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sos médecins à la rescousse (sayer)

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sos médecins à la rescousse

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octobre 2023
@Sayer Andrade & @Ambroise Alcott
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J'attrapais en vitesse mon vélo après avoir enfilé un casque afin de me rendre chez Sayer. J'avais rencontré la jeune femme lors d'une garde aux urgences pédiatriques alors qu'elle venait avec sa fille qui avait la bronchiolite. Même s'il n'était pas dans mon habitude de garder contact avec les jolies mamans de mes petits patients, j'avais tissé une relation avec Sayer à la suite de nombreuses rencontres inopinées. La vérité était que je prétextais souvent de prendre des nouvelles de sa fille pour lui parler à elle. Elle était pétillante, drôle et généreuse et elle m'arrachait plus d'un sourire lorsqu'elle s'adressait à moi - mais je n'avais ô grand jamais oser lui parler de quoi que ce soit. De son côté, elle avait tendance à m'appeler pour n'importe quel bobo de Nina et je ne me faisais pas prier pour venir à sa rescousse, comme ce soir. Elle m'avait envoyé un message en fin de journée en m'expliquant que Nina avait de la fièvre, j'avais donc proposé - par pur professionnalisme bien entendu - de venir vérifier cela en apportant le dîner au passage. J'avais récupéré deux ramens - et des bonbons pour Nina, qui avait sûrement déjà dîné à cette heure-ci - dans un restaurant que je connaissais bien, qui ne payait pas de mine mais dont la nourriture était délicieuse. J'arrivais enfin en bas de son immeuble et je montais directement à son étage puisqu'elle m'avait déjà envoyé les codes lors de mes nombreuses visites, puis j'appuyais sur la sonnette, prêt à faire mon meilleur sourire.
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octobre 2023
@Ambroise Alcott & @Sayer Andrade
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Les pleurs de Nina n’avaient cessé depuis presque une heure. La gamine dans les bras, tu tentes de la bercé en tenant de ta main libre son doudou. Un petit renard qu’elle ne quitte jamais et qui l’apaise en temps normal. Tu avais pris sa température il y a une trentaine de minutes et même si elle était peu élevé c’était suffisant pour t’alerter. Tu réagis au moindre truc lorsque cela la concerne. Tu y travailles, c’est pas encore ça mais c’est plus fort que toi, tu veux te rassurer et surtout et avant qu’elle aille mieux. C’est pourquoi tu as passé un coup de fil à Ambroise. Tu avais rencontré le jeune homme lors d’une de ses gardes à l’hôpital pour enfants et il était parvenu à faire des miracles auprès de ta fille. A croire que Nina savait charmer tout le monde ou presque. A de nombreuses reprises vos chemins ce sont croisés et toujours dans ses situations inopinées. Un lien s’est tissé depuis et tu l’appelles au moindre doute sur la santé de ta petite puce. Bien évidement, tu ne cesses de t’excuser et ce soir n’a pas dérogé à la règle. Tu ne pouvais pas appelle ton meilleur ami qui était actuellement auprès d’un ami qui avait eu un grave accident et tu ne voulais pas non plus déranger Lilibeth qui était aussi pas mal occupé. Ton frère avait une soirée étudiante à sa confrérie … et tout naturellement tu t’es tourné vers le jeune Alcott. Nina, la tête posée sur ton épaule pleure encore même si c’est plus calme et lorsque la sonnette retentit à la porte de l’entrée, tu sursautes un peu avant de t’y rendre immédiatement. « Ambroise ! Merci d’avoir fait vite, j’espère que tu as été prudent ? Encore désolé de t’avoir dérangé mais je ne savais pas qui appelé … ». Lui dis-tu sincèrement navré bien que paniqué en même temps.  


