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Consolation
Camms se laissa d’abord simplement faire alors que je m’emparai doucement de ses lèvres, incapable de résister plus longtemps à l’attraction magnétique qu’elles avaient sur les miennes. Puis alors que mon baiser commença à se faire plus pressant, elle se mit à y répondre avec audace. Je sentis sa langue glisser doucement dans ma bouche et venir jouer avec la mienne et le baiser se fit alors plus profond et plus intense. Je me sentais incroyablement bien, la tête vidée mais le corps tendu en réaction à ce baiser brulant. Mes mains glissèrent le long de son dos, descendant sur la cambrure de ses reins pour finalement venir se poser sur le joli rebondi de ses fesses. J’étais fébrile, enflammé par le désir et par le caresses de la jeune femme. Elle me parut tout aussi emportée que moi par l’envie, puisqu’elle tira sur ma chemise avant de venir glisser ses mains en dessous. Le contact de ses doigts sur la peau frémissante de mon torse m’électrisa complètement. J’avais envie d’elle, là, tout de suite maintenant. Je voulais la déshabiller, la sentir contre moi et approfondir encore un peu plus ce qu’on avait commencé. Mais Camms retira soudain ses mains puis fit un pas en arrière. Avais-je fait quelque chose de mal ou bien quelqu’un était-il entré dans les sanitaires sans que je m’en aperçoive tellement j’étais absorbé par notre étreinte ? Je fus gagné par le doute l’espace de quelques secondes mais très vite, je compris : Camms se dirigea à reculons dans l’une des cabinets tout en me regardant avec un regard des plus équivoques. Sauf si tu veux arrêter maintenant ... Un sourire étira mes lèvres en réponse au sien… Nous étions bien sur la même longueur d’onde. « Je n’ai aucune envie d’arrêter… » fis-je tout en m’avançant jusqu’à elle dans l’exigu cabinet. Je refermai la porte derrière moi et l’on se retrouva alors serrés dans la petite cabine. Mais la proximité de nos corps était loin de me déranger et même le manque de romantisme et d’intimité de l’endroit ne suffit pas à calmer ma libido. Pressant de nouveau son corps contre le mien, je m'emparai une nouvelle fois de ses lèvres, initiant un baiser endiablé. Ancrant mes mains à ses hanches, je pénétrai sa bouche en maître savourant ce baiser effréné. Sans rompre celui-ci, mes mains glissèrent sous ses cuisses avec délicatesse, appréciant le contact de mes doigts contre sa peau de velours puis je la soulevais doucement tout en relevant le bas de sa robe puis je la plaquai fermement contre le mur…
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