Les originesAnglais, Allemand, Écossais, lointains Néerlandais et Gallois, 1/256e Amérindien Shawnee, un peu dans l'irlandais et de l'Hongrois et un peu d'italien.
feat.Casey Deidrick
Je suis né le 22 avril 1992, à Milan, Italie. (31 ans)
Je possède une nationalité italienne, mais une citoyenneté américaine.
Homosexuel et c'est une situation compliquer pour mon cœur, ayant un jeune homme qui remplit mes pensées et parfois mes soirées.
Professeur de langues à l’université
Riche
Le caractère
+ à l'écoute + actif + aidant + ambitieux + attentif + aventureux + brillant + chaleureux + charmant + curieux + débrouillard + dévoué + énergique + empathique + intuitif + logique + loyal + ouvert d'esprit + passionné + patient + protecteur - calculateur - entêté - envahissant - jaloux - intolérant - maladroit - orgueilleux - obstiné - râleur - sans gêne
Les anecdotes
- ( 01 )Petit bébé né un jour de printemps, c'est le 22 avril 1992 qui m'a accueilli dans ce monde. Mais je n'ai pas été seul, puisque mon frère a pointé le bout d'son nez 7 minutes après.
Jumeau identique au physique, mais oh combien différent mentalement. J'étais le plus calme, même si j'ai fait ma part de connerie. Lui ? C'était un démon. - ( 02 )Mon enfance a été sans drame et sans gros événement traumatique. J'étais l'gamin calme qui restait dans son coin. Le silencieux, mais très observateur. Mais je me laissais souvent entraîner dans les magouilles de mon frère. À 5 ans, il a volé dans un magasin de bonbons, il m'a demandé de cacher les "preuves". Je les ai mangés… Et qui s'est fait punir ? Moi. Mais je n'ai jamais rapporté mon frère. Après tout, j'avais un devoir de le protéger. Oh, ce n'est pas la seule situation où je me suis retrouvé dans la merde par sa faute. Mais chaque fois, je prenais le blâme pour lui. C'était ma façon de lui prouver que je l'aimais et que je le protégerais quoi qu'il arrive.
Quelques années plus tard, ce fut la naissance de mon petit frère. J'avais 6 ans à l’époque. Le moment où j’ai posé mes yeux d’gamin sur son petit visage et qu’il à pris mon doigt avec sa petite main, je me suis promis de toujours le protéger peu importe ce qui arriverais. Même s'il en ai la cause. Je me suis beaucoup impliqué pendant son enfance. Même à mon âge. J’ai aidé ma mère dans les tâches ménagères, à lui donner à manger, lui lire des histoires la nuit. Bref, je me suis dévouée à mes frères dès mon plus jeune âge. Je le fais encore aujourd’hui.
Puis, la même année, mon p'tit frère d’une autre mère est venu au monde. Khol. Cousin maternel, j’ai veillé sur lui depuis sa naissance aussi. Nos mères se voyaient régulièrement, voire pratiquement tous les jours. Du coup, j’ai eu la chance de le voir grandir c’bonhomme. - ( 03 )l'adolescence. C'est censé être beau. C'était censé être nos meilleures années, que tous les adultes disaient. Pourtant, c'étaient mes pires. C'est dans cette période de notre vie que nous nous cherchons. Que la puberté commence. Ou encore que nous entamons la recherche de soi. Moi ? Il fallait que je sois droit, que je ne fasse pas honte à mon père. Ça a été le cas avec mes frères aussi, même si mon jumeau était plus rebelle que moi.
C'est aussi dans cette période de ma vie que je me suis découvert. Je suis homosexuel. J'ai eu mon premier baisé avec un homme à mes 16 ans… Malgré l'anxiété autour de l'acte avec quelqu'un du même genre, j'ai terriblement apprécié. Mon corps a réagi différemment du moment où j'ai essayé avec une fille.
À 18 ans, j'ai enfin mon premier copain. Oh, comme j'en étais fier. J'étais si heureux… Pour finalement voir ce bonheur disparaître en un claquement de doigts. - ( 04 )Après ma graduation, j’ai décidé de faire mes études loin du pays. La décision n’était pas facile, puisque ça voulait dire de laisser mes frères et ma mère derrière. Jamais je n’ai imaginé à quel point ça a affecté mon frère cadet. Je m’en veux de ne pas avoir resté pour le protéger encore plus, même si j’ai laissé ça dans les mains de mon jumeau.
C’est à mes 19 ans que je suis parti pour l'Amérique. Oh, pas sans avoir le cœur gros. J’ai serré mon p’tit frère dans les bras tellement fort, lui demandant d’être sage et de faire de son mieux. J’ai demandé à mon jumeau de veiller sur Tullio et notre mère. J’ai promis à ma mère de revenir le plus souvent possible. Mon père ? Il n’était même pas là, occupé à travailler. Je me suis laissé espérer, quelque part, qu’il serait peut-être là.
