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"I'm waiting for this cough syrup to come down."

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B O R N T O B E W I L D

Julian errait dans les couloirs, à la recherche d’une salle de classe où il pourrait dessiner sans être dérangé par un quelconque parasite universitaire.
Mais l’université était si grande qu’il tournait en rond depuis plusieurs minutes. A chaque fois qu’il tournait, il avait l’impression de se retrouver au même endroit tellement tout se ressemblait.
Plusieurs étudiants le dévisageait mais il n’en avait rien à faire, il voulait trouver sa foutue salle libre.
Une chevelure rousse traversa sous ses yeux et le brun pila. Une couleur de cheveux pareille, ça ne courrait pas les rues et puis, il avait entraperçut un visage…
Comment pouvait-elle être là alors que la dernière fois qu’il l’avait laissée, elle était complètement camée et presque au bord de l’overdose ?

Tant pis pour la salle, il devait en avoir le cœur net. Andrews tenta de retrouver la jeune fille rousse dans tout ce tohu-bohu, tant bien que mal, et au bout de plusieurs essais infructueux, il déboucha sur un énième couloir dans lequel elle se trouvait mais la perdit encore une fois de vue. Il accosta une étudiante et lui demanda si elle n’avait pas vu la jeune fille qu’il recherchait. Heureusement que si, elle lui indiqua quelle direction sa cible avait prit.
Ni une, ni deux, l’étudiant s’élança de nouveau à sa poursuite et la retrouva après un certain temps après quoi il se mit à la suivre pendant quelques minutes. Durant ce laps de temps où il n’avait d’yeux que pour elle, essayant de mieux voir son visage, la masse d’élèves avait déserté les lieux et finalement, ils se retrouvèrent presque tout seuls.
L’étudiante entra dans une salle apparemment vide et le jeune homme hésita à la suivre à l’intérieur.
Qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir lui sortir ? « Désolé de te déranger, j’ai cru reconnaître une droguée que je connaissais quand je dealais. », pathétique.

Haussant les épaules, Julian se décida à entrer pour être sûr que son imagination lui jouait des tours.
Et là, grosse surprise. Combien de minutes s’étaient écoulées pendant qu’il réfléchissait ? Pas plus d’une ou deux… mais en tout cas c’était largement suffisant pour pouvoir se siffler un rail de Poudre.
Andrews ne savait pas comment réagir. Il n’y avait plus touché depuis ses 16 ans, ou quelque chose dans le genre, dans ces eaux-là, il était complètement clean et il avait pris soin de tenir tout cette merde bien loin de Billie et lui.
Mais d’un côté, dans une université, c’était prévisible qu’il y ai un commerce de ce genre-là et ça rendait son installation un peu plus compliquée désormais.
Et si O’Connell avait replongé justement ? La tentation semblait partout et c’était si facile de lui céder…
Julian reprit ses esprits et toussota pour signaler sa présence, il avait quelque chose à vérifier.

« - Veuillez m’excuser, vous ressemblez à quelqu’un que je connaissais, je voulais seulement voir mon imagination s’amusait à mes dépends ou non. Je vais vous laisser mademoiselle et… je n’ai rien vu. »
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Julian Ҩ Sammy
« Drugs may be the road to nowhere, but at least they're the scenic route. »


