. destin d'effacée à même la surface du monde, elle grandit dans l'angoisse de l'oubli.
- ( 02 ) deux grandes soeurs, tarryn et amy. une cadette paige. et atlas géant du bout du monde qui tient le ciel à bout de bras. ode à l'errance et aux imcompris sonne en homélie dans la bouche vipérine de sa mère qui regarde ce nouveau fils, l'iris providentiel. gamine soleil, elle est ciment pour sa famille, liée aux nymphes grandi poète pour apaiser les langues les plus viles. elle se souvient de l'adoption d'atlas comme dans des souvenirs qui ne sont pas les siens. elle était jeune, écartée des décisions d'adultes. hausse les épaules et accepte l'étrange de ce garçon aux yeux sombres qu'elle a du mal à cerner et comprendre. feral animal grande gueule d'ange déchu contre l'éducation orageuse qu'elle s'applique à respecter, elle sait pas si elle l'admire ou si il est la personnification de la décadence de l'égo de ses parents. un peu des deux sûrement.
- ( 03 ) sa mère est une marquise absoute de noblesse. une femme de rang sans le sang qui s'y prête, bleu azuré jusque dans la prunelle. madone vautour à l'allure parfaite les épaules raides. la figure de style préférée de l'œuvre femme fatale à peine éprise. ne pleure pas ma fille, car les sicaires récoltent nos larmes pour en faire des perles vendues au marché noir. elide compense
combatelle est mom friend, lumière lampadaire un soir après trois heures, elle est golden hour femme bonheur. son père n'est qu'un homme. l'ironie du désespoir quand elle sait qu'il rentre dans les codes du médiocre, qu'il est l'idée même de ce qu'elle critique le plus, un ectoplasme de l'amour. un ersatz paternel qui aura laissé sa progéniture grandir au bras de sa femme sans vraiment d'intérêt pour elles. affect de loin, pas de souvenirs et un peu de fierté distillé au compte goutte qu'elle a arrêté de chercher depuis bien longtemps. aujourd'hui, ils se parlent peu, ne se voient qu'autant que nécessaire et s'entendent relativement bien, sa faute à elle. - ( 04 ) elle a toujours excellé à l'école, scolairement comme socialement. elle dévore les livres, se noie dans les maths pour éviter de penser à autre chose. parfois c'est les critiques qui l'atteignent parce qu'elle rêvasse. parfois c'est l'aberration face à une méthode utilisée alors qu'elle n'a pas encore été étudiée. elle préfère penser que les autres esprits sont étriqués plutôt que le sien est trop large. c'est pas une tare, c'est son besoin avide d'aventure qui parle. elle s'imagine mille vies mais dans chacune d'entre elles, elle termine médecin. l'adrénaline de l'urgence, le besoin de réfléchir vite et le challenge intellectuel la font vivre plus que n'importe quoi. du genre à partir sur un coup de tête pour de l'aide humanitaire, tutrice et intègre.
- ( 05 ) supporte pas l'intolérance, elle a cette hauteur morale, royal highness du bon et du bien, elle attire comme elle exècre. pas viciée, sauf les poumons peut être par les clopes qu'elle s'est enfilée à l'adolescence avant de se faire prendre par sa mère pour finir par jurer que jamais plus elle y toucherait. perfection égratignée, grattée comme sur un ongle mal vernis qui l'ébranle plus qu'elle veut le laisser croire. supporte pas le laid, le sombre et les âmes en perdition. elle a ce besoin vital de sauver, voit les noyades comme des croisades. pas l'once d'une vibration religieuse pourtant, si elle doit prier c'est qu'la détresse s'y prête. face à la croix dans l'église de l'hôpital parfois, pour accuser le ciel d'injustices, les saints comprennent mal l'abnégation.
- ( 06 ) amour vacille vivace inconscient s'espace. elle est jamais tombé amoureuse, elle comprends pas l'effet. son premier copain est une relation ratée, une première fois un peu collante revue à l'occasion pour se faire tromper en soirée ensuite et regretter beaucoup trop longtemps pour ce qu'il était. elle a le myocarde bradycarde, tombe lentement. attirée par les extrêmes jamais trouver sa place. l'amour c'est complexe, elle a pas le temps elle a ce besoin viscéral de connexion, de silence accusateur qui la prend à la gorge. jamais eu de mal à se laisser guider par l'intuition sauf quand il s'agit de s'abandonner à des sentiments qui lui font peur.
- ( 07 ) évidence carmine pèse contre sa nuque depuis toujours. harvard comme ses sœurs, elle passe les SATS et intègre l'ivy league en undergraduate sans hésiter dans son cursus. acceptée dans une promotion de pre meds, elle se spécialise en biochimie métabolique et passe quatre ans à étudier rechercher et publier en plus de travailler volontairement au chevet de malades chroniques au massachussets general hospital.
- ( 08 ) maîtresse des secrets joue ses cartes dans la pénombre. elle sait qu'un laboratoire du campus abrite du trafic de drogue sans avoir jamais réussi à connaître les coupables. s'est trompée de salle de froid un soir pour ranger ses cultures cellulaires, tombée sur un réfrigérateur rempli de sacs translucides pleins à craquer de poudre blanche. t'es pas trop conne tu comprends. elle panique claque la porte. dégage sans même ranger son travail, obsède sur la drogue cachée depuis. elle a jamais osé revérifier le contenu des frigos, sait très bien qu'une épée de damoclès en IV la pointe face contre terre sous les enfers si qui que ce soit remonte jusqu'à elle. corrupte science, elle sait plus à qui faire confiance, hésite entre l'idée de quitter ses recherches et le besoin de justice et de vérité.
- ( 09 ) un an de retard sur son cursus universitaire expliqué par un voyage autour de l'europe avec atlas. évasif, elle se souvient n'avoir même pas réfléchi quand il lui a proposé, acquiesce sans hésiter face aux iris sombres qui la scrutent. le voyage le plus extravaguant de sa vie, des souvenirs scandaleux et hilarants qui l'auront aidé à se rapprocher de ce frère adoptif qu'elle voit plus comme un ami sauvage. l'absence d'amy soulève des questions qu'elle n'ose même pas affronter en face. atlas et elle s'entendent assez mais si il voulait partir un an à l'autre bout du monde c'est avec sa soeur ainée qu'il l'aurait fait. les deux partagent une âme. elle se souvient des mots, des gestes parfois. de ces interactions qui l'envoient spiraler dans des théories insanes. frôle l'indécence elide. au fond elle sait pas. elle sait rien. la balance entre lui et sa soeur a changé depuis quelques temps, amy se confie moins. qu'est ce que t'as fais atlas.
- ( 10 )café noir ; shostakovich avicci and chet baker ; italian summer hiver de sibérie ; guerlain girl ; jo march ; rouge carmin sur les lèvres rouge carmin sur les ongles ; jamais levée après huit heures mensonge ; almond croissant lipstick and laughters ; no drama ; fume jamais ou presque. en secret peut être ; written by a brontë girl ; excellente cavalière mais cuisinière pathétique, le karma dans la farrine et pas par manque de volonté
the fatal flaw
- Code:
<pris><b>lauren de graaf</b> <span>@"Elide Vanserra"</span></pris>
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