Les originesItalien
feat. Christian Daloi
5 mars 1998, Milan, Italie.
Italien
Célibataire, il est pansexuel au niveau de sa sexualité.
Nouvelle année t'étude entammée (8ème) en mode. Deux ans avant d'obtenir son doctorat. Serveur dans un bar pour augmenter ses revenus.
Un peu moins que la classe moyenne, ni dans la grande pauvreté. Boursier, travail à temps partiel... Les temps pourraient être meilleurs, comme pires. Il a toutefois grandi dans la misère avec le minimum.
Le caractère
Sociable - Souriant - Altruiste - Ouvert d'esprit - Vivacité d'esprit - Intelligent - Débrouillard - Rusé - Méfiant - Impulsif - Agressif - Peut être violent - Protecteur (voir parfois trop) - Peut se montrer envahissant - Bonne oreille - Empathique - Plus doux et attentionné envers ceux qu'il apprécie - Brutal par moments - Cru - Vulgaire - Sait toutefois avoir de bonnes manières. - Polyvalent - Têtu - Malin - Hyperactif (mais n'a pas vraiment de soucis à se concentrer) - Imprévisible - Fonceur - Courageux - Charmeur - Séducteur - Fêtard - Rancunier - Cherche parfois les problèmes. - Son sourire est parfois bien factice, il cache sa colère et son mal intérieur. - Serpent. Se faufile souvent avant d'attaquer, même avec son impulsivité. - Rebelle - Il est tolérant à beaucoup. - Extraverti - Loyal - Fidèle - Coeur difficile et débalancé.
Les anecdotes
- ( 01 )J'en suis le gamin qui n'était pas supposé venir au monde. Des parents aimant auraient lancés le mot "miracle" au lieu de "parasite" lors de ma naissance. Le regard de dégoût sur un enfant à peine né. Le poupon qui ne demandait que l'amour et la chaleur d'une famille, n'en a reçu aucune. J'en suis l'être méprisé par deux parents au passé lourd et toxicomanes, d'où le mauvais sang a bien continué à couler dans mes veines. Ils se sont occupés de moi les premières années jusqu'à ce que je puisse m'occuper seul. Le mot "occupé" est très exagéré, puisque je n'étais qu'un enfant qui voulait leur attention quand j'en avais aucune. Des regards encore méprisants et des rires lorsque je tendais les bras pour que ma mère me soulève. Absolument rien n'y faisait. Toutefois, si je faisais quelque chose de mal, alors là... Tout se percevait et j'en étais rapidement punis. Jamais les sévices ne sont devenus violence physique, mais ils sont devenus des violences psychologiques par la négligence.
- ( 02 )J'ai marché longuement dans les cours d'école lors du primaire pour essayer de me faire des amis, mais le petit garçon trop pauvre n'était pas le plus apprécié. J'en avais souvent faim, parce que je n'avais, parfois, aucun repas pour passer ma journée du matin jusqu'au repas du soir. Certains gosses encore trop gentils m'en ont offert, quelques barres. Des professeurs, des pommes ou encore des petits fruits. J'en ai piqué, également. Je n'aurai pas dû, mais la faim me tiraillait trop fortement à certains moments. Je m'excusais de sortir durant les heures de classe pour aller piquer des aliments dans les boîtes à lunch des autres enfants. Étrangement... On ne m'a jamais attrapé.
- ( 03 )Mon lien familial s'est créé avec Emilia, une vieille femme encore bien jolie pour la soixantaine bien avancée. Si gentille, si douce. Le sourire qui rayonnait au travers de tous les nuages. Elle m'avait vu seul dans un parc, sans amis et sans contact. Sans parents. Je devais bien avoir aux alentours de dix ans lorsqu'elle est venue me voir pour la première fois afin de me parler et je dois dire qu'à partir de ce jour... Je voulais aller au parc à la même heure pour la revoir. Encore et encore... Et ne jamais faire en sorte qu'elle soit déçue de moi. C'est pour elle, que j'ai commencé à avoir le rêve de faire des études. C'est elle, qui m'a aidé dans mes notes et à les augmenter. À étudier. C'est elle, qui m'a appris la cuisine italienne comme une bonne italienne sait cuisiner. J'en ai chanté, les plus belles sérénades italiennes en sa présence et la faisant tournoyer dans sa cuisine jusqu'à éclater d'un rire franc. Mon sourire, il a toujours été réel avec Emilia.
- ( 04 )J'ai toujours été le genre à travailler, même sur des petits boulots comme passer la tondeuse et couper des haies pour parvenir à me faire de l'argent de poche. Ramasser. Économiser. J'en ai fais du ménage de voiture. Je savais toujours me débrouiller d'une quelconque façon pour parvenir à mes fins. À l'âge de 15 ans, j'étais légalement autorisé à travailler donc je me suis fait engagé dans un petit restaurant du coin, un café-bisto charmant où j'ai été en formation assidue pendant deux mois afin de bien me montrer les bases. C'est là-bas que j'ai pu me faire plus de liens qu'ailleurs. J'ai pris un autre emploi de serveur dans un restaurant un peu plus chic à l'âge de seize ans. Je n'avais pas beaucoup de journées de repos avec les études et le boulot, mais je voulais parvenir à amasser assez d'argent pour partir le plus vite possible.
