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Les originesaméricaine et française.
feat. Romane Innc
10 Décembre 1997 a NY.
Américaine
célibataire, en proie à une langueur que tu embrasses tel une furie en quête de vengeance. Tu vis d'aventure d'un soir, pour oublier ce mal qui empoisonne ton coeur qui commence a devenir glaciale. Hétérosexuelle, meme si l'envie d'aller gouter ailleurs n'est pas pour te déplaire.
Septième année de Chimie & Physique.
Très aisée.
Le caractère
D I A B L O T I N E— lueur maligne dans tes iris, qui se moque de la vie. Gamine esquintée qui ne cherche qu'a s'amuser. Tu n'as rien a perdre. Jouant avec le diable (tout le temps) et se risque aux multiples dangers, attends que le feu viennent te chercher.
F I L L E S A U V A G E — fille sauvage, terroriser quand on s'approche de toi, tu te laisses toucher parce que tu penses n'avoir rien a offrir. Refuse de faire confiance réellement. Te brulant parfois les ailes, des ailes qu’autrefois tu as coupé, pour lui, pour la passion, d’amour de vie. S A U V A G E A M A Z O N E, te donnant tellement, trop, beaucoup trop vite. Tu te perds souvent dans les emotions des gens, celle qui sont souvent trop intense, mélangeant les tiens et provoquant un incendie dans ton coeur. Ce coeur qui est devenue poussière, la jalousie comme arme de destruction, un fardeau lourd a porter.
T E M P É T U E U S E — emporte tout sur son passage. Le feu, tout flamme. C’est à cent-à-l'heure que tu vis. Incapable de pouvoir ralentir, incapable de t’arrêter. Le tempérament explosif, puissant et affirmé. Tu fais ce que tu veux, quand tu le veux, tant pis si ça derange. Un besoin de tout contrôler. Fille facile. Fille gracile. Parfois tu balances des sourires, parfois des baisers. Parfois c'est ton majeur que tu brandis. Aucune honte. Aucune crainte. T'as pas froid aux yeux. Tu ris trop fort. Tu souris sans raison, puis tu fronces les sourcils. Un peu paumée ? Oh plus que ça. T'es pas bien méchante, tant qu'on n'abuse pas de toi. T'as un grain, toute une plage là dans la tête. Mais tu le vis bien. On t'as déjà posé la question. T'es cinglée ? Ouaip. Tu te fais soigner ? Tu le fais, oui. Le sourire encore en décalé, les réflexes un peu rouillés. Y'a personne de parfait à ce qu'il parait.
F Ê T A R D E — t'adores ça et tu pourrais rester des heures a danser sur tes musiques, tant que ça te flingues pas le sommeil. N A R C I S S I Q U E — tu l'es, t'as un peu trop confiance en toi. Tu sais tes atouts et tu sais les utiliser comme il se doit. H A U T A I N E — alors que t'es clairement celle qui devrait plutôt avoir les yeux rivés vers le sol après toutes les conneries que t'as pu faire plus jeune. T'as pas honte, t'as trop de toupet et t'arrive avec aisance à te placer au-dessus des lois et des gens comme si tout t'étais due. heureusement, y'a encore des gens et des choses qui te font redescendre sur terre, sans quoi t'aurais la tête comme une montgolfière.
Sous ton visage souvent qualifié d’angélique se cache tout autre chose, plutôt plus habiter par le demon, que l’ange. Une forte personnalité, qui n’a jamais sa langue dans sa poche. Un franc parler qui a toujours attirer le foules, tu aimes tant mieux, meme si ca n’arrive pas souvent. Langue aiguisé, tu blesse et écorche sans regrets et en parlant de remords, tu es cruelle. C A M É L É O N N É E — tu changes de visage comme de culotte, peut totalement sourire et montrer les crocs selon ton envie du jour.
