LOGAN P. HAWSON ► liam hemsworth

Logan Parker Hawson

C'est le 21 décembre 1989 à Lisbonne, que les membres de la famille Hawson m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Logan Parker). Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée>. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine depuis 1 an. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Quincy.

# Généreux

# Romantique

#Attachant

# Sensible

# Rancunier

APRÈS LA BOMBE
Je n'étais pas encore à Harvard lorsque cette tragédie s'est produite mais dans la mesure où ma sœur adoptive y suit ses études depuis plusieurs années, je me souviens de cette journée comme si c'était hier. Etant de repos, j'avais invité plusieurs de mes amis à la maison et nous avions alors partagé le récit de nos dernières aventures autour d'une pizza. Comme à son habitude, William faisait son intéressant afin de monopoliser l'attention en nous dessinant le portrait de sa dernière conquête. Je riais de bon cœur quand brusquement, j'avais remarqué qu'un de mes camarades de jeux avait le visage aussi pâle qu'un cachet d'aspirine. J'avais alors eu comme un mauvais pressentiment et lorsque mon ami nous avait demandé de tourner nos regards en direction de la télévision, nous avions eu l'impression de nager en plein cauchemar. Des journalistes rapportaient qu'une bombe avait explosé à Harvard et que celle-ci avait fait de nombreux dégâts. En voyant les images qui défilaient à l'écran, j'avais eu un moment d'absence comme pétrifiée par la crainte que ma sœur ne soit plus de ce monde. Néanmoins, j'avais vite repris du poil de la bête et sans même réfléchir une seconde de plus, mes amis et moi-même avions décidé de nous rendre sur place. Bien évidemment, les forces de sécurité nous avaient alors empêchés d'accéder à l'établissement et n'est qu'après quelques heures d'attente interminables que j'avais eu le chance de retrouver ma sœur. Dixie avait été blessée à la jambe mais elle s'en était tirée à bon compte: elle en avait simplement été quitte pour un petit séjour à l'hôpital. Encore aujourd'hui, je repense à cette triste journée et je crois que d'une certaine manière, elle restera à jamais gravée dans ma mémoire. Si j'ai eu la chance de ne pas perdre ma sœur, le destin n'a pas épargné certains de mes amis. L'un d'entre eux a dû apprendre à vivre sans sa moitié et lorsque je vois la souffrance qu'il endure au quotidien, cela me fait froid dans le dos. A moins d'être insensible ou de posséder un cœur de pierre, je crois qu'on ne ressort jamais totalement indemne d'une telle tragédie. En ce qui me concerne, j'ai eu tellement peur de perdre ma sœur à tout jamais qu'à la suite de cet attentat, j'ai fait le choix de rejoindre Dixie à Harvard.

Dunster House
Lorsque j'ai entendu parler de ce groupe, je me suis tout de suite dit qu'il était fait pour moi. Je ne suis pas le mieux placé pour parler de ma personnalité puisque j'ai du mal à me mettre en avant mais si il y a bien une chose dont je suis conscient, c'est que j'ai toujours été très doué pour les études. Je le sais d'autant plus que durant ma jeunesse, cela n'a pas joué à mon avantage: j'étais plutôt mal vu par mes camarades de classe qui me jalousaient et me considéraient comme le bouc émissaire parfait. Autant dire tout de suite que j'en ai donc bavé à une époque où les enfants sont d'une cruauté sans égal. Heureusement, les mentalités changent et évoluent avec le temps: cela m'a été profitable. Moi-même, je me suis fait violence pour me forger un caractère et être ainsi capable de m'imposer dans un groupe. Du coup, aujourd'hui, je n'ai rien perdu de mon sérieux et mes résultats sont toujours aussi brillants mais le gamin renfermé, que j'étais à une époque, s'est envolé pour laisser place à un jeune homme qui ne refuse jamais de s'amuser quand on lui en offre l'occasion. Voilà pourquoi je pense que je n'aurai aucun mal à m'intégrer à ce groupe si j'ai l'opportunité de les rejoindre...