La journée avait été particulièrement pénible. Entre une matinée des plus exécrables suivit d’une énième interro surprise, le stresse et l’anxiété était à son comble. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas senti si vulnérable, si peut en contrôle de mes moyens. La mine pâle, je marchais le visage tiré de fatigue dans le parc quand j’avais croisé un copain, ou du moins, ce mec qui tentait de me vendre de la dope, il avait sus deviné mon passé de camé dès la première fois qu’il m’avait vu. Pas extra non? Depuis, il tentait par tout les moyens de me vendre ses merdes, même si j’avais décidé de ne plus y retoucher, depuis cette overdose qui m’avait presque coûté la vie. Et avait causé la mort de mes parents… C’était une histoire assez atroce, mais un garçon comme lui ne s’en soucier que très peu, du moment que je lui payais sa drogue à bon prix. Je n’avais pas encore céder avant aujourd’hui. Seulement, en me réveillant ce matin, j’avais eu un appelle m’avertissant que ma tante adoré, ma tutrice, celle qui m’avait recueilli alors que je n’étais qu’une pauvre droguée excédé par les évènements, une adolescente devenu orpheline, qu’un pauvre corps qui s’apparentait plus à une poupée de chiffon secoué de sanglot et m’avait remise sur le droit chemin, était entré à l’hôpital, elle avait fait une crise d’asthme particulièrement violente. En plus de mes interros, des études, de la tentation, s’en était trop. On m’avait avertie que sa vie n’était pas en danger, seulement, j’avais si peur, si peur de me retrouver seule encore une fois, qu’en sortant dans le parc, le dealer avait senti ma détresse et ma proposé de la poudre, pour me : remonté un peu. C’est l’expression qu’il avait utilisé. Au bout du rouleau, j’avais accepté sans plus de résistance et était repartie avec mon sachet de poudre. J’étais entré dans l’université et m’étais mise à chercher une pièce inutilisé, ce n’étais pas ce qui manquait après tout, entre les milles et unes pièces du bâtiment, il y en avait plus qu’une en rénovation. Je traverse sans problème les vagues abondantes d’étudiants sortant de leur cours ou marchant seulement à la recherche d’une activité quelconque pour occuper leur pathétique et monotone existence. Mes pensées à ce moment précis n’étaient peut-être que le reflet que je me faisais de ma propre vie, longue et sans intérêt. Bref, enfin je trouvai une pièce, je pénétrai dans cette dernière et refermai la porte derrière moi. Je m’installai sur l’une des vielles tables qui traînait là et sorti mon sachet, cela faisait des lustres que je n’avais pas fait ça. J’ouvre mon sache de poudre et je prise. C’est âcre et irritant. Au début, c’est tout ce que je ressens, j’ai une soudaine envie de tout recracher et de vomir. Cela faisait une éternité que je n’y avais pas touché et maintenant, je me dis que ce que je viens de faire est une terrible erreur, mais cette pensée ne dure que quelques secondes. Mes membres s’alourdissent, ils n’ont jamais été aussi lourds, c’est pesant, une charge insoutenable, mais en même temps si léger, je me sens vaporeuse. Je suis soudainement si fatigué, mais c’est le pied, tout mes emmerdements s’évaporent. Cela faisait très longtemps que je ne m’étais pas senti si en forme. Le sachet contenant de l’héroïne, mais maintenant vide glisse sur le sol. Je pose ma petite tête rousse sur la table puis je plane, je suis bien, plus rien ne pourrait me déranger. Soudainement j’entend un raclement de gorge, je me retourne lentement, la vue un peu embrouillé et voit une forme dans la porte. Habituellement, je me serais redressé, gêné d’être prise sur le fait dans une telle situation, mais là, tout de suite, j’en avais rien à faire. Le jeune homme prit alors la parole : « - Veuillez m’excuser, vous ressemblez à quelqu’un que je connaissais, je voulais seulement voir mon imagination s’amusait à mes dépends ou non. Je vais vous laisser mademoiselle et… je n’ai rien vu. » Je me relevai tranquillement et l’interpellai : « Mais non, attendez ! Je ne me rappelle pas t’avoir vu avant, mais c’est bien dommage, tu es plutôt mignon et tu me sembles bien sympathique! » Je ris un peu, un sourire absent s’esquisse sur mes lèvres. Alors que je me levais pour l’inviter à s’asseoir à mes côtés, je suis prise de haut le cœur, sa y est, j’ai une envie insupportable de vomir, c’est atroce, j’ai la gorge en feu, j’ai l’impression que ma chair bouillonne sur place.
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B O R N T O B E W I L D

De là où il se trouvait, Julian avait sous les yeux une étudiante qui venait de se prendre un rail. Rien de choquant pour lui, il en avait tellement côtoyé pendant quelques années que désormais ce spectacle lui apparaissait complètement normal et presque banal.
En revanche, ce qui était inhabituel c’était qu’il suive le sachet, contenant quelques vestiges de poudre, des yeux.
Il était clean depuis plus d’un an, Billie et lui avaient décidé d’arrêter ensemble après l’overdose de la jeune fille mais parfois la tentation aimait lui rappeler ce qu’il était avant que ça n’arrive. Julian se baissa pour ramasser le bout de plastique et le renifla discrètement. Chouette, de l’héroïne.
Alors qu’il tournait les talons, la jeune rousse l’interpella et Andrews s’arrêta net pour faire demi-tour.


« - Mais non, attendez ! Je ne me rappelle pas t’avoir vu avant, mais c’est bien dommage, tu es plutôt mignon et tu me sembles bien sympathique! »

L’étudiant lui jeta un regard pendant qu’elle s’adressait à lui avec un petit rire et se précipita vers elle alors qu’elle semblait prise de nausées. Ah les effets secondaires de la drogue…
Sans dire un mot, il posa ses mains sur ses épaules pour jauger son état. Vu qu’elle venait de prendre sa dose, l’héroïne resterait un bon moment dans son organisme et il ne valait mieux pas la laisser seule.
Il posa une main sur la taille de Sammy pour la tenir fermement contre lui et éviter qu’elle ne tombe pendant qu’il quitterait l’établissement pour aller dans sa chambre.