M A N I P U L A T R I C E — tu ne supportes pas que la personne en face puisse être au dessus de toi, cette facette, tu l’aimes, en prend conscience et t’en fous royalement. C’est comme les cristaux de glace qui se dessinent, se solidifient, empruntent leur forme aux stalactites. Un melange de reserve, de froideur, de contrôle mais aussi d’impulsion, d’autoritarisme et parfois d’agressivité. F R A G I L I T É P U R — personne ne sait ce qui se passe a l’intérieur de toi, peut être sauf Ruby, normal, elle comprend ce que cache ton coeur. Son âme est relié a la tienne et vice-versa. C’est le bordel sans nom, et tu ne laisses personne s’approcher assez de près pour en savoir les tenants et aboutissants. D O U C E U R C A N D E U R — on ne pourrait le croire, mais tu en a tellement. Comme un remède a tout les mots, ceux qui sont déchirant et qui abime les coeurs. T’as seulement tenter de réparer les âmes tourmentées, meme si la tienne est passé a la trappe, voulant le meilleur pour ceux qui ont une place de choix dans ton coeur.
R Ê V E U S E — pour te protéger de la réalité, machisme enclenché des que t’as compris ce que c’était, de vivre, ou plutôt survivre. L O Y A U T É — qui te colle a la peau, tu ne peux pas trahir, c’est une evidence. A double tranchant, qu’on ne trahisse pas ceux que tu aimes, tu pourrais devenir dangereuse. D É T E R M I N A T I O N — fille prête a tout pour obtenir ce que tu désires, qui ne laissera jamais tomber. D R A MA Q U E E N — te perd dans ce feu qui se déclare trop vite, emportant tout, dévoilant le plus perturbant. Tu te perds souvent dans des histoires les plus folles, c’est aussi comme ça qu’on remarque ce B O U T D E N A Ï V E T É — qui l’emporte, au grand désarroi de ce coeur ardent.
F O R T E — beaucoup trop forte, tu as vécu tellement d'épreuves psychologiquement, des épreuves qui auraient pu te mettre a terre. Ce qui ne t'abat pas te rendra plus forte, tel est ta devise. S E N S I B L E — nostalgique par moment, sensible lorsqu'on parle de certains sujets sensible, c'est vraiment le cas de le dire. Surtout lorsqu'on parle de l'état de ta maman, un trauma qui reste encore en toi, ou tu te sens encore coupable. Aussi quand on parle de lui, ce mec a qui tu as tout donné de ton amour, si on cherche bien dans ton coeur, il reste encore cette petite fille sensible. S É D U C T R I C E — tu sais jouer de ce que dieu t'as donné, peut être que parfois c'est un mal pour un bien. I N T E L L I G E N T E — a ce niveau la, tout le monde le voit bien. Tu as cette manière de t'exprimer qui fait qu'on le devine, petite surdouée, celle qui règle tout avec les chiffres. une scientifique qui sait énormément de chose, qui s'enrichit beaucoup.
S O L A I R E — fille solaire, qui adore lire, mordre la vie a pleines dents et jouir de tous les plaisirs de l'existence. E X T R A V E R T I E — tu es de celle qu'on remarque, qui sait exister tout ta soeur Ruby. A 2 ça fait des étincelles.
F I L L E S A U V A G E — fille sauvage, terroriser quand on s'approche de toi, tu te laisses toucher parce que tu penses n'avoir rien a offrir. Refuse de faire confiance réellement. Te brulant parfois les ailes, des ailes qu’autrefois tu as coupé, pour lui, pour la passion, d’amour de vie. S A U V A G E A M A Z O N E, te donnant tellement, trop, beaucoup trop vite. Tu te perds souvent dans les emotions des gens, celle qui sont souvent trop intense, mélangeant les tiens et provoquant un incendie dans ton coeur. Ce coeur qui est devenue poussière, la jalousie comme arme de destruction, un fardeau lourd a porter.