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octobre 2023
@Sayer Andrade & @Ambroise Alcott
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Sayer venait de m'ouvrir la porte de son appartement avec la petite Nina dans les bras. Ses yeux étaient brillants, ses pommettes rouges et elle ne semblait effectivement pas en grande forme. J'entrais dans l'appartement et je déposais mon sac-à-dos à l'entrée. « Non j'ai manqué de mourir 7 fois en venant… et en plus j'ai dû protéger notre repas » dis-je sur un ton faussement sérieux en indiquant les ramens qui trônaient fièrement à côté de mon sac, tout en esquissant un sourire. Je m'approchais de Nina et je déposais ma main sur son front, elle avait de toute évidence de la fièvre, mais rien de bien méchant. À mon avis, il s'agissait surtout d'un petit virus passager mêlé à de la fatigue, c'était fréquent lors des changements de saison d'après l'experte en médecine qu'était ma grand-mère avec ses 0 années d'études en médecine mais ses 70 ans d'années de vie - comme quoi, elle avait peut-être raison : il n'y avait rien de mieux que l'expérience de la vie ! Je déposais un baiser sur la petite joue de Nina qui me tendait ses bras. « Ah, je pense qu'elle me préfère à toi » dis-je en rigolant avant de la prendre dans mes bras. « Je vais en profiter pour voir si tout fonctionne bien dans ce petit corps, tu as juste pris sa fièvre ? » Je me dirigeais vers le canapé puisque je connaissais d'ores et déjà les lieux afin d'y allonger Nina. J'avais apporté mon stéthoscope ainsi que quelques médicaments, sait-on jamais. « Et tu sais très bien que ça ne me dérange pas, ce n'est pas comme si c'était la première fois » dis-je en faisant un clin d'oeil à Sayer puisqu'elle avait pour habitude de me prendre pour son service sos médecins personnel - chose que ne me déplaisait pas pour autant.


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octobre 2023
@Ambroise Alcott & @Sayer Andrade
mention de dépression

La petite dans les bras, tu viens rapidement ouvrir à Ambroise à qui tu t’empresses de dire combien tu es désolé de l’avoir prévenu et de lui demander s’il a été prudent. Sa première réplique te fait quelques peu grimacer avant d’esquisser un mince sourire. Tu apprécies beaucoup la bonne humeur du jeune médecin.  Ce dernier en profite pour désigner le sac de nourriture où s’échappe des effluves qui te rappellent que tu n’as pas manger.  Rapidement, le brun pose la main sur le front de Nina qui lui tend directement les bras et c’est tout naturellement que tu l’as mets dans les bras de Ambroise. Tu souris a ses mots avant de croiser les bras. Ce sont des mots qui n’ont cessés de revenir dans ton esprit lorsque tu accouchés de Nina. À l’époque, tu te demandais si tu serais une bonne mère pour ton enfant, si tu serais à la hauteur ? La dépression qui en est retombé a été dure à surmonté et tu la surmontes encore à l’heure actuelle. Cela n’a pas été facile mais tu étais bien entouré - tu l’es toujours d’ailleurs. « Mh ? Ah oui bien sur, elle était monté à 38,4 il y a moins d’une demi heure … ». Tu laisses le jeune Alcott prendre ses dispositions pour être à l’aise, après tout ce n’est pas la première fois qu’il vient dans le loft que tu partages avec ton meilleur ami, Isaak et un ami que vous hébergez depuis quelques semaines.  Tu apportes le sac à dos et le sac de ramens restés dans l’entrée et tu poses le tout sur le comptoir de la cuisine ouverte sur le salon. « Je sais bien mais quand même, je tiens à te remercier. Tu avais peut être quelque chose de prévu ou du  boulot ? En tout cas merci, vraiment je me faisais du souci pour Nina … ». Lui dis-tu en te rapprochant d’Ambroise et de Nina. Cette dernière sourit au jeune homme puis te regarde en souriant. À croire que la présence d’Ambroise suffit à l’apaiser … des doutes surgissent alors dans ta tête. « Tu fais des miracles ça c’est certain ! »
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@Sayer Andrade & @Ambroise Alcott
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Pour être honnête, cela ne me dérangeait pas du tout de venir chez Sayer, bien au contraire. En plus de voir la petite Nina, c’était l’occasion de ne pas passer une soirée seul et ça me faisait une bonne excuse pour ne pas me préparer à manger - activité qui était loin d’être ma préférée. J’étais à présent au domicile de la jeune femme. « Bon ce n’est pas alarmant 38,4°, je vais voir s’il n’y a rien d’autre et lui donner du paracétamol » dis-je en ouvrant mon sac-à-dos, dans lequel se trouvaient de nombreux instruments notamment un thermomètre, un stéthoscope et un otoscope. Bref, la panoplie basique d’un médecin généraliste, chose que je n’étais pas (loin de là même) mais j’avais gardé ces instruments achetés lors de mes études - et j’avais bien fait car ils étaient utiles de temps à autre. J’auscultais ma petite patiente et je prenais sa température. Elle était encore un peu élevée. « 38,3°, au moins ça n’augmente pas… ses poumons vont bien mais elle est un peu prise, je pense que c’est un petit virus, rien de grave en tout cas ». J’attrapais le paracétamol en pipette pour lui administrer, ainsi que de quoi lui nettoyer le nez. Nina était plutôt calme et ne bronchait pas, chose étonnante pour son âge. Une fois les opérations terminées, je me retournais vers Sayer. « Non rien du tout, finalement tu me sauves d’une soirée pourrie devant ma télévision, c’est moi qui devrais te remercier » dis-je avec un clin d’œil. Puis j’étais toujours content de voir Sayer, mais j’allais m’en tenir à un simple remerciement. « Ah si seulement ! » dis-je en laissant échapper un rire lorsqu’elle me disait que je faisais des miracles. « Comment tu vas toi ces derniers temps ? Ça fait un moment que je n’ai pas eu l’occasion de te croiser », et c’était bien dommage car j’adorais nos petites rencontres inopinées.