GROUPE 2.
Combien de fois durant ma vie, ai-je entendu mes proches me répéter que j'étais trop gentil et qu'il ne fallait pas m'étonner si cela me jouait parfois des tours? A vrai dire, j'ai arrêté de compter depuis bien longtemps. D'ailleurs, j'admets volontiers qu'il m'est difficile de leur donner tort dans la mesure où de nombreux exemples plaident en ma défaveur et démontrent clairement que ma naïveté m'a souvent conduit à commettre des fautes de jugement. Mais que voulez-vous, Il est difficile d'aller contre sa nature et personnellement, même si ma générosité m'a déjà entraîné au devant de grandes désillusions, je n'ai jamais pensé à devenir un autre homme: j'ai simplement appris à vivre avec ces déceptions. Pourquoi donc me demandez-vous? Parce que je sais pertinemment que je serai mal dans ma peau si je ne laissais pas mon grand cœur s'exprimer librement. J'ai toujours eu pour habitude de tendre la main aux gens et cela ne changerait jamais car c'est ce qui fait ce que je suis. C'est pour cette raison que je crois dur comme fer que je trouverais facilement ma place dans ce groupe.

Liam Hemsworth

# Je n'ai jamais touché une cigarette de ma vie et c'est quelque chose dont je suis plutôt fier.

# Je joue de la guitare depuis l'âge de 10 ans.

# Je possède un tatouage sur mon torse: il représente un loup et symbolise la fidélité.

# Je souffre d'asthme chronique

# Je suis nyctophobe: autrement dit, j'ai peur du noir.

Sunshine

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Sunshine et j'ai 26 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à top-site. Ce forum est parfait en tout point alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Liam Hemsworth comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Blondiesweety. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Dixie P. Hawson.

Mot de la fin ? ▲ Now, I think it's time to play the game.

(Invité)

This is my story

5 juillet 1997: parc Estrela à Lisbonne

En cette fin d'après-midi, j'avais décidé de profiter du beau soleil qui régnait en maître sur la ville pour effectuer une sortie au parc en compagnie de mon frère et de ma sœur. J'avais beau être encore assez jeune, mes parents m'accordaient une confiance aveugle et ils n'hésitaient donc pas à me confier la garde de Dixie et Pedro car ils savaient pertinemment que je les surveillerais comme le le lait sur le feu. Il fallait admettre que nous avions la chance de vivre dans un quartier aisé de la ville et que nous ne risquions donc pas grand chose en allant nous balader dans ce parc qui était le lieu de rendez-vous privilégié de toutes les familles des environs. Comme souvent, on se taquinait mutuellement mais il n'y avait jamais la moindre méchanceté dans nos provocations: si on aimait s'amuser, nous débordions d'affection les uns pour les autres et on se donnait corps et âme pour nager dans un bonheur perpétuel. Personnellement, je prenais mon rôle d’aîné très à cœur et je faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour être un grand frère exemplaire. J'avais beau savoir que Dixie n'était pas ma sœur de sang, je n'avais jamais accordé la moindre importance à ce détail: à mes yeux, elle était un membre de la famille à part entière. Evidemment, j'étais sans aucun doute le plus sage de la famille mais si je pouvais être un enfant renfermé à l'école, je parvenais beaucoup plus à me libérer lorsque j'étais entouré de mes proches.

- Je te préviens Dixie, si tu me balances ne serait-ce encore qu'un petit caillou, je te fous à l'eau, c'est clair?

- Jamais tu n'oseras. Et puis, si tu fais ça, je dirai tout à maman d'abord.

Et voilà, ma sœur et mon frérot se cherchaient encore des noises: c'était leur spécialité. Evidemment, il n'y avait aucune animosité là dessous mais c'était plus fort qu'eux. Dixie aimait bien se faire remarquer ce qui était plus ou moins logique sachant qu'elle était la plus jeune de la famille. Quand à Pedro, il avait tendance à avoir le sang chaud et il était donc facile de lui faire perdre patience. Ma frangine le savait pertinemment et comme cela l'amusait beaucoup, elle n'hésitait pas à le titiller dès qu'elle en avait l'occasion. Et moi au milieu de tout ça? Disons que je tentais tant bien que mal de jouer les médiateurs mais sans grande réussite. Généralement, je ne pouvais que constater les dégâts...

- Très bien mais tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenu.

- Tu me fais pas peur.