T E M P É T U E U S E — emporte tout sur son passage. Le feu, tout flamme. C’est à cent-à-l'heure que tu vis. Incapable de pouvoir ralentir, incapable de t’arrêter. Le tempérament explosif, puissant et affirmé. Tu fais ce que tu veux, quand tu le veux, tant pis si ça derange. Un besoin de tout contrôler. Fille facile. Fille gracile. Parfois tu balances des sourires, parfois des baisers. Parfois c'est ton majeur que tu brandis. Aucune honte. Aucune crainte. T'as pas froid aux yeux. Tu ris trop fort. Tu souris sans raison, puis tu fronces les sourcils. Un peu paumée ? Oh plus que ça. T'es pas bien méchante, tant qu'on n'abuse pas de toi. T'as un grain, toute une plage là dans la tête. Mais tu le vis bien. On t'as déjà posé la question. T'es cinglée ? Ouaip. Tu te fais soigner ? Tu le fais, oui. Le sourire encore en décalé, les réflexes un peu rouillés. Y'a personne de parfait à ce qu'il parait.
F Ê T A R D E — t'adores ça et tu pourrais rester des heures a danser sur tes musiques, tant que ça te flingues pas le sommeil. N A R C I S S I Q U E — tu l'es, t'as un peu trop confiance en toi. Tu sais tes atouts et tu sais les utiliser comme il se doit. H A U T A I N E — alors que t'es clairement celle qui devrait plutôt avoir les yeux rivés vers le sol après toutes les conneries que t'as pu faire plus jeune. T'as pas honte, t'as trop de toupet et t'arrive avec aisance à te placer au-dessus des lois et des gens comme si tout t'étais due. heureusement, y'a encore des gens et des choses qui te font redescendre sur terre, sans quoi t'aurais la tête comme une montgolfière.
Sous ton visage souvent qualifié d’angélique se cache tout autre chose, plutôt plus habiter par le demon, que l’ange. Une forte personnalité, qui n’a jamais sa langue dans sa poche. Un franc parler qui a toujours attirer le foules, tu aimes tant mieux, meme si ca n’arrive pas souvent. Langue aiguisé, tu blesse et écorche sans regrets et en parlant de remords, tu es cruelle. C A M É L É O N N É E — tu changes de visage comme de culotte, peut totalement sourire et montrer les crocs selon ton envie du jour.
M A N I P U L A T R I C E — tu ne supportes pas que la personne en face puisse être au dessus de toi, cette facette, tu l’aimes, en prend conscience et t’en fous royalement. C’est comme les cristaux de glace qui se dessinent, se solidifient, empruntent leur forme aux stalactites. Un melange de reserve, de froideur, de contrôle mais aussi d’impulsion, d’autoritarisme et parfois d’agressivité. F R A G I L I T É P U R — personne ne sait ce qui se passe a l’intérieur de toi, peut être sauf Ruby, normal, elle comprend ce que cache ton coeur. Son âme est relié a la tienne et vice-versa. C’est le bordel sans nom, et tu ne laisses personne s’approcher assez de près pour en savoir les tenants et aboutissants. D O U C E U R C A N D E U R — on ne pourrait le croire, mais tu en a tellement. Comme un remède a tout les mots, ceux qui sont déchirant et qui abime les coeurs. T’as seulement tenter de réparer les âmes tourmentées, meme si la tienne est passé a la trappe, voulant le meilleur pour ceux qui ont une place de choix dans ton coeur.
R Ê V E U S E — pour te protéger de la réalité, machisme enclenché des que t’as compris ce que c’était, de vivre, ou plutôt survivre. L O Y A U T É — qui te colle a la peau, tu ne peux pas trahir, c’est une evidence. A double tranchant, qu’on ne trahisse pas ceux que tu aimes, tu pourrais devenir dangereuse. D É T E R M I N A T I O N — fille prête a tout pour obtenir ce que tu désires, qui ne laissera jamais tomber. D R A MA Q U E E N — te perd dans ce feu qui se déclare trop vite, emportant tout, dévoilant le plus perturbant. Tu te perds souvent dans des histoires les plus folles, c’est aussi comme ça qu’on remarque ce B O U T D E N A Ï V E T É — qui l’emporte, au grand désarroi de ce coeur ardent.