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@Ambroise Alcott & @Sayer Andrade
mention de dépression

L’angoisse s’échappe doucement mais certainement de ton corps, du moins c’est ainsi que tu le ressens, assez pour le décrire. Ambroise est médecin d’une part et d’autre part il savait y faire avec les enfants - du moins ta gamine en particulier. A croire que ta fille savait y faire elle aussi. Tu te demandes si tu as perdue ta capacité à être communicative avec autrui depuis ta dépression ? Une interrogation passagère alors que tu es ramené à la réalité par les propos du jeune homme. Ce dernier te rassure sur la température de Nina qui reste élevé mais stable. Il s’en occupe avec professionnalisme et douceur tant et si bien que la gamine ne bronche même pas. Tu souris en les voyant tous les deux et davantage lorsque Ambroise t’assure qu’il n’avait rien de prévu, bien au contraire. Tu secoues la tête gêné par son clin d’oeil avant de croiser les bras contre ta poitrine. « Si j’ai pu t’aider d’une certaine manière alors c’est important, surtout que j’ai l’impression d’abuser lorsque je t’appelle … ». Une phrase honnête parce que c’est la pure vérité. Isaak n’étant pas là et vue la situation de son meilleur ami, tu ne veux pas l’inquiéter pour rien. Tu as toujours compter sur lui par le passé et tu ne veux pas abuser. Alors forcément tu te sens coupable car tu fais un peu la même chose avec le jeune Alcott. En voyant le sourire tout mignon de ta gamine, tu soutiens qu’il fait des miracles. « Mh ? ». Tu songes beaucoup trop et tu mets un peu de temps à remettre dans l’ordre les questions du brun. « Oh oui ça va,  en ce moment j’ai beaucoup de travail et de paperasses à faire … j’ai parfois l’impression de ne pas sortir de mon bureau et lorsque j’en sors et bien j’ai de sacrés gadins …. ». Dis-tu en rigolant amusé en pensant à ta rencontre avec un jeune étudiant qui t’a renversé son café sur ta veste claire. « Et toi, ça va ? ». Après tout, cela faisait un petit moment que tu n’avais pas croisé de manière hasardeuse Ambroise. Car oui, c’est ainsi que vous vous croisez le plus souvent. Et d’un coté, ça te manque un peu.  