A la suite de cette réflexion, ma sœur profita que l'on soit au bord du lac pour arroser Pedro et bien évidemment, il n'en fallut pas plus pour déclencher les hostilités. En une fraction de seconde, mon frangin se mit à courir après Dixie et tenta de l'attraper. Poussant un léger soupir, je fus contraint de me mettre à leurs trousses pour voir comment tout cela allait se terminer. La poursuite dura quelques minutes avant que Pedro ne parvienne à ses fins: aussitôt, il chercha alors à foutre Dixie à l'eau et lorsque je m'en aperçus, je tentai de l'en empêcher. Malheureusement, dans ma précipitation, je trébuchai et étant emporté par mon élan, je fis un strike emmenant mon frère ainsi que ma sœur dans ma chute. En nous relevant, l'on constata rapidement que nous étions mouillés de la tête aux pieds et après nous être observés à tour de rôle en silence, on ne put s'empêcher de rire: notre trio avait vraiment de beaux jours devant lui. Par la suite, on s'allongea au soleil afin d'éviter de prendre froid et l'on essaya par la même occasion de nous remettre de nos émotions. C'est alors que Dixie me serra dans ses bras avant d'en faire de même avec Pedro

- Je vous aime, vous êtes les meilleurs frérots au monde.

Touché par ce compliment empli de douceur, j'accordai un câlin à ma sœur chérie et invitai mon frérot à se joindre à nous.

- Je serai toujours là pour veiller à votre bonheur, je vous en fais la promesse.

19 mai 2008: cimetière des plaisirs à Lisbonne

Terrassé par la douleur, je tentais tant bien que mal de tenir sur mes jambes mais cette souffrance que j'éprouvais au plus profond de mon cœur me donnait l'impression que j'allais m'écrouler au sol d'un instant à l'autre. La vérité, c'est que j'avais simplement envie de hurler pour me libérer de ce poison mortel qui semblait couler dans mes veines. Oui, je voulais pleurer toutes les larmes de mon corps pour me débarrasser de ce mal qui me consumait à petit feu mais la vérité, c'est que je n'avais pas le droit de me montrer aussi faible. Bien évidemment, ma tristesse était légitime en de telles circonstances: aujourd'hui, nous enterrions mon petit frère et autant dire tout de suite que c'était de loin l'épreuve la plus difficile que je n'avais jamais eu à affronter dans ma vie. Seulement voilà, je me devais de demeurer aussi fort que possible car si ce drame m'avait totalement détruit, cette terrible réalité à laquelle j'étais confronté, était encore plus difficile à accepter pour ma petite sœur. Durant cette nuit tragique où notre existence avait basculé dans l'horreur, c'était elle qui avait découvert le corps inanimé de Pedro et je n'osais imaginer à quel point elle avait dû se sentir impuissante dans cette situation. Pendant près d'un quart d'heure, elle lui avait parlé sans interruption le suppliant d'ouvrir les yeux mais malheureusement, elle n'avait obtenu aucune réaction de sa part: son âme s'était déjà envolée sous d'autres cieux.

Depuis ce drame, Dixie me donnait l'impression d'avoir arrêté de vivre et malgré tous mes efforts, j'étais incapable de lui faire remonter la pente. Pourtant, ce n'était pas faute de vouloir essayer mais je me heurtais la plupart du temps à un véritable mur. Jamais encore, je n'avais vu ma sœur dans un tel état mais je ne pouvais pas la blâmer de se montrer si glaciale à mon égard. Si le décès de notre frère avait déjà mis nos nerfs à rude épreuve, Dixie était d'autant plus fragilisée par cette nouvelle qu'elle avait gardé une cicatrice au fond de son cœur depuis qu'elle avait appris que mes parents l'avaient adoptée. A plusieurs reprises, elle avait bien tenté de me faire croire le contraire mais depuis notre plus tendre enfance, je connaissais ma sœurette sur le bout des doigts et je savais donc quand elle me mentait. A ce niveau, j'éprouvais d'ailleurs une certaine culpabilité car j'avais le sentiment de l'avoir trahie: or, je me demandais si un jour, nous parviendrions à retrouver cette relation fusionnelle qui nous avait unis dès notre plus jeune âge.