F O R T E — beaucoup trop forte, tu as vécu tellement d'épreuves psychologiquement, des épreuves qui auraient pu te mettre a terre. Ce qui ne t'abat pas te rendra plus forte, tel est ta devise. S E N S I B L E — nostalgique par moment, sensible lorsqu'on parle de certains sujets sensible, c'est vraiment le cas de le dire. Surtout lorsqu'on parle de l'état de ta maman, un trauma qui reste encore en toi, ou tu te sens encore coupable. Aussi quand on parle de lui, ce mec a qui tu as tout donné de ton amour, si on cherche bien dans ton coeur, il reste encore cette petite fille sensible. S É D U C T R I C E — tu sais jouer de ce que dieu t'as donné, peut être que parfois c'est un mal pour un bien. I N T E L L I G E N T E — a ce niveau la, tout le monde le voit bien. Tu as cette manière de t'exprimer qui fait qu'on le devine, petite surdouée, celle qui règle tout avec les chiffres. une scientifique qui sait énormément de chose, qui s'enrichit beaucoup.
S O L A I R E — fille solaire, qui adore lire, mordre la vie a pleines dents et jouir de tous les plaisirs de l'existence. E X T R A V E R T I E — tu es de celle qu'on remarque, qui sait exister tout ta soeur Ruby. A 2 ça fait des étincelles.
Les anecdotes
- ( 01 )Naquit a New-York, le 10 Décembre 1997. Naissance a deux. Ruby est ta jumelle, le diamant précieux de ta vie. Extrêmement proche de ta famille, toujours la l’un pour les autres, quoi qu’il se passe, Vanderbilt c’est avant tout une union qui peut tout surmonter. Ton père, James Vanderbilt, un célèbre homme d’affaires, a toujours voulu ce genre de famille, belle et unis.
- ( 02 ) Enfance presque parfaite, sauf que toi, tu était la gamine qui adorait faire des bêtises, histoire de te remarquer. Toi, la petite jumelle diabolique, qui adorait jouer a des jeux dangereux, souvent cherchant de la reconnaissance sans cesse. Ce trop plein que tu cherchais constamment, parce que a cette période, tu étais tres précoces intellectuellement, ce qui a pousser tes parents a se poser des questions. A l'age de 5 ans, tu as passer des tests qui ont démontrer tes grandes capacités, comme la lecture, le graphisme, la peinture. Tu comprends tout seul comment fonctionne les syllabes, et ce sans meme qu'on te le dise 100 fois. Nombreuses de tes créations mettent en évidence tes perpectives et des détails concernant ta mémoire photographique. Ces durant les semaines qu'on a pu déceler ton HPI (Haut Potentiel intellectuel). Ce n'est pas problématique, faut juste savoir surveiller au bon besoin de l'enfant, que tu ne te sens pas incomprise, parce que y a beaucoup de souffrance lorsqu'on se sent en décalage par rapport aux autres et la famille est toujours la quoi qu'il se passe. Tu as l'âme d'une vraie créative en puissance, toujours en quête de savoir. D'ailleurs, ta matière favorite est les mathématiques, la langue des chiffres, c'est après d'eux que tu te sens accomplis, des bouquins d’algèbre que tu dévores pendant des heures.