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@Sayer Andrade & @Ambroise Alcott
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Sayer semblait toujours gênée de me « déranger » pour Nina malgré le fait que je lui répète à chaque fois que c’était un plaisir pour moi. Je savais qu’elle avait vécu des choses difficiles même si je ne connaissais pas les détails, car je n’avais jamais osé demander et je ne souhaitais pas la mettre mal à l’aise. Au fond, ça ne me regardait pas et je n'aimais pas me mêler des affaires des autres. Au contraire, je voulais partager des bons moments avec elle et profiter de nos rencontres aléatoires pour lui arracher un sourire. Alors non, elle n’abusait jamais et même si un jour elle décidait de m’appeler cinq fois par semaine, je ne dirais jamais rien car elle avait ce petit quelque chose qui me donnait envie de monter sur mon vélo en vitesse pour la rejoindre. « Arrête Sayer, tu n’abuses jamais je te promets, ça me fait même plaisir quand tu m’appelles ». Je lui demandais ensuite comment elle allait et je voyais que cette question lui demandait un certain temps de réflexion. Toutefois, elle m’assurait que tout allait bien mais qu’elle avait énormément de travail. Je lui adressais un sourire compatissant car je ne connaissais que trop bien cette charge mentale professionnelle. Cela faisait plus de dix ans que je me consacrais entièrement à mes études puis à mon travail à l’hôpital, ma vie ne se résumait pas à grand-chose si ce n’est à la médecine. « C’est vrai que tu peux parfois être un danger public mais tu devrais sortir plus pour que je puisse tomber sur toi… regarde Nina est obligée de choper un petit virus pour qu’on puisse dîner ensemble ! » dis-je sur un ton joueur en faisant référence à sa dernière remarque ainsi que pour la taquiner. Elle me demandait à son tour comment j’allais. « Écoute, ça va même si j’ai également beaucoup de travail, j’ai hâte de pouvoir retrouver une vie perso après mon année de spécialisation ». J’arrivais certes déjà à mieux vivre que lors de mes années d’internat mais la charge de travail restait conséquente et il me tardait d’avoir plus de flexibilité notamment pour les gardes. Je me levais ensuite du canapé pour attraper les ramens qui étaient toujours dans l’entrée afin de nous installer sur la table du salon.
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@Ambroise Alcott & @Sayer Andrade
mention de dépression

Le sentiment de gêne a toujours été présent chez toi mais le contraire n’existe pas. En d’autres termes, cela ne t’embête aucunement que l’on demande ton aide - au contraire dès que tu peux rendre service, tu réponds présente. En revanche, lorsque tu demandes toi même de l’aide, tu as l’impression de déranger, pour ne pas dire d’abuser. Un ressenti qui a toujours été chez toi mais qui a pris davantage de corps depuis ta dépression à la naissance de ta fille. Les paroles du jeune Alcott te sortent de ta réflexion personnelle et t’arrache un sourire tendre, bienveillant avant de secouer la tête pour tenter de le dissimuler. Ce sont des mots qui te font chauds au coeur. « Je ne vais pas te prendre au mot mais merci pour de le dire, ça me touche beaucoup. ». Lui dis-tu en souriant avec sincère et spontanéité à la fois. Il prend ensuite de tes nouvelles et tu lui confies que tu as énormément de boulot et que parfois, tu es même trop maladroite tant et si bien que tu cumules pas mal de gadins.  Tu ricanes amusé par la réplique de Ambroise tandis que ta gamine laisse entendre son petit rire cristallin à son tour. « Tu es en train de dire que je suis un ermite ? Bon peut être un peu … ». Commences-tu tout laissant une petite grimace se dessinait sur ton visage, ce qui te donne un air mutin, presque enfantin. « Mais je te l’accorde … je devrais sortir plus mais parfois c’est compliqué de tout devoir lier. À t’entendre on dirait presque que nos rencontres inopinées te manquent ! ». Lui dis-tu sur la même intonation. Après tout, à chaque fois que tu croisais le jeune médecin, l’anecdote était toujours à inscrire dans le comique. Tu interroges ensuite Ambroise pour savoir comment il va et tout comme toi, la charge de boulot est immense. « Mh, la dernière année est toujours la plus difficile mais j’ai aucun doute sur le fait que tu vas te débrouiller comme un chef. ». Tu le considères d’un grand sourire avant de porter Nina pour la mettre dans son parc car elle semblait un peu fatiguer. Normalement vu son état un peu fébrile. « Tu veux boire quelque chose au fait ? ». Lui proposes-tu en te dirigeant vers le réfrigérateur.  