« - Je suis nouveau, vous voulez bien me faire visiter les dortoirs ? Je n’ai pas encore trouvé ma chambre… »

Il devait la jouer la jouer fine, avec de la chance, elle était trop perchée pour voir ce qu’il essayait de faire : la ramener en un morceau dans sa piaule.
Priant pour que personne ne se mette en travers de leur route et que la tête de Sammy fasse plus penser à une gastro voir un bon gros rhume plutôt qu’à autre chose, Julian suivit les indications qu’elle lui donnait et écoutait son babillage.
Pour une première rencontre, il commençait bien.
Au bout d’un moment, il s’arrêta devant la porte des toilettes et donna un coup de pied dedans avant d’y entrer.
Là, il ouvrit un robinet et passa doucement de l’eau sur le visage de Carpenter pour qu’elle recouvre un peu ses esprits.
Avec un sourire gentil, il s’adressa de nouveau à elle :


« - Voilà ce que nous allons faire : vous avez attrapé froid, vous ne vous sentez vraiment pas bien donc je vais vous porter. Et si quelqu’un nous parle, vous ne dites rien, d’accord ? »

Si Billie le voyait, elle se foutrait joyeusement de lui et le laisserait se dépêtrer comme un beau diable, un peu comme si elle le bizutait en fait.
Râlant intérieurement de ne jamais pouvoir totalement échapper à la drogue, le brun passa un bras derrière les épaules de Sammy et l’autre sous ses jambes pour la soulever en grimacant un peu.
La dernière fille qu’il avait porté comme ça… c’était un coup d’un soir qui avait rapidement déguerpi au petit matin en découvrant l’accueil que réservait Junkee aux one night…

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Julian Ҩ Sammy
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Je ne me sentais vraiment pas bien, mon corps entier était secoué de tremblement et la sueur se mise à couler le long de mon front. Sans que je n’aie le temps de réaliser quoi que se soit, deux mains se posèrent sur mes épaules et relevèrent mon corps plié. Je regardai l’étudiant qui se tenait devant moi, il sembla examiner mon état et avant que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit, il posa une main sur ma taille et me teint fermement contre lui, m’empêchant du même coup de chuter et me laisser m’écraser au sol. Je ne sentais plus la force de me déplacer, le corps engourdis, endormi par la drogue. Je savais d’office que c’était une mauvaise idée de recommencer, je n’aurais pas dû me laisser aller, céder à ma tentation. Mon visage aussi pâle que la première neige et le regard aussi absent que celui d’un fou en asile, le jeune homme me sortie de la pièce ou j’avais pris ma dose. « - Je suis nouveau, vous voulez bien me faire visiter les dortoirs ? Je n’ai pas encore trouvé ma chambre… » Je compris vite son manège et marchant tremblante, les jambes chancelantes et le corps lourd j’haussai les épaules et hochai positivement la tête. Comme pour lui montrer que j’étais au moins un tant soit peu réceptive à ce qu’il me disait. Nous progressâmes à une vitesse qui me parut aussi lente que celle d’une tortue dans l’établissement quand tout à coup, le jeune homme, dont les mains étaient occupé à me soutenir, donna un coup de pied dans une porte et me tira dans une salle de bain. Il ouvrit un robinet et me passa délicatement de l’eau dans le visage puis me regarda. Mon regard embrûmé s’éclaircit un peu et je passai une main dans mes cheveux mouillés et observai celui qui était venu à mon secours. Il me fit un sourire gentil puis dis : « - Voilà ce que nous allons faire : vous avez attrapé froid, vous ne vous sentez vraiment pas bien donc je vais vous porter. Et si quelqu’un nous parle, vous ne dites rien, d’accord ? » Incapable de parole, incapable de rien, je l’ai regardai et lui aie fait comprendre par un signe de tête que j’avais compris on plan. Sans plus attendre, il glissa rapidement ses mains derrière mes genoux puis derrière mes épaules et je me sentis soulevé de terre. Je m’aggripai à son coup et accôté ma tête contre son torse. Me soulever ainsi n’avait qu’accentué mes nausées, mais je ne dis rien. Après tout, si j’étais dans cette position, c’était ma faute et uniquement ma faute... Moi qui n’y avait plus touché depuis trois ans, je retombai lâchement. L’étudiant resorti de la salle de bain me portant et traversa l’établissement, se dirigeant vers la sortie. Moi les yeux mi-clôt, je me laissai faire sans demander mon reste. Je ne me rappelait pas n’avoir jamais réagi de la sorte. Mon organisme semblait refuser l’ingestion de cette substance dont j’avais si souvent consommé par le passé. Ma tête déposer sur son torse bondissait au rythme de ses pas, mon corps était aussi mou qu’une poupée de chiffon. Je sentis alors l’air frais sur mon visage, ce qui raviva sans doute un peu mes couleurs. J’ouvris légèrement les yeux et nous aperçut traverser la pelouse vers la maison des Eliots. Nous traversâmes bientôt la salle commune de la maison et entrâmes dans une pièce. Sur le chemin, plusieurs personnes se retournèrent sur notre passage, mais personne ne prit la parole. Bientôt, nous pénétrèrent dans une pièce et j’entendis une porte ses refermés. Nous étions désormais seul, dans ce que je supposai être la chambre du garçon, dont même le nom m’étais inconnu. Je chuchotai péniblement « Merci ... Pourquoi fais-tu tout ça? Tu ne me dois rien, je dois te déranger comme pas possible ... Je suis vraiment désolée, je suis qu’une idiote ... »
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Le trajet entre les toilettes et la maison des Eliot sembla durer une éternité à Julian. Le regard fixé droit devant lui, il essayait de faire abstraction des expressions interrogatives et suspicieuses qui se peignaient sur les visages de ses nouveaux camarades.
C’était à se demander s’ils s’inquiétaient pour Sammy ou s’ils attendaient qu’un scandale tout frais leur tombe droit dans le bec.
Andrews traversa aussi vite qu’il le put la pelouse, lui qui n’aimait pas se faire remarquer, il était amplement comblé à cet instant.