- ( 03 )L’adolescence, proie a de nouveaux objectifs de vie. Et la seule façon que tu avais de decompresser, c’était la gymnastique. Le sport, le dimanche matin, tu te débrouillait vraiment super bien. Une passion dévorante, mais tu le savais que tu n’en ferais pas ton metier. Non, toi, tu avais d’autres rêves a réaliser. Quinze ans. La délicate impétueuse. Premier flirt, un garçon qui te voulait deja. Mercutio, un nom pareil aurait du te faire fuir. Sauf que toi, t’adores le danger. Un garçon dans la chambre. Ça a plu a personne, premiere dispute au sein de la famille et a ce moment-la tu as compris, amour impossible. Période tres delicate, memoire douloureuse, un amour volcanique, destructeur, sa rébellion aurait pu t’achever.
- ( 04 )Un accident et tout changea a jamais. Tu te souviens très bien du jour ou ton monde a cru s’écrouler, l’accident de ta mere. Tu étais avec le garçon qu’on t’avais interdit de voir, peut être que c’est a cause de cela que tu as decider de ne plus le voir. En allant a l’hôpital, voyant ta douce mère dans cet état tétraplégique, cela t’as ouvert les yeux, remis le cerveau a l’endroit. Voulant prendre soin de ta famille, arrêtant meme les conneries, tu as mis fin a cette pseudo relation. La seule personne au courant de ta relation et de ce qui s’était passée entre vous, c’était ta jumelle.
- ( 05 ) Après le drame, tout s'est mélanger dans ton cerveau et tu as commencer a dérailler, surtout que venait se rajouter la rupture amoureuse qui était vraiment douloureuse. Et, c'est la que ta maladie s'est déclarer ; la bipolarité. Cela a commencé par un changement d'humeur, que tu n'arrives jamais a expliquer. Ton humeur varie vraiment souvent, un trop plein d'énergie ou carrément une baisse peut totalement te déstabiliser. Ces fluctuations reviennent parfois régulièrement, comme c’est le cas pour la dépression hivernale. Tu fais preuve de colère démesuré par rapport a certaines situations, des sautes d'humeur changeante et imprévisible. Tu peux te mettre dans une rage extrêmement forte, pour un rien et surtout pour des raisons totalement débiles. Souvent accompagné d'épisode maniaques, qui va avec l'énergie, l'hyperactivité ou l'agressivité. Dans cette phase maniaque, tu fais ou dis des choses que tu ne dirais en temps normal, sans se soucier des conséquences. Cet état peut durer plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Pensée accélérée. Parle beaucoup, suit plusieurs idées à la fois, passe volontiers du coq à l’âne. Ton père a vite fait de te trouver une psychiatre, pour t'aider au mieux. On te bombarde de question. Des pourquoi qui t'ennuie. Qui t'agace. Tu ne sais pas. Tu mordilles ton pouce. Pas envie d'en parler. Pas envie d'y faire face. Parce que finalement, tu te sentais coupable, de ne pas avoir écouter ta mere. D'avoir continuer cette relation, sans te soucier des conséquences. Ne pas obéir, c'était amusant. Tu crois. T'es pas certaine. De rien. Les rendez-vous chez le psy était d'une horreur sans nom, mais nécessaire. T'as toute façon continuer sans lui, au revoir amour. T'as réchauffé le plat de maman, servi papa. Tu leur as même fait la conversation - pour une fois qu'on t'écoutait sans te reprocher une multitude de chose. T'as dérangé personne. Personne. Mais rien n'est correct. Plus maintenant. C'est pas tellement des regrets qui te pourrissent la cervelle - grand bien te fasse, parce que la culpabilité, c'est comme un cancer. Mais toi, t'es saine. Ou pas. Y'a aucune explication. Tu n'es pas saine du tout d'après ce que la psy raconte, sans que c'était vrai. Rien à voir avec le cancer, mais elle dit que tu vas mal. Que ça ne tourne pas rond. Oui, bon. Et, lorsque que tu était dans ta chambre, heureusement que Ruby était la, mais lorsqu'elle partait, la douleur revenait encore plus. Tout foutre en l'air ? T'aurais pu, mais merde tu avales tes médicaments et suit ton traitement méthodiquement. T'aurais pu les vomir, pour te punir, mais impossible ta famille compte sur toi.