Ça n'a pas été facile de m’habituer à la culture américaine. C’est tellement différent de l'Italie. Au début, j’étais un peu désorienté, pour finalement me retrouver confortable après une demi-année.
C’est à Harvard que je me suis fait accepter, au programme de linguistique. La langue, peu importe laquelle, me passionne. Que ce soit l’anglais, l’italien, l'espagnol, le français ou peu importe les autres que j’ai appris au courant de ma vie. Ça me passionne et de pouvoir apprendre la science derrière tout ça… C’est encore plus passionnant. Si à l’école, j’ai caché mon QI quand même élevé, là-bas, je n’ai pas eu besoin de le faire. Je me sentais enfin à ma place. Les gens me comprenaient. J’ai continué, en plus de mes études, l’apprentissage des différentes langues qui m'intéressaient, pour tenir mon cerveau occupé.
J’ai continué les études jusqu’à obtenir mon doctorat dans le domaine de la linguistique. Au courant des études, je me suis mis à réfléchir à ce que je pourrais faire après l'obtention de mon doctorat et l’idée d’enseigner mes connaissances m'est venu en tête. J’ai donc approché l’université pour connaître les prérequis pour devenir professeur. - ( 05 )(TW : maladie d’alzheimer)
La maladie de maman. Une maladie dévastatrice autant pour la personne atteinte que son entourage… Bien sûr, mon père en a profité pour s’amuser après l’avoir placé. Quelle surprise… !
Malheureusement, je n’ai pas été là lorsque la maladie a été découverte. À 21 ans, de savoir que votre mère va éventuellement vous oublier, ça frappe fort dans les sentiments. C’est désolant. Frustrant ! Le pire dans tout ça, c'est que si Tullio ne me l’aurait pas dit, je ne l'aurais jamais su et j’en veux à mon jumeau de me l’avoir caché.
Pendant un moment, je suis allé en Italie pour lui rendre visite et profiter du temps qu’il me reste avec elle. Jusqu’à ce que son état soit devenu plus grave. Je commençais à avoir du mal à me présenter devant elle, jusqu’au jour où elle m’a oubliée. Oh… J’ai pleuré, devant faire le deuil d’une mère encore en vie.
Aujourd’hui, je vis avec la culpabilité d’avoir arrêté d’aller la voir pour éviter de devoir sentir mon cœur se déchirer un peu plus chaque fois. - ( 06 )Ma mère, mon père, et mes deux frères. Oh, j’aimerais vous dire que nous sommes une famille parfaite. Mais j’vous jure que c’est loin d’être le cas. Mon jumeau a toujours faire des conneries et l’mec, c’est lui qui a subi le plus. Tullio, le plus jeune… Le plus silencieux aussi. Et mon père, j’en ai tellement à parler de lui. L’même homme qui se fait penser comme un homme bon, alors que derrière les murs de la maison, c’est une tout autre image qu’il donne. Ma pauvre mère qui a subi elle aussi, mais qu’aujourd’hui elle ne se souvient plus. Après… C’est peut-être mieux comme ça. Elle ne pleure plus à cause de cet homme.
Il fallait que nous soyons droit, que nous avions de bonne manière. Nous devions toujours être parfaites. Les notes parfaites, les performances parfaites. TOUT. Mais mon père a dépassé les bornes. J’ai explosé. Je ne me souviens pas de ce qu'il m'a dit, mais je me souviens de m’être battue avec lui.
Je suis proche de Tullio… Après tout, je l’ai un peu élevé avec notre mère. C’Bonhomme est plein de vie, du moins, de la façon dont je m’en souviens. Je lui lisais des histoires pour dormir, ou je l’aidais même avec ses devoirs, du moins, lorsqu’il avait besoin d’aide. Aujourd’hui, je l’aide du mieux que je peux tout en gardant un œil protecteur sur lui. Je ne voudrais pas qui lui arrive quelque chose.
Mon jumeau. L’autre moitié de moi. C’est mon confident, celui qui me comprend le mieux. Et pourtant, je lui en veux de ne pas m’avoir appelé pour maman. Je lui en veux de jouer les fils parfaits pour papa… Lui, qui était un enfant rebelle. Aujourd’hui, il est à Boston lui aussi pour diriger la nouvelle branche de la compagnie pharmaceutique de notre père. Je n’ai toujours pas accepté de le voir. - ( 07 )L’amour. C’est tellement beau… Mais tellement dangereux. Je déteste tout comme j’en suis amoureux. Quel dilemme, n’est-ce pas ?