Bientôt le duo improbable qu’ils formaient se trouva devant les portes d’Eliot House. Avec tout le trafic qu’il y avait, quelqu’un finirait bien par les ouvrir. Quelques secondes s’écoulèrent avant qu’une étudiante ne sorte de la demeure et leur donne enfin accès à la salle commune pour qu’ils puissent accéder à la chambre de l’étudiant.
Julian appuya un de ses coudes sur la poignée de sa porte pour l’ouvrir et entra dans sa chambre.
Aussitôt un léger aboiement impatient parvint à ses oreilles et Junkee vint se frotter à ses jambes.


« - Pas maintenant Junkee, laisse-moi au moins le temps de m’occuper d’elle. On verra après pour la ballade. »


Julian posa la jeune rousse sur son lit et passa dans la salle de bains pour récupérer un gant qu’il passa sous l’eau froid et une bassine qu’il remplit. Heureusement qu’il était du genre à s’installer rapidement. Quand il retourna auprès de Sammy, il posa la bassine au pied du lit et mouilla un peu le visage de sa protégée qui essaya d’aligner quelques mots.


« - Merci ... Pourquoi fais-tu tout ça? Tu ne me dois rien, je dois te déranger comme pas possible ... Je suis vraiment désolée, je suis qu’une idiote ...
- Disons que je suis arrivé au bon moment et que je connais ça… Ne vous en faites pas, vous êtes entre de bonnes mains.»

Andrews sourit tristement. C’est vrai qu’il aurait pu tracer sa route et la laisser toute seule, dans cet état pitoyable ou au contraire, prévenir quelqu’un du personnel de l’université mais il était le plus apte à s’occuper d’elle.
Quand on est dealer, parfois, il faut savoir réparer les conneries que l’on fait en vendant nos merdes.
Docilement, Junkee vint s’asseoir à côté de son maître qui lui offrit deux-trois caresses avant de reporter son attention sur Sammy.
Il ne fallait pas qu’elle perde conscience, Julian devait la faire parler à tout prix. Alors il se lança et entama sa première conversation en vue de faire connaissance avec quelqu’un d’Harvard.


« - Vous êtes dans quelle filière ? Et… même si je ne suis pas là depuis longtemps, il ne me semble pas vous avoir croisé à Eliot House. Dans quelle maison êtes-vous ?»