Envie de dormir. Envie d'oublier. Et, chaque fois que tu te sens mal, tu demandes a chaque fois, pourquoi continuer ce traitement ? La vie est tellement fade et morose sous traitement. Ta jumelle surveille a ce que tu le prends, que tu n’oublies pas ce qui peut arriver dans le cas contraire. Ta destinée est tout tracer. Faire de grandes études, c’était quelque chose que tu voulais accomplir. Les études de chimie et physique, c’était ce que tu voulais faire. Qu’est-ce que tu adores qu’on te dise que tu es intelligente, que tu as un vrai talent pour tout comprendre super vite. Parce que tu as un projet qui te tient a coeur, de créer ta propre entreprise. - ( 06 ) Il est revenu. Ton sourire en écho. Tu ressens quoi ? Aucune idée. Il était planter la, sur sa belle moto, avec sa gueule d'ange. Tu le suis, malgré tout ce qui s'est passée entre vous, dans cette chambre. Dans des coins sombres. Pour chercher les sentiments. Les émotions. Sauf que tu es vides. On a oublié de t'enfoncer quoi que ce soit dans la poitrine. Ton coeur se contente de battre, il est défectueux qu'on t'as déjà dit. Une fille, en larme. Tu n'arrives pas a lui « je t'aime. » Parait que c'est important. Sauf que ça ne t'atteint pas. Ça ne te percute pas. Il t'as pris pour une héroïne d'un roman un peu tordu. La fille qu'il a décider de sauver, mais sauver de quoi ? Te défends de continuer a suivre ce traitement qui te bousille le cerveau, c'est lui ton traitement miraculeux. Tu ne veux pas l'écouter, mais ça fait clic en toi. Il a suffit que tu vois sa gueule d'ange pour sombrer. Craquer. Pour en redemander. Il te possèdes, plus que tout. Puis vient ses cadeaux. Un nouveau téléphone. Des vêtements. Des cosmétiques. Parce qu'il veut te voir sourire. Parce que tu le fais - sans trop savoir pourquoi ça compte tant. Là, à travers la caméra de ton ordinateur - celui tout neuf qu'il vient de t'envoyer. Celui que tu ne comptais pas garder, par peur que tout soit découvert. Et, tu te demandais sans cesse d'ou venait tout ce fric, qu'il dépensait, alors qu'il n'en avait aucun. Jusqu'a ce qu'il achète une putain de bague en diamants. Un achat qui prenait tout son sens. Une demande en fiançailles, sous le secret de tout le monde. Personne ne devait être au courant. C'était inconcevable, Ruby devait au moins le savoir. T'as dormis dans ses bras toute la nuit, t'étais étrangement bien. Trop bien. Au début, tu voulais surtout lui montrer que tu le possédais encore, puis c’était aussi ta façon a lui de lui dire "oui". Il veut prendre soin de toi. Tu es une « fille » qu'il veut prendre en main. Sur tes mains. Et, pourquoi pas le début d'une nouvelle vie ? Ou pas. Pas vraiment.