Une fois la cérémonie funéraire terminée, de nombreuses personnes vinrent me présenter leurs condoléances et si j'étais conscient que bon nombre de ces gens se fichaient éperdument de la mort de Pedro, je les remerciais à tour de rôle. D'un coin du regard, je surveillais continuellement Dixie car je sentais qu'à tout moment, elle était capable d'avoir une réaction imprévisible. Plus tard, je la vis s'éclipser en direction de sa chambre et je décidai alors de ne pas la laisser seule trop longtemps. En ouvrant la porte, je la découvris en larmes et je pris le parti de m'asseoir à ses côtés et de la serrer dans mes bras. Pour la première fois depuis longtemps, elle laissa alors toutes ces émotions s'échapper et je l’encourageai à pleurer autant que possible: cela allait forcément lui faire du bien. Une fois calmée, elle croisa mon regard et je tentai d'afficher un sourire plein de tendresse.

- Je suis désolée d'avoir été si froide avec toi frérot mais je ne voulais pas accepter que Pedro était mort, tu m'en veux?

- Comment le pourrais-je? Tu sais bien à quel point je t'aime. Rassure-toi, c'est déjà oublié.

- Merci, tu es tellement adorable avec moi. Tu sais, j'essaye de me battre mais je n'y arrive pas et j'ai peur de ne jamais y parvenir.

- Cela prendra du temps mais je t'aiderai à t'en sortir petite sœur. Jamais, je ne t'abandonnerai, tu es tout pour moi...

27 mars 2013: université de Harvard à Cambridge

En ce début de matinée, je n'étais pas spécialement attentif en cours, je le reconnaissais volontiers mais le moins que le l'on puisse dire, c'est que j'avais des raisons de ne pas l'être. Hier soir, j'avais encore eu une discussion houleuse avec Dixie et si j'étais d'une naturel très calme, j'avouais sans difficulté aucune que dernièrement, je m'emportais facilement contre ma sœur. Etant d'une nature non violente, je n'aimais pas particulièrement haussé la voix mais en ce moment, ma frangine m'en faisait voir de toutes les couleurs et j'étais donc bien obligé de la remettre dans le droit chemin: après tout, c'était mon rôle d'autant plus que désormais, nous devions tous les deux voler de nos propres ailes. Sincèrement, j'étais vraiment très laxiste à son égard et je lui pardonnais donc beaucoup de choses mais il existait quand même certaines limites à ne pas dépasser et j'estimais que Dixie prenait beaucoup trop de libertés et qu'il était nécessaire de resserrer les boulons avant qu'une catastrophe se produise. Seulement, au cours de ces dernières années, ma sœurette s'était forgée un sacré caractère et avait pris l'habitude de se rebeller contre l'autorité. Elle n'appréciait donc pas que je lui fasse des réprimandes et tentait toujours d'avoir le dernier mot. Malgré tout, on s'aimait toujours autant et on finissait par se réconcilier tôt ou tard mais c'est justement parce que j'aimais Dixie plus que tout que je m’inquiétais des choix qu'elle prenait.

Lorsque la cloche retentit, j'allais aussitôt à mon casier car j'avais un livre à récupérer pour le prochain cours. C'est alors qu'en repartant, une voix familière m'interpella

- Frérot, attends-moi, il faut que je te parle.

- Ecoute Dixie, ce n'est pas le moment, je vais être en retard.

- Je t'en prie, accorde-moi juste deux minutes, tu veux?

- Bon d'accord mais fais vite. Qu'est que tu voulais me dire?

- Je tenais juste à m'excuser pour hier soir, je ne pensais pas ce que je t'ai dit.

- C'est bizarre, j'ai déjà entendu ça quelque part.

- Te fous pas de moi, c'est pas gentil. Je suis sincère en plus.

- Je sais bien sœurette, je te connais.

- On fait la paix alors?

- Evidemment, de toute manière, tu arrives toujours à m'avoir par les sentiments.

- Merci frérot, tu es le meilleur. On se voit plus tard?

- Oui, je te téléphonerai en fin d'après-midi.

- D'accord, ça marche.

Dixie me fit alors la bise et je la regardai s'éloigner au loin tout en poussant un soupir qui en disait long sur ma façon de penser. Ma sœur était quand même un sacré numéro dans son genre mais c'était aussi pour ça que je l'aimais autant.

(Invité)