L’amour ne m’a pas fait de cadeaux… À commencer avec le premier, celui de mes 18 ans. C’était le gars sportif, celui qui avait tout le monde à ses pieds. Pourtant, c’est moi qu’il voulait, apparemment. Oh, j’aurais dû voir le jeu. Voir que ce n’était qu’un gage entre potes. Je lui ai donné mes premières fois à ce mec… Pour finalement me faire jeter le jour où je lui ai dit, je t’aime. Je l’aimais vraiment… J’en étais amoureux et finalement, je me suis fait accueillir par des rires.
La deuxième fois fut lors de mes études à Harvard. Cette relation a duré 3 ans… C’était tellement beau ! J’étais heureux… Mais apparemment, je me suis voilé le visage, puisque lui ne l’était pas. J’étais trop dans mes études d’après lui. Trop… Intense et pourtant, il ne me l’a jamais dit. Je l’ai découvert dans le lit de quelqu’un d’autre me disant que je ne lui donnais pas assez d’attention et qu’en réalité, cette erreur de parcours serait de ma faute. Je ne lui ai plus jamais parlé par la suite. Je l’ai même évité… Rien ne justifie un adultère. Rien.
À partir de ce moment-là, je me suis juré de ne plus me laisser envoûter par les belles paroles, même si ça voulait dire de manquer de belle relation. Je me suis plutôt concentré sur mes études et parfois les histoires d’un soir. Mais pourtant, vers mes dernières années d’études, un homme s'est pointé le nez. Oh, il était beau, gentil… Charismatique. Il avait tout pour lui. Cet homme, je l’ai rencontrée dans un bar où j'étais sorti avec des amis. Un bartender qui avait le plus beau sourire… Et je suis tombé pour lui. Tomber dur. Notre histoire a duré un bon 3 ans avant qu’elle ne se termine. Monsieur m’avait menti et a sa femme aussi. - ( 08 )Ravi. Oh, Ravi… Ce jeune homme au sourire ensoleillé. Un amour interdit. Un amour secret… Et pourtant, je me suis laissé charmer par ce jeu dangereux. Pourtant, je suis tombé amoureux de lui. Et tout a commencé par un appel à un service pour essayer de me sentir moins seul… Quelques heures, plus tard, la sonnette retentit et la porte s'ouvrit sûr lui. Ravi. Élève de ma classe linguistique. Jeune homme gentil et brillant. Jamais je n'aurais su qu'il travaillait pour un tel service… Mais cette nuit-là, à réveiller quelque chose en moi. Une étincelle qui c'est transformer en feu et qui brûle tellement fort que j'ai du mal à me contenir chaque fois que nos yeux se croisent. Et son sourire… Il me fait fondre à chaque fois. Je l'aime… Et je ne sais pas comment j'ai tombé sous son charme aussi vite pour lui. Ni quand j'ai commencé à ressentir quelque chose pour lui.
- ( 09 )Aujourd’hui. Ça fait quelques mois que je suis en relation secrète avec Ravi depuis quelques mois. C'est dur. C'est dur parce que je veux que les gens sachent que je suis heureux avec lui. Que je suis pris. Mais d'un autre côté, je ne peux pas risquer mon job bien que… S'il le faut, je le quitterai pour son bien-être.
Mes deux frères vivent maintenant à Boston. Tullio, étudié à Harvard et à mon jumeau, est celui qui dirige la branche américaine de la compagnie de notre père. O'Shea Pharmaceutical. Je vois Lio le plus souvent possible, mais j'avoue que j'ai du mal avec mon twin. Nous étions si proches… Et aujourd’hui, je lui donne à peine un moment pour discuter. Je lui en veux d'être devenu le pantin de notre daron… Oh, je sais, je ne devrais pas lui en vouloir puisqu’il se fait utiliser, aussi, par le patriarche. Mais je n’peux pas faire autrement pour le moment. De toute façon, je suis occupé entre Ravi, Tullio, Khol et mon boulot. - ( 10 )(en vrac)▸Normalement, pour me calmer en cas d'extrême anxiété, je fais un calcul de probabilité, dans le but de me concentrer et d’arrêter mon cerveau de se saturer. ▸Je suis excellent au échec. ▸J’adores les animaux et aimerais tous les adopter. ▸J’adores la lecture le soir ▸J’aime prendre mon verre de vin le soir, après le dîner. Mais aussi, parfois, pour oublier que je me sens seul.▸Je possède une moto, une Indian Scout.▸Je fume lorsque je suis stressé. ▸Je suis sportif. ▸L'une de mes passions est la cuisine, mais aussi la nourriture. ▸je possède un grand appétit. ▸J’ai l'habitude de cacher mes vraies émotions pour n'inquiéter personne. Gardant mes malheurs pour moi, préférant dire que tout va bien plutôt qu'vivre les sentiments.
- Code:
<div class="card-user-bottin-class="text-s-bebas text-upper">casey deidrick<love><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Vincent O’Shea"</span></div>
(Vincent O'Shea)