- ( 07 )Ton idylle continue, mais plus dans le secret. Tout le monde l'avaient apprit, ton père furieux. Mais au fond, ça ne te déplait pas. Daddy a beau te répéter sans cesse d'arrêter, t'en démords pas. Tu n'est pas nerveuse. Ton ventre fait des petits sauts. Se contracte. Mais ça n'a rien d'inquiétant. Rien de perturbant. Tu découvres le monde - le tien. Celui qui t'attend. Mais Daddy insiste, il va tout arranger. Tu ne comprends vraiment pas cette phrase. Mercutio en avait rien a faire, son plan était tracée. Son odeur est partout sur toi. En toi. Ses doigts se perdent dans tes cheveux et tu fermes les yeux. Parce qu'ici, dans la tour où il t'a enfermé, l'odeur est agréable. Du jasmin, l'odeur de d'amour. Oui, oui. Mais tu n'es pas réellement prisonnière. Jamais vraiment. Pas assez, en fait. Il suffit d'une connerie de plus, celle de trop. Pauvre con. Il a encore menti. De l'argent en masse sur son lit, c'était le fric de ton Daddy. Celui qu'il a voler, pour payez ses dettes. Le point de non-retour, le point de bascule. Une grosse dispute éclata. Toi qui fout le bordel, qui renverse la table, qui casse les verres en gueulant et lui, qui se décide à te maîtriser, à t'encastrer dans le mur. Et il y a la rage dans ses beaux yeux verts, et tes genoux flanchent, bien avant que son poing ne vienne s'écraser dans la mur, juste à côté de ta tête. Et, si tout ça n'était pas normal. Tout a dérégler lorsqu'il est revenu dans ta vie et qu'il t'as demander d'arrêter de prendre ton traitement. Tu le sais. L'avoues a ta famille, presque en pleurant de désespoir. C'est la vengeance qui guette ton coeur a présent. Tu va le revoir, avec un plan bien a toi, le baiser et le trahir par la suite. Il te croit. Tes bras derrière sa nuque, tes jambes autours de ses hanches et ta bouche contre la sienne. Vos langues qui se mélangent comme si elles s'insultaient pas quelques secondes auparavant. Et dans votre danse, la haine se perde déjà, peinte en désir. Et vos corps qui ne tardent pas à s'écorcher, à se battre jusqu'à ce que la sueur vous achève, une fine couche en recouvrant vos dos corps épuisés. Sauf que tu trouves encore la force de le regarder dormir. De caresser du bout des doigts ses lèvres pour lesquelles tu te damnerais. Et ton coeur bondit dans ta poitrine, mini-infarctus qui te foutu la trouille, qui te vrillait le ventre. Parce que tu savais que c'était la dernière fois, que tu l'aimais d'un amour chaotique, qu'il te détesterait a jamais. T'es allée directement au poste de police, lui laissant un dernier mot, une lettre d'adieu. T'aurais aimé dire que t'as été forcée, menacée, mais tu l'as fait exprès. Ta famille en a bavé après l’accident de ta mere, impossible pour toi de détruire tout ça. Ta famille, tu l'aimes, ils t'ont ouvert les yeux sur ces manigances douteuses, c'était un mal nécessaire.
- ( 08 )T’as rêvé a lui tous les soirs, pleurant pendant des semaines entières, Ruby était la a te consoler, meme si ce qui s’est passée n’a pas été une surprise. Mercutio avait le châtiment qu’il méritait, en prison, derriere les barreaux. Tu rêvais qu'il t'étranglais, qu'il te transperçait de son couteau, qu'il t'achevais ou qu'il te laissais crever au bout de son sang. Et le procès arrivait et t'étais l'un des témoins. C'était l'enfer. Tu était pourtant obliger, histoire de faire honneur a ta famille. Pauvre cherie. Traitresse. Tu découvres ce jour la, qu’il avait voler le coffre de ton père, pour te protéger, son mercenaire l’avait menacée de te tuer. Il lui a ensuite suggérer de te voler, c’était le prix pour ta vie. Il était putain de beau, au procès, en costard, avec ses yeux tueurs, qui cherchaient encore à comprendre. Beau à lui en tomber dans les bras encore. Beau à regretter tout ce que t'avais fait. Cette fois, il ne te pardonnerait pas en quelques baisers. Tu l'avais trahis. Et tu craignais, la sentence. Tu craignais que s'il n'était pas reconnue coupable, il en finirait avec toi. Et, étrangement, t'étais convaincue qu'il n'y avait pas un meilleur moyen d'en finir que sous ses doigts.