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@Sayer Andrade & @Ambroise Alcott
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Sayer semblait sincèrement touchée par ce que je venais de lui dire. J’étais content d’être là pour elle et de la soutenir comme je pouvais avec sa fille. Alors même si je n’étais pas toujours très utile car de toute évidence, la petite Nina n’allait pas si mal et je n’avais pas encore le pouvoir de faire disparaitre les virus, j’espérais au moins pouvoir lui apporter une certaine tranquillité d’esprit. Je rigolais ensuite à ses remarques. J’imaginais Sayer derrière son bureau en train de gratter du papier à longueur de journée et je me doutais que ça ne devait pas être drôle tous les jours. « Une ermite, c’est toi qui le dis ça ! Moi je disais juste que tu devrais sortir plus souvent » dis-je en levant les mains pour mimer l’innocence. « Peut-être que ça me manque un peu… mais on va se rattraper ce soir, puis si tu continues à t'enfermer derrière ton bureau je vais être obligé de t'inviter à une soirée ». J’aimais la compagnie de Sayer, c’était une personne dont la compagnie était agréable et je ne me plaignais jamais de la croiser, bien au contraire. Je lui expliquais ensuite que ma dernière année de spécialisation n’était pas de tout repos, chose assez évidente lorsqu’on faisait le choix d’étudier la médecine, mais son empathie me faisait plaisir. « Merci de ta confiance, mais promis même si je deviens le meilleur médecin légiste de la ville, je continuerai à donner des consult gratuites pour Nina ». Je lui adressais un clin d’oeil complice puis je jetais un coup d’oeil à la petite fille, dont les yeux tombaient de fatigue. Elle n’allait pas tarder à trouver le sommeil. Sayer, qui voyait également la scène, décidait de la mettre dans son parc. Elle me proposait ensuite quelque chose à boire. « Oui je veux bien une bière, merci ». Je la rejoignais dans la cuisine pour déballer notre repas.  « Ça se passe bien ta coloc ? ». Je savais qu’elle vivait avec des amis à elle mais je n’en savais pas plus. Étant moi-même en coloc, je savais qu’il y avait toujours des hauts et des bas.  
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La présence du jeune Alcott t’apaise tu ne saurais comment l’expliquer mais tu n’hésites pas à le remercier encore. Il a réussi à rendre plus légère ton angoisse concernant ta gamine qui même si elle encore un peu fébrile semble plus joyeuse mais bien fatigué tout de même. Tu souris amusé par ses paroles alors qu’il te dit que tu devrais sortir plus souvent. « Mh, peut être tu n’es pas le premier à me le dire ces temps ci … ». Et lorsqu’il lève ses deux mains pour prouver son innocence tu rigoles spontanément. « Hein ? ». Les mots d’Ambroise t’égare quelque peu mais tu sembles comprendre ce qu’il veut souligner. Depuis votre première rencontre, vous ne cessez de vous croisés de manière inopinée et c’est ce qui fait tout le charme du lien que vous tissez au fil de vos chemins qui s’entrecroisent. Tes proches, notamment ton frère te reproche de ne pas sortir assez, de ne vivre qu’une existence qui nécessite au lieu de profiter. Tu es une mère célibataire et ce n’est pas simple. Ta dépression après la naissance de Nina t’a rendu plus fragile même son coté solaire demeure toujours palpable mais le doute subsiste quoi qu’il arrive. Ce n’est pas simple non plus avec le père de ta fille qui est un vrai imbécile … heureusement tu peu compter sur Isaak mais tu sais que tu ne peux pas toujours avoir recours à son aide, il fait déjà beaucoup tout comme Ambroise présentement. « Une soirée ? Je suis pas très douée … enfin plus très douée pour faire la fête tu sais … ». Lui dis-tu tout en esquissant un sourire qui se fane rapidement. Tu rebondis pour prendre des nouvelles sur la gestion de ses études quand bien même tu n’as aucun doute sur ses capacités. Tu esquisses un sourire léger, apaisé suite à la réplique du jeune médecin. « On aura beaucoup de chance alors ! ». Tu sais qu’il sera très occupé à l’obtention finale de son diplôme néanmoins tu es fière de pouvoir compter Ambroise parmi ceux que tu connais. Alors que tu déposes Nina dans son parc, tu te diriges vers le frigo tout en proposant à ton invité de boire quelque chose. Tu opines du chef pour sortir une bière et une bouteille d’eau gazeuse tandis que le brin te rejoint à la cuisine. Il te demande comment se passe ta colocation et tu ouvres la bouteille de bière avec un décapsuleur avec facilité avant de la poser devant Ambroise. « Très bien, je suis en colocation avec mon meilleur ami et … enfin on était trois mais désormais on est deux. ». Tu ne peux t’empêcher de songer à l’ex petite amie de Isaak. Tu es triste et tu te sens coupable de leur séparation même si ton meilleur ami t’a confié que cela n’avait rien avoir avec toi. « Et toi, tu es colocation je crois ? ».
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