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❝" Driiiing" L'heure de mon arrivée a sonné ❞feat Alekseï & Damaris ✖ Je viens d'atérir, mon avion vient de se déposé sur le sol de Cambridge. Je quittais la Russie pour la première fois, loin de mes parents, loin de tout le monde, je me lancé à l'aventure toute seule ou presque.. En effet, il y à Alekseï, celui avec qui j'ai vécu pratiquement toute mon enfance jusqu'à ce qu'il s'en aille faire ces études à Harvard, c'était l'une de mes raisons qui me poussait à venir ici,son absence laissa un vide immense dans ma vie, il me fallait de le combler. Je posa un pied à terre puis un deuxième, des hommes en service me ramènent mes valises pleines, je dévisageais l'aéroport, cherchant du regard celui dont est la cause de ma venue ici; Aleks', il devait venir me chercher car tout était inconnu ici pour moi, il me fallait un guide et pas n'importe lequel d'ailleurs. Mon regard a enfin finit par croiser celui du jeune homme que j'attendais, il était devant l'entrée, je marché d'un pas déterminé vers lui, mes valises dans le chariot à roulette poussé par les deux hommes de tout à l'heure. Mon regard finit par se poser sur Aleks qui était à l'entrée. Je m'avancé d'un pas déterminé vers lui. - Merci ! Dis-je d'un ton sûr de moi et leur donnant un pourboire. Je pris mon chariot en main et je m'approché de l'oreille du jeune homme qui m'attendais. - Tu n'attendais pas une belle jeune femme par hasard beau goss ? Je souris légèrement avant de m'éloigner de lui à peine en attendant sa réaction.(Invité)
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♕ Damaleks ♕
" Driiiing" L'heure de mon arrivée a sonné
Elle était enfin là, je veux dire, elle n'allait pas tarder. J'étais là, à l'aéroport, j'attendais sa petite personne depuis 10 minutes maintenant, j'étais excité de la retrouver de nouveau, vous dire que sa bouille m'a manqué, c'est un minimum. J'avais le cul posé sur un des sièges, je lisais le journal, ouais, incroyable, mais il fallait bien que je m'occupe en attendant que son petit cul arrive jusqu'à moi, juste le temps de tourner une page et en levant les yeux, je la voyais marcher vers moi, je souriais, enfin là cette pétasse. Je me levais, je pliais le journal, prêt de moi elle reprend ses bagages, donne un pourboire à ces hommes payés pour transporter les bagages, quelle générosité cette Damaris, ses lèvres s'approchent de mon oreille, elle n'avait pas tort Faut croire. Tu l'aurais pas vu par hasard ? Je souriais attendant sa réponse, dieu que c'était bon de la retrouver, de savoir que elle et moi ont été de nouveau réunis ici.
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