Et il allait aussi falloir qu’il perde cette manie de vouvoyer toutes les personnes qu’il rencontrait, surtout s’ils avaient son âge. Depuis quand, quelqu’un d’une vingtaine d’années, vouvoyait quelqu’un de la même génération ?
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Julian Ҩ Sammy
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J’avais à peine conscience de l’environnement où j’étais, il m’avait conduit dans sa chambre et posé sur son lit, je le savais car j’avais été capable d’ouvrir les yeux quelques secondes. J’étais si fatigué, mes paupières étaient lourdes, mon corps entier semblait entré dans une léthargie que je ne pouvais contrôler. Lorsque j’eus, de peine et de misère, réussi à articuler des excuses un tant soit peu cohérente, je posai ma tête sur l’oreiller. Il me parla, je n’ouvris pourtant pas les yeux, j’entendais ce qu’il me disait, je comprenais sans pourtant réagir. Le jeune homme semblait très gentil et attentionné, ce qui fit naître un sourire à peine perceptible sur mon visage. Il s’y connaissait, je ne compris pas trop le sens de ses mots, pourtant, je le crues entièrement lorsqu’il me dit que j’étais entre de bonnes mains. Cela n’empêchait pas ma culpabilité d’accroître de seconde en seconde, cependant, la peur de me retrouver seule était moins présente. Malgré tout, je me trouvais terriblement stupide, cela faisait au moins deux ans que je n’avais pas touché à ce genre de substance, comment avais-je pu… La tentation, j’y avais jusque là résisté, pourtant, j’avais finis par céder. Et j’avais acheté ma came à n’importe quel dealers, il m’avait probablement refilé de la merde, sinon je ne serais pas dans cet état. Mais peu importe, j’en étais l’entière responsable.

Alors que j’étais perdu dans mes pensées, le jeune homme m’adressa la parole. Je notai qu’il me vouvoyait, chose qui déplut à mes oreilles, il semblait pourtant avoir le même âge que moi. La politesse était important certes, mais pas au point de me traiter en aînée ! « - Vous êtes dans quelle filière ? Et… même si je ne suis pas là depuis longtemps, il ne me semble pas vous avoir croisé à Eliot House. Dans quelle maison êtes-vous ?» J’ouvris donc les yeux et tenter tant bien que de mal de me relever à l’aide de mes coudes et répondit honteusement « Je suis en médecine… Pas fort pour un futur médecin de se retrouver dans cet état n’est-ce pas …? » J’eus un rire nerveux, et fermai les yeux de nouveau, la gorge en feu et un mal de tête énorme me prenant, je pinçai les lèvres. Mais je ne dis rien, ne voulant pas déranger davantage le garçon. « Et oui, en effet, je suis de la Dunster! Au fait, tu peux me tutoyer tu sais, je ne suis pas si vielle. » Je lui fis un clin d’œil. « Je m’appelles Sammy, et toi, comment te nommes-tu ? »

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Sammy essaya de se relever sur ses coudes mais Julian la força à se recoucher en posant une main sur son épaule. Pendant qu’elle lui répondait, l’étudiant s’assit au bord du lit pour qu’elle puisse le voir vu que ça semblait être ce qu’elle voulait faire.
Elle lui apprit qu’elle était médecine et l’étudiant ravala la remarque acerbe qui voulait sortir de sa bouche. Après tout, c’était sa vie. Heureusement qu’elle était tombée sur lui quand même… qui sait quelle came elle avait bien pu acheter.
Il s’occuperait de ça plus tard, pour le moment elle devait rester consciente.


«- Pas fort pour un futur médecin de se retrouver dans cet état n’est-ce pas …? »

Sa remarque suivit de son rire un peu forcé, tirèrent un léger sourire hypocrite à Julian. En effet, ce n’était pas une situation que l’on pouvait accorder aux médecins… mais comme tous les drogués, Sammy devait avoir une raison bien à elle de s’être mise dans ce pétrin.


« - Et oui, en effet, je suis de la Dunster! Au fait, tu peux me tutoyer tu sais, je ne suis pas si vielle.
- Désolé, une vieille habitude…
- Je m’appelles Sammy, et toi, comment te nommes-tu ?
- Julian Wyatt Andrews, enchanté Sammy.»

Dans le monde du journalisme, ses parents étaient plutôt connus avant de trouver la mort dans le guet-apens dans lequel ils étaient tombés. La seule chose à espérer, c’est que Sammy ne s’intéresse pas assez à cette branche-là de l’information pour se douter qu’il était l’héritier qu’on avait fait passer pour mort jusqu’à sa majorité.
Ils parlèrent pendant plusieurs minutes, de leurs vies respectives en prenant bien soin de passer sous silence le plus moche et finalement, quand Julian s’assura encore une fois qu’elle était hors de danger, il lui conseilla de dormir un peu.
De son côté, il irait étudier ce qu’elle avait acheté pour trouver le dealer qui lui avait refourgué cette daube.
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