- ( 05 )J'avoue sans mal que mon adolescence a été parsemée d'ombres et de misères où drogues et alcool faisaient rages dans les soirées où je me rendais et où je perdais toute notion de mon malheur jusqu'au lendemain où je parvenais à me réveiller pour recommencer. C'est Emilia qui m'a aidé à m'en sortir et à me concentrer sur mes études afin de pouvoir parvenir à faire ma demande d'admission à l'université. Elle aurait été tellement fière de voir cette lettre que j'ai serré contre mon coeur et que pour elle, je dédicaçais entièrement la réussite, parce que sans elle... Je serais probablement tombé bien, bien bas dans ma vie et je ne sais même pas si la vie coulerait encore dans mes veines.
- ( 06 )Ma première année a bien été difficile, parce que je dois dire que quitter ma ville et mon pays pour la première fois est une expérience bien stressante. J'en avais tellement envie, j'y suis parvenu, même si le mal du pays m'a frappé un moment après mon arrivée. Je regrette la culture, les paysages.. La vie dans un sens, de là-bas. Néanmoins, je ne regrette aucunement d'avoir quitté ma famille.
- ( 07 )Toujours accro au sport, j'en ai décidé de rejoindre le club de boxe de l'université depuis des années. Même si j'adore ce sport, je n'ai jamais cherché à devenir celui qui maintien les autres, qui leur enseigne. Je veux seulement être dans ma bulle lorsque je m'entraîne ou encore un partenaire pour combattre. J'en sors souvent les matins ou tard le soir afin de courir. J'ai toujours préféré dépenser mon énergie dans ce genre de choses, même si je dérape comme tout être humain.
- ( 08 )La mode, ça fait partie de ma vie depuis le début de mon adolescence lorsque j'observais dans les magazines les différentes tenues, jusqu'aux défilés de mode. Étant né à Milan, la mode est quelque chose de fort là-bas et j'en ai toujours été inspiré. Très vite, très tôt, j'ai appris à utiliser une machine à coudre, tout comme mes doigts avec un fil et une aiguille. Mes doigts sont devenus féeriques avec presque n'importe quel tissu de fabrication. Les couleurs. Les modèles... Je n'ai aucune préférence sur le sexe d'une personne. J'en confectionne pour tous et mes connaissances sur les différentes designers comme les fabricants, les noms des produits, des textures, des couleurs... Même celles que vous ne pourriez imaginé, sont très poussées.
- ( 09 )Les choses que j'aime manger sont par-dessus tout les pâtes ! Typiques et sûrement stéréotypes de mon pays, mais diable... Quel délice ! Les fruits de mer sont un paradis sur Terre, tout comme les fruits et les légumes. Mais surtout les fruits... Et les pâtisseries ! Il serait bien drôle de dire que j'ai un corps autant en forme pour manger pour trois ? Mon métabolisme est rapide en plus d'être sportif. J'ai toujours mangé pour plusieurs dès mon adolescence dans la courbe de croissance. Ce n'est pas étonnant qu'on voit les autres glisser leurs restes dans mon assiette en sachant que je vais sûrement tout terminer.
J'ai un amour particuliers pour tout ce qui touche à la nature, mais surtout aux bords de mer et aux grandes montagnes.
J'adore les animaux et j'ai un chat roux femelle que j'ai nommée Sole (prononcé Solé).
La musique fait également parti de ma vie, le talent de jouer de la guitare classique me sied, même si c'est clairement un passe-temps perdu quand j'ai envie de décrocher de tout, d'être dans mon univers.
J'aime boire pas mal tout... Mis à part ce qui a un accent prononcé de menthe.
J'adore rester à l'extérieur lors d'un orage et d'observer les éclairs, entendre le tonnerre... Et même d'aller sous la pluie sans aucune raison. - ( 10 )Je déteste ce qui touche à la menthe dans tout. La nourriture, la senteur, les brevages... Juste tout.
Je ne suis pas un grand amateur des mets épicés, mais je peux me forcer si c'est quelque chose de nouveau. Je déteste tout ce qui est de nature "sour", donc trop acide.
L'injustice peut aisément me faire sortir de mes gongs.
J'ai une phobie prononcée pour les fichues poupées. Si je peux regarder bien des films d'horreur, je les déteste. Je les hais... Elles me donnent la chair de poule et j'ai la nausée qui me prend.
Les cris me rendent stressé. Si quelqu'un me hurle dessus, il se peut que je lui réponde de calmer sa voix avant de vouloir continuer une quelconque conversation. Je peux m'énerver, mais jamais je n'ai aimé crié, ni me faire crié dessus. S'en prendre à des gens sans défense me rend très agressif.
- Code:
<div class="card-user-bottin-dudley"><dudley class="text-s-bebas text-upper">CHRISTIAN DALOI</dudley><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Khol Canova"</span></div>
(Khol Canova)