- ( 09 )Coupable. La peur et le soulagement. Et ses yeux perdus, son regard que t'arrivais pas à lâcher. Cette envie d'hurler à travers la salle, comme tu l'aimais, comme tu lui en voulais, et que tu t'en voulais encore plus. Comment t'étais désolée. Sauf que y'avait que les sons des menottes contre ses poignets, des ses pas qui quittaient vers la prison, de ton coeur qui se déchirait. Et, tu décidais de l’oublier. Pourtant, t’as essayé de venir le voir en prison, il n’as jamais accepter, t’as envoyer trop de lettre qu’il a déchirer. Tu pleurais chaque soir, en l’oubliant, tu sors a pas d’heure, couchant a gauche et a droite, en faisant la connasse. En guise de sensation, mais en vain, le coeur devient froid et dur. Et, un jour, tu reçois une lettre de sa part, celle que tu n’aurais jamais du lire, qui disait qu’il t’avais choisis pour mieux baiser ta famille, et qu’il avait choisis la mauvaise jumelle. C’est le debut de la dépression, dans laquelle tu n’as jamais su ou presque te relever. Et, tu ten fichais bien de foutre ta vie en l’air, sortait avec des gars comma ça, des gars pas mieux que lui. Et, tu l’avais oublié en te souvenant exactement du jour de sa sortie de prison. Avec l’envie et la peur de le revoir. Il avait réussi a te faire sentir normale, mais tant pis, après lui ça été pire de toute façon.
- ( 10 ) Depuis toujours, tu as toujours été proche de ton père, mais lorsqu’il a découvert ton secret, il n’a plus voulu te parler. Ça été une étape très dur dans ta vie, faire sans lui au quotidien. Oui, il n’as jamais apprécié ce mec, mais au moins si tu avais été honnête avec lui, envers les gens de ta famille. Il a bien vu que tu l’aimais, le voyou, bien avant que tu ne lui avoue toute la vérité. Te pardonne une dernière fois, n’en peut plus de toutes ces bêtises, t’épaulant au procès, t’offrant toute l’aide dont tu avais besoin. Ruby, son épaule pour pleurer et cette amour sans faille de jumelle, que personne ne pouvait mesurer, sa main, ses mots pour te réconforter. Les mois ont passée, mais tu as vraiment changée. T'es encore la reine des abeilles, de ton joli monde. Tu te concentres sur tes études, ton clan d’amies et ta famille. Reine de ton petit clan, vous faisant jamais des coups de putes, y a un code entre filles. Cela te plait de porter une couronne qu’on se plie a tes désirs, que tu puisses tout contrôler, tout manipuler. Tu va chez le psychiatre tous les samedis après-midi, respecte bien ses recommandations et suis ton traitement a la lettre. Il est donc revenu. La case prison est fini. Retour a la case départ. Mais il était déjà plus le gamin d'avant. Non, c'est le fantôme de la mort qui a toqué à ta porte, qui est entré quand t'as gueulé que c'était ouvert. Heureusement ta soeur est arrivé juste a temps, pour lui demander de s'en aller. T'en as pleurer, encore et encore. Ce Mercu, tu le connaissais par coeur, ça n'as duré que quelques instants, t'as meme cru sentir ton coeur sortir de ton corps. Ça t'a plu de le mater. De le reluquer. À moitié humain. À moitié effacé, les traits gommé. Une œuvre d'art. Un hors d’œuvre. Pendant un instant, il a su retourner ton coeur, sans t'avoir toucher. Y'a son nom qui te hante. Un écho sur ta langue en bonbon. Parce qu'il est repartit, aussi vite qu'il est venu. Tant mieux. Il te traques, tu le sais. Tu ne peux pas retomber dans son filet, hors de question. Tu aimerais le pousser trés loin, idéalement te venger avec un autre mec, qu'il te voit avec quelqu'un d'autre.
- Code:
<pris><b>ROMANE INNC</b> <span>@"Emeraude Vanderbilt"</span></pris>
(Invité)
